lundi 2 octobre 2017

Randonnée Le Plus Loin Possible Randonnée : GR 7 - Etape 1034 - Soubès - Dio

 Soubès - Dio

29 juin 2017
 

 Le code mobile de cette randonnée est b310772

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km    Temps    arret    V/d    V/g    dénivelé
32,5   7:10       0:50    4,6     4,1      927 +

Pour cette semaine ce devait être ma plus grosse journée. 29 km et 900 m de dénivelé positif. Va falloir que je vérifie pourquoi j'ai fais trois kilomètres de plus, il ne me semble pas m'être énormément trompé, du moins j'ai toujours rattrapé, sauf à la fin ou au lieu de suivre le balisage passant au pied de la montagne, j'ai pris la route. Et elle ma parue longue cette route elle contourne toutes les petites vallées venant mourir au pied des escarpements.
Cinq heures trente, le réveil sonne, je tiens à partir de bonne heure, marché lentement pour ne pas me faire un claquage. Pas de douche ce matin, pas le courage d'affronter l'eau froide. Une petite toilette suffira. Sept heures moins dix, c'est le départ. Ma trace me fait prendre, le même chemin qu'hier, et
cela m'inquiète. Aurais-je copié deux fois la même trace ? Vérification, je sorts mes cartes papiers, et mes lunettes, vérifie la trace et m'aperçois qu'en effet hier j'avais quitté le Gr 7 pour le 71, je ne me souvenais plus que Soubès n'était pas sur mon chemin. Si j'avais imaginé ce que j'allais trouver dans ce village, j'aurais certainement poussé jusqu'à Lodève. Je refais donc dans l'autre sens le chemin mal entretenu d'hier. Hier soir vers cinq heures, nous avons eu un terrible orage, je crois qu'il a plu encore plus dru que la veille a Saint Maurice. Le ciel c'est couvert d'un seul coup, un vent violent c'est levé. Les chaises en plastic quittaient leur emplacement et marchaient toutes seuls sur la place entre les voitures en stationnement. Les ''locaux'' on vites compris, les rues ce sont vidées, le café à eu juste le temps de remballer sa terrasse, et des sauts sont tombés. Une pluie serrée, dru, un vent de tornade. Trente minutes après c'était fini. J'ai appris plus tard qu'un peut plus au sud, cet orage avait provoqué des dégâts importants.
Le petit chemin d'hier est trempé. je fais bien attention de ne pas glisser en traversant les parties effondrées. Ça y est, j'ai les pieds trempés, ils font floc-floc, le maillot et le short sont également mouillé par les arbustes ployant sous le poids de l'eau resté sur leur feuilles. Je sorts l'imper pour me protéger des arbustes gorgées d'eau. Je ne le quitterais qu'à midi. J'arrive à mon intersection. Mon chemin d'hier est à gauche, je vérifie à plusieurs
reprises que je prends bien l'embranchement pour retrouver le Gr 7. Nous traversons le charment village de Fozière avec son château et ses petites rues. Je me détourne de la trace pour photographier le château. Le village étant sur une butte, je retrouve la trace au pied de celle-ci. Après une monté, je me laisse embarqué par un large chemin qui m'allait bien, à ma décharge j'étais au téléphone, et les balises ne sont pas toujours bien placées. Ce matin j'ai repris un dolipane, je n'ai plus mal aux cuisses, mais la douleur est descendue derrière les mollets. 
