Rando en Bassée : Courcelles en Bassée - Chatenay sur Seine - Salin

 Entre Montois & Bassée

Courcelles en Bassée - Chatenay sur Seine - Salin

 

 

Carte IGN    Trace GPS & Topo sans Commentaires    Trace Randogps

 

 
Le code mobile de cette randonnée est b310293

 

 Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
 

[La Bas­sée cor­res­pond à un tron­çon de la val­lée de la Seine, si­tuée dans une vaste plaine inon­dable en amont de Paris, qui s’étend entre la confluence Aube-Seine en amont (Ro­milly-sur-Seine) et la confluence Seine-Yonne en aval (Mon­te­reau-Fault-Yonne). Cou­vrant 30 000 hec­tares, la Bas­sée fait par­tie des 152 zones hu­mides d’im­por­tance na­tio­nale re­con­nues pour leur pa­tri­moine na­tu­rel ex­cep­tion­nel. Ce ter­ri­toire, connu pour ses ri­chesses éco­lo­giques et ses res­sources na­tu­relles, est au centre d’en­jeux po­li­tico-éco­no­miques et en­vi­ron­ne­men­taux. Wikipédia]

Nous voilà parti pour des promenades de la journée en continuité avec le Montois [ Région comprise dans les cantons de Provins, Bray, Donnemarie et Nangis
 De Montereau, à l’ouest, jusqu’à la lisière de la forêt de Sourdun, à la limite est du département, le Montois domine en balcons et en terrasses toute la rive droite de la Seine. Ces rebords bien marqués des plateaux de la Brie du Châtelet et de la Brie de Provins ont un caractère rural affirmé. Les collines, les vallons des affluents de la Seine et les combes évasées construisent des paysages pittoresques aux reliefs sensibles, au sein desquels les villages, souvent remarquables par leur
architecture, ont jusqu’à présent été préservés.
La partie du Montois qui comprend les deux entités de la côte orientale du Montois et du
Montois de Donnemarie-Dontilly est fidèle à cette description d’ensemble. Séparées par la
vallée de la Voulzie, elles offrent toutes les deux à des échelles plus ou moins grandes, une
multitude de lieux typiques, références des paysages ruraux de Seine-et-Marne. Certaines
terrasses abritent aussi des champs immenses avec, çà et là, des fermes et des bosquets.
Quand elles sont traversées de grandes portions de routes rectilignes, leurs paysages
peuvent évoquer ceux des plateaux qui les surplombent.
Plus à l’ouest, au contact de l’urbanisation de la vallée de la Seine, le Montois ne présente
pas les mêmes qualités d’harmonie. Les infrastructures du TGV et de l’autoroute A 5, les
lignes à haute tension, la croissance des villes, l’exploitation de carrières en font un espace
en mutation. www.seine-et-marne.fr/content/download/78213/650609/.../29%20-%20Montois.pdf
Les petites promenades sur la rive droite mon donnés l'idée de réaliser des grandes promenades se dirigeant vers Provins et Bray sur Seine.
Le projet de La Bassée consiste à retenir les eaux de la Seine au moment du passage de la crue de l'Yonne en pompant et stockant dans des casiers l'eau de la Seine au moment du pic de crue.

Cet aménagement serait constitué d'unités de stockage (ou casier), remplies par pompage lors des fortes crues. Le projet comprend 58 km de talus de faible hauteur qui délimitent 2 300 hectares d'aires de sur-stockage en aval de Bray-sur-Seine au plus près de la confluence. Le volume stockable pendant la pointe de crue de l'Yonne est estimé à 55 millions de m³.
La gestion de l'ouvrage est basée sur une prévision faite en temps réel fixée à 3 jours pour les crues de l'Yonne et de la Seine. L'ouvrage serait utilisé en moyenne tous les 5 à 6 ans, pendant 2 à 2,5 semaines. Cet ouvrage représenterait une baisse supplémentaire de 20 à 60 cm de hauteur d'eau en moins suivant les lieux et les crues. Sa mise en œuvre au XXe siècle aurait évité au moins 7 milliards d'euros de dommages par débordement en surface. Pour l'avenir il permettra de protéger, de surcroît, de nombreux réseaux souterrains.
L'effet cumulatif des 5 ouvrages contribuera à maintenir le niveau de la Seine en-dessous des niveaux d'apparition des principaux dommages, notamment :

• une hauteur de 6,20 m à l'échelle d'Austerlitz qui correspond au début de l'inondation du RER C,
• une hauteur de 7,40 m qui correspond au niveau des murettes anti-crues en Petite Couronne.

http://seinegrandslacs.fr/projets/la-bassee/presentation-technique-de-la-basse

Courcelles en Bassée - Chatenay sur Seine - Salin

 KM    Temps     Arrêt     V/d       V/g      Dénivelé

29,4    5h10       0h25      5,2        4,9         326+

(dec  2016)

Pour si rendre : Rejoindre Montereau. En venant de Melun par la D605, en bas de la cote, juste avant le pont de la Seine prendre à gauche au feu tricolore direction Provins - St. Germain Laval et Nangis. (Mais l'information n'est pas de notre coté.) Nous n'apercevons qu'une pancarte "Point Information Routier" au rond point suivant la direction de Provins - Melun (Poids Lourd) St. Germain Laval - Montigny-Lencoup - Nangis. C'est la D 403, passer sous l'Autoroute. Nous arrivons à un feu tricolore prendre à droite la D 18, St. Germain centre - Chatenay sur Seine. Traverser St. Germain. Courcelles se trouve à quelques kilomètres.

En venant de Fontainebleau prendre la D 606 jusqu'au carrefour du Petit Fossard au feu tricolore à  gauche la D 605 direction Montereau - A 5. Passer un premier rond point toujours la même direction. Passer le pont SNCF. Deuxième rond point, toujours la même direction. Au troisième rond point sur la droite A5 - Sens par autoroute Melun et Provins le pont nous fait franchir l'Yonne. Au rond Point suivant la direction de Provins - Melun - Surville - Nangis. Au rond point suivant Provins - Melun - Nangis. Passez la Seine et enfin au dernier rond Point nous trouvons la direction de Provins- Melun - St. Germain Laval - Montigny Lencoup - Nangis. C'est la D 403, passer sous l'Autoroute. Nous arrivons à un feu tricolore, prendre à droite la D 18 St. Germain centre - Chatenay sur Seine Traverser St. Germain. Courcelles se trouve à quelques kilomètres.

Je me demande s'il n'est pas plus simple de traverser Montereau  en longeant l'Yonne, prendre la direction de Melun traverser les deux ponts qui se suivent au dessus de l'Yonne et de la Seine. prendre au feu tricolore à droite direction Provins - St. Germain Laval et Nangis.  puis au rond point la direction de Provins - Melun (Poids Lourd) St. Germain Laval - Montigny-Lencoup - Nangis. C'est la D 403, passer sous l'Autoroute. Nous arrivons à un feu tricolore prendre à droite la D 18 St. Germain centre - Chatenay sur Seine. Traverser St. Germain. Courcelles se trouve à quelques kilomètres.

 Courcelles en Bassée se trouve sur la gauche. Je n'ai pas trouvé de parking, je me suis garé dans le bas du village sur le trottoir rue Vaux Regnier. 
Poursuivre cette rue et prendre à droite la rue de l'église. Remonter jusqu'à cette dernière [Eglise de Saint Martin des XVIII et XXème siècle réalisé en grès et meulière à une seul nef vouté en berceau. Le sol est pavé de différents matériaux, tomettes, briques et pierre blanche et noir pour le cœur. Une chaire du XVIème. (panneau d'information.)] puis revenir sur ses pas pour prendre la rue grande. 
Laisser sur la droite la rue du calvaire, poursuivre la rue grande, nous débouchons sur la route de Salin. Nous trouvons pratiquement en face de ce carrefour un chemin (bitumé à son départ) que nous prenons. Nous sortons du village et entrons dans les champs. Nous sommes au pied du coteau, que nous longerons jusqu'au village du Plessis. Coupons un chemin, poursuivons en face. Nous débouchons sur le bitume à l'entrée du village du Pléssis, nous prenons à gauche la rue de la pépinière puis à droite la rue du Plessis. Laisser une rue, plutôt un chemin, menant à une ferme et poursuivez la route, prenons le premier chemin sur la gauche dans les champs. Nous débouchons sur un chemin formant Té prendre à droite puis le premier chemin chemin sur la gauche. Le chemin fait un angle à quatre vingts dix degrés sur la droite nous coupons la D 18. Nous sommes à Châtenay sur Seine. [Plusieurs explications sur les origines du nom du village sont données dans les ouvrages spécialisés :

ru de Suby

• pour certains, Chatenay doit son nom à un castrum, fortifications aujourd'hui disparues,
• d'autres font référence à une châtaigneraie, castanea.
  Des traces de bâtiments circulaires de l'époque de la Civilisation de Hallstatt (I^er millénaire av. J.-C.) ont été découvertes à Chatenay. En 263, un gallo-romain enterre un trésor de plus de 2 000 pièces à proximité d'une villa. Le trésor est découvert en 1963

 L'église Saint-Étienne, XIII^e et XVIII^e siècles (wikipédia)]

[Dès 3200 av. J.-C., les chasséens s'installent dans un méandre de la Seine qu'ils barrent d'un fossé. Ils y exercent des activités d'élevage et de pêche. Leur succèdent les défricheurs de la civilisation de Seine-Oise-Marne, entre 2500 et 2000 av. J.-C. L'occupation à l'âge du fer est attestée par la présence d'une nécropole aux tumuli ronds ou carrés ceints d'un fossé. À l'époque romaine, l'habitat se fixe en deux pôles proches, Châtenay et Chaupry. Châtenay contrôle la voie au nord de la Seine dite de Chantemerle, entre le ru de Suby et la Vieille-Seine ; Chaupry, de l'autre côté du ru, est développé autour de ses trois sources. Dès le milieu du X^e siècle, le réseau féodal s'organise dans la châtellenie de Bray, et le village est géré par la mairie d'Égligny. En 1105, les climats sont divisés par le sire Hilduin ;
le hameau du Plessis-au-Benoist, probablement construit aux XII^e et XIII^e siècles, se développe à proximité de son manoir. Châtenay est érigé en paroisse au XIV^e siècle. Le village est meurtri par le passage des huguenots en 1567. L'exploitation de la châtaigneraie constituait une activité importante, comme en témoigne l'existence de la confrérie de Saint-Hubert. La commune bénéficie, dans la première moitié du XIX^e siècle, du passage de la voie ferrée reliant Montereau à Nogent-sur-Seine. (topic, http://fr.topic-topos.com/patrimoine-chatenay-sur-seine )]

passage intra muraux

Nous prenons la rue en face (de la Vieille Seine) puis à gauche rue de la Maison Blaise, nous débouchons sur la D 75 formant Té avec notre rue et prenons à gauche (rue de la gare) nous longeons le ru de suby. (Sa source un étant au nord est de Salin) et trouvons
un sentier intra muraux sur la droite un peu avant la mairie que nous prenons. Nous débouchons dans la rue de la place de la mairie que nous prenons à gauche et sur la droite une nouvelle sente nous fait rejoindre la rue de la clôture. Sur la gauche nous trouvons une dernière sente nous faisant passer devant l'église. Nous prenons sur la gauche la rue grande puis à droite la rue de la poste. Laissons la première rue sur la droite, laissons un chemin sur la droite, nous retrouvons le GRP Thibaut de Champagne, et prenons le troisième passage sur la droite, impasse se transformant en chemin. Nous arrivons à Chaupry par la rue du marais. Traversons le village et le ru de Suby. Nous débouchons rue de Chaupry que nous prenons à droite, traversons la D 101et prenons en face (toujours le GRP). (n'essayez pas couper par les chemins sur la gauche, ils ne sont pas entretenus d'un bout à l'autre. Épineux et ronces encombrent le passage). Nous quitterons le GRP un peu plus loin lorsqu'il tourne à gauche. Prenons le chemin à droite, puis le premier chemin à gauche. (Cela fait un esse rapproché.)  Le chemin contourne les bois et l'on prend le

J'aime bien les inscriptions cela représentaient quelques choses

 second chemin à droite. (La, il faut faire attention les chemins sont moins visibles. (l'hiver lorsque les cultures se confondent avec l'herbe rase) on a tendance à descendre sur le Plessis et revenir sur nos pas...) Nous rencontrons le GR 11 que nous prenons à gauche  au niveau "de la ferme de la grande vente", contournons ses bâtiments abandonnés, laissons le GR filer à gauche et prenons la route bitumée menant de la ferme au village de Salin, enfin à son extension La "Repentailles" Nous prenons à droite la rue de Courcelles, nous arrivons à Salin passons devant le Lavoir poursuivons la rue et nous débouchons dans la rue de Provins (D 403) que nous prenons à gauche. Nous montons vers le château et l'église. (Le château est habité et ressemble plus à une grosse maison bourgeoise, un peu austère.)

Château de Salin

[Anciennement appelée Villeneuve-la-Cornue du nom du premier seigneur, Simon li Cornu, chevalier Llge du comte de Champagne. seigneurie dépendante de l'archevêché de Sens.
Le nom de Salins vient du nom de son seigneur en 1614, également seigneur de Salins dans le Jura, aujourd'hui Salins-les-Bains.
La présence de gisements d'argile a été à l'origine du développement d'industries de la céramique jusqu'au milieu du XX^e siècle.

• Église Saint-Apollinaire, XIII^e et XV^e siècle, avec un clocher à quatre pignons à double bâtière, classée au titre des monuments historiques.

• Château de Salins, ancienne demeure seigneuriale dont il ne reste plus qu'un corps de bâtiment doté d’un grand toit pyramidal et d’une tour d’angle carrée.  (wikipédia) Construite en grès puis enduit on en doit la réalisation à Guillaume de Courtenay entre 1470 et 1484. A l'origine entouré d'un fossé. En 1802 le chateau partiellement détruit n'est plus qu'une grosse ferme. (panneau d'information.)

Lavoir de Salin

 (Voila pourquoi ce château ressemble à une grosse demeure austère)]  Revenons sur nos pas. reprenons la rue de Courcelles et la première rue à droite (parking.) Derrière le lavoir, nous

Passons le ru de l'étang

trouvons le pont au dessus du ru de l'étang menant à une salle des fêtes, puis sur la gauche des terrains de sport. Un sentier nous permet de longer le ru jusqu'au pont suivant que nous prenons à gauche, nous retrouvons la rue de Courcelles que nous prenons à droite puis encore à droite le chemin des larrons bitumé dans sa première partie puis simple chemin. Le chemin fait fourche et nous retrouvons le GR 11 et le GRP, nous prenons la branche de droite, nous repassons devant le château de Montapot que cette fois ci nous longeons. Il y a toujours une caméra tout les dix mètres, mais cette fois ci cela semble normal c'est le parc principale. Nous débouchons sur la D 29 quittons le GRP et le GR 11 (Les GR remontent vers le plateau j'ai trouvé que c'était un peu long et peu intéressant de longer la route.) Nous débouchons sur la D 18 que nous prenons à droite sur environ 500m passons "la ferme de Noslong" et entre deux champs nous trouvons un chemin sur la droite, coupant le champ en deux (J'espère que ce petit bout de chemin entre les deux champs ne passera pas sous le socle de la charrue.) Il grimpe sur le coteau dans un taillis d'arbrisseaux. Nous sommes juste sous Tréchy. [Coteau de Tréchy : vaste coteau calcaire de la cuesta d’Île-de-France, à fort intérêt écologique (pelouse calcaire) et paysager. Il s'agit de la rupture du plateau de Brie. On peut y observer le contact des calcaires tertiaires avec les terrains du secondaire (craie). Une source provenant de la nappe de Champigny émerge au niveau d'une couche d'argile. Ce site est une propriété de Pro Natura Ile-de-France, conservatoire régional d'espaces naturels d’Île-de-France, et est géré par l'Association des Naturalistes de la Vallée du Loing
 et du massif de Fontainebleau. Il fait l'objet d'un arrêté préfectoral de protection de biotope. (wikipédia) ] Au sommet nous retrouvons dans un virage la D 29 juste à l'entrée de Tréchy, faisons quelques mètres sur le bitume et nous trouvons sur la gauche un sentier bien marqué redescendant ce magnifique coteau. Dans le bas le sentier est un peu plus difficile à suivre dans les graminées. On trouve malgré tout une sente (voir même des traces de voiture) nous ramenant sur la D 18 que nous traversons (du coteau nous apercevons la ligne SNCF .
  [La ligne de Flamboin-Gouaix à Montereau, également appelée Ligne de l'Est. Longue d’environ 27,7 km, elle est très ancienne. Elle assure la liaison entre les réseaux ferrés Est et Sud-Est. Fermée au trafic de voyageurs depuis 1939 et quasiment abandonnée depuis les années 1980, elle renaît progressivement pour les besoins du trafic fret. Les trains de granulats circulent de nouveau sur la partie occidentale, à partir de Courcelles-en-Bassée, depuis octobre 2008. Depuis début 2012, elle est réactivée sur l’ensemble de son parcours.
Établie dans la vallée très évasée de la Seine, puis de son affluent la Voulzie, elle possède un excellent tracé, avec de longues lignes droites et un profil quasiment plat. Les rampes ne dépassent pas 3 ‰, ce qui présente un avantage indéniable pour le trafic de marchandises.
Depuis la gare de Flamboin-Gouaix, la ligne franchit la Voulzie. Elle longe ensuite l'Auxence avant de rejoindre la vallée de la Seine aux abords de Vimpelles où elle croisait à niveau la ligne à voie métrique de la Société générale des chemins de fer économiques de 

Jouy-le-Châtel à Bray-sur-Seine, mise en service en 1904 et fermée en 1950.
Elle traverse ensuite la Seine sur un ouvrage de 105 m avant de passer au-dessus de l'autoroute A5 et de la LGV Sud-Est par un pont de 104 m. Elle franchit l'Yonne sur le « pont de Moscou » (124 m de long) avant de pénétrer en gare de Montereau.
Un tronçon de huit kilomètres supplémentaires depuis Montereau est rouvert le 16 octobre 2008 afin de desservir un embranchement (pour les carrières de sable), limitant ainsi les rotations de poids lourds.
Dans l'optique d'une remise en service de cet axe en intégralité pour les trains de marchandises, Réseau ferré de France (RFF) a réalisé durant l'été 2010 un Renouvellement Voie Ballast (RVB), nécessaire pour supporter les charges importantes de ce type de trains.
La ligne de Flamboin-Gouaix à Montereau est à nouveau opérationnelle depuis janvier 2012. Les travaux de remise en service ont en effet un intérêt économique multiple car RFF a été sollicité pour des trafics nouveaux :

• intensification du trafic de granulats pour plusieurs entreprises : les matériaux seraient en provenance des carrières de Haute-Marne et à destination de la plateforme de Vernou - La Grande Paroisse, ex-site, en bordure de Seine, de la centrale thermique EDF, dont l’exploitation est aujourd’hui arrêtée ;
• éventuel trafic régulier de céréales entre Nogent-sur-Seine et les départements de l’Yonne et du Loiret ; itinéraire transverse au sud de l'Île-de-France, alternatif ou complémentaire à la ligne de Grande Ceinture (ligne en rocade autour de Paris située en moyenne couronne).

Nous nettoyons le taillis

Se sont ils sauvés ? ou sont ils en liberté?

D'après « Global magazine », les sommes importantes investies par RFF pourraient s'expliquer par un autre argument : éviter la région parisienne lors du transport de matières radioactives entre le centre de retraitement de déchets de la Hague, la centrale nucléaire de Nogent-sur-Seine et le futur centre d'enfouissement de déchets de Bure.
La remise en service de la ligne sur l'ensemble de son parcours a lieu le 30 janvier 2012 : le 8 mars, une première rame TGV Sud-Est est transférée de Villeneuve-Saint-Georges à Romilly-sur-Seine, où se situe le technicentre SNCF chargé de la rénovation ou des grosses réparations des rames de ce type, en passant par la ligne de Flamboin-Gouaix à Montereau. (wikipédia)]  Passons la barrière et traversons cette  dernière, un chemin entre deux clôtures nous amène à l'orée du bois et plus rien... Les chemins sur la droite n'existent plus. Il est certain qu'il ne faut pas suivre le chemin sur la gauche je n'ai pas réussi à traverser le bois pour rejoindre l'ancienne carrière. Il faut prendre sur la droite, se diriger entre bois et champs jusqu'au taillis nous coupant le chemin et l'on trouve un sentier permettant de traverser cette zone humide. On ne s'enfonce pas trop les pieds dans lorsque l'on regarde ou l'on met les pieds. (C'est le seul passage litigieux. Franchir la Noue. Ce ru qui à été avalé par les bassins de la carrière, il ne reste qu'une petite partie marécageuse. Après avoir longtemps cherché un passage au sec j'ai tenté l'aventure et je ne me suis pas enfoncé (décembre 2016). De l'autre coté le chemin est propre et sec.) 
Pour ceux ne voulant pas tenter l’aventure, ou en cas d'une saison très humide il ne reste que la route. 

•  Soit à gauche (revenir sur ses pas et retraverser la ligne SNCF) ; jusqu'à Saint Germain Laval, prendre à gauche la rue sans issu, des étangs. En bout les habitants ont tracés un sentier permettant de rejoindre un chemin que l'on prend sur notre gauche passons sous la ligne de chemin de fer prenons le chemin de gauche au niveau de l'étang et l'on retrouve notre trace.

•  Soit à droite (après être revenu sur ses pas) ; jusqu'à la ferme de Noslong et prendre la D 29 jusqu'à l'Ile aux Moines ou nous retrouvons notre trace. 

Nous débouchons sur un chemin que nous prenons à gauche. Ce chemin est entre les étangs et la Seine, des sentiers de pêcheurs nous emmènent soient aux étangs, soit à la Seine. Passons le pont au dessus d'un bras d'eau permettant la communication entre la Seine et les étangs. Nous sommes dans la Bassée, et les étangs sont là pour absorber les trop pleins de la Seine, après l'exploitation

du sable. Après un chemin un peu plus carrossable nous débouchons sur la D 29 que nous prenons à droite. Nous passons un bras de la Seine et prenons la passerelle de gauche permettant l'accès à l'île aux Moines. Je tenais à faire le tour de cette ile. Mais je ne sais pas pourquoi.... Longeons le quai, qui peut être plus ou moins animé suivant le nombre de péniches en attente d'un chargement de sable. En bout de l'ile quatre maisons. Ils sont vraiment isolés les habitants ici. Faisons le tour, passons devant le barrage. Nous revenons à la passerelle et prenons la D 29 sur la droite puis le premier chemin sur la droite, en réalité c'est une route permettant l'accès à une carrière.  
En décembre 2016 la carrière des pâtures communales n'est pas encore en exploitation. Ils mettent en place les tapis roulants devant cracher le sable directement dans les péniches qui seront à quai sur le petit bras de la Seine. Ce petit bras de Seine risque de changer, s'élargir pour laisser les péniches faire leur manœuvre. Mais lorsque l'on voit le tonnage d'une péniche on ne 
peut pas être contre... C'est au moins 40 camions de moins sur nos routes.... Donc prenons cette route que je prends certainement pour la dernière fois en toute tranquillité (Nous l'emprunterons dans une autre rando en bassée réalisé en 2015 et ce n'était que champs sans clôture.) Je me faisais la réflexion pourquoi ses bois ne sont ils pas entretenus ! mais cela va 

Faudra attendre un peu, pour ce baigner

certainement devenir une carrière. Nous arrivons à l'entrée de cette dernière. Même si les portes sont ouvertes n'y pénétrez pas. Les chemins sur la carte n'existent plus et un beau lac à été créé par l'enlèvement des granulats. Ne prenez pas non plus le chemin de droite, j'ai cru pouvoir m'en sortir en m'approchant de la Vieille Seine mais je n'ai trouvé que clôture et tapis roulant. Je n'avais pas vu sur la gauche la petite pancarte "détournement du chemin communale. " Nous longeons la carrière sur un très large chemin tracé au bulldozer. J'espère 

Château de Montapot

simplement que ce chemin subsistera lorsque l'autre carrière sera en service. Un lac est en formation. Nous débouchons sur la route d'accès à l'ancienne ferme. Nous prenons à gauche et longeons un immense tapis roulant. Comme c'est notre première carrière de sable que nous contournons, n'essayez pas de passer sous les fils de fer pour vous approcher des tapis roulants. Ils démarrent tout seul suivant le service. Coupons la ligne SNCF à voie unique et nous arrivons sur la D18 que nous prenons sur quelques mètre à droite. Face à la ferme de Changy  [Cette ferme est tout ce qui subsiste avec les

 communs de l'ancien château. Dès 1204, celui-ci est mentionné comme résidence de Philippe de Courcelles, seigneur du fief de Changis. Au XIV^e siècle on parle de l'ancienne maison forte de Changis. Topic http://fr.topic-topos.com/ancien-chateau-de-changy-courcelles-en-bassee ] nous trouvons sur la gauche un chemin permettant de grimper sur le plateau, poursuivons par le premier chemin à gauche et nous arrivons à Courcelles par le chemin du matin.