C'est quoi le RLPLP que j'appelle également mon périple : Utiliser
principalement les sentiers balisés pour réaliser une grande boucle
autour de la France. Certain l'on fait avec succès seul ou en groupe en
marchant un an et demi d'affilé. Je ne pense pas avoir l'état d'esprit
nécessaire pour réaliser ce parcours en une seule fois. Et puis, ma
femme n'est pas d'accord. J'ai choisi la solution d'une marche de 5
jours de suite. De réaliser mon parcours sur les quatre mois les plus
agréables de l'année ; de Mai à Aout.
Pourquoi Le Plus Loin Possible ? Dans mon projet c'est environ
9000 km et si je ne me suis pas trompé dans mes calculs, il me faudrait
un peu plus de 10 ans pour réaliser le parcours avec sept jours de
marche et 200 km par semaine. Hors, je ne marche que cinq jours, parfois
quatre et ne fait que 100 à 150 km par semaine. Vu mon age, je me dis
que ; d'année en année il me deviendra difficile de réaliser la grande
boucle, mais ce qui est fait ne sera plus à faire et cela m'occupe
l'esprit et me tient physiquement en forme.
Pourquoi Le Plus Loin Possible ? Dans mon projet c'est environ
 | |||||
| En vert les 1439 km réalisé |
Comme chaque année petit résumé.
Ce périple, mijotait depuis longtemps dans ma tête. Durant mes quelques problèmes de santé, je passe de longues heures devant l'ordinateur à tracer et à imaginer ce parcours. Quelques mois avant d'être malade, je m'étais acheté un GPS pour mes promenades courantes et je compte bien l'utiliser.
Mon départ sera Fontainebleau et le GR 2, la rive droite de la Seine jusqu'au Havre. Puis je tournerai dans le sens des aiguilles d'une montre pour revenir par la rive gauche de la Seine GR 26, pour terminer par le GR 11 jusqu’à Fontainebleau. C'est également à ce moment là, que je me suis rendu compte que travaillant à Paris et ayant des chantiers un peut partout dans la proche banlieue, j'avais parcouru le GR 2 sans le savoir, à pieds, en train, en voiture, en camionnette. Comme je n'aime pas trop la ville, que je déteste Paris : Trop de monde, trop de voitures, trop de bruit, trop de calvaire, "pardon souvenirs de travail", je décide de faire un grand bon jusqu'à Triel.
Durant ma convalescence, je reprends des forces en réalisant de « petits parcours, de gare en gare » proche de Fontainebleau et en utilisant les transports en commun Jusqu'à Villeneuve saint gorges pour le GR 2 et Monfort Lamory pour le GR 11. Je suis déjà sur mon parcours cela fait du bien. C'est la, que je me suis aperçu que le GR 11 pouvait servir à contourner Paris et retrouver le GR 2 après Mante la Jolie. Mais c'est une autre histoire. Les traces GPS de la traversée de Paris ce trouve malgré tout dans ce topo. En trente ans d’une visite "obligé et journalière" même si ce n’est pas pour le plaisir, il en reste tout de même pas mal de souvenirs. Internet fait le reste. Alors comme un Jacquaire ; je crie Ultreïa. Toujours plus loin d'année en année.
En 2011, je me lance dans l'aventure. Mon vrai départ pour une rando d'une semaine, fut Triel.
Ce périple, mijotait depuis longtemps dans ma tête. Durant mes quelques problèmes de santé, je passe de longues heures devant l'ordinateur à tracer et à imaginer ce parcours. Quelques mois avant d'être malade, je m'étais acheté un GPS pour mes promenades courantes et je compte bien l'utiliser.
