jeudi 5 février 2015

Le Tour des Sentiers Balisés de Fontainebleau : Etape 3

Tour des Sentiers : Etape 3 

janvier 2014


Carte IGN                    Trace GPS et Topo sans commentaires

Trace Randogps                      Le code mobile de cette randonnée est b306796
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici


 KM       Temps          Arret        V/d          V/g      Dénivelé
  34          7h06           1h12         4,8           4.1         575 +


Départ :
Samois sur Seine : Parking à la sortie de Samois route de Fontainebleau (rue du général Leclerc) D 137 en direction de Fontainebleau. Le parking se trouve à gauche à la sortie du village (maison forestière sur la droite avec du grillage) le parking se trouve sur la gauche entre le mur en pierre et la foret.
Nous partons en suivant le sentier jaune N°13 qui longe la maison forestière. Après avoir coupé la route Farwell, nous laissons une branche du sentier jaune sur la droite faisant la liaison avec le sentier N°15. Nous passons sous le pont de la ligne de chemin de fer et continuons le sentier N°13, coupons la route de Bourgogne (D138) et nous commençons à grimper dans le Rocher Cassepot, nous arrivons à la Tour Denecourt, ou nous avons une belle vue sur Avons.

 [Construite en 1851 par Claude-François Denecourt, la tour est inaugurée le 23 novembre 1853 par Napoléon III et l’impératrice Eugénie. Ecroulé en 1878 suite à un tremblement de terre, elle fut rebâtie par Claude Charles Colinet grâce à une souscription public.] (Denecourt fut le créateur des sentiers de promenade à Fontainebleau)
Reprenons notre chemin en prenant le sentier bleu N2 sur le coté gauche des blocs rocheux, malgré les aménagements il n’est pas facile à suivre mais fait passer devant de gros bloc de grès. Nous laissons le sentier  bleu N°2 descendant sur la gauche par un beau chemin pavé (de bonnes attentions) continuons dans les rochers. Le chemin est un peut moins bien balisé dans les rochers nous passons plutôt sur la droite de la crête ou nous trouvons un sentier mieux tracé le bleu N°3. En bout du rocher nous descendons quelques marches et coupons la route goudronnée Jean Bart (fermer à la circulation) continuons en face avant de couper la D 116 nous passons devant un énorme rocher avec un très bel avaloir en forme d’ovale que nous appellerons le miroir magique. Après la D116 nous suivons la route de la vallée de la solle. Le bleu est légèrement sur la gauche. Au carrefour il monte en biais vers les rochers feuilletées. Sur la crête nous suivons le sentier serpentant dans des rochers aux formes bizarres (comme si la mer avait creusée le base des ses pierres) Nous passons devant des mares de platière et arrivons à un point de vue sur la Brie.  Par beau temps nous apercevons, sur la gauche le sommet des immeubles de Melun nord et les antennes de Saint Assise. 
[Les Antennes de Sainte Assise : Son antenne était portée par 11 mâts de 250 mètres et 5 mats de 180 mètres. À son inauguration en 1921, l'émetteur était le plus puissant au monde et balayait une zone s'étalant entre les Amériques et le Japon.
En novembre 1921, y fut réalisé la première retransmission radiophonique française. Par la suite, le site a été un centre d'expérimentation pour la télévision.
Réquisitionné par la Kriegsmarine en 1941 pour permettre les communications entre Berlin et les U-Boots. Paradoxalement, Sainte-Assise n'a pas souffert des bombardements alliés et toutes les antennes ont survécu.
Le 1er janvier 1954, les PTT reprirent ces installations.
En 1991, une partie de la station est vendue par France Télécom à la Marine nationale, Centre de transmissions marine (CTM) de Sainte-Assise, pour les communications non-confidentielles avec les sous-marins. Le site, inauguré en 1998, est devenu un terrain militaire surveillé par une compagnie de fusiliers-marins.
Un mat de 250 mètres non relié à l'antenne reste la propriété de Globecast, filiale de France Telecom qui est désormais le propriétaire du téléport de Sainte-Assise. Il sert de support à de multiples antennes et émetteurs (GSM, satellites...). De plus une partie du site héberge station de liaison vidéo/audio avec les satellites de France-Telecom.En décembre 2000, 3 mats inutilisés de 180 mètres ont été détruits.]
Face à nous, après une boucle de la Seine, la Brie avec ses deux petites cheminées à l'horizon, qui parfois, suivant la luminosité voir la visibilité nous apercevons les torchères de la raffinerie de Grandpuits. Continuons le sentier bleu jusqu'à la rencontre d’un sentier jaune sur la droite : Le N° 14. Ici cela se complique un peu. Beaucoup de sentiers, le jaune, le bleu, des chemins non balisés crée par les vététistes, les promeneurs. Avant c’était plus simple il y avait le GR aujourd’hui disparu ou relégué loin de ce site. Suivre la flèche bleu en continuent tout droit vers le petit rocher. Le sentier descend. Plus bas nous trouvons de nouveau le sentier bleu que nous prenons à gauche après avoir serpenter dans les rochers, on quitte le sentier à la rencontre d'un chemin, au moment ou le bleu monte. Nous prennons le chemin qui descend direction SSO. Dans le bas, nous trouvons la route du Fouilloux et de la vallée de la Solle.
