Esmans
La présence d'une source au cœur du village, alimentant un ru qui le
traverse de part en part pour se jeter dans l'Yonne, a attiré les hommes dès
les premiers âges. Un aqueduc souterrain témoigne de l’existence du site dés la
période gallo-romaine. Certains historiens font remonter la présence des
premiers habitats à l'époque celte et peut être avant ...
Le nom d'Esmans serait dérivé de « AMAN » ou « AC MAN » (la
rivière). Il est cité lors de la translation du corps de Saint Germain, évêque
de Paris, en l'église de Saint- Germain-des-Prés. En 800, le territoire
d'Esmans comptait, outre sa forêt, des cultures diverses de 1 407 hectares,
divisées en petites exploitations. Une forteresse a été construite vers le
milieu du XIIIe siècle le long du ru, à un endroit qui devait être marécageux.
Ce type
d'implantation était, en effet, habituel à l'époque pour améliorer la défense du lieu. Elle abrita les premiers seigneurs d'Esmans et cela jusqu’en 1789 et reçut rois et reines de passage (parmi ceux–ci, Guillaume Briçonnet, acteur de la réforme (XVIe) et qui est inhumé en l'église d'Esmans), ainsi que les abbés de St Germain en résidence dont l'un d'eux, Irminon, abbé de 811 à 819, figure parmi les 9 témoins qui signent le testament de Charlemagne. Saint Louis vint à Esmans le 26 août 1255. La forteresse ainsi que l’église sont aujourd'hui inscrites à l'inventaire des bâtiments de France. http://esmans.fr/Dec_Esmans/historique.php
d'implantation était, en effet, habituel à l'époque pour améliorer la défense du lieu. Elle abrita les premiers seigneurs d'Esmans et cela jusqu’en 1789 et reçut rois et reines de passage (parmi ceux–ci, Guillaume Briçonnet, acteur de la réforme (XVIe) et qui est inhumé en l'église d'Esmans), ainsi que les abbés de St Germain en résidence dont l'un d'eux, Irminon, abbé de 811 à 819, figure parmi les 9 témoins qui signent le testament de Charlemagne. Saint Louis vint à Esmans le 26 août 1255. La forteresse ainsi que l’église sont aujourd'hui inscrites à l'inventaire des bâtiments de France. http://esmans.fr/Dec_Esmans/historique.php
Pour si rendre : De Fontainebleau, à la pyramide poursuivre la D 606
direction (Auxerre par Sens), Sens, Montereau – Moret, Avon. Poursuivre la 606
jusqu'à Montereau. Passer le carrefour du Petit Fossard (feu tricolore)
poursuivre direction Sens sur quelques centaines de mètres et prendre sur la
droite à l’entrée du Grand Fossard la D 28. Nous entrons dans Esmans par la rue
de Montereau (D 28). Nous débouchons à l’angle de la rue Grand et de la rue
Brette. Nous trouvons à gauche un parking place de l’église, et un autre
beaucoup plus grand sur la droite rue Brette (C2) à la sortie du village parking,
du stade et de la salle des fêtes.
Carte IGN Trace GPS & Topo sans Commentaires Trace Randogps
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mars 2017
Esmans - Noisy Rudignon - Montmachoux - La Brosse Monceau
Km Temps
Arret V/d V/g
Dénivelé
29 6h13 0h20 5,5 5,2 305 +
Mars 2017
J’ai choisi le parking de l’église.
