Laval en Brie - Foret de saint Germain - Saint Germain Laval
Après
avoir terminé ce que je croyais inépuisable les petites promenades en
Foret de Fontainebleau, des trois pignons, de la Commanderie et de
Nemours, je me trouve dépourvu de ses dernières. Je trouve qu'un
trajet en voiture doit être d'environ le tiers du trajet pédestre. Il me
semble déraisonnable de passer 3h00 aller - retour en voiture pour 2h00
de promenades. Je me suis donc intéressé à ce qu'il y avait sur la rive
droite de la Seine, avec des petites promenades sur Vaux le Vicomte -
Blandy les Tours - Le Chatelet - Samoreau - La foret de Villefermoy.
J'ai essayé de lier ses petites promenades aux promenades de la
journées, ayant en réserve quelques grandes promenades dans La Bassée et le Montois.
Mes randos m'ont amenées à compléter mes circuits autour de l'ancien chemin Thibault de Champagne (11 étapes en circuits fermées.http://randosacaudos.blogspot.fr/2013/01/grp-thibaut-de-champagne-etape-1.html) . Vous ne retrouverez plus la trace de ce chemin, il n'existe plus sur la carte IGN actuelle. Je l'ai retracé sur une carte IGN que vous trouverez sur mon Blog. Nous voilà parti pour des promenades de la journée en continuité dans le Montois. Région comprise dans les cantons de Provins, Bray, Donnemarie et Nangis.
Carte IGN Trace GPS & Topo sans Commentaires Trace Randogps
Le code mobile de cette randonnée est b310285
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
[La
Bassée correspond à un tronçon de la vallée de la Seine, située
dans une vaste plaine inondable en amont de Paris, qui s’étend entre la
confluence Aube-Seine en amont (Romilly-sur-Seine) et la confluence
Seine-Yonne en aval (Montereau-Fault-Yonne). Couvrant 30 000
hectares, la Bassée fait partie des 152 zones humides d’importance
nationale reconnues pour leur patrimoine naturel
exceptionnel. Ce territoire, connu pour ses richesses
écologiques et ses ressources naturelles, est au centre d’enjeux
politico-économiques et environnementaux. Wikipédia]
De Montereau, à l’Ouest, jusqu’à la lisière de la forêt de Sourdun, à la limite Est du département, le Montois domine en balcons et en terrasses toute la rive droite de la Seine. Ces rebords bien marqués des plateaux de la Brie du Châtelet et de la Brie de Provins ont un caractère rural affirmé. Les collines, les vallons des affluents de la Seine et les combes évasées construisent des paysages pittoresques aux reliefs sensibles, au sein desquels les villages, souvent remarquables par leur
architecture, ont jusqu’à présent été préservés.
La partie du Montois qui comprend les deux entités de la côte orientale du Montois et du
Montois de Donnemarie-Dontilly est fidèle à cette description d’ensemble. Séparées par la
vallée de la Voulzie, elles offrent toutes les deux à des échelles plus ou moins grandes, une
multitude de lieux typiques, références des paysages ruraux de Seine-et-Marne. Certaines
terrasses abritent aussi des champs immenses avec, çà et là, des fermes et des bosquets.
Quand elles sont traversées de grandes portions de routes rectilignes, leurs paysages
peuvent évoquer ceux des plateaux qui les surplombent.
Plus à l’ouest, au contact de l’urbanisation de la vallée de la Seine, le Montois ne présente
pas les mêmes qualités d’harmonie. Les infrastructures du TGV et de l’autoroute A 5, les
lignes à haute tension, la croissance des villes, l’exploitation de carrières en font un espace
en mutation. www.seine-et-marne.fr/content/download/78213/650609/.../29%20-%20Montois.pdf
des petites promenades sur la rive droite afin de rejoindre mes grandes promenades se dirigeant vers Provins et Bray sur Seine.
Entre Montois & Bassée ;
KM Temps Arrêt V/d V/g Dénivelé
30 6h10 0h32 5,4 4,9 257+
Pour ce rendre au Point de départ : D 605 route Melun - Montereau en passant par Le Chatelet. Au rond point menant à l'entrée de l'autoroute prendre la 210 direction de Montigny Lencoup - Donnemary Dontilly - Provins. Après l'accès à l'autoroute prendre la D 67 direction Forges Laval en Brie. Traverser Forges passer devant le château (Lycée Horticole) couper la D 113 Et vous rentrerez dans Gardeloup Pour vous rendre à Laval en Brie il faut traverser la moitié du village et prendre la rue de gauche (je n'ai pas vu de pancarte.)
1) Départ de Laval en Brie : Le seul petit parking que j'ai trouvé se situe après le lavoir. Nous remontons la rue Saint Laurent jusqu'à l'église. [L'église des XI et XIIème siècle, l'un des plus grands édifices de style roman du XIème. A l'interieure se trouve une colonne torse en bois sculpté appartenant à un ancien retable du XVIIIème ornée de grappes de raisin et de feuille de vigne (Sans doute en référence aux terres viticoles d'autrefois.) info sur place] Revenir au lavoir [du XIXème] Prendre
2) départ de Gardeloup : prendre la rue de la Fontaine Froide à la patte d'oie continuer par la rue de droite nous descendons la vallée Vauluisant passons des bâtiments puis un collège. Traversons la D 403 nous sommes à Saint Germain Laval, poursuivons par
la rue de Verdun au fond du vallon nous traversons au lieu dit Pontville, le ru de l'étang et passons devant un lavoir, qui mériterait peut être, d'être autre chose qu'un dépôt de sable. Remontons vers l'église [constitué par la réunion d’une série de hameaux éloignés les uns des autres, autour d’un centre bourg qui lui a donné son nom.