 A partir d’ici, nous nous éloignons franchement de notre point de départ. Jusqu'à présent nous serpentions en arc de cercle maintenant nous avançons franchement vers notre second Départ. Nous prenons la route sans nom ancien GR, qui me semble t’il s’appelait route Amélie, nous arrivons à la D606 que nous traversons et l’on prend en face le chemin qui se trouve dans la parcelle biologique intégrale toujours notre ancien GR. Cette partie peut être dangereuse par grand vent. En effet non entretenue, les arbres sont devenus fragiles. Par temps venteux, il vaut mieux suivre la D606 sur la droite puis à gauche, la route goudronnée menant à l’hippodrome. Devant celui-ci nous trouvons un balisage jaune que nous suivons en partie. Continuons notre ancien GR qui n’est pas aussi rectiligne que la trace sur la carte. Encore bien marqué au sol nous arrivons à le suivre. C’est dommage que ce sentier est disparu ainsi que le GR c’était le diverticule du GR 1. il était intéressant. Partant de la gare de Fontainebleau, il permettait de rejoindre la gare de Bois le Roi en passant par le fort des moulins et le sentier des fontaines, la tour Denecourt, le cassepot, la vallée de la solle et il retrouvait le GR 1 vers le Cuvier ou l’on reprenait cette branche passant par la Gare de Bois le roi. C’était une bonne promenade de la journée. Il est difficile de suivre le sentier sans traverser l’espace bivouac. Puis nous contournons la maison forestière, la nous trouvons un sentier jaune. Ça me fait un peu mal au ventre : on a viré un bel itinéraire de rando pour le remplacer par un petit circuit sans intérêt autour d’un hippodrome. Au départ je pensais que c’était pour raison de faire respecter la réserve biologique intégrale, mais non, on crée un nouveau sentier et en plus des affichettes (2014) nous informe que l’on va sécuriser les abords de se parcours… Alors pourquoi ce n’est pas fait sur d’autres routes forestières traversant ses parcelles en friches ? 
Après les bâtiments de l’hippodrome nous quittons le sentier jaune pour suivre sur la gauche la route Amélie (elle ne se voit pas beaucoup) attention à cette route qui fait un angle aigu. Si l’on se trompe et que l’on grimpe trop tôt les hauteurs de la solle, nous traverserions la réserve intégrale. Il restera à faire demi tour ou de suivre sur la droite la route goudronnée. En suivant la route Amélie nous restons sur la plaine et avons encore de très beau hêtres, parfois sur le tronc, il subsiste quelques traces bleu du sentier Denecourt d’origine faisant le tour de cette Vallée. Avant 1999 j’ai eu la chance de pouvoir parcourir ses sentiers, ils étaient intéressants, malgré certain passage dans le houx ou nous nous piquions, "Denecourt ou ses successeurs avait bien travaillé.", Rochers, fontaine, arbres étaient remarquable. Après la tempête il est devenue difficile de si promener du aux nombreux arbres en travers. Ce sentier n’avait rien à voir avec le tracé actuelle du sentier bleu 4/5 qui vient d'être modifié et suis la route goudronnéeCe dernier suivait la route des ligueurs et se trouvait en pleine réserve. Il a été modifié et vient sur les hauteurs de la solle, mais sur la route goudronnée (interdite à la circulation.) Qu’elle différence, puisque le goudron se trouve également en pleine réserve  ……?  et qu'il ne passe pas au rocher des deux sœurs, au belvédère Ingres et autres points marqués de l'estampille Denecourt.  Ca me fait toujours mal au ventre de voir des randonneurs suivre le bitume dans cette foret ou nous y trouvons toujours un chemin parallèle à ce ruban noir. Grimpons la route des Accords, pas facile. Sur le plateau nous continuons tout droit vers le carrefour du Grand Veneur traversons la D 607, bien aménagé pour le randonneur. Je suis la D 301 (route ronde) sur une bonne centaine de mètres jusqu'à un petit parking ou nous rencontrons le sentier bleu N° 6. L’une des branches suit la route du Bois (que nous ne prenons pas. C’était le retour de l’étape 2) l’autre part sur la droite dans la bruyère. Arrivée à flanc de platière, le sentier devient moins facile et serpente dans les rochers. J’aime bien ce coin, encore préservé des aménagements honteux que l’on trouve de l’autre coté des gorges. Nous