Mon départ sera Fontainebleau et le GR 2, la rive droite de la Seine jusqu'au Havre. Puis je tournerai dans le sens des aiguilles d'une montre pour revenir par la rive gauche de la Seine GR 26, pour terminer par le GR 11 jusqu’à Fontainebleau. C'est également à ce moment là, que je me suis rendu compte que travaillant à Paris et ayant des chantiers un peut partout dans la proche banlieue, j'avais parcouru le GR 2 sans le savoir, à pieds, en train, en voiture, en camionnette. Comme je n'aime pas trop la ville, que je déteste Paris : Trop de monde, trop de voitures, trop de bruit, trop de calvaire, "pardon souvenirs de travail", je décide de faire un grand bon jusqu'à Triel.
Durant ma convalescence, je reprends des forces en réalisant de « petits parcours, de gare en gare » proche de Fontainebleau et en utilisant les transports en commun Jusqu'à Villeneuve saint gorges pour le GR 2 et Monfort Lamory pour le GR 11. Je suis déjà sur mon parcours cela fait du bien. C'est la, que je me suis aperçu que le GR 11 pouvait servir à contourner Paris et retrouver le GR 2 après Mante la Jolie. Mais c'est une autre histoire. Les traces GPS de la traversée de Paris ce trouve malgré tout dans ce topo. En trente ans d’une visite "obligé et journalière" même si ce n’est pas pour le plaisir, il en reste tout de même pas mal de souvenirs. Internet fait le reste. Alors comme un Jacquaire ; je crie Ultreïa. Toujours plus loin d'année en année.
En 2011, je me lance dans l'aventure. Mon vrai départ pour une rando d'une semaine, fut Triel.
Carte IGN Trace GPS & Topo sans Commentaires Trace Randogps
Le code mobile de cette randonnée est b308015
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
A ce jour un peut
plus de 1439 km ont été réalisés.
Je poursuis mon parcourir dans le sud. Au printemps cette région me semble
plus agréable à traverser. Il y fait déjà beau avec une température encore
agréable pour un marcheur.
 |
| L'Arc au Mille |
Cette année pas facile de rejoindre mon point de départ. La gare la plus proche se trouve à Aix en Provence, puis le bus (trois par jour. ligne 27) jusqu'à Riez terminus de ce moyen de transport en mai. Puis un taxi (c'est cher.) jusqu’à Rougon (Point sublime. Départ des gorges du verdon) à partir de juin, il faut changer de bus et prendre celui qui va à Castellane.
Vu le nombre de bus, je couche à Aix et je décide de rejoindre la ville situé à une bonne vingtaine de kilomètres en empruntant le GRP 2013.
Mai 2015
GRP 2013 Gare TGV- Aix en Provence
Lundi 25 mai 2015
km temps arret
v/d v/g dénivelé
27,5 5h11 30mn
5,3 4,8 247 +
Pourquoi faire simple lorsque l'on peut faire compliquer.
C'est le départ, mon sac est prêt depuis une bonne semaine. Nouveau
sac, pas très large, tout en hauteur, il me semble moins logeable que le
précédent pour la même contenance, mais si, tout rentre, il reste même de la
place, beaucoup de place pour la nourriture. Sauf que la toile de tente ne
rentrera jamais. Il fait l'accrocher au dessous, je ne sais comment …. J'ai vu
un randonneur avec le même sac et sa toile en dessous, je réfléchirais le
moment venu. Pour l'instant je n'en ai pas besoin.
Cette année je dois avancer et recoller à mon itinéraire de l'année
précédente. j'ai changé de système, le sud n'a pas eu, de tout l'hiver, le beau
temps qu'on lui prête en temps ordinaire. Pluie, orage, inondations ce sont succédés, alors pour ne
pas avoir le même problème que l'année dernière, j'ai décidé d'aller moins haut
dans les alpes, je contourne les points les plus élevés, en me disant
généralement le vent vient de la mer et souffle les nuages vers la montagne. Si
je reste entre mer et montagne je risque d'avoir de la pluie, mais pas
d'orage. je traverse une barre rocheuse
et je reste entre les Alpes et l’Estérel. Je fais un circuit que
j'appellerais : Circuit des villages perchés.