Pontville, Courbeton, Merlange à l’ouest. Gardeloup, Petit-Buisson, Les Thibaudes au nord. Tréchy à l’est et la Seine au sud délimitent le contour de son territoire, dont l’histoire se perd dans la nuit des temps.
L’histoire de Saint-Germain-Laval commence traditionnellement en 786, lorsque Charlemagne fait don à l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés d’un domaine rural, appelé Madriolas (Marolles) et d’un tronçon de Seine entre un village dénommé Alsiacius et le monastère de Saint-Maurice.
En
1126, la paroisse existe, autour de son église, dont la construction a
débuté aux environs de 1080. Cette église est flanquée d’un prieuré, qui
accueille une communauté de moines de l’ordre de Saint-Benoît. A partir
de cette date, le nom du village apparait fréquemment dans les textes
relatifs à l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés. Ce Madriolas, dont
l’emplacement vraisemblable se situait sur l’actuelle plaine de
Saint-Pierre, aurait été détruit entre 880 et 1100, soit au cours des
grandes invasions normandes, soit à la suite des guerres civiles qui
sévirent au Xème et au XIème siècle entre les seigneurs locaux. Les
habitants de Madriolas se seraient alors réfugiés, les uns de l’autre
côté de la Seine dans un lieu qui prit le nom du village détruit
(Marolles), les autres sur les hauteurs
appartenant à l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés qui adoptèrent plus tard le nom de Saint-Germain.
Le territoire de la commune appartient pendant toute la
période moyenâgeuse à deux seigneuries, celle de Tréchy-sur-Bezaude et
celle de Saint-Germain-Laval, qui auront deux histoires parallèles qui
ne se confondront qu’au moment de la Révolution de 1789.
Le village subit pendant cette période toutes les conséquences des épreuves que traverse le pays :
Le château appartiendra successivement aux familles de Lesparda et de Saint-Aulaire de 1791 à 1818, au Cardinal de La Fare, rédacteur du projet de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen, et à sa famille de 1818 à 1860, à la marquise de Guaïta, grande bienfaitrice de la commune, de 1860 à 1873, à la famille Davin de 1873 à 1899 et à la famille Haumont jusqu’à sa destruction en 1975. Un centre de formation des apprentis a été construit sur son domaine.
A la Révolution, le village compte à peine 268 habitants résidant en grande partie à Gardeloup, Petit-Buisson et Tréchy. http://www.saint-germain-laval.fr/vie-locale/histoire-de-saint-germain-laval-2.html] nous rencontrons le GR 11 et GRP Thibaud de Champagne. Nous débouchons à Tréchy
quittons le GRP pour prendre la D29 sur la gauche. Traversons le village et à la sortie prenons la rue des trois noyers (balisage vert.) de rue nous passons à chemin, nous sommes dans les champs. En contre bas la Bassée au loin les vallons de Bourgogne. Nous sommes toujours sur le balisage vert (Petite promenade dans les villages de la brie) Nous apercevons le château de Montapot (l'hiver sans les feuilles aux arbres.) Longeons un mur fortement protégé par des caméras... Nous retrouvons le GR et la clôture du château, nous prenons à gauche quittons le GR qui poursuis tout droit et longeons la clôture sur notre droite (sur la carte nous n'avons pas de chemin) mais nous trouvons le balisage vert à l'autre bout du champ, nous trouvons à la fois
le GR11 et le GRP. Quittons le balisage vert faisant les coteaux de la bassée et Poursuivons tout droit le GR 11et un balisage jaune (chemin de la Cornu). Nous débouchons sur une route à l'entrée de Courcelles en bassée et prenons à gauche (Nous saurons un peu plus bas que nous sommes toujours sur le GR, et les balisages jaune et vert.) Dans un virage nous quittons la route et poursuivons tout droit par le chemin menant à la ferme équestre des Gilly puis à la ferme abandonnée de la Grande Vente.
Nous avons un beau paysage ; la fin de la colline de Surville et sont ancien monastère [ La bataille de Montereau eut lieu de 18 février 1814 à Montereau (en Seine-et-Marne) et s'est soldée par une victoire des Français commandés par Napoléon sur les Autrichiens et les Wurtembourgeois commandés par le Prince royal de Wurtemberg. Après le désastre de la campagne de Russie et la défaite de Leipzig, les armées de la coalition franchissent le Rhin et commencent la campagne de France en janvier 1814. wikipédia
Le 18 février, le général Pierre-Claude Pajol, à qui Napoléon a confié le soin de seconder Victor en attaquant la gauche de l'ennemi, se met en marche à l'aube. Parti du Châtelet, il traverse le bois de Valence malgré l'infanterie alliée qui s'y trouve postée, et débouche au pied du plateau de Surville par la route de Paris. Là, un fort contingent de cavalerie lui barrant la route, il doit attendre la division Pacthod pour entamer les hostilités. A l'arrivée de celle-ci, Pajol fait donner son artillerie et le combat s'engage.