trouvons sur la droite, la branche du sentier bleu 6-6 qui descend dans les rochers. Nous le prenons en faisant attentions de ne pas chuter dans la descente. Nous traversons la route de Milan, grimpons en face dans les rochers. J’aime bien ce passage. Dans la monté nous avons un rocher posé sur un autre, il me fait pensé à un requin surveillant le passage. Oui c’est dans mon imagination. Vous n’y verrez certainement que des grains de sable collés par de la silice formant une colonne posés sur un autre amas de grains de sable. M’oui, vu comme ça la foret de Fontainebleau et  ses rochers, sont beaucoup moins romantique. Il faut bien faire attention avant d’arrivée au sommet de la dune au gouffre  un avaloir (trou) dans un rocher au raz du sol. Ce trou peu être dangereux. J’suis même étonné que les nouveaux moralisateurs, sous prétexte du principe de précaution…. n'ai pas bouché ce trou ou que des barrières ne soit pas posées. Oui je me moque cela ne s'appellerait plus le sentier des gouffres autrement. Les faut randonneurs BCBJ qui sortent des restos de Barbizon ne vont pas aussi loin, les parkings drainant la foule sont à l'opposé rare sont les gens (pardon touriste) passant par ici. Oui, je me moque encore. En dessous de se trou il y a, ou avait, une petite caverne qui communiquait. Le temps étant très, très humide je n’ai pas recherché le passage, qui, si mes souvenirs sont exactes, ont doit ramper, et aujourd’hui, ce serait en sortir, trempé et boueux. Ensuite nous passons la mare aux sangliers le circuit serpente sur la platière et fait un brusque virage à droite. (le chemin à été dévié avant il passait par les points 135 et arrivait au point 95 on aperçoit encore le sentier) on a du juger la descente trop risqué peut être le ravinement : principe de précaution, encore et encore. Mais le nouveau chemin vaut le coup. Nous passons non loin d’une ancienne carrière et une
Carrière au Cassepot
 vallée se dessine sur la gauche. Nous rencontrons la route du chaos d’Apremont. (En 2014, je me suis rendu compte que le sentier bleu était à nouveau modifié. Il ne passe plus dans cette vallée, il continue tout droit). Aujourd'hui il continue à serpenter entre les rochers et la bruyère nous coupons une route et arrivons à la borne Pépin [ la borne évoque la mort du charretier E. Pépin, écrasé par sa voiture] Nous revenons sur nos pas et prenons le sentier avant la borne qui nous fais suivre le banc de coupe ou nous trouvons une seconde stèle. Nous débouchons sur un chemin un peu plus large que nous prenons à gauche sur quelques mètres puis de nouveau un petit sentier sur la droite nous faisant découvrir les chaos rocheux, nous serpentons en suivant la crête. Nous sommes toujours sur le sentier bleu. Nous rencontrons la route Hauchepot que nous prenons à gauche. Nous descendons dans un beau vallon. Nous retrouvons la branche principale du sentier 6 que nous prenons à droite. Nous laissons un nouveau sentier de raccordement sur la gauche et prenons la branche principale sur la droite, nous passons devant la mare aux biches, certain passage ne sont pas facile, nous arrivons à la caverne des brigands. Caverne qui fait toujours rêver les petits et grands enfants. Cela fait longtemps que je ne suis pas entré à l’intérieur et ce n’est pas encore aujourd’hui que je le ferais, je risque d’en ressortir fort sale. En tapant sur un moteur de recherche j'ai trouvé l’histoire de cette caverne (j’aurai pu chercher dans le dictionnaire de la foret) mais j’ai
Point de vue du Cassepot
préféré trouvé une histoire mis au goût du jour et j’ai trouvé un article du Parisien daté de 2005, j’ai bien aimé le style : Sauf la fin, c’est triste de tarir des rêves. Le dictionnaire est pire que cela, il ne donne aucun sens aux rêves.
  C'EST un lieu incontournable de la forêt de Fontainebleau : la caverne des Brigands est le best-seller des touristes et des randonneurs. Tout y est rassemblé pour en faire un endroit emblématique de la forêt : une grotte où l'on ne rentre qu'accroupi, armé d'une lampe de poche, mais facilement accessible. Un endroit mystérieux où la rumeur prétend qu'un trésor aurait été caché par une célèbre bande de voleurs.
[Un petit bout d'aventure à Barbizon.
