Aujourd'hui nous partons en foret de Fontainebleau pour réaliser une boucle entre Seine et Marne et Essonne
A l'origine cette balade faisait partie du groupe de promenade appelé GR 111 de Milly à Saint Michel sur Orge.
Avec comme départ la gare de Fontainebleau. Déjà le titre ne collait
pas. Pour rejoindre Milly il utilisait le GR 111E. Aujourd'hui les GR
111 doivent être supprimés et remplacés par plusieurs boucles.
Je profite d'une mise à jour du blog pour modifier mes articles.
Les
quatre promenades hors de l'Essonne rejoigne le groupe de promenade de
la Foret de Fontainebleau. Les 13 promenades du GR 111 conserverons
leurs titres, et il sera ajouté 7 promenades portant comme titre ;
Promenades en Essonne
Bonne Balade
Novembre
2016
Km
Temps Arrêt V/d
V/g Dénivelé
34,7 7h04 30mn 5,1 4,8 775+
Le code mobile de cette randonnée est b310983
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
Carte VisoRando
Cliquez
sur le rectangle à coté du numéro
Départ parking de Franchard
A la sortie du parking nous trouvons le GR 1
e que nous
prenons face à nous en direction de la fontaine des Ermites (un peu sur la
gauche) le puits, et

l’Ermitage (
les légendes et l'histoire locale se trouve dans le glossaire en fin de page dans http://randosacaudos.blogspot.fr/2016/06/des-randos-pour-ouvrir-les-yeux-4.html.
Stations 17-18-19) Le GR remonte sur la droite passe devant un ‘’immonde’’
cercle en fonte sur le sol
(l’œil de la Nation ; Station 20 du même site que plus haut)
(L’argent mis dans cette
stupidité aurait été beaucoup plus
utile à stabiliser
des ravinements, provoquer par les fortes fréquentations avec des pavées à la place de l'escalier en palettes de la route du carnage. Une petite
plaque posé sur le centre EcoTourisme aurait été suffisante.)

Prendre
sur la gauche la route de l’Ermitage. A la rencontre de la route Raymond nous
prenons à gauche.
Le chemin est très sablonneux. Couper le sentier bleu. Nous
arrivons dans la partie la plus dégradée de Franchard dû à la sur fréquentation
du lieu. Le secteur à été très bien stabilisé. C’est un beau travail à la
Denecourt.
Suite à un glissement
de sable, poussé par un rocher déstabilisé certainement dû au passage incessant des randonneurs ou des "touristes" venant faire une pose dans cette mer de sable pas trop loin des parkings et laissant

leur gamins creuser des trous apparemment sans conséquences sous les rochers... "Tout le monde ne s'appelle pas Denecourt", grâce aux carriers il consolidait ses ouvrages. Ici cela à entraîné, année après année la déstabilisation d'une masse gréseuse. Même après ces magnifiques ouvrages le principe de précaution, bien connu en France fut mis en place et entraina la déviation du GR et du sentier bleu.
Nous descendons la route sableuse et apercevons sur la droite comme
sur la gauche de gros rochers formant grotte. ( A gauche la roche des hermites et à
droite nous avons la
La roche qui pleure (beaucoup de gravures
sur cette roche) mais également autour du rocher. (explication dans
http://randosacaudos.blogspot.fr/2016/06/des-randos-pour-ouvrir-les-yeux-4.html.
Station 23) Il faut faire un peu d’escalade pour
passer derrière les roches misent en place pour barrer le passage des anciens sentiers. Nous trouvons sur la
gauche des rochers aux formes aériennes puis quelques roches nous barrent le
passage afin de contenir le sable. Sur la gauche
une gravure : F 1836.
Je n’ai pas trouvé à quoi cela correspondait.

Nous trouvons sur la droite du chemin, quelques marches et un sentier
qui grimpe vers un belvédère, nous trouvons l’ancien sentier 7. Ici il vaut
mieux avoir un GPS pour suivre la trace il est de plus en plus difficile de
suivre ce dernier, il reste quelques marques rouge et blanche par-ci
par-là mais cela ne suffit pas. Un balisage de varappeur permet un repérage
alternatif aux anciennes traces du GR. (Ce GR à été abandonné après le

glissement du rocher.) Cette partie n’est pas facile à suivre, le GPS devient
un outil rendant bien des services. On suit les quelques traces bleu subsistantes jusqu'à ce qu’elles tournent sur la
gauche à 90° et passe dans une diaclase, ou il ne faut pas être trop gros pour s'y glisser.
(C'était un moment épique lorsque deux groupes se croisaient à l'intérieur. Une bonne partie de rigolade.) Nous abandonnons le bleu pour suivre la ligne des rochers face à nous. Par endroit
nous apercevons encore quelques marques rouges et blanche plus ou moins cachés
ou effacés, on serpente sous la ligne de crête et l’on aperçoit des marques
rose nous guidant dans la bonne direction.
Nous sommes dans le massif de la
cuisinière pas facile de si retrouver par ici, beaucoup de sentiers de varappeurs. Avec la trace sur le GPS cela permet de ne pas s'éloigner de trop, jusqu’au moment ou le passage devient un peu mieux tracé.
Je trouve ce chemin bien plus intéressant que
l’actuel sentier bleu qui passe juste au dessus. On comprend mieux dans certain passage très

sableux le danger d’un affouillement. Tout de même dans ce coin il n’y avait
que le GR…. Sur la droite nous avons une belle roche (Oui, pas facile il n’y a que
cela par ici) le sentier tourne sur la droite et normalement on met la main sur
une belle gravure.
Poursuivons ce sentier pas facile. Avant que ce ne soit un GR ce fut
une dérivation du sentier bleu principale
N°22 de Denecourt (le sentier actuel n'en reprend qu'une partie). Denecourt déposait des traces
rouge et des Numéros sur ses roches remarquables, sur ses sentiers de raccordement ou secondaires.)
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Gravure d'un reptile |
Ce sentier débouche sur un
chemin un peu plus large que nous prenons à droite. Nous apercevons un long
banc de grès avec un numéro "3" formant caverne.
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Caverne Philippe Auguste |
C'est la Caverne Philippe Auguste de l'ancien circuit Denecourt (circuit historique on y retrouve quelques marque rouge.) C'était un raccordement ou un doublement du circuit principale N°22 balisé en bleu. Dans les documents Denecourt il porte le N° 23 et est balisé en rouge, comme tout les chemins de raccordement ou créés après le sentier principale, déjà édité par l'auteur dans ses guides.
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Ancien N° |
On remonte sur la droite le long de la caverne et l’on trouve le sentier bleu
que l’on prend sur la gauche, ensuite il faut suivre la trace GPS, pour suivre l'ancienne trace du GR. Sur cette
platière difficile de si retrouver. Bien trop de traces, notamment de VTT. Le but étant de poursuivre l'ancienne trace du GR 11, mais elles ont disparues ou je n’ai pas sut les
retrouver. Quittons le sentier bleu pour se diriger vers les rochers que nous
longeons sur la gauche nous y trouvons quelques gravures.
Revenons vers le sentier bleu. Se diriger vers l’Ouest
en suivant la ligne des rochers jusqu'à la route du carnage. Coupons cette
route. Nous trouvons un balisage jaune que nous suivons jusqu’au point de vue
(il ne va pas plus loin). Nous trouvons un sentier de varappeur nous faisant
traverser le rocher fort connu des grimpeurs se nomment la cuisinière
(2ème partie. Pas grave si l’on ne suit pas
l’ancien tracé que l’on ne voit plus. Suivre l’un des sentiers…. Plus ou moins
parallèle à la pente. Ce sera bien plus beau que le GR
actuel.) Voilà nous venons de terminer pour cette promenade la
première partie du ‘’sites remarquables de la cuisinière’’ le plus difficile à
suivre. Avec lui, un petit bout de notre histoire locale, un petit bout des
sentiers disparus, abandonnées il y a très longtemps pour simplifier la
compréhension des sentiers. Abandonnés, récemment étant situé dans les réserves
biologiques fleurissantes actuellement un peut partout. Supprimé hier pour le principe de précaution et la sécurité. Vous
trouverez les explications 23-25-26 dans le lexique à l’adresse suivante [http://randosacaudos.blogspot.fr/2016/06/des-randos-pour-ouvrir-les-yeux-4.html.] Coupons
la route du renardeau. Pas facile de vraiment suivre la trace. On redescend vers
la route de l’Isatis et l’on rencontre à nouveau le GR 11 que nous prenons à
gauche. Grimpons vers les Hautes Plaines remarquez ce vieux chêne qui à poussé
en suivant le flanc de la colline.
(Voilà qu’en
tapant le topo je me souviens plus si le GR passe encore devant, une
déviation à été créé afin de ralentir le ravinement du chemin. Il est en haut sur la gauche.)
Sur le plateau des hautes plaines, nous prenons sur la droite la route Saint
Mégrin. Nous passons un beau point de vue ou nous

apercevons la plaine de la Bière, une partie de Franchard avec l’Isatis ainsi que les pylônes de Saint
Assise. [
Les Antennes de Sainte Assise
Son antenne était
portée par 11 mâts de 250 mètres et 5 mats de 180 mètres. À son
inauguration en 1921, l'émetteur était le plus puissant au monde et balayait
une zone s'étalant entre les Amériques et le Japon.
En novembre 1921, y fut réalisé
la première retransmission radiophonique française. Par la suite, le site a été
un centre d'expérimentation pour la télévision. Réquisitionné par la
Kriegsmarine en 1941 pour permettre les communications entre Berlin et les
U-Boots. Paradoxalement, Sainte-Assise n'a pas souffert des bombardements
alliés et toutes les antennes ont survécu.
Le 1er janvier 1954, les PTT
reprirent ces installations.
En 1991, une partie de la station est
vendue par France Télécom à la Marine nationale, Centre de transmissions
marine (CTM) de Sainte-Assise, pour les communications non-confidentielles
avec les sous-marins. Le site, inauguré en 1998, est devenu un terrain
militaire surveillé par une compagnie de fusiliers-marins.
 |
Au point de vue un point géodésique |
Un mat de 250 mètres non relié à
l'antenne reste la propriété de Globecast, filiale de France Telecom qui est
désormais le propriétaire du téléport de Sainte-Assise. Il sert de support à de
multiples antennes et émetteurs (GSM, satellites...). De plus une partie du
site héberge station de liaison vidéo/audio avec les satellites de
France-Telecom.
En décembre 2000, 3 mats inutilisés de
180 mètres ont été détruits.]
Poursuivons
le GR, nous arrivons dans les rochers des gros sablons, passage pas très
évident dans les rochers mais que j’adore par leur douce couleur verte. Ils
sont recouverts de mousse. Nous descendons sur Arbonne, soyez attentif le GR
tourne à angle droit.
A l'entrée du village qui c'est agrandi dans la foret, nous empruntons la rue du Pâtis et côtoyons quelques
belles maisons planter… dans la foret ou le bois communale.
Le GR à été modifié, il ne prend plus la D 409
et la rue de la fontaine d’Arbonne. Aujourd’hui, il contourne le centre du
village par un chemin intra muro.

Coupons la rue de la fontaine d’Arbonne puis
nous empruntons le chemin du bois de Louche, puis le chemin du chenet, soyez
attentif il tourne à angle droit. Nous terminons par le chemin de la procession
et aboutissons sur une route goudronnée (rue de Courances.) Que nous prenons à
gauche.
(Je ne me souviens pas avoir vue les plaques des noms des chemins. Mais
ils existent sur la carte) Poursuivons le GR qui quitte rapidement la route pour
pénétrer de nouveau dans la foret et longer l’autoroute (faut bien trouver un
passage) Passons le pont. Nous arrivons dans la Plaine de
Baudelut [Au XIIIe siècle, les Templiers fondent à Arbonne une commanderie, qui
devient par la suite le prieuré des hospitaliers de Saint-Louis. Les
hospitaliers possédaient, depuis le XIIe siècle, une chapelle dédiée à Saint
Blaise, au lieu-dit Baudelu.
En 1348, les Anglais s’avancent
jusqu’aux portes de Paris incendiant le pays. A la suite de la bataille de Poitiers des
aventuriers anglais, navarrais, brabançons se répandent dans le Gâtinais, pillant, brûlant,
torturant. Ils s’emparent le 4 août 1359 de la porte de Melun et le 15 du même mois brûlent l’abbaye
du Lys. L'église d'Arbonne subit le même sort, la
largement sur nos pas et sans l’autoroute nous aurions gagné en
kilomètres. Attention cette partie n’est pas très bien balisée, le chemin
tourne sur la droite on s’éloigne de l’autoroute puis le chemin fait fourche, prendre la
branche de gauche. Après plusieurs zig-zag le chemin débouche sur un autre
formant Té prenons sur la droite le chemin de Milly à Arbonne. Ne vous
réjouissez pas Milly n’est pas tout prêt il faut traverser le Coquibus. Poursuivons
le GR 11 on monte et on descend dans les zones rocheuses, passons la tristement
célèbre "mare aux joncs". Un fait divers dramatique c’est déroulé sur cette
platière ‘’les fiancés de Fontainebleau’’ Voilà ce que nous disent les journaux [Le
31 octobre 1988, jour d'ouverture de la chasse au gros, Anne-Sophie Vandamme et
Gilles Naudet, 25 ans tous les deux, partent pour une balade en forêt de Fontainebleau (Seine-et-Marne) avec Dundee, un berger des Pyrénées de neuf
mois. Elle est assistante sociale à l'office HLM du Val d'Oise, lui guichetier
au Crédit Mutuel de Créteil. Ce couple sans histoires ne reviendra jamais de la
promenade. Quatre jours après leur disparition une battue monstre est organisée
avec 700 gendarmes. La voiture du couple est retrouvée sur le parking de la
Feuillardière, fermée à clés. Plus de deux mois après, un garde-chasse va
découvrir dans le massif des Trois-Pignons, non loin du parking, les cadavres
du couple et de Dundee, recouverts de bruyère fraîche.
Une chose est certaine avec ma
femme nous aimions bien ce coin très désertique, platière magnifique, planté de
bruyère donnant une immensité mauve. Très peu de peupliers. Après cette
découverte nous avons été longtemps sans revenir au Coquibus. Revenons à notre GR qui nous fait passer
dans des coins admirables. Nous arrivons à l’aqueduc de la Vanne grimpons
quelques marches et arrivons à la ferme de Coquibus [La Ferme de Coquibus devient le refuge
des Amis de la Nature.‘’ A la fin de l’année 1968.
faisons connaissance avec’’ la ferme de Coquibus’’
à Milly-la-Forêt.
Vaste demeure
forestière délabrée, située en pleine forêt et assiégée par toute une
végétation de ronciers et de lierres, abritant une colonie de vipères.
Abandonnée aux vandales depuis plusieurs années, portes et fenêtres en partie
arrachées, plus une vitre, plafonds crevés, conduite d’eau et d’évacuation hors
d’usage, pas d’éclairage, des gravats partout, une partie de la toiture à
refaire..., non, nous ne pouvions accepter une telle ruine.
C’est alors que l’Office National des
Forêts (le propriétaire) nous promit de nous aider à remettre en état cette
demeure. Confiants, nous acceptions l’offre et avec un courage tout neuf, nous
nous remettions à l’ouvrage. Chaque week-end,’’ la ferme de Coquibus’’ se
transformait en chantier. Un effort énorme fut fourni par chacun, et la grande
demeure ainsi recommença à vivre peu à peu….
On
trouve également sur le net. Cette maison, située en forêt de
Fontainebleau, à proximité des sites des Trois Pignons et de la Dame Joanne,
est gérée par la section Horizons
l’organisation de la maison :
Ouverture : toute l’année
Réservation obligatoire.
Accueil de groupe : 32 personnes
46 places :
- 1 chambre de 2 lits 6 dortoirs de 6 lits 2 dortoirs de 4
lits
- Sanitaires complets, douches chaudes payantes
2 salles de
séjour : 32 places, cuisine équipée
Restauration à 3 km
Eclairage par groupe électrogène 220v
Parking 25 places voitures, 1 car
Animaux acceptés sauf dans les chambres et dortoirs.
Les Amis de la Nature
L’association a pour vocation le développement
du tourisme populaire et la sensibilisation à la protection de la nature.
Elle est implantée à Milly-la-Forêt depuis 1968 et regroupe environ 80 membres.
Outre l’organisation de randonnées pour les adhérents, elle organise l’accueil
de randonneurs et gère le refuge de la Ferme du Coquibus. ...(site internet
dont j’ai oublié de copier l’adresse)]
Ici faisons attention, il faut
prendre la bifurcation sur Milly. En effet le GR 11 poursuit le chemin de
Coquibus qui nous emmènerait vers la Ferté Alais. (http://randosacaudos.blogspot.fr/2012/12/randonnee-le-plus-loin-possible-12.html) Il faut
prendre la branche de gauche ‘’Chemin des Grands Vaux’’ direction Milly c’est
très bien indiqué. Nous quittons le GR à l’entrée de Milly juste avant de
traverser la D 837. Nous trouvons un chemin longeant cette route. Laisser le
premier chemin menant à une habitation. (Nous pouvons prendre le second, je ne
l’ai pas fait pensant qu’il ne menait qu’aux maisons.) j’ai pris le troisième qui
me ramène sur le second. ‘’Chemin de Sablonel’’. Nous arrivons au carrefour de
la roche feuilletée, ou nous prenons sur la droite le long chemin de Rumont. J’ai essayé
de faire le moins de dénivelé possible dans
ce retour. Passons derrière l’ancienne auberge de Coquibus (que j’ai
toujours connu abandonnée, mais jamais délabré.) Malheureusement ce n’est plus
le cas. Poursuivons notre chemin qui débouche sur un chemin formant Té. Prenons
la branche de gauche. Faisons un large virage sur la droite, après une partie
droite nous débouchons sur un chemin formant Té et prenons la branche de gauche.
Encore un petit virage et nous coupons un chemin menant aux maisons des Grandes
Vallées. Le sentier de l’autre coté du chemin est un peu moins visible sur une dizaine
de mètres ensuite, nous retrouvons un chemin mieux tracé au sol. Côtoyons
l’aqueduc de la vanne qui se trouve être en souterrain dans cette partie. Nous
nous rapprochons de la D 409 et trouvons un chemin sur la droite, que nous
prenons. Coupons la D 409 et prenons le premier chemin sur la gauche ‘’chemin
du Tramway’’ puis le premier à droite nous arrivons à l’ouvrage aérien
de
l’aqueduc, prenons à gauche en passant sous l’arche du milieu le chemin de
Trappe Charrette. Poursuivons par la route de la Borne à l’Enfant. Ensuite nous
pouvons continuer par le chemin ou prendre le sentier bleu. Le sentier bleu est
plus agréable mais un peu plus difficile. Nous arrivons au parking de la Canche
aux Merciers, nous le traversons passons sous l’autoroute. Puis nous coupons la
D 64. En face sur la carte il n’y a rien mais derrière le petit parking en
bordure de route, nous trouvons un sentier nous menant au chemin du Bois Rond
que nous prenons sur une centaine de mètres, puis nous trouvons un sentier dans
la fougère pas très facile à suivre et inexistant sur la carte. Je suis passé
par ici car nous avons une canche entre le la dune de Drei Zinnen et le rocher de la Reine. (Un peu plus loin il y a un chemin mieux tracé au sol mais il monte à 129m.)
Traversons la canche en suivant les divers sentiers, nous devons trouver un
poste d’observation de l’aqueduc et derrière un chemin nous emmène sur le chemin
de la Reine, puis nous prenons le second chemin à gauche "le chemin des
sablières". Nous aboutissons sur le chemin de la Plaine de Chanfroy que nous
prenons à droite. Poursuivons par la route de Milly. Coupons le GR 1 et le TMF.

Passons la route du Louveteau et prenons la suivant à gauche, nous arrivons à
un carrefour avec la route de la louve et une fourche en forme Y prenons la
branche de droite (peut être la route Raymond) nous arrivons au carrefour
Trévise, poursuivons cette fois ci par la route Raymond jusqu’au carrefour du coursier ou nous
prenons à droite la route du Coursier. Au carrefour Tavanne prenons à gauche la
route Tavanne coupons la route des gorges de franchard nous rencontrons le GR 1
le TMF ainsi que le sentier bleu. Poursuivons cette route jusqu’au parking.
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