Heureusement que le chemin n'est pas technique. Je fais du quatre à l'heure. Le paysage me va bien  c'est plutôt de la plaine légèrement vallonnée. Ou vais-je trouver les neuf cent mètres de dénivelé que je dois faire ? Disons que pour l'instant le GR ne grimpe pas trop, c'est une succession de monté et descente, mais l'horizon est barré par une succession de dômes et de crêtes... j'arrive dans le village de Soumont ou on y trouve une fontaine d'eau potable, c'est rare dans un village. Une table d'orientation, ou l'on m'indique Carcassonne, (l'une de mes prochaines étapes voir même une après midi de pose pour visiter la ville.) La direction indiquée m'étonne, je pensais qu'il y avait la mer, de ce coté, il est vrai que par ici c'est le golf du Lion et la mer pénètre un peu sur la terre, donc l'un n’empêche pas l'autre. Dommage qu'il ne fasse pas beau car on devrait voir jusque dans les Pyrénnées. Je suis étonné et déçus, on me présente Sète face à moi, je pensais l'avoir laissé depuis longtemps sur la gauche. Je pensais même avoir dépassé Bézier.  Plus tard je me rendrais compte que je m'arrêterais un peu avant l'axe de cette ville. On évite le village. Le chemin forme un grand esse pour rejoindre Lodève, d'après la carte il n'y a pas d'autres chemins.
 Impossible de couper par les buttes, je ne vois rien, aucuns chemins.
J'arrive à Lodève, un bourg que je pensais beaucoup plus important, il est en creux de vallée ou coule la Lergue, il s'étend dans toute les petites vallées formant des bras tentaculaires venant se raccorder à la grande. Il est coincé entre des monts s'élevant à un peut plus de 200m d'altitude. Nous descendons par un beau chemin, ce qui permet de découvrir la physionomie du vieux village. J'ai repéré la pharmacie du centre commerciale mais le chemin m'en éloigne, il faut que j'en trouve une autre, je souhaiterais racheter du doliprane et un truc contre les contractures. Dans ma pharmacie je n'avais que quatre comprimés, il ne m'en reste qu'un et je voudrais bien en prendre à midi et ce soir. Nous arrivons directement dans la partie ancienne de Lodève, je fais bien attention à ma trace, je ne comprend pas bien le balisage du 653 partant sur la gauche. Sur ma carte nous sommes commun pour encore un bout. Nous traversons le pont sur la rivière et entrons vraiment dans le cœur de ville. Recherchant ma pharmacie je n'ai même pas envie de faire la photo du barrage et des maisons en bordure de l'eau. C'est pourtant jolie. Je quitte la trace pour me rendre à la pharmacie. Je recherche le Gr par les vielles rues de la ville, passe devant l'église – Cloître [ La ville est située dans une vallée attrayante, formé à l'endroit de rencontre des deux rivières - la Lergue (affluent du fleuve Hérault) et la Soulondre, était un point d'arrêt sur les chemins de pèlerinage qui traverse le sud de la France en route pour Saint Jacques de Compostelle. Depuis 1987, elle est officiellement l'une des villes-étapes par la route d’Arles. Ce territoire, frontière sud du Massif central, au pied du causse du Larzac. Cela ma beaucoup étonné que ce soit la frontière sud du Massif Central mais Aurillac et St. Flour ne sont qu'a 150 km de là.
Lodève était la capitale d’une tribu Volque (les Lutevani), puis 
devint la cité romaine Luteva (connue encore sous le nom de Forum Neronis). L'oppidum de Luteva constitue un des centres de peuplement de la Celtique méditerranéenne. La cité est élevée au rang de colonie latine.
Comme tous les chef lieux des cités gauloises, elle devient le siège d'un diocèse avec des évêques qui se succèdent depuis Saint Flour au IIIe siècle jusqu'à la Révolution. Sa cathédrale est devenue l'église paroissiale et son palais épiscopal est devenu la mairie.
En 1573, Lodève fut mis à feu et à sang par Claude de Narbonne-
Arc en ciel sur Lodève
Caylus, baron de Faugères et de Lunas, capitaine huguenot, beau-frère de Gabriel de Gep de Ginestet.
Cette cité épiscopale fut un centre textile très actif sous Louis XV. En 1726, le cardinal de Fleury lui accorda le monopole de la fourniture en draps pour les troupes royales d'infanterie.