D'ailleurs, c'est ce que viennent chercher Thomas, 6 ans, Capucine, 4 ans, et leur papa. D'après Thomas, « c'est sûr, il y a une pierre au milieu, le trésor est en dessous ». Pour les petits, l'histoire est merveilleuse et la quête passionnante. D'après la légende, cette caverne des Brigands aurait accueilli une bande de voleurs, dirigée par le cruel Thissier, pendant le règne de Louis XV (ou Louis XIV selon les guides). En fait, il n'en est rien. Pas de voleurs et, avant 1845, pas de grotte non plus ! L'histoire de la caverne des Brigands est celui d'une gigantesque arnaque, particulièrement bien organisée. En 1845, Claude François Dénécourt, le créateur des sentiers bleus de la forêt de Fontainebleau, organise des excursions à Barbizon pour des riches touristes parisiens et anglais. Le village des peintres attire déjà les foules. Dénécourt décide de mettre
en valeur la forêt proche du village et mise sur le pittoresque. Il engage le tenancier de la buvette pour qu'il lui creuse... une caverne, montée de toutes pièces. Il invente alors une histoire de brigands, afin de faire frémir sa riche clientèle. Et ça marche, même cent soixante ans plus tard.] Voila comment occuper un après midi avec ses enfants ! c’est tout de même mieux que la télé ou les jeux vidéos. Et puis le soir, ils n’ont certainement pas demandé à veillée. Ils se sont endormi en rêvant de trésors, de rochers, et ils ont dans leur songes réinventés l’histoire de la bande des brigands de la foret.
Ensuite j’aime beaucoup moins les aménagements réalisés par nos émules sortie, peu être..... des écoles d’aménagements paysagés ou de l’environnement. Ce n'est pas fameux. On se croirait dans un parc d'attraction sur le déclin.
 Afin de supprimer le ravinement dans ce lieu fort touristique qui se dégradait, d'années en années, on a rien trouvé de mieux que de réaliser un escalier en palette de bois. Qui à dut couter fort cher. De percer les rochers classé UNESCO pour y accrocher des fils de fer, afin d'essayer de tendre un grillage qui ne tient pas accroché, qui n'est pas tendu, qui gondole. C'est affreux. Et nous sommes dans un site classé, foret d’exception. Exception pour tout. La foret a une "palette" de protections de titres, aussi large que les décorations d'un militaire sur sa poitrine au retour d'une mission durant la guerre froide, (17 circulaires me semble t'il, protège notre foret) et je trouve que cela, va de mal en pis. Nous sommes dans le pays du grès, des aménagements composés d'escaliers avec des marches en pavés auraient été plus esthétique. On sait le faire, ou l'on savait ; les cent marches à Coquibus, et également d'autres aménagements que je n’oublie jamais de signaler dans mes promenades. Oui cela aurait coûté plus cher, mais cela aurait été plus jolie, en adéquation avec le lieu, et n'aurai certainement pas servi de piste de descente au VTT. Et puis demain, se bois va pourrir, oui, c'est de l'imputrescible, mais au bout d'un moment il va devenir  glissant par les lichens qui vont essayer de le détruire, alors on va fixer un grillage, qui sous le martelage des semelles va se dégrader devenir dangereux et faire tomber le promeneur qui se prendra les pieds dedans. Le grillage à déjà été installé sur d'autres aménagements, et j'ai risqué la chute en me prenant les pieds dans le tapis. Notamment sur les marches à Larchant. (Du grillage à déjà été installé sur le parcours jaune des ravinements. Qu'elle idée saugrenue de créer un sentier de promenade dans un lieu dégradé et fréquenté, alors que d'un autre coté on boucle le site. Mais ce n'est pas le pire, en parcourant le GR 32 à Buthier, il ont fait mieux ce n'est pas un escalier, mais un plan incliné, esthétique, avec des courbes. Un sacré chemin  pour Vététiste. Bon, on est dans un site naturel sacrifié pour construire la base de loisir. C'est peut être pour les poussettes et certainement les fauteuils roulants, mais une fois en haut nénies que du sable pas facile de rouler.  Je m’égare. Continuons notre descente et arrivons au bas Bréau. Mais ce n'est pas fini, on a crée un sentier des peintres passant autours des derniers beaux arbres du coin, beau car vieux, mais vieux, veut dire dangereux, fragiles alors principe de précaution on plante des barrières autour, (au lieu de planter de nouveau arbres, qui deviendrons gros et beaux pour nos arrières petits enfants.) afin d'empêcher le touriste de prendre une branche sur la tête. Peut être que si ses arbres avaient été remplacés il y a …... fort longtemps, aujourd'hui nous 