En attendant. A Aix TGV, nous trouvons le GRP 2013. Dommage il ne comptera pas pour mon périple, mais lors de sa présentation à la télé pour son inauguration, il m'avait bien tenté. J'étais même prêt à prendre deux semaines pour le réaliser, c'est un secteur que je ne connais pas. Son avantage il passe devant les gares de TGV, chemin mi en ville mi en campagne. Faut bien avouer, que les événements dans les quartiers nord de Marseille, quartier qui est traversé par le GRP mon fait renoncer à ce projet.
Ma première déception fut de ne pas trouver le tracé sur la carte
1/25000, sur la carte IGN informatisé. En effet on trouve une trace sur la carte routière mais plus au niveau du dessus.
En attendant. A Aix TGV, nous trouvons le GRP 2013. Dommage il ne comptera pas pour mon périple, mais lors de sa présentation à la télé pour son inauguration, il m'avait bien tenté. J'étais même prêt à prendre deux semaines pour le réaliser, c'est un secteur que je ne connais pas. Son avantage il passe devant les gares de TGV, chemin mi en ville mi en campagne. Faut bien avouer, que les événements dans les quartiers nord de Marseille, quartier qui est traversé par le GRP mon fait renoncer à ce projet.
Ma première déception fut de ne pas trouver le tracé sur la carte
1/25000, sur la carte IGN informatisé. En effet on trouve une trace sur la carte routière mais plus au niveau du dessus.
Je trace donc mon itinéraire gare TGV-Aix par la planche routière, puis
j'essaie de deviner par ou il passe en réalité sur la planche randonneur.
Sur place, à la sortie de la gare, le balisage est bien fait. Sortie du parking sur la route, sorte de rocade autour de la gare, ont le perd. On voit bien une flèche, mais il faut franchir une barrière de sécurité, et puis plus rien, dans la garrigue,
entre la ligne SNCF et la route à grande circulation. Après deux passages autour de la gare, je franchi la
barrière et devine un sentier, plus ou moins en parallèle à la voie express,
puis je découvre quelques balises et l'on arrive à une petite route, la encore, je le perds
et ma trace ne m'apporte pas beaucoup d'aide, elle est dans le bon sens mais je
n'ai pas su trouver ce sentier. Ensuite je prends la route, bien obligé nous
marchons entre deux clôtures. Nous passons par des lieux plus ou moins recommandable, cela dépend ce que l'on cherche. On a les mêmes à Fontainebleau.
Enfin nous quittons ce bitume, pour entrer dans le parc de l'Arbois
[Le massif de l’Arbois forme un vaste plateau de plus de 15 000 ha ceinturé par 3 grands pôles d’urbanisation : celui de l’Etang de Berre, celui d’Aix-en-Provence et celui de Marseille. Ses contours sont globalement délimités au Nord par l’autoroute A8, au Sud par l’autoroute A51, la D6 et la N113, à l’Ouest par la zone industrielle de l’Etang de Berre et la D543 à l’Est.
Le massif de l’Arbois forme un vaste plateau offrant une bonne visibilité (point culminant à 270 m) et bien distinct des plaines qui le bordent. On peut y distinguer globalement 4 entités particulières :
Le massif de l’Arbois est majoritairement soumis à un mistral fort, d’orientation Nord-Ouest/Sud-Est, mais aussi au vent du Sud. Ce massif est situé dans la zone climatologique Provence Littorale (…) Les températures moyennes sur ce massif se situent de 13 à 14.5° C.
La végétation est composée à plus de 65 % par des formations basses de garrigues ou de jeunes peuplements en reconstitution relatifs aux passages des incendies. La grande majorité du plateau central est composée de garrigues basses, alors que les formations forestières “constituées” s’articulent principalement sur les petites collines du Nord et de l’Est et sur la partie Sud du massif. La majorité de ces formations boisées sont constituées de pinèdes à Pin d’Alep adultes, les peuplements feuillus restant très marginaux et limités aux fonds de vallon frais.
