Randonnée Le Plus Loin Possible :
La Madeleine
- Colognac
mardi 30 mai
Le code mobile de cette randonnée est b310740
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km Temps arret V/d V/g dénivelé
23,7 5:05 40mn 4,7 4,1 678+
J'ai bien du mal à me lever. La chambre était spacieuse et malgré la route
proche, fenêtre fermé on entend rien. Il y a la clim dans la chambre. Le début
de la rando se passe bien, après la route et un chemin conduisant au vieux
château que malheureusement nous ne verrons pas, je retrouve le GR provenant
d'un fond de vallée. Hier heureusement que je ne l'ai pas pris j'aurais
approché ou dépassé les quarante kilomètres. Vers Veyrac nouvelle modification
pour se rendre à Anduze on ne passe plus par les bords du Gardon mais par
les
villages. Une pancarte nous indique Anduze à quatre kilomètres. Hier, j'ai bien trop
galéré en suivant ma trace, aujourd'hui je suis la nouvelle trace je suis en forme et elle va à Anduze je me dis que le chemin ne peut pas être pire qu'hier en bordure du gardon. je prends donc le nouveau balisage par les bois.
Au moment de bifurquer sur Anduze, je me rends compte que la trace partant sur Colognac n'est
pas loin. En effet dans cette ville on faisait un crochet pour revenir sur nos
pas par l'autre versant de cette petite vallée. Le passage dans ce gros bourg se justifiait avec l'autre tracé. Sauf pour
visite, courses, ou halte d'un soir. Le détour ne se justifie plus et l'on peu
couper facilement. On gagne bien cinq kilomètres. Le reste du parcours se déroule sur de large chemin, avec malgré tout beaucoup de bitume, sur des routes desservant des
hameaux ou de
simples maisons éparses dans la montagne. Nous traversons Saint Félix de Palières, Massane et Corniès, nous ne retrouverons le chemin de terre qu'après le pont Ribout, pas pour longtemps, le bitume pour longer la D 122 que nous suivons jusqu'au carrefour avec la D185. Un chemin de terre nous fait déboucher à Pailhès ou j'ai du louper la bifurc du GR ou ce dernier à été modifié. Nous déboucherons de nouveau sur la D 185 nous conduisant au col de Rédarès. Je suis un peu déçus, je
pensais avoir un meilleur point de vu. Nous empruntons l'ancienne route jusqu'à Colognac.
Pas mal de changement dans l'itinéraire, ou alors la carte GPS n'est pas raccord avec le terrain. La fin m'a paru long, surtout que je pensais avoir une vue d'un coté ou de l'autre, alors que je me trouvais sur des routes bordées de foret. Le balisage heureusement est bien fait. Je n'ai sortie ma trace que pour vérifier que j'étais bien dans la bonne direction. Nous trouvons un panneau d'information a
l'arrivée nous précisant qu'Anduze est à cinq heures trente, donc je suis dans les temps. Ma prochaine étape fait 8h encore une grosse journée. Il me semble que c'est demain que je passe l'Aigouale. Après avoir regardé mes cartes, ce ne sera pas demain mais jeudi. Je n'ai pas manger, il est de bonne heure, autour de quatorze heures. Les gîtes se trouve au café. Enfin il faut s'adresser au café. Lorsque j'y passe trois personnes sont sur la terrasse de ce petit village. Deux clients et le patron. Pas l'air d'un
patron le gars... plutôt d'un berger. Trop fatigué pour réfléchir plus longtemps, je passe mon chemin pour chercher ou manger avec une vue sur la vallée. Je suis le GR, traverse le village, trouve un endroit à l'ombre mais sans aucune vue, pour entamer mes réserves de nourriture. je fais la sieste, jusqu'à ce que de grosses fourmis me mordent. Lorsque je reviens le café est fermer. Maintenant faut attendre 16 heures. Je me promène dans le village à la recherche d'un endroit plus clément que tout à l'heure. Un habitant me voyant erré dans les petites rues du village m'indique la direction du GR. Lorsqu'il sait que j'attends l'ouverture du café, pour mon gîte, il m'indique un endroit en forêt au pied d'une petite cascade. C'est le dernier village
avant le Vigan (vendredi).
Lorsque l'on regarde la carte, le village à plusieurs quartiers, ce qui est étonnant pour un si petit village. Le maire qui est également la personne tenant le café et les gîtes a fait édité une carte avec la petite histoire du lieu. On y apprend que le café se trouve sur l'emplacement du temple démoli en 1683 sur ordre du Roi pour punir la commune d'avoir accueilli un rassemblement de protestant interdit. Qu'en 1684 avec les pierres du temple démoli on
construisit une église pour remplacer celle tombé en ruine. Temple de la raison en 17 93, il est ensuite dévolu au culte protestant. Aujourd'hui il est devenu un édifice à vocation culturelle. j'ai bien aimé la rue Bombecul désignant une rue pentue en occitan ou il était facile de tomber sur le cul et il est facile de tomber dans ses petites rues cimenté. Il y aurait encore bien des petites choses à chercher mais j'ai le contre coup d'hier. Je préfère
rester à la terrasse du café à écouter les conversations. Dans un coin un couple de randonneurs son affalé. Lui semble épuisé. Le soir au repas j'apprends qu'ils viennent d'Anduze que le monsieur à très mal à un mollet. Demain ils devraient faire la même route que moi, mais ils cherche une solution de replie, et la "patronne" n'est pas très optimiste. Demain, il n'y a plus de routes du moins beaucoup moins qu'aujourd'hui et les chemins sont annoncé caillouteux.
Château de Tornac |
simples maisons éparses dans la montagne. Nous traversons Saint Félix de Palières, Massane et Corniès, nous ne retrouverons le chemin de terre qu'après le pont Ribout, pas pour longtemps, le bitume pour longer la D 122 que nous suivons jusqu'au carrefour avec la D185. Un chemin de terre nous fait déboucher à Pailhès ou j'ai du louper la bifurc du GR ou ce dernier à été modifié. Nous déboucherons de nouveau sur la D 185 nous conduisant au col de Rédarès. Je suis un peu déçus, je
pensais avoir un meilleur point de vu. Nous empruntons l'ancienne route jusqu'à Colognac.
Pas mal de changement dans l'itinéraire, ou alors la carte GPS n'est pas raccord avec le terrain. La fin m'a paru long, surtout que je pensais avoir une vue d'un coté ou de l'autre, alors que je me trouvais sur des routes bordées de foret. Le balisage heureusement est bien fait. Je n'ai sortie ma trace que pour vérifier que j'étais bien dans la bonne direction. Nous trouvons un panneau d'information a
l'arrivée nous précisant qu'Anduze est à cinq heures trente, donc je suis dans les temps. Ma prochaine étape fait 8h encore une grosse journée. Il me semble que c'est demain que je passe l'Aigouale. Après avoir regardé mes cartes, ce ne sera pas demain mais jeudi. Je n'ai pas manger, il est de bonne heure, autour de quatorze heures. Les gîtes se trouve au café. Enfin il faut s'adresser au café. Lorsque j'y passe trois personnes sont sur la terrasse de ce petit village. Deux clients et le patron. Pas l'air d'un
patron le gars... plutôt d'un berger. Trop fatigué pour réfléchir plus longtemps, je passe mon chemin pour chercher ou manger avec une vue sur la vallée. Je suis le GR, traverse le village, trouve un endroit à l'ombre mais sans aucune vue, pour entamer mes réserves de nourriture. je fais la sieste, jusqu'à ce que de grosses fourmis me mordent. Lorsque je reviens le café est fermer. Maintenant faut attendre 16 heures. Je me promène dans le village à la recherche d'un endroit plus clément que tout à l'heure. Un habitant me voyant erré dans les petites rues du village m'indique la direction du GR. Lorsqu'il sait que j'attends l'ouverture du café, pour mon gîte, il m'indique un endroit en forêt au pied d'une petite cascade. C'est le dernier village
avant le Vigan (vendredi).
Lorsque l'on regarde la carte, le village à plusieurs quartiers, ce qui est étonnant pour un si petit village. Le maire qui est également la personne tenant le café et les gîtes a fait édité une carte avec la petite histoire du lieu. On y apprend que le café se trouve sur l'emplacement du temple démoli en 1683 sur ordre du Roi pour punir la commune d'avoir accueilli un rassemblement de protestant interdit. Qu'en 1684 avec les pierres du temple démoli on
construisit une église pour remplacer celle tombé en ruine. Temple de la raison en 17 93, il est ensuite dévolu au culte protestant. Aujourd'hui il est devenu un édifice à vocation culturelle. j'ai bien aimé la rue Bombecul désignant une rue pentue en occitan ou il était facile de tomber sur le cul et il est facile de tomber dans ses petites rues cimenté. Il y aurait encore bien des petites choses à chercher mais j'ai le contre coup d'hier. Je préfère
rester à la terrasse du café à écouter les conversations. Dans un coin un couple de randonneurs son affalé. Lui semble épuisé. Le soir au repas j'apprends qu'ils viennent d'Anduze que le monsieur à très mal à un mollet. Demain ils devraient faire la même route que moi, mais ils cherche une solution de replie, et la "patronne" n'est pas très optimiste. Demain, il n'y a plus de routes du moins beaucoup moins qu'aujourd'hui et les chemins sont annoncé caillouteux.
Entre le bitume de beaux chemins d'on certain possédant une rigole canalisant l'eau jusqu'à un bassin
Colognac
Coin sympa pour attendre l'ouverture du gîte |
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