aurions de jeunes- et future vieux arbres saint, à la place de vieux arbres dépérissant. En figeant une trop grande surface de paysage par des parcelles ou les peintres du 19ème aimaient venir, nous n'avons deux cent ans plus tard, pas sut renouveler leur patrimoine. Et puis il y a toute ses palissades en claustra qui détruisent le paysage. Parc d'attraction. Affreux. En 2020 il y en a un peu moins. On a le parking, on a les barrières à quand la billetterie ? J'ai découvert il y a fort longtemps, l'histoire de la foret  en lisant « Le massif de Fontainebleau » écrit par Loiseau la version des années 1950, « j'suis' » un peu influencé. En 2014 j'ai trouvé la même chose du coté de la croix du calvaire. Manque plus qu'a entourer chaque arbre et chaque rocher car tout est dangereux. Interdire la foret. Ouvrir un immense centre avec structure en bois (ça fait écolo) super informatisé avec fauteuil confortable lunette 3 D, et c'est partie pour une rando, un parcours VTT, ou un peu de varappe en toute sécurité assis dans un fauteuil. Pour faire participer les communes riveraines de la foret, on pourrait construire le même type de maisons avec le même système et on appellerait cela : les maisons du bornage afin de répartir les plus ou moins 13 millions d'adeptes de la foret tout autour de cette magnifique clôture en bois autorisant l'entrée à quelques privilégiés moyennant un billet d'entré fort chère. A quand des principes de précautions réaliste ? On sait renforcer des sentiers comme l'aurai fait Denecourt, la preuve, sur le sentier 2, après les fontaines. Chemin qui se ruinait, aujourd'hui parfaitement réparé. C'est, bien fait, jolie et durable. Fuyons très rapidement ces lieux trop touristiques, laissons le monument Rousseau- envahie de palissades, contournons Barbizon et nous arrivons rapidement au rochers de l'éléphant. Le sentier arrivant par le coté nous ne le voyons pas. Il me semble qu'avant le sentier longeait les propriétés et arrivait perpendiculairement à ce rocher, ce qui attirait l’œil. Ce bloc de grès avec ce jambage plus fin en avant, venant ce planter dans le sable, donne vraiment l'impression d'un animal. Aujourd'hui le sentier me semble passer un peu plus dans le fouillis de ronces (pardons taillis). Lors de promenade j'évite tout ce secteur trop de monde, et je ne me souvient plus très bien ou il passait. Un peu plus loin sur la gauche un chêne c'est collé à un autre arbre. Nous grimpons le sentier des artistes. A partir de maintenant tous nos pas nous rapproche du parking. Sur la crête nous rencontrons le GR  qui vient de la gauche, continuons nos traits bleu serpentant entre les rochers. Nous passons devant le point de vue des gorges d'Apremont. Au carrefour André Billy : Belle vue (pas trop sur les gorges il y a trop d'arbres et cela nivelle un peu l'impression de vallée mais au loin le Cuvier Chatillon. Le GR nous abandonne en partant à droite, mais nous rencontrons le TMF continuons tout droit le sentier 6 et le TMF.
Attention au gouffre


  Le sentier descend vers la foret de Broséliande. Nous passons sous un hêtre dévasté. Pourquoi Broséliande ? Lors du tournage du film Astérix et Cléopatre la scène ou Numérobix arrive au village gaulois en traçant son chemin dans la neige, cette scène fut tournée dans ce secteur. On se promenait avec ma femme et l'on se demandait la raison de ce bruit, de se monde de ces camions, de ce tapis blanc partout sur les arbres et au sol.... C'était impressionnant. Je pense qu'il n'avait pas prévu des promeneurs sur le sentier car personne, nous a interdit d'arrivée, mais ce n'était peut être pas le temps du tournage, après nous n'avons pas pu nous approcher. Nous avons de vieux arbres autour de nous, et coupons la route de Sully. Ici aussi on a le principe de précaution et des barrières en planche un peu partout pour éviter au promeneur de s'approcher des derniers arbres fragilisés par l'âge. C'est sur, s'ils ont connu Sully...... sont pas jeune ! Trêve de plaisanterie. Le TMF nous quitte. Nous arrivons à l'intersection du sentier avec le 6-6 nous le laissons sur la gauche, continuons le sentier principale sur la droite, nous sommes sur la platière. Nous trouvons de nouveau un escalier sur la gauche et un sentier jaune baptisé sentier des érosions. Sur cet affreux escalier en palette je constate qu'il a été mis du grillage pour éviter de glisser, et qu'il est déchiré par endroit. Cet été, je suis certain que quelques promeneurs du « dimanche ou autres » chuterons. Souvenez vous, je vous l'avais dit : après les palettes, le grillage...... De plus nous en sommes fier. On crée un sentier érosion, on fait passer des promeneurs, là, ou il ne faudrait personne.

  De l'autre coté, on a essayé de tendre du grillage pour éviter le public, ici on l'attire. Je ne comprend plus ma foret. Je ne comprends plus les gens qui la dirige. Ici Il aurai fallu laisser uniquement le sentier bleu qui passe sur le plateau, stabiliser le sable avec des rondins ou un escalier bien raide en pavés de gré et surtout ne pas réaliser de publicité sur ce lieu. Réduire la taille du parking qui se trouve à trois cent mètres de la, ou fermer la route menant à ce parking. Cela aurai limité les promeneurs naturellement... En vélo on aurai pu emprunté cette route goudronnée et réaliser une belle promenade sans voiture, puisque de toute façon cette route est fermer dans ça dernière portion. Et la on aurai protégé efficacement ce lieu, seul quelques randonneurs et non plus des promeneurs en mal de digestion, seraient venus voir les gorges. 