photos prisent le soir |
Cette première église qui avait été « bien
construite », ornée avec
soin, etc. ... » eut sans doute beaucoup à souffrir lorsque, de 885 à 888, les Normands poursuivirent leurs ravages jusqu'à Sens ; l’action du temps en acheva probablement la destruction. Toujours est-il qu’au XIIIe siècle, une nouvelle église, celle qui subsiste encore aujourd’hui, fut construite par les soins des abbés de Saint Germain. Elle se compose d’une seule nef. Le chœur, à chevet polygonal, est très élégant ; ses arcs en ogive retombent sur des colonnettes libres. Une piscine à trois compartiments avec cuvette carrée qui a été remplie. Cette piscine, ménagée dans l’épaisseur du mur, est surmontée d’une archivolte trilobée du plus joli effet, supportée par deux petites colonnes polygonales avec chapiteaux (La piscine, c’est le lavabo des moines ou des prêtres) L’église possédait deux cloches, mais l’une d’elles, lors de la Révolution, fut transformée en gros sous. Celle qui nous reste est la plus forte : elle mesure 1,10 m de diamètre. http://esmans.fr/Dec_Esmans/eglise.php]
soin, etc. ... » eut sans doute beaucoup à souffrir lorsque, de 885 à 888, les Normands poursuivirent leurs ravages jusqu'à Sens ; l’action du temps en acheva probablement la destruction. Toujours est-il qu’au XIIIe siècle, une nouvelle église, celle qui subsiste encore aujourd’hui, fut construite par les soins des abbés de Saint Germain. Elle se compose d’une seule nef. Le chœur, à chevet polygonal, est très élégant ; ses arcs en ogive retombent sur des colonnettes libres. Une piscine à trois compartiments avec cuvette carrée qui a été remplie. Cette piscine, ménagée dans l’épaisseur du mur, est surmontée d’une archivolte trilobée du plus joli effet, supportée par deux petites colonnes polygonales avec chapiteaux (La piscine, c’est le lavabo des moines ou des prêtres) L’église possédait deux cloches, mais l’une d’elles, lors de la Révolution, fut transformée en gros sous. Celle qui nous reste est la plus forte : elle mesure 1,10 m de diamètre. http://esmans.fr/Dec_Esmans/eglise.php]
photos prise le matin |
d'enceinte avec ses deux tours de défense,[Le manoir du VIIIe siècle ou plutôt le prieuré qui sert d'habitation seigneuriale ne permet pas aux abbés de se défendre contre les ravages du Moyen Âge. Les invasions normandes rendent encore plus nécessaire la création d'un fief militaire. C'est donc vers le XIIIe siècle que ce château est bâti, massive forteresse féodale à la forme d'un vaste parallélogramme flanqué d'une grosse tour en saillie aux quatre angles. Deux tours défendent l'unique et étroite entrée, précédée d'un pont jeté sur le fossé rempli d'eau. Les ouvertures où passent les chaînes servant au pont-levis sont encore visibles tout comme les rainures où glisse verticalement la herse de fer. Le pont-levis est remplacé par un pont de pierre à deux arches. Le château voit le passage de plusieurs rois de France. Saint Louis y séjourne à plusieurs reprises. http://fr.topic-topos.com/ancien-chateau-ferme-esmans] Prenons la rue d’accès à la ferme sur la gauche, puis à droite la rue de Montereau sur quelques mètres. Passons l’école et nous
trouvons un sentier desservant le lotissement de la porte des ormes, nous débouchons rue des Acaccias que nous prenons à gauche, nous arrivons rue Brette que nous prenons à droite. Passons le stade et la salle des fêtes. Poursuivons cette route, peut large et roulante, jusqu’au tertre blanc sorte de Hameau et de zone artisanale. Traversons la D 219. Prenons en face le chemin de terre, il débouche sur un chemin formant Té face à un pylône électrique, nous prenons à droite, laissons les chemins à droite et à gauche et au carrefour suivant prenons à gauche. Nous débouchons sur la D 120 que nous prenons à droite. Prenons sur la gauche le premier chemin, nous rencontrons le GR 11. Nous sommes sur le chemin des chariots (devait être important ce chemin pour la communication pour qu'il porte ce nom.) Coupons la D 120E1, traversons un bois et à la sortie nous trouvons l’aqueduc de la Vanne en sous terrain et un nouveau GR formant Té avec le notre c’est le GR 11E prenons ce dernier (à gauche) c’est également le balisage jaune d’une rando locale ainsi que le balisage jaune & bleu de Saint Jacques de Compostelle se rendant dans le Morvan en passant à Vézelay. Attention dans une monté l’ensemble des balisages tournent à gauche dans un chemin. Ne pas continuer l’aqueduc tout droit. Nous entrons dans Noisy Rudignon [Église romane du XIIe siècle placée sous le vocable de Sainte-Barbe.] Lorsque je passe ici je trouve toujours aussi sympa cette église avec la maison du curé faisant partie intégrante de l’église. Rien n'a changé depuis 2013 http://randosacaudos.blogspot.fr/2014/06/boucle-empruntant-les-gr-13-132-213-et_4688.html