Pendant deux heures, les troupes de Pajol, envoyées là comme forces d'appoint, sont seules à soutenir le combat. Le maréchal Victor, déjà sermonné la veille pour son manque de combativité, récidive ce jour en retardant son arrivée jusqu'à neuf heures, en contradiction formelle avec les ordres reçus. Ses
tardifs efforts sont, en outre, maladroits et
désordonnés. La division qu'il envoie la première à l'attaque depuis
Forges ,
prend le village de Villaron mais s'y trouve écrasée par l'artillerie
Wurtembergeoise et doit évacuer les lieux une demi-heure plus tard. Une
seconde attaque, menée par le général Guillaume Philibert Duhesme sur le
coteau de Surville, échoue à son tour et la lutte, jusqu'à une heure de
l'après-midi, tourne plutôt à l'avantage des défenseurs,
essentiellement du fait de la supériorité de leur artillerie. Pajol
tient toujours, mais ses pertes sont déjà lourdes.
Bilan
La bataille coûte aux alliés trois mille morts et autant de prisonniers. Côté français, deux mille hommes sont hors de combat. Mais si la ville et ses ponts sont pris, les retards provoqués par Victor ont mis à mal le plan de l'Empereur. Il n'est plus temps de s'enfoncer comme un coin entre les deux tronçons d'une armée ennemie coupée en deux. La hâte n'est plus de mise et Napoléon va s'attarder jusqu'au 20 février à Montereau, couchant au château de Surville.
La légende veut que Napoléon en personne, durant la bataille, ait montré à de jeunes artilleurs inexpérimentés comment pointer leur canon. Et qu'il ait répliqué gaiement à ceux qui s'inquiétaient des risques qu'il prenait ainsi : « Allez, mes amis, ne craignez rien ! Le boulet qui me tuera est encore loin d'être fondu ». Une plaque commémore cet épisode à l'endroit même où il se produisit : sur les hauteurs de Surville, surplombant la ville de Montereau et le confluent. Texte total dans http://www.napoleon-empire.net/batailles/montereau.php]
Au milieu nous trouvons la montagne de Trin que j'ai traversé lors de mes randos en longeant l'Orvanne http://randosacaudos.blogspot.fr/2013/07/grp-de-la-vallee-du-lunain-retour_4.html. C'est une butte de sable, ancienne carrière de grès.] Nous quittons le GR pour prendre sur la gauche la route bitumée menant du village à la ferme. Nous arrivons à la Repentailles, poursuivons le balisage jaune en prenant le chemin des Bourbons sur la droite puis la première à gauche, rue qui ce termine en chemin, nous débouchons dans la rue des vignes que nous prenons à
droite et devient vite chemin. Nous contournons Salin (Nous apercevons au loin son église et son château (grosse propriété) prenons sur la droite la rue creuse, puis sur la gauche une sente nous permettant de rejoindre un large chemin sur le plateau que nous prenons à gauche. (laissons un chemin à gauche.) Nous coupons la D 403 prenons le chemin en face qui forme un large virage sur la gauche et traversons le village de Crayon. Nous 
débouchons sur la rue portant le même nom (toujours balisage jaune) que nous prenons à droite, dans la continuité nous poursuivons par la rue de Bellevue et prenons la première à droite ; rue du moulin à vent, nous sommes au lieu dit du ''rôti'' nous arrivons au carrefour avec la route de Laval que nous prenons à droite (chemin de la longue raie) sur quelques mètres, à la fourche le chemin de droite. Traversons la D 29 poursuivons par le chemin en face (chemin de Maulny à Salin), nous traversons la D 210 nous arrivons à Maulny, traversons ce bourg et nous revenons vers la D210 et juste avant la départementale nous trouvons un chemin sur la droite débouchant sur un autre chemin que nous prenons à droite. Après les champs nous entrons dans les bois de Maulny j'avais un peu peur de me retrouver dans un cul de sac, ce chemin entre deux 
clôtures ne m'inspirait pas trop, mais une marque jaune à demi effacée me rassure. Ces bois ne sont pas trop bien entretenu. Nous passons une bande de taillis entre deux champs et nous entrons dans la foret de Saint Germain.
Nous traversons "les friches" ; ce bois porte bien son nom. Nous débouchons sur les terres de la ferme d'Egrefin [La première mention historique de la Ferme d'Égrefin remonte à 1272 dans
une charte par laquelle Pierre de Saint-Germain donne aux bénédictins
de Paris le tiers de sa seigneurie. La porterie, surmontée de part et
d'autre de deux petites tourelles en brique, est le seul vestige
important de ce type de fortifications. Topic http://fr.topic-topos.com/ferme-d-egrefin-laval-en-brie ] Dommage la ferme est bien trop loin pour voir ses deux tourelles autour de son porche.