Avec une grande diversité de milieux naturels, allant des zones humides du Réaltor et des formations rivulaires de l’Arc et du Grand Torrent aux zones xériques du plateau, le massif de l’Arbois posté en surplomb de l’Etang de Berre fait partie de la Zone de Protection Spéciale (ZPS) du Plateau de l’Arbois au titre de la Directive Oiseaux depuis août 2003.
Le massif englobe aussi la totalité de la zone du Projet d’intérêt Général (PIG) de protection de l’Arbois depuis octobre 2001. Malgré une image de massif dégradé par le passage répété d’incendies et par la forte pression urbaine qu’il subit sur ses franges, l’Arbois présente encore des zones reconnues pour leur grande naturalité faisant l’objet de protections spécifiques.
La fréquentation du massif reste locale : il est pratiqué au quotidien par les habitants des agglomérations voisines qui y trouvent un espace naturel de proximité pour des balades plus ou moins sportives.
Villes aux alentours :
Vitrolles, Aix en Provence, Coudoux, Ventabren, Les Pennes Mirabeau, Rognac, Berre l'Etang, Velaux, Cabriès
[Le massif de l’Arbois forme un vaste plateau de plus de 15 000 ha ceinturé par 3 grands pôles d’urbanisation : celui de l’Etang de Berre, celui d’Aix-en-Provence et celui de Marseille. Ses contours sont globalement délimités au Nord par l’autoroute A8, au Sud par l’autoroute A51, la D6 et la N113, à l’Ouest par la zone industrielle de l’Etang de Berre et la D543 à l’Est.
Le massif de l’Arbois forme un vaste plateau offrant une bonne visibilité (point culminant à 270 m) et bien distinct des plaines qui le bordent. On peut y distinguer globalement 4 entités particulières :
- les cuestas de Vitrolles à Velaux qui marquent la bordure Ouest du plateau et constituent des piémonts escarpés et rocheux, avec quelques vallons et cuvettes agricoles (l’altitude passe globalement de 50 à 60 m dans la plaine à 180 m en rebord de plateau)
- le plateau central du grand Arbois, vaste et tabulaire avec sa garrigue à perte de vue : il est en outre traversé par de nombreuses infrastructures (lignes électriques, TGV, CET d’Aix-en-Provence…)
- les petites collines boisées, culminant à 230-250 m, qui constituent les ourlets forestiers du plateau au Nord, à l’Est et au Sud
- les plaines agricoles situées au contact des collines (bassin de Velaux au Nord-Ouest, plaine des grandes terres au Nord-Est, vallée de Saint-Pons à l’Est et plaine de l’Arbois au Sud-Est).
Le massif de l’Arbois est majoritairement soumis à un mistral fort, d’orientation Nord-Ouest/Sud-Est, mais aussi au vent du Sud. Ce massif est situé dans la zone climatologique Provence Littorale (…) Les températures moyennes sur ce massif se situent de 13 à 14.5° C.
La végétation est composée à plus de 65 % par des formations basses de garrigues ou de jeunes peuplements en reconstitution relatifs aux passages des incendies. La grande majorité du plateau central est composée de garrigues basses, alors que les formations forestières “constituées” s’articulent principalement sur les petites collines du Nord et de l’Est et sur la partie Sud du massif. La majorité de ces formations boisées sont constituées de pinèdes à Pin d’Alep adultes, les peuplements feuillus restant très marginaux et limités aux fonds de vallon frais.
Avec une grande diversité de milieux naturels, allant des zones humides du Réaltor et des formations rivulaires de l’Arc et du Grand Torrent aux zones xériques du plateau, le massif de l’Arbois posté en surplomb de l’Etang de Berre fait partie de la Zone de Protection Spéciale (ZPS) du Plateau de l’Arbois au titre de la Directive Oiseaux depuis août 2003.
Le massif englobe aussi la totalité de la zone du Projet d’intérêt Général (PIG) de protection de l’Arbois depuis octobre 2001. Malgré une image de massif dégradé par le passage répété d’incendies et par la forte pression urbaine qu’il subit sur ses franges, l’Arbois présente encore des zones reconnues pour leur grande naturalité faisant l’objet de protections spécifiques.
La fréquentation du massif reste locale : il est pratiqué au quotidien par les habitants des agglomérations voisines qui y trouvent un espace naturel de proximité pour des balades plus ou moins sportives.
Villes aux alentours :
Vitrolles, Aix en Provence, Coudoux, Ventabren, Les Pennes Mirabeau, Rognac, Berre l'Etang, Velaux, Cabriès
Conditions d'accès
Entre le 1er juin et le 30 septembre l’accès aux massifs forestiers est réglementé par arrêté préfectoral et peut l’être par arrêté municipal, pour votre sécurité et la préservation des sites sensibles. Avant de suivre vos «envies de balade», appelez le 0811 20 13 13. Chaque jour, vous pourrez savoir si le site où vous souhaitez vous promener est d’accès libre toute la journée, ouvert uniquement le matin, ou bien complètement fermé. En fonction des conditions météorologiques le niveau de danger «feu de forêt» (orange-rouge-noir) est connu au plus tard à 18h pour le lendemain.] http://www.visitprovence.com/guide-de-voyage/visites/sites-naturels/provence/29056-l-arbois
Le chemin n'ai
pas trop mal balisé. Au creux de deux vallons nous trouvons le sentier
principale
venant de Marseille. Comme toujours cela manque de panneaux, il y a
bien les traces sur les arbres, mais de belles pancartes expliquent le trajet
et donnant les directions ce ne seraient pas mal. Le chemin est très vallonné. Je
perds de nouveau la trace, dans ce que j'ai pris pour un ancien hôpital, mais ce sont les bâtiments de la technopole de l'environnement. Perdu dans la garrigue, détruire de la nature pour construire des bâtiments pour soit disant en sauver d'autres, je ne trouve pas cela utile. J'ai eu beau faire
demi tour, je n'ai pas trouvé le virage. Faut dire que ma trace partait plutôt à
gauche et plus bas, en évitant ce lieu, alors que le balisage ma fait monter. Dommage ce truc, en plein milieu de ce qui ma apparu le plus jolie de ce parcours. Avant nous marchons sur une route entre deux grillages et après ce sera encore de la route toujours de la route.
N'ayant aucun moyen de rejoindre ma trace sur le chemin en contre
bas sur la gauche, a l'aveuglette je contourne les bâtiments par la droite et
retrouve une marque. C'est le seul passage sans bitume, ensuite on regagne la
route.
Longue route, nous faisant contourner un centre d'entrainement de pompier et un aérodrome, nous arrivons au mille villages ou quartier éloigné d'Aix. On se croit arrivée en passant un cimetière nous y trouvons une pancarte nous informent qu'il appartient à la ville d'Aix, mais non un long détour nous attend, ce n'est que la très grande banlieue d'Aix. On suit quelques instant un court d'eau que nous traverserons. C'est l'arc [L'Arc prend sa source près du village de Pourcieux (Var) à 470 m d’altitude, au pied du mont Aurélien (879 m) et se jette dans l’étang de Berre (Bouches-du-Rhône) par un petit delta. Sa longueur est de 85 km pour une pente moyenne inférieur à 1 %. Il occupe une dépression orienté Est-Ouest. Son bassin versant s'étend sur une superficie de 715 km² couverte par 30 communes dont 15 riveraines du fleuve.