Lors de la Seconde Guerre mondiale, Lodève accueille des évacués, du Grand-Duché de Luxembourg, ainsi que des expulsés originaires d'Alsace-Lorraine.
Dans le contexte de la fin de la guerre d'Algérie, la commune a abrité un hameau de forestage à partir de 1962, à destination de 
familles de harkis. Un atelier de tissage, devenu atelier de la Savonnerie et rattaché au Mobilier national de Lodève depuis les années 1960, a été créé pour aider les épouses des anciens harkis et utiliser leur savoir-faire.
Par ailleurs, de 1863 à 1981, la ville était située à l'aboutissement de la ligne ferroviaire Vias – Lodève. Sa gare a depuis été détruite et remplacée par un centre commercial.
L'ancienne cathédrale Saint-Fulcran de Lodève du XIIIe siècle possède une vaste nef et un puissant clocher gothiques. wikipédia]
                
  

Je retrouve le balisage, traverse le ruisseau devant être la Soulondre et patatrac, les balises n'empruntent plus le chemin de la carte... Encore une trace non à jour par l'IGN et cela doit faire longtemps. Vu la physionomie du terrain, la nouvelle trace ne peut qu'augmenter la distance. Je  regarde le GPS et une nouvelle fois je ne vois pas par ou ils peuvent passer. Je ne l'emprunte pas, grimpe les quelques marches de la rue interdite aux voitures (vu la pente et les marches finales) me voilà sur les traces de l'ancien balisage dont on devine par endroit quelques taches de peinture. Nous traversons un lotissement neuf situé sur les pentes de la montagne et ma trace me conduit dans une propriété privée. Nous sommes au niveau du 
Mont Belbezé. Portes grandes ouvertes, (doivent plus fermer depuis longtemps.) Des maisons à droite, une grande allée au milieu et les bois sur la gauche. J'hésite à entrée, vérifie sur ma carte papier et cela passe bien là. J'ai fais un sacré bout de chemin et cela m'ennuie de faire demi tour. Je m'aventure sur l'allée bitumée, pour une fois ma trace GPS est bien situé sur ce chemin, après un virage, un panneau, (dont la peinture est écaillée), nous informait que les randonneurs doivent rester sur le Gr, celui ci empruntant un chemin situé dans une propriété privé. Au virage suivant j'aperçois des maisons et une nouvelle pancarte comme quoi les chiens sont en libertés. Je regarde mon GPS je ne suis plus sur ma trace. Demi tour. J'entends une voiture descendre. Je suis grillé. Sur, je vais me faire virer.  La voiture s'arrête à ma hauteur. Un jeune me demande ce que je cherche. GPS et mes deux cannes à la main, mon sac sur le dos, il me croit volontiers lorsque je lui dis le Gr. Il me confirme qu'il ne passe plus là. Je fais l'étonné ( faut cul, il est impossible de ne pas louper le nouvelle itinéraire, le balisage à été refait ressemant, il suit la rivière, et il y a une belle croix rouge et blanche sur le parapet des marches grimpant dans le haut du village.) Maintenant que vous êtes là, prenez le sentier sur votre gauche. Je me retourne et aperçois une belle marque rouge et blanche tracé à l'ancienne, très large et un peu terni part le temps sur un pin. C'est ce que je cherchais. Grimper jusqu'au sommet, vous déboucherez sur un chemin et vous retrouverez le Gr. Ouf ! il ne m'oblige pas à rebrousser chemin.
Le sentier n'est pas facile. Il grimpe fort, c'est une profonde ravine d'écoulement des eaux de pluie,
avec par moment de grandes marches, des arbres en travers. il doit être utilisé par les propriétaires pour rejoindre la foret, il reste par moment un semblant de sentier. je débouche sur la large route. Pas de balisage neuf. GPS à la main je suis ma trace, m'inquiète à plusieurs reprises pensant que le nouveau sentier déboucherait d'une troué, d'un chemin, mais rien. Enfin je le retrouve. Maintenant je crois que je ne quitterais plus ce large chemin jusqu'au changement de vallée. On emprunte la D 157 un cour moment et reprenons un large chemin dans la foret qui grimpe doucement et serpente en de grands lacets, on se demande bien pourquoi. En s'élevant le paysage change, les bois s’éclaircissent puis disparaissent. La large route carrossable permet à des camions de ce rendre au pylône situé au sommet. Le paysage général change. Sur la gauche j'ai les terres rouge du lac de Salagou et au loin des montagnes (certainement les monts de l'Espérouse, mes étapes pour l'année prochaine.)
[Dans une vaste étendue d’eau au milieu de collines de roches rouges arides, le lac du Salagou offre une extraordinaire palette de couleurs, des combinaisons de plusieurs phénomènes géologiques : le rouge brique des "ruffes" (sédiments argileux chargés en oxyde de fer) concurrence le noir du basalte, d'origine volcanique, et se marie parfaitement avec les bleus du ciel et des flots.Ce lac artificiel a été créé entre 1964 et 1968 pour permettre l'irrigation des cultures environnantes. Il régule aussi les crues de la rivière Lergue et du fleuve Hérault.
Longueur : 7 Km 
Superficie : 750 ha 
Périmetre : 28 Km 
Altitude : 139 m 
Profondeur : 4 à 45 m
Contenance : 125 millions de m3 
 http://www.herault-tourisme.com/articles/lac-du-salagou-site-touristique-584-1.html]
Le chemin est bon, il grimpe, grimpe, grimpe, longtemps, longtemps, longtemps, doucement en serpentant pour ne pas fatiguer les chevaux vapeurs des véhicules chargés de matériel se rendant au pylône. Durant cette promenade j' ai remarqué au loin sur les sommets un nombre important d' éoliennes ou d'antennes. Le paysage est magnifique,sur la gauche ont découvre le lac, autour les terres rouge ''les ruffes'', au loin la plaine plus ou moins vallonnée, si l'atmosphère était plus clair on verrait certainement jusqu'à la mer qui n'est qu'a 50 km. 
       