Elles existent encore. Longeons l'orée du bois et une fois dépassé le chemin menant à la ferme, nous abandonnons le balisage jaune (pratiquement inexistant) pour prendre sur la gauche l'allée rectiligne et un peu boueuse traversant le bois de la récompense, large allée bordée par endroit de fossés. (Si l'on poursuis tout droit le chemin est fermé par un grillage que l'on peu ouvrir pour se rendre sur la départementale. Une marque jaune nous indique de tourner à gauche le long de la clôture mais l'on se perd en bordure de champs, il est difficile de marcher dans une large bande herbeuse retournée par les sangliers. Je ne suis pas sur qu'au printemps l'herbe ne nous empêche pas de passer. A moins que la balise avec sa flèche n'indique qu'une fois arrivée sur la Départementale la suite de l'itinéraire est sur notre gauche.) Nous débouchons dans une espèce de clairière avec des affuts pour les chasseurs, nous prenons à gauche débouchons à la lisière du bois et suivons la clôture du champs sur la gauche. Contournons le champ. Au loin nous apercevons la ferme de Fresnières avec son pigeonnier et sa tour carré
[ Solidement plantée au milieu des champs, cette ferme impose sur
l'horizon la masse de ses bâtiments. Du côté ouest, elle est flanquée
d'une tour carrée moderne, faisant office de château d'eau. Dans l'angle
nord ouest, une tour basse ne comportant qu'un étage sur un
rez-de-chaussée partiellement enterré est peut-être le vestige d'un
pigeonnier. Elle comporte un corps de logis renfermant un escalier en
bois du XVIIe et une grange médiévale du côté sud. Mentionnée
dès 1168, la ferme fait partie jusqu'à la Révolution de l'important
domaine que les moines bénédictins de l'abbaye parisienne de
Saint-Germain-des-Prés possèdent dans la région. Après avoir été vendue
en 1598 aux moines de Preuilly, elle est rachetée le 5 septembre 1638 à
ces mêmes religieux. Affermée à plusieurs reprises, elle devient au
début du XXe siècle la propriété de M. Deutsch de la Meurthe. Topic http://fr.topic-topos.com/ferme-de-fresnieres-laval-en-brie ] La traversée de la Fosse Sèche n'est pas simple le bois semblant être
privé (on pourra toujours dire que l'on c'est perdu en suivant le balisage jaune indiquant qu'il fallait tourner à gauche. C'est plausible puisque tous les champs sont clôturés on est obligé d'atterrir ici.) Ne pas prendre le chemin sur la gauche beau chemin qui nous ramènerais en arrière et deux pancartes, nous en interdisent l'accès. Prendre à droite le long du champ, laissons un premier sentier sur la gauche, poursuivons jusqu'au bout du champ, (sur la carte c'est un magnifique chemin en trait plein, sur le terrain c'est un sentier dans un taillis), il faut passer sous deux arbres déracinés le sentier fait un esse et nous devons franchir un gros chêne
tombé au sol. (En contournant l'arbre par le pied, je me suis approché d'un fourré. Des grognements et des craquements de branches mon surpris, à une dizaine de mètres un gros sanglier me fuyait, cela ma fait apercevoir la mare avec son ilot central, en m'approchant je n'ai pas repéré la trace... du sanglier. Il devait être seul.) Le chemin s'améliore et nous débouchons sur un chemin formant Té, nous prenons à gauche. Je me rencontre que de ce coté nous trouvons des pancartes 
propriété privée. Vu l'état du bois les propriétaires ne doivent pas y venir souvent , quoi qu'en période de chasse il
faut se méfier à ne pas être confondu avec des cerfs ou des biches. Nous rencontrons le balisage jaune, mais le chemin devient sentier. Cette foret n'est pas entretenue et pourtant il y a de beaux arbres. Nous rencontrons par deux fois des emplacements pour pique-nique, je ne trouve pas d'emplacement pour les voitures, n'y un chemin facilement accessible pour rejoindre ses emplacements. (Ou bien ce sont des tables pour les chasseurs, ou bien parfaitement bien calculé par les créateurs du sentier balisé et suivant notre rythme de marche on ce trouve à midi devant ses tables.) Sur le sentier je ne trouve que des traces de sabots et je me fais la réflexion ; 
hors mis les chasseurs, les baliseurs, et les animaux personnes ne passe par ici. Et en effet dans une espèce de clairière j’aperçois une harde. Deux jeunes cerfs au milieu des biches. Je ne m'y attendais pas, même s'il était plausible, vu les traces d'en voir. Panique dans le troupeau, les biches à gauche, les cerfs à droite. Le temps de sortir mon appareil, ils étaient loin, on les devinent sur la photo. Nous sortons de la foret longeons le champ et arrivons sur la D 210 que nous prenons à gauche. L'agriculteur à créé un chemin pour 
passer sans emprunter le bitume. Nous arrivons à une maison isolé "Les Grands Champs" traversons la départementale et prenons le chemin sur la droite tout de suite après les maisons. C'est un balisage jaune restons en bordure du champs en tournant à gauche sans pénétrer dans les bois. Nous débouchons sur un chemin formant Té prenons la branche de droite, nous arrivons au village de Heurtebise, nous retrouvons le balisage vert mais avons perdu le jaune. Prenons à gauche la rue 
d'Heurtebise, puis à droite la rue Croix Saint Hélène. De rue nous passons à chemin, traversons le ru de l'étang grimpons sur le plateau et débouchons sur une route que nous prenons à gauche et descendons vers Laval en Brie.
Remarquer sur la première maison du village (en 2016) sur votre droite au dessus du nom de la rue.
Nous voilà arrivée au lavoir et à notre parking.
Pour ceux qui sont parties de Gardeloup : Nous remontons la rue Saint Laurent jusqu'à l'église. [L'église
des XI et XIIème siècle, l'un des plus grands édifices de style roman
du XIème. A l'interieure se trouve une colonne torse en bois sculpté
appartenant à un ancien retable du XVIIIème ornée de grappes de raisin
et de feuille de vigne (Sans doute en référence aux terres viticoles
d'autrefois.) info sur place]
Revenir au lavoir [du XIXème] Prendre
au pied du parking la rue des souces qui devient rapidement chemin le
long du ru de l'Etang. Au pont enjambant ce cours d'eau, nous prenons à
droite, le chemin montant le coteau, sur le plateau nous débouchons sur
un chemin formant Té et nous prenons la branche de droite (chemin des
Mouilleres) nous débouchons dans le village de Grand Buisson. Nous
prenons sur la droite la rue grande du Buisson, puis à gauche le chemin
du Bourdon, puis à droite la rue des écoles, poursuivons par la rue du
château de bicètre. Nous entrons dans Gardeloup et prenons la seconde à
gauche (rue Jean Jaures) qui se poursuit par la rue de la Fontaine
Froide.(Moi j'étais garé dans cette rue)
Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html
architecture, ont jusqu’à présent été préservés.
La partie du Montois qui comprend les deux entités de la côte orientale du Montois et du
Montois de Donnemarie-Dontilly est fidèle à cette description d’ensemble. Séparées par la
vallée de la Voulzie, elles offrent toutes les deux à des échelles plus ou moins grandes, une
multitude de lieux typiques, références des paysages ruraux de Seine-et-Marne. Certaines
terrasses abritent aussi des champs immenses avec, çà et là, des fermes et des bosquets.
Quand elles sont traversées de grandes portions de routes rectilignes, leurs paysages
peuvent évoquer ceux des plateaux qui les surplombent.
Plus à l’ouest, au contact de l’urbanisation de la vallée de la Seine, le Montois ne présente
pas les mêmes qualités d’harmonie. Les infrastructures du TGV et de l’autoroute A 5, les
lignes à haute tension, la croissance des villes, l’exploitation de carrières en font un espace
en mutation. www.seine-et-marne.fr/content/download/78213/650609/.../29%20-%20Montois.pdf
des petites promenades sur la rive droite afin de rejoindre mes grandes promenades se dirigeant vers Provins et Bray sur Seine.
Entre Montois & Bassée ;
Laval en Brie - Foret de saint Germain - Saint Germain Laval
30 6h10 0h32 5,4 4,9 257+
(dec
2016)
Départ : D'après la carte, le départ se trouve à Laval en Brie. Mon topo débute à Gardeloup. J'ai fais l'erreur de ne pas lire la carte jusqu'au bout et de me fier aux panneaux d'informations. Une fois passé Forges j'ai cru être arrivée à Laval en Brie et je me suis garé. Mais je n'étais qu'au lieu dit Gardeloup.
Pour ce rendre au Point de départ : D 605 route Melun - Montereau en passant par Le Chatelet. Au rond point menant à l'entrée de l'autoroute prendre la 210 direction de Montigny Lencoup - Donnemary Dontilly - Provins. Après l'accès à l'autoroute prendre la D 67 direction Forges Laval en Brie. Traverser Forges passer devant le château (Lycée Horticole) couper la D 113 Et vous rentrerez dans Gardeloup Pour vous rendre à Laval en Brie il faut traverser la moitié du village et prendre la rue de gauche (je n'ai pas vu de pancarte.)
1) Départ de Laval en Brie : Le seul petit parking que j'ai trouvé se situe après le lavoir. Nous remontons la rue Saint Laurent jusqu'à l'église. [L'église des XI et XIIème siècle, l'un des plus grands édifices de style roman du XIème. A l'interieure se trouve une colonne torse en bois sculpté appartenant à un ancien retable du XVIIIème ornée de grappes de raisin et de feuille de vigne (Sans doute en référence aux terres viticoles d'autrefois.) info sur place] Revenir au lavoir [du XIXème] Prendre 
au pied du parking la rue des sources qui devient rapidement chemin le long du ru de l'Etang. Au pont enjambant ce cours d'eau, nous prenons à droite, le chemin montant le coteau, sur le plateau nous débouchons sur un chemin formant Té et nous prenons la branche de droite (chemin des Mouilleres) nous débouchons dans le village de Grand 
Buisson. Nous prenons sur la droite la rue grande du Buisson, puis à gauche le chemin du Bourdon, puis à droite la rue des écoles, poursuivons par la rue du château de bicètre. 
Nous entrons dans Gardeloup et prenons la seconde rue à gauche (rue Jean Jaures) qui se poursuit par la rue de la Fontaine Froide.
2) départ de Gardeloup : prendre la rue de la Fontaine Froide à la patte d'oie continuer par la rue de droite nous descendons la vallée Vauluisant passons des bâtiments puis un collège. Traversons la D 403 nous sommes à Saint Germain Laval, poursuivons par
la rue de Verdun au fond du vallon nous traversons au lieu dit Pontville, le ru de l'étang et passons devant un lavoir, qui mériterait peut être, d'être autre chose qu'un dépôt de sable. Remontons vers l'église [constitué par la réunion d’une série de hameaux éloignés les uns des autres, autour d’un centre bourg qui lui a donné son nom.
Pontville, Courbeton, Merlange à l’ouest. Gardeloup, Petit-Buisson, Les Thibaudes au nord. Tréchy à l’est et la Seine au sud délimitent le contour de son territoire, dont l’histoire se perd dans la nuit des temps.
L’histoire de Saint-Germain-Laval commence traditionnellement en 786, lorsque Charlemagne fait don à l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés d’un domaine rural, appelé Madriolas (Marolles) et d’un tronçon de Seine entre un village dénommé Alsiacius et le monastère de Saint-Maurice.
En
1126, la paroisse existe, autour de son église, dont la construction a
débuté aux environs de 1080. Cette église est flanquée d’un prieuré, qui
accueille une communauté de moines de l’ordre de Saint-Benoît. A partir
de cette date, le nom du village apparait fréquemment dans les textes
relatifs à l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés. Ce Madriolas, dont
l’emplacement vraisemblable se situait sur l’actuelle plaine de
Saint-Pierre, aurait été détruit entre 880 et 1100, soit au cours des
grandes invasions normandes, soit à la suite des guerres civiles qui
sévirent au Xème et au XIème siècle entre les seigneurs locaux. Les
habitants de Madriolas se seraient alors réfugiés, les uns de l’autre
côté de la Seine dans un lieu qui prit le nom du village détruit
(Marolles), les autres sur les hauteurs 
appartenant à l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés qui adoptèrent plus tard le nom de Saint-Germain.
Le village subit pendant cette période toutes les conséquences des épreuves que traverse le pays :
guerre de cent ans et batailles à répétition pour le contrôle des passages de Montereau entre 1350 et 1437, guerre de religion et longues occupations alternatives par les troupes
catholiques et huguenotes du château de Montereau qui commande les ponts
entre 1567 -1570, guerre de trente ans et Fronde, et l’incessant va-et-vient des troupes royales et de celles des frondeurs, famines de 1573, 1586, 1690, épidémies de peste de 1582 et 1627.
L’hiver
de 1709, particulièrement rigoureux, entrainera une longue période de
famine, suivie d’une grande mortalité. Ce rude hiver semble marquer la
fin des années terribles et ouvrir des temps plus cléments.
En
1734, Joseph, Micault d’Harvelay, garde du trésor royal, achète le
domaine de Courbeton et fait construire un château à l’architecture
sobre et élégante qui domine la Seine par une longue terrasse. Il fait
simultanément aménager un parc à la française et implante une faïencerie
qui, en dépit de quelques vicissitudes, fonctionnera jusqu’en 1870 ;
son propriétaire de l’époque, monsieur Gaillot, exposera à l’exposition
universelle de 1855. 
L’hiver
de 1709, particulièrement rigoureux, entrainera une longue période de
famine, suivie d’une grande mortalité. Ce rude hiver semble marquer la
fin des années terribles et ouvrir des temps plus cléments.Le château appartiendra successivement aux familles de Lesparda et de Saint-Aulaire de 1791 à 1818, au Cardinal de La Fare, rédacteur du projet de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen, et à sa famille de 1818 à 1860, à la marquise de Guaïta, grande bienfaitrice de la commune, de 1860 à 1873, à la famille Davin de 1873 à 1899 et à la famille Haumont jusqu’à sa destruction en 1975. Un centre de formation des apprentis a été construit sur son domaine.
A la Révolution, le village compte à peine 268 habitants résidant en grande partie à Gardeloup, Petit-Buisson et Tréchy. http://www.saint-germain-laval.fr/vie-locale/histoire-de-saint-germain-laval-2.html] nous rencontrons le GR 11 et GRP Thibaud de Champagne. Nous débouchons à Tréchy
 |
| Puits sans fond.... |
 |
| château de Montapot |
 |
| Ferme de la Grande Vente |
Nous avons un beau paysage ; la fin de la colline de Surville et sont ancien monastère [ La bataille de Montereau eut lieu de 18 février 1814 à Montereau (en Seine-et-Marne) et s'est soldée par une victoire des Français commandés par Napoléon sur les Autrichiens et les Wurtembourgeois commandés par le Prince royal de Wurtemberg. Après le désastre de la campagne de Russie et la défaite de Leipzig, les armées de la coalition franchissent le Rhin et commencent la campagne de France en janvier 1814. wikipédia
Le 18 février, le général Pierre-Claude Pajol, à qui Napoléon a confié le soin de seconder Victor en attaquant la gauche de l'ennemi, se met en marche à l'aube. Parti du Châtelet, il traverse le bois de Valence malgré l'infanterie alliée qui s'y trouve postée, et débouche au pied du plateau de Surville par la route de Paris. Là, un fort contingent de cavalerie lui barrant la route, il doit attendre la division Pacthod pour entamer les hostilités. A l'arrivée de celle-ci, Pajol fait donner son artillerie et le combat s'engage.
Pendant deux heures, les troupes de Pajol, envoyées là comme forces d'appoint, sont seules à soutenir le combat. Le maréchal Victor, déjà sermonné la veille pour son manque de combativité, récidive ce jour en retardant son arrivée jusqu'à neuf heures, en contradiction formelle avec les ordres reçus. Ses
 |
| Au loin, les vallons de la Bourgogne |
Bilan
La bataille coûte aux alliés trois mille morts et autant de prisonniers. Côté français, deux mille hommes sont hors de combat. Mais si la ville et ses ponts sont pris, les retards provoqués par Victor ont mis à mal le plan de l'Empereur. Il n'est plus temps de s'enfoncer comme un coin entre les deux tronçons d'une armée ennemie coupée en deux. La hâte n'est plus de mise et Napoléon va s'attarder jusqu'au 20 février à Montereau, couchant au château de Surville.
La légende veut que Napoléon en personne, durant la bataille, ait montré à de jeunes artilleurs inexpérimentés comment pointer leur canon. Et qu'il ait répliqué gaiement à ceux qui s'inquiétaient des risques qu'il prenait ainsi : « Allez, mes amis, ne craignez rien ! Le boulet qui me tuera est encore loin d'être fondu ». Une plaque commémore cet épisode à l'endroit même où il se produisit : sur les hauteurs de Surville, surplombant la ville de Montereau et le confluent. Texte total dans http://www.napoleon-empire.net/batailles/montereau.php]
 |
| (A droite la butte de Surville au Milieu la montagne du trin) |
droite et devient vite chemin. Nous contournons Salin (Nous apercevons au loin son église et son château (grosse propriété) prenons sur la droite la rue creuse, puis sur la gauche une sente nous permettant de rejoindre un large chemin sur le plateau que nous prenons à gauche. (laissons un chemin à gauche.) Nous coupons la D 403 prenons le chemin en face qui forme un large virage sur la gauche et traversons le village de Crayon. Nous 
débouchons sur la rue portant le même nom (toujours balisage jaune) que nous prenons à droite, dans la continuité nous poursuivons par la rue de Bellevue et prenons la première à droite ; rue du moulin à vent, nous sommes au lieu dit du ''rôti'' nous arrivons au carrefour avec la route de Laval que nous prenons à droite (chemin de la longue raie) sur quelques mètres, à la fourche le chemin de droite. Traversons la D 29 poursuivons par le chemin en face (chemin de Maulny à Salin), nous traversons la D 210 nous arrivons à Maulny, traversons ce bourg et nous revenons vers la D210 et juste avant la départementale nous trouvons un chemin sur la droite débouchant sur un autre chemin que nous prenons à droite. Après les champs nous entrons dans les bois de Maulny j'avais un peu peur de me retrouver dans un cul de sac, ce chemin entre deux 
clôtures ne m'inspirait pas trop, mais une marque jaune à demi effacée me rassure. Ces bois ne sont pas trop bien entretenu. Nous passons une bande de taillis entre deux champs et nous entrons dans la foret de Saint Germain.
Nous traversons "les friches" ; ce bois porte bien son nom. Nous débouchons sur les terres de la ferme d'Egrefin [La première mention historique de la Ferme d'Égrefin remonte à 1272 dans
une charte par laquelle Pierre de Saint-Germain donne aux bénédictins
de Paris le tiers de sa seigneurie. La porterie, surmontée de part et
d'autre de deux petites tourelles en brique, est le seul vestige
important de ce type de fortifications. Topic http://fr.topic-topos.com/ferme-d-egrefin-laval-en-brie ] Dommage la ferme est bien trop loin pour voir ses deux tourelles autour de son porche. |
| ferme d'Egrefin |
Elles existent encore. Longeons l'orée du bois et une fois dépassé le chemin menant à la ferme, nous abandonnons le balisage jaune (pratiquement inexistant) pour prendre sur la gauche l'allée rectiligne et un peu boueuse traversant le bois de la récompense, large allée bordée par endroit de fossés. (Si l'on poursuis tout droit le chemin est fermé par un grillage que l'on peu ouvrir pour se rendre sur la départementale. Une marque jaune nous indique de tourner à gauche le long de la clôture mais l'on se perd en bordure de champs, il est difficile de marcher dans une large bande herbeuse retournée par les sangliers. Je ne suis pas sur qu'au printemps l'herbe ne nous empêche pas de passer. A moins que la balise avec sa flèche n'indique qu'une fois arrivée sur la Départementale la suite de l'itinéraire est sur notre gauche.) Nous débouchons dans une espèce de clairière avec des affuts pour les chasseurs, nous prenons à gauche débouchons à la lisière du bois et suivons la clôture du champs sur la gauche. Contournons le champ. Au loin nous apercevons la ferme de Fresnières avec son pigeonnier et sa tour carré
[ Solidement plantée au milieu des champs, cette ferme impose sur
l'horizon la masse de ses bâtiments. Du côté ouest, elle est flanquée
d'une tour carrée moderne, faisant office de château d'eau. Dans l'angle
nord ouest, une tour basse ne comportant qu'un étage sur un
rez-de-chaussée partiellement enterré est peut-être le vestige d'un
pigeonnier. Elle comporte un corps de logis renfermant un escalier en
bois du XVIIe et une grange médiévale du côté sud. Mentionnée
dès 1168, la ferme fait partie jusqu'à la Révolution de l'important 
domaine que les moines bénédictins de l'abbaye parisienne de
Saint-Germain-des-Prés possèdent dans la région. Après avoir été vendue
en 1598 aux moines de Preuilly, elle est rachetée le 5 septembre 1638 à
ces mêmes religieux. Affermée à plusieurs reprises, elle devient au
début du XXe siècle la propriété de M. Deutsch de la Meurthe. Topic http://fr.topic-topos.com/ferme-de-fresnieres-laval-en-brie ] La traversée de la Fosse Sèche n'est pas simple le bois semblant être
privé (on pourra toujours dire que l'on c'est perdu en suivant le balisage jaune indiquant qu'il fallait tourner à gauche. C'est plausible puisque tous les champs sont clôturés on est obligé d'atterrir ici.) Ne pas prendre le chemin sur la gauche beau chemin qui nous ramènerais en arrière et deux pancartes, nous en interdisent l'accès. Prendre à droite le long du champ, laissons un premier sentier sur la gauche, poursuivons jusqu'au bout du champ, (sur la carte c'est un magnifique chemin en trait plein, sur le terrain c'est un sentier dans un taillis), il faut passer sous deux arbres déracinés le sentier fait un esse et nous devons franchir un gros chêne
tombé au sol. (En contournant l'arbre par le pied, je me suis approché d'un fourré. Des grognements et des craquements de branches mon surpris, à une dizaine de mètres un gros sanglier me fuyait, cela ma fait apercevoir la mare avec son ilot central, en m'approchant je n'ai pas repéré la trace... du sanglier. Il devait être seul.) Le chemin s'améliore et nous débouchons sur un chemin formant Té, nous prenons à gauche. Je me rencontre que de ce coté nous trouvons des pancartes 
propriété privée. Vu l'état du bois les propriétaires ne doivent pas y venir souvent , quoi qu'en période de chasse il
faut se méfier à ne pas être confondu avec des cerfs ou des biches. Nous rencontrons le balisage jaune, mais le chemin devient sentier. Cette foret n'est pas entretenue et pourtant il y a de beaux arbres. Nous rencontrons par deux fois des emplacements pour pique-nique, je ne trouve pas d'emplacement pour les voitures, n'y un chemin facilement accessible pour rejoindre ses emplacements. (Ou bien ce sont des tables pour les chasseurs, ou bien parfaitement bien calculé par les créateurs du sentier balisé et suivant notre rythme de marche on ce trouve à midi devant ses tables.) Sur le sentier je ne trouve que des traces de sabots et je me fais la réflexion ; 
hors mis les chasseurs, les baliseurs, et les animaux personnes ne passe par ici. Et en effet dans une espèce de clairière j’aperçois une harde. Deux jeunes cerfs au milieu des biches. Je ne m'y attendais pas, même s'il était plausible, vu les traces d'en voir. Panique dans le troupeau, les biches à gauche, les cerfs à droite. Le temps de sortir mon appareil, ils étaient loin, on les devinent sur la photo. Nous sortons de la foret longeons le champ et arrivons sur la D 210 que nous prenons à gauche. L'agriculteur à créé un chemin pour 
passer sans emprunter le bitume. Nous arrivons à une maison isolé "Les Grands Champs" traversons la départementale et prenons le chemin sur la droite tout de suite après les maisons. C'est un balisage jaune restons en bordure du champs en tournant à gauche sans pénétrer dans les bois. Nous débouchons sur un chemin formant Té prenons la branche de droite, nous arrivons au village de Heurtebise, nous retrouvons le balisage vert mais avons perdu le jaune. Prenons à gauche la rue 
d'Heurtebise, puis à droite la rue Croix Saint Hélène. De rue nous passons à chemin, traversons le ru de l'étang grimpons sur le plateau et débouchons sur une route que nous prenons à gauche et descendons vers Laval en Brie. 
Remarquer sur la première maison du village (en 2016) sur votre droite au dessus du nom de la rue.
Nous voilà arrivée au lavoir et à notre parking.
Pour ceux qui sont parties de Gardeloup : Nous remontons la rue Saint Laurent jusqu'à l'église. [L'église
des XI et XIIème siècle, l'un des plus grands édifices de style roman
du XIème. A l'interieure se trouve une colonne torse en bois sculpté
appartenant à un ancien retable du XVIIIème ornée de grappes de raisin
et de feuille de vigne (Sans doute en référence aux terres viticoles
d'autrefois.) info sur place] 
Revenir au lavoir [du XIXème] Prendre
au pied du parking la rue des souces qui devient rapidement chemin le
long du ru de l'Etang. Au pont enjambant ce cours d'eau, nous prenons à
droite, le chemin montant le coteau, sur le plateau nous débouchons sur
un chemin formant Té et nous prenons la branche de droite (chemin des
Mouilleres) nous débouchons dans le village de Grand Buisson. Nous
prenons sur la droite la rue grande du Buisson, puis à gauche le chemin
du Bourdon, puis à droite la rue des écoles, poursuivons par la rue du
château de bicètre. Nous entrons dans Gardeloup et prenons la seconde à
gauche (rue Jean Jaures) qui se poursuit par la rue de la Fontaine
Froide.(Moi j'étais garé dans cette rue)Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire