dimanche 2 avril 2017

Rando en Bassée : La Vielle Seine-Bazoches les Bray – Bray sur Seine – Vimpelle

  La bassée : La Vielle Seine

Bazoche les Bray – Bray sur Seine – Vimpelle

Le projet de La Bassée consiste à retenir les eaux de la Seine au moment du passage de la crue de l'Yonne en pompant et stockant dans des casiers l'eau de la Seine au moment du pic de crue.
Cet aménagement serait constitué d'unités de stockage (ou casier), remplies par pompage lors des fortes crues. Le projet comprend 58 km de talus de faible hauteur qui délimitent 2 300 hectares d'aires de sur-stockage en aval de Bray-sur-Seine au plus près de la confluence. Le volume stockable pendant la pointe de crue de l'Yonne est estimé à 55 millions de m3.
La gestion de l'ouvrage est basée sur une prévision faite en temps réel fixée à 3 jours pour les crues de l'Yonne et de la Seine. L'ouvrage serait utilisé en moyenne tous les 5 à 6 ans, pendant 2 à 2,5 semaines. Cet ouvrage représenterait une baisse supplémentaire de 20 à 60 cm de hauteur d'eau en moins suivant les lieux et les crues. Sa mise en oeuvre au xxe siècle aurait évité au moins 7 milliards d'euros de dommages par débordement en surface. Pour l'avenir il permettra de protéger, de surcroît, de nombreux réseaux souterrains.
L'effet cumulatif des 5 ouvrages contribuera à maintenir le niveau de la Seine en-dessous des niveaux d'apparition des principaux dommages, notamment :
  • une hauteur de 6,20 m à l'échelle d'Austerlitz qui correspond au début de l'inondation du     RER C,
  • une hauteur de 7,40 m qui correspond au niveau des murettes anti-crues en Petite Couronne.
 
Carte IGN    Trace GPS et Topo sans Commentaires       Trace Randogps      

Le code mobile de cette randonnée est b310467

Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici

KM    Temps     Arrêt     V/d       V/g      Dénivelé
33,5     6h10       0h22      5,4        5,1        153+


Décembre 2014

Parking : Bazoches les Bray se trouve sur une petite colline. Une immense place se trouve devant l’église mais je n’ai pas osé me garer à cette endroit d’une part ; il y avait aucune voitures, d’autre part ; pas de marquage au sol, les rues adjacentes débouchaient toutes sur cette place. Je n’ai pas su vraiment ou me mettre.

J’ai trouvé sans problèmes de la place dans la rue principale.

Bazoches les Bray : Le nom de Bazoches :
Il vient de la dénomination latine Basilica juxta braicum, l'époque Romaine, Bray n'existait pas encore. La ville Romaine était à Jaulnes, lieu où la voie Romaine reliant Londres avec Rome, traversait la Seine.
Il fallait attendre le IX siècle pour que la ville de Bray exista. Donc Bazoches est située à coté du brai. Le brai est en Français une matière noire visqueuse ; le goudron de houille ou de pétrole. Comme ni l'un ni l'autre n'étaient connus, il s'agit d'autre chose. Les braies étaient aussi les pantalons des Gaulois. Il est fait là allusion à la terre noire extrêmement fertile des Marais que les Gallo Romains appelaient le brai .
Quant à Basilica, il s'agit de l'endroit où siégeait le basilius ; un magistrat qui rendait la justice.
Bazoches était donc un lieu où l'on rendait la justice à proximité du marais du bas-pays. Voilà l'origine du nom de notre commune.
on trouve des bifaces ou céraunies dans toute la vallée de la Seine .La Seine a dû être jointe à l' Yonne dans un temps ancien , post glaciaire car on trouve dans les alluvions apportés par le fleuve des morceaux de granit rose .Mais il n'y a pas de granit rose dans le bassin de la Seine ,par contre c'est un minéral très courant dans le bassin de l'Yonne .C est la preuve que le confluent n'était pas à Montereau mais bien avant Bazoches à une époque reculée .
Cette information est tiré de l’article : http://mairie-bazoches-les-bray.fr/?q=node/40 et vous y trouverez l’histoire chronologique de la commune.
Nous prenons la rue de Roises sur la gauche, nous passons devant le château d’eau et arrivons à une fourche, prenons la rue se dirigeant vers le calvaire. "Chemin du bout des voies". Nous sommes sur le balisage jaune. Nous passons devant le cimetière. Traversons le Bout des voies ce sont quelques maisons ; certaines devaient être des maisons de week-end et ressemble plus à de grands appentis qu'a une maison de village, quelques aménagements les ont transformées en résidences principales. Nous abandonnons le balisage jaune et entrons dans les champs. Nous abandonnons également le bitume et poursuivons le chemin sur la droite. Nous passons devant la dernière maison et arrivons au canal de dérivation que nous longeons par la gauche jusqu’au pont. Abandonnons le chemin de hallage et grimpons les escaliers, prenons la D77 sur la droite nous nous dirigeons vers la ferme (La Maison de Seine). Abandonnons le balisage jaune. Nous apercevons un étang sur la gauche, puis franchissons un espèce de canal (c’est le méandre communiquant avec la seine et venant alimenter les étangs situés dans les anciennes carrières. Puis nous franchissons la Seine. Nous arrivons à une fourche et poursuivons la D77 sur la droite. Pas trop de voitures sur cette route. Nous apercevons sur les cotés des constructions en ruines permettant de franchir les points bas lorsqu’il y a des inondations.  
A une époque on devait marché beaucoup plus qu’aujourd’hui pour avoir construit ses passerelles en béton aujourd'hui à moitiés détruites….. Signe également que le secteur à toujours été humide. Nous passons deux étangs et trouvons un chemin sur la gauche longeant le second plan d'eau. Nous sommes entre deux carrières. L'une en exploitation, l’autre étant propriété privée. Je modifie mon itinéraire le chemin ayant été changé, si je suis ma trace, faut mettre le maillot de bain. Sur la carte le chemin traverse le plan d'eau. C’est un peut le problème de ses ballades dans la Bassée les chemins changent au grès des carrières. Nous longeons la clôture de l’étang de droite et arrivons sur 

la Vieille Seine à moins que ce soit l’Auxence, [longue de 34,2 km. affluent en rive droite de la Seine.
Elle prend sa source au nord-est de Sognolles-en-Montois et conflue avec la Seine à Marolles-sur-Seine, à quelque six kilomètres en amont de Montereau-Fault-Yonne. À noter qu'elle prend le nom de Vieille Seine à partir de Vimpelles.] Puis nous arrivons à Vimpelles. C’est un petit village qui ma surpris ; [Suite au recensement de Février 2015 : La population de notre village s’élève à 523 habitants pour 270 logements recensés (source ; http://www.mairie-vimpelles.fr/mairie.php
J’ai fais cette ballade au moment de Noël et j’ai eu la surprise de trouver toute les maisons décorées. Décoré de guirlandes, de nœuds, de paquets cadeaux  fait maison. Sur les ponts, les portes, les grilles, des animations avec un manège d’automates, et à d’autres endroits des scènes du passé. Je modifie mon circuit. Je pensais suivre la Vieille Sein, mais je me retrouve à suivre les tapis roulants d'une carrière, pour me retrouver à l'autre extrémité du village. Comme ce dernier est bien décoré autant le 
traverser. Les carrières évoluant avec l'exploitation du sable, je ne suis pas sur que le chemin existera encore dans quelques mois. Après la ruelle de la place prendre à droite la rue de la place de l'église

puis rue de la mairie passant par la cour de l’école – Mairie. Si ce n’est pas l’heure de la récrée ou de la sortie des classes, vous pourrez passer, dans le cas contraire des grilles fermes la rue qui devient cour de récré. Nous débouchons chemin du ru que nous prenons à droite, nous longeons l'Auxence, débouchons à l'angle des rues des fossés et des marais, nous prenons cette dernière à droite,direction de Volangis. [Lors de la campagne de France (1814); des combats eurent lieu le 13 février 1814, au hameau de Cutrelles 

 entre les troupes du maréchal Oudinot et les troupes de la sixième Coalition du général bavarois Carl Philipp von Wrede.] 

Mairie-Ecole ; Rue mais cour de récréation

 

     

 

      

 

 Je n’ai rien trouvé d’autre sur internet pour l’éloge de cette commune. On trouve quelques photos des décos 2014 du village de nuit. Ah, oui j’avais oublié toute ses représentations étaient éclairé la nuit. Alors que le village est hors des circuits touristiques ou des grands axes. Un Habitant ma même dit qu’il faisait également un feu d’artifice….. Ce que je voudrais que mon village ce transforme ainsi. Mais d'année en année les décos disparaisses.

           

Arrivée à la D 213 que l'on prend à droite. Je n’ai rien trouvé d’autre que de la suivre jusqu'à Bray sauf si l’on veut approcher les 40 km. Les alentours étant parsemés d’étangs, qu'ils faut contourner. Attention  c’est la route Donnemarie-Dontilly - Bray ; Elle est roulante, il y a bien un bas coté mais il n’est pas facile à marcher. J’ai failli me faire renverser sur cette route. Etant seul, je marche à gauche pour voir les voitures venir face à moi pour me permettre de me déplacer sur le bas coté, les voitures ne ralentissant pas, n’y ne se déplacent sur la gauche pour me croiser. Et puis un jeune, pourquoi cibler cette catégorie ? simplement parce qu’il y avait un "A" rouge à l’arrière, à doublé une voiture dans mon dos et est venu me frôler, avant de ce rabattre. j’ai cousu sur les lanières de mon sac des rubans rouge fluo qui ballotte au gré de mes pas et sur mon bâton fait maison, j’ai un drapeau orange fluo (ceux des chasseurs) qui flotte au vent. Il est difficile de ne pas me voir. Alors dés que l’on aperçois sur la droite la maison et l’étang, on trouve une petite route qui en fait le tour on peut suivre cette dernière parallèle à la D 213 jusqu’au canal de l’ormes, la nous sommes obligé de reprendre la D. [Ce canal quasiment rectiligne est l'embryon d'un canal qui devait remonter jusqu'à Provins. Entretemps, le chemin de fer est arrivé, et sa nécessité n'est plus apparue aussi impérieuse.
Ce qui en avait été construit a été employé pour amener l'eau de la Seine à l'usine élévatoire des Ormes, d'où l'eau de Seine est refoulée en conduite forcée jusqu'à Provins.
Pourquoi celà ? Parce que l'eau de la Voulzie, à Provins, est captée depuis 1925 pour alimenter Paris ! Pourquoi faire simple...
http://projetbabel.org/fluvial/rica_voulzie-canal.htm

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Photo wikipédia

L'aqueduc de la Voulzie est une canalisation de transport d'eau potable relevant du réseau d'alimentation en eau potable de Paris. Construit en 1925 pour alimenter la capitale en détournant une partie des eaux de la Voulzie et de ses affluents, il rejoint l'Aqueduc de la Vanne entre Fontainebleau et Paris, et fournit près d'un quart de l'eau potable de la capitale.

La longueur de l'Aqueduc de la Voulzie est de 55,4 kilomètres. L'eau de source y est acheminée par simple gravité, à la vitesse de 2,5 km/h. Pour éviter une contamination durant le trajet, une certaine quantité de désinfectant y est adjointe, nécessitant un traitement à son arrivée.
Le canal des Ormes, qui alimente l'usine des Ormes-sur-Voulzie
Afin de conserver un débit suffisant aux rivières captées, un pompage en Seine permet de redonner aux cours d'eau l'équivalent de ce qui en est prélevé. Le pompage s'effectue à l'usine des Ormes-sur-Voulzie, où l'eau arrive via le canal dit "des Ormes". http://fr.wikipedia.org/wiki/Aqueduc_de_la_Voulzie]
Un peu long cette partie de route, juste avant Bray je m'amuse à photographier ma vitesse, pour une fois qu'un radar détecte une vitesse si faible.
Après le canal je prends la petite route sur la gauche en direction de Saint Sauveur lès Bray à l’église nous prenons à droite, hors mis de voir un charment petit village, ce détour évite simplement la D. Ensuite nous sommes obligé de reprendre la D 213, jusqu’au domaine de la goujonne ou nous trouvons un trottoir jusqu'à Bray sur Seine. Au rond point nous prenons à droite la D412 passons le pont sur la Seine  et prenons dès que possible une rue à droite pour rejoindre le quai de la gare en bordure de Seine. Nous passons devant des silos puis trouvons un chemin longent la Seine. Un point délicat à franchir se trouve au niveau de l’ancienne écluse du canal de La Tombe à Bray. Le chemin passe entre l’écluse et la maison de l’éclusier qui est devenu le pôle des voies navigables et nous avons un beau panneau interdit au public. On a une centaine de mètres à franchir en terrain privé. Je l’ai est franchi, on ne ma rien dit. Sur la carte il y a bien une route qui contourne cette voie privé mais il aurait fallut que je face demi tour, je commençais à en avoir mare, le bitume m’avait coupé les pattes.
[l’ancien canal de dérivation BRAY SUR SEINE à LA TOMBE aujourd’hui désaffecté, qui permettait au trafic fluvial avant 1979, d’éviter les boucles ou méandres de la Seine, aujourd’hui, le chemin de halage ou (de randonnée pédestre) inscrit au topo guide est fortement fréquenté. http://www.lions-provins.com/private/gravon.htm].

Poursuivons ce canal et ses écluses en ruines. Nous apercevons sur la rive d’en face une vieille éolienne. Nous arrivons à un pont route nous gravissons les escaliers, je suis étonné j’aperçois une trace rouge et blanche. Je n’ai pas de GR sur ma carte, il y a peut être eu une modification et la balise à été oubliée. Nous passons sur le pont et suivons la route sur notre droite et trouvons un balisage jaune. Nous nous dirigeons vers l’écluse de la grande Bosse nous sommes de nouveau dans les carrières. La route nous fait des virages à angle droit. Nous sommes en plein milieu des carrières en activités et arrivons devant l’écluse, ou je retrouve ma péniche. Ah oui je ne vous l’avais pas dit à Bray une péniche ma doublé sur les bords de la Seine, elle m’a servi de premier plan dans l’une de mes photos. Mais le temps qu’elle face le détour  par les deux méandres je la retrouve à la sortie du canal. Nous avons mis le même temps. Nous suivons de nouveau le cours de la Seine. Nous sommes entre Seine et carrière, nous arrivons à des maisons isolés, quittons la Seine et prenons la route goudronnée menant aux maisons sur la gauche, le balisage est parcimonieux. Nous quittons la route pour prendre un chemin entre deux clôtures sur la droite. Nous sommes toujours entre deux carrières et nous arrivons devant le point central des carrières, devant nous une montagne de sable, trois immenses tapis roulants déversant leur contenu au sommet de ce cône. Nous trouvons sur la gauche un chemin. Nous sommes toujours sur le balisage jaune (je me dis, mais peut être à tord que si la carrière disparaît et devient étang le chemin subsistera, puisqu'il est balisé.) 

  Après un virage nous trouvons un sentier sur la gauche avec des panneaux d’informations. Sur ma carte c’est un sentier dans la  

 campagne, en réalité, il mène à une cabane d’observation des oiseaux venant ce  poser sur cet immense plan d’eau.

J’ai pris ce chemin jusqu'à la cabane au bord de l’eau. A l’intérieur ; deux messieurs appareils photos posés sur la tablette avec des objectifs longs comme le bras. Sur la passerelle menant à la cabane j’avais sortie mon appareil photo de vadrouille pas plus large que ma main, pas pour faire des photos d’oiseaux 

mais pour prendre l’étendu d’eau. Les deux hommes discutaient tranquillement, en attendant que les « Aves » ‘nom scientifique des Oiseaux’(merci wikipédia) ne se posent sur cette immense étendue d’eau. Lorsqu’ils m’ont vu, avec mon bâton et mon immense sac à dos, tenant dans une main un rectangle en plastique aussi large que ma main et de surcroît rouge, ils ont du ce dire ; celui-la ne fait pas partie de notre monde…….Ils ce sont tu, mon regardé de biais, pas même un bonjour, l'air dédaigneux

   

   

en voyant ma petite boîte en plastique. Comme eux je les ai dédaignés. J’ai repris ma route, fait ma photo de l'étang, d’un autre endroit. Comme le chemin fait le tour du lac, j’espère que ma présence à fait poser les plus beaux ou les plus rares oiseaux sur un autre plan d’eau et qu’ils ont fait « chou blanc. » Nous prenons

un chemin sur la gauche, ont s’éloigne de l’étang. Sur notre droite ce n’est pas la Seine seulement un bras d’eau en communication avec elle. On laisse un chemin sur la droite et l’on continue notre balisage jaune légèrement sur la gauche. Nous apercevons une ferme : La maison de la Seine, derrière la départementale 77, que nous prenons à gauche. Il ne faut pas se laisser tromper par la fatigue, le clocher que l’on voit au loin n'est pas celui du village ou est garée la voiture. Au pont passant au dessus du canal nous prenons à gauche le chemin longeant le long ruban rectiligne, on pourrait revenir par le même chemin, mais je n’aime pas

trop cela, alors, je pousse un chemin plus loin, jusqu'à la route. En remontant vers Bazoches nous passons devant un immense lavoir isolé de la ville (pas facile de venir laver son linge aussi loin du village. Nous grimpons jusqu'à la route principale que nous prenons à gauche ou à droite suivant le lieu de notre stationnement.

 



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