Il reçoit de nombreux affluents, provenant :
internet. Je quitte le balisage pour suivre ma trace, me perd un peut dans
tout ses ronds points, voies uniques sans trottoirs. C'est une erreur, je ne suis que dans la banlieue, je suis fatigué, j'ai
dépassé le kilométrage prévu, j'ai très soif, il fait très chaud. Je ne trouve,
sur ma route que des immeubles, un hôpital me barre la route, encore
un détour, trouve une boutique ouverte un lundi de pentecôte achète trois canettes dont une
de coca (j'en bois jamais) et deux d'oranges. Sur les rotules j'abandonne la
visite de la vielle ville que je commence à entre apercevoir. Je me dirige vers
mon hôtel. Je me perds encore..... c'est à dire que je ne regarde pas mon GPS a chaque carrefour, un fois la trace perdu je ne fais pas demi tour, je cherche à la retrouver tout en avançant, mais pas facile entre les résidences fermées et la citée universitaire !
venant de Marseille. Comme toujours cela manque de panneaux, il y a
bien les traces sur les arbres, mais de belles pancartes expliquent le trajet
et donnant les directions ce ne seraient pas mal. Le chemin est très vallonné. Je
perds de nouveau la trace, dans ce que j'ai pris pour un ancien hôpital, mais ce sont les bâtiments de la technopole de l'environnement. Perdu dans la garrigue, détruire de la nature pour construire des bâtiments pour soit disant en sauver d'autres, je ne trouve pas cela utile. J'ai eu beau faire
demi tour, je n'ai pas trouvé le virage. Faut dire que ma trace partait plutôt à
gauche et plus bas, en évitant ce lieu, alors que le balisage ma fait monter. Dommage ce truc, en plein milieu de ce qui ma apparu le plus jolie de ce parcours. Avant nous marchons sur une route entre deux grillages et après ce sera encore de la route toujours de la route.
N'ayant aucun moyen de rejoindre ma trace sur le chemin en contre
bas sur la gauche, a l'aveuglette je contourne les bâtiments par la droite et
retrouve une marque. C'est le seul passage sans bitume, ensuite on regagne la
route.Longue route, nous faisant contourner un centre d'entrainement de pompier et un aérodrome, nous arrivons au mille villages ou quartier éloigné d'Aix. On se croit arrivée en passant un cimetière nous y trouvons une pancarte nous informent qu'il appartient à la ville d'Aix, mais non un long détour nous attend, ce n'est que la très grande banlieue d'Aix. On suit quelques instant un court d'eau que nous traverserons. C'est l'arc [L'Arc prend sa source près du village de Pourcieux (Var) à 470 m d’altitude, au pied du mont Aurélien (879 m) et se jette dans l’étang de Berre (Bouches-du-Rhône) par un petit delta. Sa longueur est de 85 km pour une pente moyenne inférieur à 1 %. Il occupe une dépression orienté Est-Ouest. Son bassin versant s'étend sur une superficie de 715 km² couverte par 30 communes dont 15 riveraines du fleuve.
Il reçoit de nombreux affluents, provenant :
- du massif du Mont Aurélien comme l'Aubanède ou le Longarel
- du massif de la Sainte-Victoire (1011 m), notamment la Cause, le Bayon, l'Aigue-Vive, et la Torse
- du versant nord-ouest de la chaine de l'Étoile (779 m) principalement la Luynes et le Grand Vallat de Cabriès]
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| Oui ce n'est qu'un rond point, mais fort bien aménagé en banlieue d'Aix |
Promis la prochaine fois, je cherche un autre moyen pour rallier la gare
TGV à Aix en Provence. Déçu, très déçu, je ne sais même pas si ce chemin vaut le coup
d'être fait une fois. En juin je parts
de nouveau d'Aix, je ferais le trajet en bus, ce qui me permettra de visiter la
ville.
Pour retrouver toute mes randos itinérantes
Vous trouverez toute mon Périple en cliquant sur le lien ;
https://randosacaudos.blogspot.com/p/mon-periple.html
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