En 2013 |
par la rue de Moret. Laissons la première rue. Faisons le tour de l’église et prenons sur la droite la rue de la petite fontaine, bien regarder dans le fossé cette espèce de voûte à moitié enterré contenant de l’eau ce doit être la fontaine qui à donné le nom à la rue, à moins que se ne soit l'abreuvoir ayant donné son nom à l'autre rue. En haut prenons à droite la rue de l’abreuvoir et au carrefour à gauche la rue de Dormelle. Poursuivons notre GR. Il grimpe. Coupons l’aqueduc et à la croix de Saint Vincent prenons le sentier sur notre gauche franchissant
Fontaine -Abreuvoir ? |
gauche se dirigeant vers le hameau du "Tertre Doux" et prenons le chemin de droite parcelle 17. C’est toujours le GR 11 E. Nous arrivons au village de Montmachoux par le chemin de Flagy, [Histoire : La commune doit son nom à son origine latine : « Monte Michao » (Mont St Michel ou Mont Michel). Ses habitants sont nommés les Michaomontois ; donc rien à voir avec une culture du légume crucifère sur une colline.
Au moyen âge, Monte Michao était aux limites de l’Ile de France, de la Bourgogne, et de la Champagne. Récemment nous avons été baptisés « Bocage Gatinais ».
Sur le parcours des Croix |
Au 8ème siècle, Monte Michao comptait 41 habitants, c’était un hameau dépendant de la paroisse d’Esmans. Rien d’ « Historique » à Montmachoux : les gens heureux n’ont pas d’histoire, les villages non plus ! Village essentiellement agricole, avec autrefois quelques artisans.
A noter, jusque dans les années 1950, une dizaine de vignes. Il n'en reste actuellement que deux. http://montmachoux.fr/histoire ] (Dans ce village nous trouvons également un élevage d'Autruches) nous couperons à plusieurs reprises le sentier des croix (certaine en fer sont très ouvragé,notamment la croix Saint Constant datent du 3 mai 1017.) Nous entrons dans le village coupons la rue grande et poursuivons en face, par la rue de la petite vallée. Au centre du village prendre à droite la rue des Bourgets. Nous sommes à la fois sur le sentier des croix et le GR. nous débouchons rue du pilori et prenons en face le sentier intra muraux du puits.
Passons devant le magnifique puits et prenons la branche de gauche du sentier, nous débouchons dans une courette puis rue de la Bavette que nous prenons à droite puis à gauche la rue de Villeneuve. Nous arrivons à un carrefour en patte d’oie, prenons à gauche, puis le petit chemin sur la droite montant par des escaliers au cimetière et à l’église. Après avoir ouvert la porte de ce dernier remarquer que la dalle au sol est gravé. Faire le tour de l’église.
[Point culminant a 156m, sur le Chemin bien nommé « Des Beaux Regards », l'Eglise des 12ème et 14ème siècle domine le village sur un oppidum de 148m. Elle est inscrite à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques : le clocher date très probablement du 10ème siècle, il est dédié à Saint Martin. En 1177, le pape Alexandre III confirme à l’abbaye de Saint Germain des Prés ses droits de présenter le prêtre desservant pour les Eglises d’Esmans et de Montmachoux. Le seuil de l’Eglise est à 148m
De l'église une vue sur toute la plaine |
(Montereau est à 47m). S’agissait il d’une tour de guet ? D’une tête de pont des comtes de Champagne ? L’église domine la vallée du confluent, les environs sur plusieurs km, et par beau temps on peut voir Melun. http://montmachoux.fr/sites-monuments] Rejoindre le carrefour par le même chemin. Poursuivons la rue de Villeneuve (D 156) et lorsqu’elle tourne sur la gauche poursuivons tout droit par un chemin de terre, continuons le GR tout droit.
Rien n'a changé depuis 2013 |
Nous prenons le chemin de terre tout de suite après sur notre droite. Nous longeons un bois, et nous rencontrons sur la droite le GR 2. Traversons le hameau de Blanche, au centre du village nous prenons à droite la rue de blanche. A la sortie du village (ce qui est encore en 2017 la dernière maison) après un virage aigu sur la droite nous prenons un chemin de terre sur la gauche, toujours notre balisage rouge et blanc du GR 2 & 11E. Nous approchons de l’aqueduc de la vanne. [Grand aqueduc du bassin de la Seine,
amenant à Paris des eaux prises à 110 km en moyenne, au Sud-Est de la capitale, en Bourgogne, dans le département de l'Yonne (et, subsidiairement, en Seine-et-Marne) ; eaux qui arrivent à leur destination par quatre départements (Yonne, Seine-et-Marne, Seine-et-Oise et Seine) [Depuis 1964 : Yonne, Seine-et-Marne, Essonne, Val-de-Marne, Paris]. Abstraction faite des sources de Cochepies (Yonne) et de celles des environs de Nemours (Seine-et-Marne), notamment de la superbe
fontaine de Chaintreauville, l'aqueduc s'approvisionne à des niveaux très différents du sien. « Une moitié à peu près du débit, dit l'ingénieur Couche (Les Eaux de Paris), est fournie par trois sources hautes qui pénètrent directement dans l'aqueduc, et l'autre moitié par une douzaine de sources basses, dont il est nécessaire de relever les eaux par machines. Vous pouvez lire la suite dans http://randosacaudos.blogspot.fr/search?q=aqueduc+de+la+vanne Ainsi que dans Ouvrir les yeux N°6 station 2.]
l'escalier des parcoureur |
L'hiver, je fais mes balade d'une traite sans pose repas. Bien souvent le temps n'est pas favorable à une longue pose, il fait froid, il pleut, malgré les vêtements soit disant anti transpirant, je baigne dans une espèce d'humidité constante qui se refroidit très vite lors d'un arrêt. Souvent lorsque je marche je n'ai pas faim. Je préfère attendre d'être en voiture autour de 14 ou 15h00 et manger en voiture à l’abri du
vent et de la pluie. Mais en ce mois de mars 2017 c'est l'été, il fait au moins 25° et il n'y a pas de vent. Je m'arrête une heure sur les bords du talus fraichement coupé de l'aqueduc pour prendre le soleil et de la "vitamine D" naturellement. M'oui avec également un peu de cancer pour la peau. C'est si bon de pouvoir retirer quelques couches de vêtements. Qu'elle ne fut pas ma surprise de voir apparaitre des chevreuils.
Au loin nous apercevons le village de Chevinois (le chemin sur la droite n’existe plus.) Nous avons une belle vue sur le Montois. A l’entrée du village prendre sur la droite la rue de Chevinois. Au centre du village la rue fait fourche nous prenons la branche de gauche toujours la rue Chevinois. A la sortie du village à mi pente, nous prenons le chemin de gauche, passons devant le Skateparks. Nous alternons bois et champs et débouchons sur un chemin formant Té, nous prenons la branche de droite (chemin des châtaigniers) et sur quelques mètres le GR 2. Lorsque ce dernier tourne à gauche, nous poursuivons tout droit et suivons le mur du château de la Brosse Monceau.
[ Ce château fut construit à l’emplacement d’une ancienne demeure féodale Vers 1466 la famille De Poisieux acquiert le château. Le dernier seigneur de la famille le vend à la duchesse d'Étampes qui le cède en 1545 à Gallois de Bailleul. Sa veuve Jeanne de Sourches le revend à Étienne de Breuil, Maître des Requêtes, seigneur de la Genevraye. Celui-ci fait construire le château sur son emplacement actuel entre les anciens villages de la Brosse et de Montceaux.
bâtiment actuel, en pierres, briques et enduit, date du XVIIIe siècle. Il appartient à la famille de Pâris jusqu'au XIXe siècle, puis aux Oblats au XXe siècle. Selon la volonté de Claude Pierre-Brossolette, alors directeur du Crédit lyonnais, d'acquérir cette maison qui avait abrité son père, le résistant Pierre Brossolette, pendant la seconde guerre mondiale, le château est acquis par le Crédit lyonnais (devenu LCL suite au rachat par le Crédit agricole) qui en fait une maison familiale de vacances. Mais du fait de difficultés financières, le Comité Central d'Entreprise de LCL, qui avait la gestion de ce château, a décidé de s'en séparer en 2012.]
et poussons jusqu'à l’église [Notre-Dame construite à partir du XIIe siècle, elle ne possède alors que deux travées. Elle est consacrée par Thomas Becket, archevêque de Cantorbéry. Une troisième travée et le clocher sont ajoutés au XIIIe siècle. Le chœur est voûté au XVe siècle par les soins du seigneur de Montceaux, Aymard de Poisieux, dont les armoiries se trouvent dans la première travée. Le chemin de croix, du XIXe siècle, est dû au Comte Georges de Paris. L'église renferme une cloche de bronze datée de 1478 portant le nom de sa marraine Marguerite de Montorcier, dame de la Brosse-Montceaux, femme d'Aymar de Poisieu.]
Descendons la rue Grande remarquez les puits que nous avons sur notre parcours. Prenons sur la droite la rue du château, nous trouvons sur la gauche une ruelle (ruelle de la rue chaude, que nous prenons. Laissons un chemin sur la gauche et pratiquement au débouché dans la rue nous prenons la sente de gauche nous débouchons dans une autre allée que nous prenons à droite. Nous arrivons au rond point de la rue Grande prenons cette dernière à droite. Nous trouvons entre le N°22 & 24 le sentier de l’école que nous prenons à gauche, coupons le sentier de L’abdone. Nous débouchons sur un carrefour de sentier formant patte d’oie prenons à droite nous débouchons rue des marronniers que nous prenons à droite sur quelques mètres et nous trouvons un nouveau sentier que nous prenons à gauche (chemin du puits de la chèvre). Nous débouchons rue des sablons que nous prenons à droite et enfin la rue de la foret à gauche. Nous retrouvons le GR 2 que nous suivons un moment. A une patte d’oie le GR tourne à gauche nous l’abandonnons et prenons le chemin de droite et à la fourche suivante le chemin de gauche, nous longeons un bois. Le chemin tourne à angle aigu sur la droite. Laissons un chemin sur la droite et au carrefour suivant prenons à gauche, à la fourche suivante encore le chemin de droite, nous
débouchons sur un chemin formant fourche poursuivons tout droit vers l’aqueduc. Nous débouchons sur un chemin formant Té et nous prenons la branche de droite et ensuite le premier chemin sur la gauche. Nous débouchons sur la D 28 et retrouvons l’aqueduc que nous suivons jusqu’au premier chemin que nous prenons sur la droite. Nous approchons des faubourgs d’Esmans. Entre les clôtures nous trouvons sur la gauche une barrière et un chemin qui descend, encastré dans un ravin. Prenons le, longeons un long mur et nous
arrivons sur la D 28 (rue Grande) nous passons un premier lavoir semblant être à proximité du ru traversant le village pour se jeter dans l’Yonne. Prenons sur la droite la rue Passé et encore à droite la ruelle aux Clercs pour le second lavoir, revenons sur nos pas. Nous pouvons revenir rue grande par la rue de la mairie et de là le parking de l’église.
Ou allonger un peu en prenant la rue des Potelles. Je n’ai pas fait ce détour et peu être qu’il n’est pas permis de le faire étant donné que le dernier tronçons traverse la cours extérieure de la ferme château, la ferme étant clos par une porte. Mais nous passons tout de même entre les hangars. Puis à gauche la rue du moulin (attention, ne pas prendre cette rue à droite.) Prenons la première rue à gauche. Nous apercevons les deux tours du château.
Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ;
https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html
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