Reprenons notre sentier bleu qui descend en serpentant dans les rochers nous arrivons sur une route que nous prenons à droite (généralement on se laisse embarquer dans la descente) le sentier remonte un peu dans les rochers, et dans ce cas nous trouvons les traces bleu) (attention à ne pas prendre le raccourcie 6-6 qui descend) Remontons la route du milan et plus haut nous trouvons l'intersection sur la gauche vers la Gorge des Néfliers. Nous arrivons à la route des Gorges au Néflier, nous rencontrons une branche du sentier 6-7, continuons le 6 qui traverse la route. Nous rencontrons le sentier 7 venant sur la droite. Nous passons dans une parcelle en pleine régénération. Nous coupons la route ronde et l'on prend en face la route du château, je découvre sur un poteau routier un auto collant de Saint Jacques de Compostelle...
Étonnant, il est seul (un second passage m'en a fait découvrir d'autres) je ne pense pas qu'une section passe par ici, le circuit 665 ce trouve en Essonne parfois commun au GR 11  et suit en grande partie le GR 32 c'est me semble t'il la branche  Paris Orléans. Je n'ai jamais lu un ouvrage sur la foret décrivant "LE CHEMIN" passant dans la foret. Mais je n'ai pas tout lu. Pèlerinage, oui, Butte Saint Louis-Franchard, mais cette nouvelle trace ne passe pas par ses points. En bourgogne, j'ai été surpris par ces autos-collant commun avec le GR 2. Aujourd'hui j'en ai l'explication. La surprise provient également que sur la carte IGN, nous ne retrouvons pas le tracé. Normale cette branche est toute neuve, alors avant que l'Istitution se réveille, vous serez déjà revenu de Compostelle en faisant l'allée et le retour à pied. Il (l'ign) en profitera peut être pour mettre la modif du GR 1E à jour. Donc rendez-vous en 2018 ou 19 sur nos cartes préférés pour constater la mise à jour. 
Malgré le pseudo de mon adresse internet, je ne suis pas un adepte de ce parcours. Je cherchais un nom en rapport avec ma passion : la marche. Je n'ai trouvé que celui ci. Aujourd'hui j'aurai choisi CHEMINEUX attention pas cheminot (je préfère chemineux à cheminot : En français oral, cheminot fut d'abord utilisé pour désigner un ouvrier parcourant les chemins pour trouver du travail, un vagabond, un mendiant errant dans les campagnes [définition du dico]). Je comprends que sur un C.V. de randonneur, un Saint Jacques, les GR 5, GR 10, GR 20 (complet et en une seule fois) cela mérite le respect. Moi je préfère des chemins un peu moins glorieux et plus solitaire comme le GR2 entre Sens et le Havre, GR 21 Entre le Havre et le Tréport, GR 32 entre Seine et Loire, GR 120 de Quend à Graveline. d'autres sont en cours de réalisation (GR 128-121b). Les GRP Thibaut de Champagne, de la Vanne et du Lunain. cela sonne moins bien surtout lorsque l'on marche que 5 à 6 jours de suite. D'ailleurs je le vois bien dans les conversations : Lorsque l'on vient sur le sujet et que j'annonce le GR en cours de réalisation, il y a un blanc. En face on me parle de treck à l'autre bout du monde, et... il y a toujours le chemin. l'avez-vous fait. HA non !!! et il ne intéresse pas. La conversation tourne cours. De toute façon je leur dis que je ne fais pas de treck, mais des randonnées. Un peu rétro le mec. Pour en finir avec ce monologue, je ne suis pas attiré par le chemin parce que l'on en parle de trop, parce qu'il y a trop de monde, et ce n'est pas le dernier livre que j'ai lu sur le parcours entre Hendaye et Compostelle par la voie du nord qui ma fait changer d'avis.
Après recherche voici ce que j'ai trouvé sur internet pour la traversée de la foret

" Pèlerins de Saint-Jacques de Compostelle ".
  • Notre association d’anciens pèlerins, s’est donné comme but d'aider les futurs pèlerins à se préparer pour cette grande aventure par la transmission des expériences acquises et permettre aux pèlerins passants en Île-de-France de rejoindre les différentes voies vers Compostelle et particulièrement. La voie de Vézelay par le chemin traditionnel des bords de Seine et de l'Yonne.
  • Aujourd’hui, les étrangers qui arrivent à Paris doivent prendre divers transports pour rejoindre Arles, Le Puy en Velay, Tours ou Vézelay. Nous leur proposons de partir directement de Paris, de l’emplacement traditionnel de la Tour Saint-Jacques, vers Vézelay puis Saint-Jean Pied de Port ou Le Puy-en-Velay, Arles, etc.
  • Nous avons revu la voie de Vézelay en la faisant passer par les lieux traditionnels de Barbizon, Fontainebleau, Moret sur Loing, Sens, Joigny, Auxerre, Vézelay en seulement 250 km avec hébergements.
http://www.paris-vezelay-compostelle.org/index.php?option=com_content&view=article&id=2&Itemid=142
Dommage il n'y a aucune trace sur la carte et le site n'en donne pas sans inscriptions. C'est la première fois que je vois ce parcours, mais cela ne fait qu'un an qu'il a été tracé. Comme tout ce qui touche à la foret m’intéresse, j'ai cherché un peu. J'ai suivi en vélo le tracé de Fontainebleau à Moret. Je l'ai perdu à Ecuelle certainement à cause des travaux. Je n'ai pas aimé la traversé de la foret, suivre la ligne de chemin de fer d'Avon à Moret, pas terrible. J'ai quelques interrogations. Est-ce vraiment le chemin Traditionnel ? Il me semble qu'au Moyen Age on devait trouver à Melun, une grande ville. Ponts, gîtes et couvert, cela me semble plausible. Mais pourquoi Barbizon ? Aujourd'hui connu pour ses peintres mais à l'époque ..... Vers l'an 800 (cette date étant la découverte de St. Jacques) ce n'ai qu'un petit bourg entouré de buissons pour se protéger des loups (c'est pas moi qui le dit, mais l'histoire du village que j'ai lu sur un site internet) Pourquoi prendre le risque de traverser ce désert (à l'époque la foret n'était pas comme aujourd'hui) et risquer de mauvaises rencontres (mercenaires en mal de contrat entre deux guerres, bêtes sauvages, et, la peur, la peur des légendes, des montres habitants la foret) pour se rendre à Fontainebleau qui n'existe pas ou peu. Il y avait bien le château. Château en construction, mais lorsque le roi n'y était pas, Fontainebleau ; ce n'était presque plus rien. La construction de l'église débuta sous Henri IV, mais dura deux siècles. Je n'y est pas trouvé de pèlerinage, n'y d'ossuaire de décrit sur internet. Revenons à notre parcours, qui longe la ligne SNCF, pour arrivée à Moret par la petite porte. J'aurai préféré arrivée par la porte de Samois et sortir par la porte de Bourgogne. Je pense qu'au Moyen Age c'était le passage obligé et aujourd'hui c'est tellement jolie. De plus cet itinéraire ne passe pas par les bords de Seine.... Alors chemin traditionnel en bordure de la Seine...... Revenons à Melun et suivons la Seine par le GR 2. Nous trouvons Samois qui à l'époque était plus grand que Fontainebleau et Barbizon. Samois possédait un pont, Samois est en bordure de Seine, et la Seine à toujours été un moyen de transport et d'échange. Les Nautes remontant la Seine se sont établie à Samois. Il y avait les "coches d'eau" transportant les matériaux, jusqu’à Paris, donc du monde pour rassurer, pour porter secours, des auberges. De Samois on remonte sur Montereau part Moret et enfin à Sens. Moret, ou l'on trouve un embranchement pour Nemours, Larchant (basilique connue pour ses pèlerinages, puis Yèvre le Chatel (coquille au pieds des remparts et rejoindre la route d'Orléans). (penser que la Seine était un fleuve sauvage moins profond, avec des guets et des passeurs.) Le Chemineux que je suis, au Moyen Age pour me rendre à Vézelay, de Melun, j'aurai évité la foret. J'aurai suivi le cour de la Seine et de L'Yonne, GR 2 puis 213 puis 13 d'aujourd'hui. Mais Comme il est dit dans le dernier livre que j'ai lu sur le sujet. Partir pour Compostelle, c'est fermer un beau matin la porte de chez soi et rejoindre une branche du chemin permettant d'honorer le Saint à qui vous demandez protection. 
