jeudi 2 novembre 2017

Randonnée Le Plus Loin Possible : Etape 62 : Pont à Mousson - Jouy aux Arches

  Pont à Mousson - Jouy aux Arches 

27 juillet 2017

 

Le code mobile de cette randonnée est b310782

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 km    Temps    arret    V/d    V/g    dénivelé
38,1    7:32      1:18     5,1     4,3        851 +



Le petit dèj est a 7h00 heures. Je suis étonné dans ce genre d’hôtel pour voyageurs de commerce il est normalement bien plus tôt. C’est peut être le manque de personnel… Il faut que je me dépêche, mon train est à 7h54. Je ne souhaitais pas avoir trop de distances à réaliser deux jours de suite. Je fais un transfert en train jusqu’au village de Vandières afin d'éviter aujourd'hui d'approcher les quarante kilomètres. Je refais en train le trajet réalisé hier. Lorsque nous avons quitté le Gr dans le bois communal d’Homécourt nous avons suivi plus ou moins un balisage jaune nous amenant au moulin de la Tuile puis à Norroy, tout à coté de Vandières. Aujourd’hui nous partons de ce village. J’accélère le petit dèj qui mériterait pourtant un long arrêt. Il me reste vingt minutes pour rejoindre la gare, en accélérant le pas j'y suis en quinze minutes. À Vandières je suis surpris par les aménagements pour les enfants. Nous grimpons ‘’les Côtes de Pand’’ C’est une belle rue desservant des aires de jeux somptueuses pour les jeunes. Skates bordeurs, balançoires, basket, mur d'escalade me semble t'il. J’aimerais bien que ma commune qui à un peut plus du double d’habitants pense à ses jeunes comme ce village pense aux leurs. Cette rue devient chemin et sur le plateau nous apercevons  le moulin  à 800m sur la gauche. J’aurais bien pris la route pour vraiment bouclé, mais, hier j’ai constaté qu’il était impossible de couper part la prairie clôturé avec du barbelé. Rejoindre le Gr par l'itinéraire d'hier me fait trop revenir en arrière. Mon chemin est beau mais ma trace très imprécise ce qui me pose des problèmes de direction dans les intersections. (Depuis, j'ai ajusté la trace à la carte). Je patauge un peu vers les ''Charlots'' (C'est moi le charlot dans cette histoire) le chemin n’aboutit pas exactement comme sur la carte, avec ma trace qui n'est pas juste au niveau des virages, je ne sais pas qu'elle chemin prendre pour retrouver le GR la carte papier devient nécessaire. J'essaie tout les chemins avant de prendre le bon, celui du sous bois grimpant encore vers la butte du Châtillon.
[Chapelle Notre-Dame-de-Pitié abritant une pietà et située au cimetière de Prény. Elle est bâtie en 1857 conformément au vœu de l'abbé Petitmangin, curé de Prény, à la suite de l'épidémie de choléra de 1854. Elle est consacrée le , en présence d'une foule immense, par Alexis-Basile-Alexandre Menjaud, évêque de Nancy et premier aumônier de l'empereur Napoléon II.  Wikipédia.
Chapelle de Prégny



Panneau d'information sur place :

Emplacement de l'ancienne église proche des habitations, elle fut abandonnée puis utilisée au gré des événements historiques, elle fut définitivement détruite et remplacé en 1824 (la date ne correspond pas avec wikipédia) Une nouvelle église fut construite au cœur du village actuelle. La chapelle abrite une pieta du XVIème siècle taillée dans un seul bloc de pierre. En 1827 la pièta fut chargé sur un char attelé à des chevaux pour rejoindre la nouvelle église. Les chevaux refusèrent obstinément d'avancer. Les villageois pensèrent que la vierge devais rester dans la chapelle.] Hier, mes chaussettes ont séchées sur le rebord de la fenêtre qui se trouvait au soleil, les chaussures pas complètement. La semelle au niveau de la plante des pieds est encore humide… Le temps est gris et par moment il bruine, l’herbe est trempée, mes pieds le deviennent vite mouillés et à chaque pas je vois de l’eau
Eglise de Prégny
 s’échapper du tissu.
[ Eglise de Prégny ; Entiérement détruite en septembre 1918 lors de l'offensive américaine, elle fut reconstruite sur les plans de l'architecte Emile André en 1925, les vitraux réalisés par Jacques Grüber 1870-1936. Cet artiste du mouvement Art Nouveau connu une importante activité de peintre verrier entre 1900 et 1914. Après 1918 il est sollicité par l'immense marché de la reconstruction ses oeuvres se retrouve dans 25 église de Meurthe & Moselle. Sa notoriété dépasse les frontières et il s'impose comme un maître du vitrail français.]

Nous redescendons la butte de Chatillon et retrouvons le Gr 5. Profiter de cette vue dont le vallon est déjà bien aménagé en réseau ferroviaire c’est le raccordement de la ligne TGV à la ligne classique Metz-Nancy ce qui me permettra demain de rejoindre Paris en 1h30 environ.

 En 2020 Une gare TGV devrait ce trouver dans ce vallon. J’espère qu’ils prévoiront un raccordement avec la ligne SNCF. Traversons la ligne TGV par un tunnel et arrivons à Prény ou je ne vois pas la raison du détour que le Gr nous impose. Je passe en ville et découvre à l’autre extrémité qu’il y a un écriteau "château", ainsi que le balisage. Pour une fois que le Gr fait du tourisme !!! je grimpe les marches en ciment pour voir ce dernier 
[Le château-fort. 

Le village de Prény est toujours dominé par les ruines encore imposantes du château féodal des ducs de Lorraine !

Cette forteresse est si emblématique du duché de Lorraine que le cri de guerre des Lorrains était "Prény, Prény"
    Vers 1138, la colline de Prény, alors possession de l'abbaye Saint-Pierre-aux-Nonnains (le duc de Lorraine est alors l'avoué du monastère) se dota d'un château ducal pour contrôler les mouvements de troupes alentours. En effet, le comte de Bar, établit à Mousson, et l'évêque de Metz sont alors en conflit avec le duc de Lorraine et tentent par tous les moyens de le déstabiliser. 
En 1139, alors que le château de Prény est assiégé par les hommes de l'évêque de Metz, Étienne de Bar, le duc Mathieu de Lorraine dirige personnellement la défense de sa forteresse. Les deux partis ayant trouvé un terrain d'entente, le siège est suspendu. La trêve 

entériné, les Messins s'en retournent dans leur cité. En 1286, l'évêque de Metz, Bouchard d'Avesnes (1282-1296) tente d'enlever, en vain, le château de Prény. Le châtelain, Milon de Vandières, réussit à maintenir la forteresse de Prény dans le giron lorrain. Après moult tentatives, les Messins renoncent et signent un traité de paix en 1290.
En 1435, René d'Anjou, alors emprisonné dans la Tour de Bar à Dijon (après sa défaite à la bataille de Bulgnéville), doit engager son château de Prény pour payer sa rançon.


En janvier 1437, avec le traité de Lille signé entre René d'Anjou et Philippe le Bon, le duc de Lorraine recouvre sa liberté contre la cession des seigneuries de Cassel et de Bois-de-Nieppe, possessions du duc de Lorraine enclavées dans le domaine bourguignon et une rançon de 400 000 écus. La garnison bourguignonne quitte alors Prény.
Durant l'année 1440, Messins et Lorrains s'affrontent à plusieurs reprises sous les murs de la forteresse ducale. Le château tombe entre les mains des Messins. En 1636, avec l'occupation de la Lorraine par les troupes françaises, la forteresse est démantelée sur ordre de Richelieu.


En 1731, le château est abandonné et devient une ruine inhabitable.
Saisit, en 1792, comme "Bien national", la forteresse est vendu, aux enchères publiques, propriété d'un rentier nancéien, en 1797.
Du 25 septembre au mois de novembre 1918, de nombreuses parties du château de Prény furent détruites lors de combats opposant Allemands et Américains.
 Voilà l’histoire de ce château je l’ai copié sur le site http://patrimoine-de-lorraine.blogspot.fr/2014/03/preny-54-le-chateau-fort.html ou vous y trouverez de très belles photos du chateau.]

 Poursuivons notre itinéraire entre bois et champ le paysage est magnifique. Je ne pensais pas que la Lorraine soit aussi vallonnée. Je regrette même d’avoir tracé des trajets si long, je pensais m’ennuyer comme les années précédentes. Pas grand souvenir entre Lille et Sedan hors mis la Thièrache et ses églises fortifiées. Je ne suis pas passé au bonne endroit dans les Ardennes pour en apprécier les paysages, je me suis même demandé ou se trouvait ce barrage infranchissable nous protégeant des invasion de l’Est. Ici au moins c’est très vallonné, mais  je n’ai pas le temps d’apprécier, la fatigue et le temps me manque.

Trente kilomètres c’est 6h de marche, avec les poses on arrive vite à 8h00.  J’ai vraiment fait ma trace à l’arrache heureusement le balisage est bien fait, pour une fois la carte papier m'est plus utile que le GPS. Le balisage n'est pas comme chez nous ou les marques vous préviennent en amont d’un changement de direction, ou vous trouvez des croix vous informant que vous faite erreur . Ici on ne vous indique que le chemin principale, mais les marques sont bien positionnées sur de petits panneaux soit rectangulaire, soit en forme de flèche face à vous, c'est à dire perpendiculaire au chemin et non parallèle comme sur certain balisages très connus du sud Seine et Marne. Nous trouvons toujours après un virage ou une intersection une marque vous indiquant que vous avez choisi le bon chemin. Nous arrivons à Pagny.
 Fontaine récemment (février-avril 2017)  réhabilitée par l'association les Sonneurs de la Côte. La fontaine située sur le sentier dit "de la vache" aurait plus de 200 ans. Le mur en mauvais état derrière la fontaine retenant les terres d'un verger à été reconstruit par l'association suivant les principes de l'époque ; Technique des murs en pierres sèches. (Source, panneau d'information.)
[la commune de Pagny-sur-Moselle a été un village frontière avec l'Allemagne de 1871 à 1918. Comme ailleurs dans la vallée, de 

nombreuses exploitations de sables et de graviers ont laissé un paysage lacustre partiellement classés Espace Naturel Sensible par le département de Meurthe-et-Moselle.
La forme traditionnelle de village-rue est aujourd'hui très largement développée vers les coteaux, par le biais des différentes extensions pavillonnaires que la commune abrite. Celle-ci a également connu un fort développement à partir de la fin du XIXe siècle, dû aux développements industriels (chemin de fer, Carbone Lorraine devenu Mersen, etc.) encore remarquable par la présence de nombreuses citées ouvrières à l'entrée sud de la ville.
Première Guerre mondiale : au printemps 1918, la totalité des Pagnotins est déplacée principalement en Belgique. L'objectif pour les Allemands est d'avoir le champ libre sur l'ensemble du territoire pour se défendre des Américains.
La Première Guerre Mondiale a fortement marqué Pagny qui, ville frontière, était aux premières lignes. Deux jours après la déclaration de guerre, les premiers cavaliers allemands traversaient la ville.
Le 11 août un détachement de l’infanterie allemande se rend en mairie : « J’ai l’ordre d’informer monsieur le maire que si les habitants tirent encore sur nos troupes, la forteresse du Mont Saint-Blaise bombardera la ville et tuera la population ». À peine un mois après le début de la guerre, le 24 août 1914 et pour une durée de 4 ans, sans résistance possible, Pagny est une ville occupée par les Allemands.
Maisons médiévales fondées par les Prémontrés ayant appartenu à l'abbaye de Sainte-Marie-au-Bois, ancienne demeure des XVe siècle ou XVIe siècle, anciens pressoirs et caves dans celle face à l'église. Elle fut occupée par des religieux de l'ordre des Prémontrés mais aussi par le sieur de Bouvigny à la fin du XVIe siècle, par Siméon Bras de fer, Collignon Richard, Louis de Guise, comte de Boulay, Dominique Richard, MM. de Montignac de Xonville et le marquis de Blaincourt avant la Révolution. wikipédia] Ma trace est vraiment au carré mais heureusement que le balisage est bien fait. Oui, je me répète mais heureusement que des bénévoles m'indiquent le chemin en entretenant le balisage. Nous remontons dans les bois et sommes commun aux GRP des côtes de Moselle et de Meuse que nous quitterons juste avant le pont SNCF. Il me semble que nous ne prenons pas le chemin le plus direct pour rejoindre Metz mais il faut bien franchir la ligne ferroviaire. Dommage que le balisage jaune Metz-Nancy ne soit pas tracé sur la carte, il doit suivre un parcours plus direct. Nous traversons à Onville ou nous passons devant un beau château mis en vente (j'ai regardé sur

internet il ne vaut que 300 milles Euros...) 
L'agence et peut être un homonyme d’un célèbre animateur de télé vendant également des maisons… Nous longeons les Côtes par un chemin intra muros nous faisant passer de village en village. A Bayonville nous grimpons de nouveau dans les bois qui se nomment, et ce n'est pas une

blague ; la Montagne, plus haut nous trouvons la petite montagne. C’est vous dire que cela monte, bien sur, après l'on redescend, c'était bien la peine de faire cet effort... Ma trace est tellement bien faite que je me trompe de chemin, je prends un peu trop sur la droite, agréable ce parcours, heureusement il rejoint le GR après un petit détour. Grand virage à gauche en angle aigu qu’il ne faut pas louper. Long chemin en forêt, et l’on arrive à

Gorze. [Couronnée de superbes forêts, Gorze se blottit au creux du vallon de la Gorzia.
Au 1er siècle, les sources de Gorze furent captées par les Romains pour alimenter en eau Divodorum (Metz).
En 749, l'évêque de Metz, Chrodegang, fonde l'abbaye de Gorze.
Au 12ème et 13ème siècles, est construite l'église Saint Etienne, le plus ancien édifice gothique de Lorraine.
Au 16ème siècle, l'abbaye est dévastée et sécularisée.

 En 1661, la "Terre de Gorze" est rattachée à la France.Un aqueduc, long de 22 kilomètres, dont la majeure partie était souterraine conduisait l'eau
 de la source des Bouillons de Gorze jusqu'à Metz. De remarquables vestiges subsistent sur les rives de la Moselle à Ars sur Moselle et Jouy aux Arches, ainsi que sur la route  de Novéant à Gorze. En 749, l'évêque de Metz, Chrodegang, fonde l'abbaye de Gorze. 

Gorze
 Le monastère rayonne dans toute l'Europe et devient le centre d'une seigneurie indépendante  "La Terre de Gorze".
  Elle anime au 10ème et 11ème siècles un mouvement de réforme monastique.  L'édification du palais abbatial par Philippe Eberhardt de Loewenstein débute en 1696.
palais abbatial
 
 On peut y admirer une chapelle baroque, deux élégants escaliers ornés de bas reliefs inspirés
 par l'histoire de Médée, un théâtre d'eau aujourd'hui asséché dont les huit niches abritent des statues de nymphes et de fleuves sculptés dans la pierre de Jaumont.

 La présentation muséographique de la Maison de l'Histoire de la "Terre de Gorze" retrace le passé
 prestigieux de la cité.
 Le village possède également d'intéressantes demeures anciennes (Renaissance, 17, 18, 19ème siècles)

 La maison des associations, autrefois hôtel de ville présente une façade de style néo-classique. http://bienvenueagorze.free.fr/index2.htm] Nous
Empruntons un petit bout de la D6b jusqu'à la sortie du village et regrimpons à nouveau entre bois et champ. Je me suis cru malin en croyant couper et ainsi éviter une grimpette. Je longe la pièce de terre de ‘’Hule-loup’’. Je n’ai pas vue (la fatigue étant là) que ce chemin débouchait sur la route 

et que de toute façon il fallait grimper. Je ne suis pas sûr que ce soit plus court que le balisage passant par la forêt de Nerbobois. Peut être un peut plus facile la grimpette par la route mais c’est long. La bonne coupure c’est à la "cote 323" en prenant le chemin de gauche nous évitant la croix St. Clément. le GR serpente le long de la route… Ce raccourcie je l’ai loupé. J’en ai plein les bottes je trouve que cela commence à faire

beaucoup. Je ne sais pas le nombre de kilomètres que j’ai fait, le bouton de sélection des plages de mon GPS à des signes de faiblesse et je ne l’utilise le moins possible. Nous pénétrons dans l'épaisse foret de Gorgimont. Le sentier descend après être passé au Belvédère dit « La Roche du Varieux » ou nous avons une belle vue sur les collines avoisinantes. Pas loin nous passons devant la "pierre qui tourne". Je commence à apercevoir la ville et les toits des zones industrielles des alentours
Belvédère dit « La Roche du Varieux ».
 de Metz. Nous passons devant l’aqueduc construit par les romains ils ont bien restaurés ce qui restait. Ce que je ne comprends pas c'est que l'explication est bien en amont. Ma trace est tellement bien faite que je quitte le GR trop tôt, traverse la Moselle  et change de GR nous sommes sur le 5F. Logiquement je devrais longer le canal, mais au dernier moment je change d’avis et préfère assurer
par la D 657 (le lendemain je m’apercevrais que j’ai eu raison.) La route est longue, très longue, je ne sent plus mes pieds. J’ai un peu de mal à trouver l’hôtel je ne sais pas ou j’ai trouvé l’adresse. Sur ma fiche récapitulative ce n’est pas le bon non de l’hôtel, cette enseigne a disparue depuis dix ans. Par contre sur la fiche de réservation c’est le bon nom.
       


 

Dans l'épaisse forêt de Gorgimont, on raconte que le 31 décembre, quand la lune est ronde… La pierre se mettrait à tourner.
Nous passons devant l'aqueduc dont l'explication se trouve à Gorze









Captant les eaux de la source des Bouillons à Gorze, l'aqueduc romain qui reliait Metz, était un ouvrage d'environ 22 km de long. A Ars-sur-Moselle, les eaux étaient recueillies dans un bassin avant de traverser la Moselle par un pont-aqueduc long de 1,125 m, et composé d'une centaine d'arches à l'origine. Il reste aujourd'hui 7 arches du côté d'Ars-sur-Moselle et 16 du côté de Jouy-aux-Arches. Pour découvrir l'histoire de cet ouvrage unique, 7 panneaux explicatifs jalonnent les vestiges du site. http://www.tourisme-metz.com/fr/sites-et-monuments/aqueduc-romain_-s.html
La situation de Divodurum (Metz), capitale des Médiomatriques, au croisement des axes sud-nord et est-ouest, c’est-à-dire sur les voies romaines allant de Lyon à Trèves et de Reims à Strasbourg. La ville, qui comptait environ 20 000 habitants au IIe siècle, nécessitait un approvisionnement en eau de source pour alimenter les fontaines, les trois thermes romains, les latrines publiques et les artisans. Les points de distribution ne sont pas connus avec exactitude, car il n’en reste aucune trace. Les thermes du Carmel semblent être un endroit privilégié, mais Divodurum disposait d’autres aqueducs.
Il comporte 12,7 km de souterrain, un pont à arcades (niveau 197 à 193 m) de 1,125 km entre Ars-sur-Moselle et Jouy-aux-Arches, puis 8 km de souterrain.
Une partie du souterrain est visible entre Gorze et Novéant-sur-Moselle. Il ne reste de la partie aérienne de l’aqueduc, qui comptait plus d’une centaine de piles, que deux bassins et une vingtaine d’arches :
 Rive gauche, à Ars-sur-Moselle, se trouvent un bassin ainsi que 2 arcs, puis 5 arcs et enfin une pile isolée.
Rive droite, à Jouy-aux-Arches, restent 16 arcs contigus, ainsi que le bassin collecteur. Wikipédia.]  Je trouve enfin mais je ne suis pas inscrit, et pourtant j’ai le papier de réservation… Cet hôtel étant un peu vieillot c'est un mixe entre les formules 1, trop vieux, et rachetépar l'état pour loger les sans abris et d'autres hôtels plus ou moins similaires mais ayant les commodités dans la chambre. Ici les toilettes sont dans la chambre mais, les douches sont communes et nettoyées automatiquement après utilisation. Il est de plus en plus rare d’avoir les douches communes.Chouette il y a un radiateur électrique "j’vais" pouvoir faire sécher mes chaussures. Zut il ne fonctionne pas. Reste à poser la chaussure sur les lampes de chevet d’un style ancien avec un abat jour en tôle. Ça ne chauffe pas beaucoup…. Mes pieds n’en peuvent plus.  Le dessous est blanc et mes deux petits doigts me fond mal.  Par contre l’autre douleur entre le doigt de pied et le mollet à disparue comme par enchantement.


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