Il est onze heures trente et j'ai faim, depuis un petit moment le soleil se montre par intermittence. Le sol n'est pas trop humide. Ok, une pose de midi comme ça en bordure du chemin entre deux clôtures séparent des prairies à moutons ce n'est pas terrible comme emplacement. ça me fait penser à ses gens partant en vacances et piqueniquant sur un parking en bordure de route, derrière la voiture, alors qu'il dispose de toute la nature autour d'eux. Je fais ma pose casse croute, au soleil, adossé au talus, avec face à moi le lac du Salagou, les terres rouge et une vue à 180°. A l’antenne je me croyais arrivée au sommet et pensais poursuivre une bonne partie du reste du chemin sur un plateau. Plateau en effet, ou l'on rencontre des prairies, mais cela monte toujours doucement, mais l'on grimpe. On a vraiment changé d'environnement, nous sommes dans une plaine vallonnée et face à nous les monts de l'Espinasse sur la droite les Cévènes et sur la gauche un peut en arrière le lac Salagou entouré de ses monts rouge et noir. Jusque là, protégé par la foret ou les vallées je n'avais pas remarqué le vent. Un vent qui ne me quittera plus jusqu'à Bédarieux. Sur ce plateau le GR 653 "Saint Jacques" nous quitte et je me demande bien pourquoi il tourne à droite et semble retourner dans les Grandes Causes. A moins qu'un Saint local n'est fait des miracles quelque par part là.
Je comprendrais encore moins leur itinéraire lorsque je verrais le lendemain des plots indiquant un parcours à Bézier. Je trouve que les GR ne sont pas assez touristique, mais pour le Chemin de Saint Jacques je le voyais un peut plus direct vers Carcasonne, et les Pyrénées, puis l'Espagne. Je me trompe peut être, mais le but c'est d'atteindre Santiago le plus rapidement possible, les détours se font pour atteindre des lieux connus au Moyen Age pour une guérisons, un miracle, ou une procession. Passons devant la chapelle Saint Amans. La poursuite du parcours ce fait dans une plaine légèrement vallonnée. Je vois mes villages au loin. Du moins, je le suppose. Nous contournons le Serre de la Bardine et descendons après un virage à droite 
dans le village de Valquières, on le domine avant de le traverser. Un gîte proche de la mairie, m'interpelle. Ma trace va jusqu'au village suivant, mais avec l'erreur de Saint Maurice, je doute de moi. Surtout que l'adresse donne le nom des deux  villages. Ne désirant pas faire demi tour si je me suis trompé, je préfère me renseigner tout de suite. Personne dans le village, mairie fermé, pas un chat dans la rue. Je vois une tête au loin. Un résident certainement Hollandais m'indique la route et me rassure c'est bien l'autre village. Du coup je perds mon balisage et prend la route. C'est long, mais c'est beau.  
      
Le Gr passe plus prêt de la montagne derrière on y trouve des éoliens. On les voit. On aperçoit leurs têtes ou le haut des pales, dépassant le faîte des rochers. Parfois on les entend. Dans ce paysage cela me gêne un peu. Ce n'est pas aussi esthétique qu'un ancien moulin à vent et je ne suis pas sur que cela nous produise autant d'électricité que cela, malgré ce que l'on veut bien nous prouver. En plus il y a le bruit. Je n'ai pas l'oreille facile. Mes Acouphènes me trouble certain son, mais ce vroum, vroum, vroum, trois pales trois vroums s'entendent par moment. Par la route cela ma semblé long, on contourne tout les vallons, tout les creux. Pas un pont, pas un chemin pour couper. On passe devant ce qui devait être des loges de berger construites aux pieds des murs maintenant les terres en petites terrasses. Aujourd'hui en bordure de route ses abris ne servent à rien, sauf peut être abrité le pauvre voyageur pris par les pluies diluviennes qui tombent en certaine saisons dans cette région.  Me voilà au pied du village. Ce n’est pas les gîtes qui manquent. Ils sont tous ouvert, nous sommes le 30 juin c’est le grand nettoyage et aération pour le premier juillet et les premiers vacanciers. Portes et fenêtres ouvertes, personne ne répond à mes appelles. Comme je suis au pied du château j’en profite pour prendre des photos. Je suis ma trace et arrive en haut du village. Une suite de Gîtes sont devant moi, il me semble tous fermés. Je frappe à deux portes. Personnes.
Je vais dans une maison pour me renseigner, les volets son mi clos, j’aperçois une ombre, derrière le volet, lui parle… La fenêtre ce ferme. Pas aimable dans le coin. J'étais prêt à tourner les talons lorsque la porte s’ouvre, une dame apparaît, je lui réitère ma question. Ha!! vous êtes la personne qu’elle attend ? Elle n’est pas là ! alors c’est qu’elle est allée chercher ses enfants à l’école. Je l’ai appelé au téléphone mais elle est sur répondeur, je voudrais simplement savoir si je suis au bon endroit… Oui, Oui c’est ici, je l’ai vu ce matin et elle ma dit que votre repas était prêt.
Le gîte dans l'ancienne Mairie, fait buvette. Des tables sont dehors, je prends patience, parfois au soleil, parfois à l’ombre suivent la force du vent. L’hôtesse m’appelle, en effet elle est à l’école, d’habitude les randonneurs arrivent autour de 17-18h00.
Magnifique ce gîte buvette, ancienne Mairie avec la salle du petit restaurant comportant une baie vitrée donnant sur le château. Les dortoirs sont à quatre lits, c’est propre, c’est clair, cela change de celui de Soubès. L’hôtesse est merveilleuses, accueillante, sont 
repas délicieux. Elle à expérimenté une nouvelle recette et souhaite avoir mon avis. Si cela me plait elle la réalisera dimanche lors de la grande fête du village. Je ne me lasse pas de la vue sur le château....
Je dors à merveille, après tout de même avoir pris un doliprane et mettre massé avec du décontractile acheté à la pharmacie à Lodève. Attention si vous ne prenez pas le repas, faut faire les courses à Lodève.


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