   Revenons à notre tour des sentiers. C'est la première fois que je fais ce bout de chemin. Avant c'était la seul solution en provenance du carrefour de la libération le point de départ du sentier 6. Hé oui, le sentier 6 ce n'est pas que Barbizon et le bas Bréau. Les parcelles que nous traversions étaient engrillagées suite à des coupes rases afin de renouveler des arbres vieillissants. Durant plus de vingt ans, il ne restait que cette  route permettant de rejoindre les rochers. Aujourd'hui, il est dommage que le balisage n'est pas repris sa place dans la parcelle, ce parcours sur le bitume me fatigue. Nous trouvons sur la droite, un embranchement de la liaison 6-7 rejoignant Franchard, poursuivons notre ruban bitumineux. Nous arrivons à la Fosse à Rateau, nous 
quittons enfin le bitume pour prendre sur la gauche le sentier 6-7, plus bas nous trouvons la route du Mont Fessas avec l'information roche Sidonie Mertins. Nous remontons cette route et trouvons sur la gauche de la parcelle une roche gravée 1867 [J'ai apporté quelques détails trouvé sur internet  à l'article du blog suivant http://randolib.wikispaces.com/F_Cuvier_Apremont
  • Femme savante et criminelle : les « crimes » de Mathilde Frigard
Le 13 mai 1867, un cocher découvre le corps partiellement décomposé de Sidonie Mertens était découvert dans la forêt de Fontainebleau. Les soupçons se portèrent sur Mathilde Frigard, qui seule est revenue à Paris. Cette dernière, commerçante, a laissé à Caen, mari et enfants pour tenter fortune à Paris. Les médecins n’ayant pas réussi à se prononcer sur les causes de la mort de Mme Mertens, et le crime supposé n’ayant pas eu de témoin direct, le juge d’instruction partit en quête de preuves indirectes de la culpabilité de Mme Frigard. Il ne choisit pas de suivre l’argument classique des mauvaises mœurs de l’inculpée – qui pourtant aurait pu aisément être mis en avant – mais il privilégia la piste d’un crime d’argent. Pour l’étayer, il s’efforça de construire la figure monstrueuse d’une « femme virile », opposée à des personnages de victimes plus conformes à l’image que l’époque se faisait de la féminité. Femme d’affaires prête à tout pour s’enrichir, aventurière qui possédait des armes, Mme Frigard fut aussi, et peut-être avant tout, présentée par l’accusation comme une fille de médecin ayant glané en autodidacte des bribes de savoirs réservés aux hommes.  Ainsi, le fait qu’elle lisait des livres de médecine, qu’elle était magnétiseuse (et non pas seulement somnambule magnétique) et qu’elle pratiquait l’archéologie fut utilisé contre elle comme une preuve de sa monstruosité. Elle aurait ainsi dévié de leurs pratiques légitimes des savoirs (masculins) utilisés à des fins malhonnêtes. Aux yeux de l’historien pourtant, les pratiques savantes de Mme Frigard apparaissent conformes à celles de beaucoup d’amateurs contemporains d’archéologie ou de magnétisme. Nous avancerons l’argument que c’était bien parce qu’elle était une femme, et parce qu’elle s’était engagée dans des domaines réservés aux hommes, que ses recherches furent mises en avant comme preuve de sa culpabilité dans le meurtre.]
  Revenons sur nos pas, et poursuivons notre sentier bleu 6-7. Après un virage du sentier bleu nous sommes parallèle à une route forestière, nous apercevons le GR, quittons le sentier bleu pour prendre le GR sur la gauche et remontons la route qui me semble se nommer Notre Dame de Paris jusqu'au tunnel (couvert de graphitis et il vient d'ouvrir)  passons sous la départementale 607. Continuons par la route Paul goudronnée qui est balisé que dans un sens. Nous arrivons à l'intersection avec la route goudronnée Louis Philippe nous quittons ici le sentier bleu 4/5 et le GR qui partent à droite pour prendre en face la route de la Butte aux Aires, (Je ne comprends pas pourquoi le GR ne passe pas par cette route , il conserve l'ancien itinéraire passant par le Mont Pierreux, une dure grimpette juste pour redescendre de l'autre coté et au carrefour suivant reprendre le bleu 4/5 pour regrimper à nouveau. Pour le GR il serai souhaitable qu'il passe en directe par cette route cela ne serait qu'un plus) Cette route de la Butte aux Aires nous amène directement à la maison forestière des huit routes, elle passe dans la vielle parcelle du Gros Fouteau réserve biologique intégrale avec par endroits des marques du CNRS. Au huit routes nous retrouvons le GR et poursuivons la route de la Butte aux Aires, nous arrivons à la partie goudronnée de cette route. Nous la traversons et prenons au niveau du gros rocher (nommé hercule) le sentier bleu N°1-1 qui grimpe sur la gauche dans le chaos. En haut nous retrouvons le sentier bleu N°1 que nous prenons à droite, nous arrivons à la Croix d'Augas. Quittons les sentiers balisés, passons devant le restaurant et prenons un sentier sur la droite dans le taillis après le parking restons sur la platière (ne pas descendre dans l'ancienne carrière de grès) ce chemin devient parallèle à la route Buffon, nous apercevons un balisage jaune que nous suivons par un sentier perpendiculaire à la route Buffon et traversant la parcelle à l’extrémité, nous trouvons le sentier bleu 2 proche de la route goudronnée du calvaire, nous le prenons à gauche. arrivez au carrefour de la Butte à Gay, nous poursuivons par la route du même nom, se trouvant sur la droite du parking après une partie plate elle descend pour arriver au carrefour de la Tour Denecourt nous coupons la route goudronnée du même nom, pour prendre en face la route "sans nom" (à gauche de la route de valvin) nous arrivons à la route Remard que nous prenons à gauche et que nous suivrons jusqu'à la route de Bourgogne. Nous là traversons, pour continuer en face par la route du cèpe nous arrivons au pont de la ligne SNCF et nous trouvons le sentier jaune que nous prenons sur la droite après le pont. Nous ne le quittons plus jusqu' a notre parking (sentier de l'aller).

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire