mardi 3 février 2015

Le Tour des Sentiers Balisés de Fontainebleau : Etape 2

  Tour des Sentiers Etape 2

Carte du tracé total. Equivaut à un TMF au niveau km. A un double circuit des 25 bosses au niveau dénivelé 2599 m +, (tout en étant moins acrobatique.)

Etape 2

Carte IGN                          Trace GPS et Topo sans commentaires

Trace Randogps           Le code mobile de cette randonnée est b306791

 Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici


 KM       Temps          Arret        V/d          V/g      Dénivelé
  35          7h08           1h09         4,8           4.2         575 +

Départ Samois sur Seine : parking à la sortie de Samois route de Fontainebleau (rue du général Leclerc) D 137 en direction de Fontainebleau et de la gare de Fontainebleau-Avon. Le parking se trouve à gauche à la sortie du village (Maison forestière sur la droite avec du grillage) et sur la gauche un mur en pierre.

Nous suivons le sentier 13(retour 15) qui descend vers la Seine nous longeons un mur, arrivé a l'escalier, le sentier tourne à droite nous rencontrons le GR 2. Nous suivons le flanc de la colline. Avec « l’hiver » de beaux points de vues sur la Seine et les villages sur l’autre rive. L’hiver, ou en saison pluvieuse, cette partie de la foret, jusqu’au lieu dit les Plâtreries est marécageuse. Avec la régénération des parcelles (2013-2014) et le va et viens des engins d’exploitations je me suis fait surprendre à marcher dans une ornière et m’enfoncer dans la boue jusqu’au dessus de la cheville. Faut bien comprendre  que nous sommes en bout d’un plateau, si nous n'avions pas la foret sur la pente nous pourrions voir les différentes couches de terrain. Toute l’eau absorbée par le sable, et non digéré par les racines des arbres se retrouve ici : une zone base et plus ou moins étanche du au calcaire et au terre marneuse. Ici il y avait des filets d’eau, des sources, d’où l’implantation des maisons et leur nom : ruisselle sous bois, les sources. Dans mon jeune temps, je dégageais régulièrement un ruisselet "et encore le nom de ruisselet est important pour la pente de ce chemin". Avec les quelques canicules et les étés sèches, cette source ses taris. Donc vous avez compris si le temps est pluvieux jusqu’au château de la Madeleine vous risquez de salir vos chaussures toutes neuves. Nous passons donc les Platreries  [Le nom de « Hameau des Plâtreries » remplace au XVIe siècle celui de « Port-à-l’Anguille » en raison de l’exploitation d’un calcaire d’une qualité remarquable, « la pierre à plâtre », appelée « calcaire de Valvins », et de l’établissement de fours à plâtre à cet endroit. Ce nom s’est maintenu, même si les plâtriers et leurs fours cèdent la place à de belles demeures dès la deuxième moitié du XIXe siècle. L’une d’elle abrite les amours clandestines de Madame Biard, épouse d’un artiste peintre de grand talent, et de Victor Hugo.] Extraie = [http://fr.topic-topos.com/hameau-des-platreries-samois-sur-seine] Traversons la route goudronnée de l’agaric continuons en face passons derrière le château de la Madeleine. Pour quelle raisons ses maisons et ce château isolé des communes d'Avon et de Fontainebleau : Un début de réponse. [Dès le XIIe siècle, les « coches d’eau » tirés par des chevaux, débarquent et embarquent ici voyageurs et matériaux. Ils transportent notamment vers la capitale du bois de chauffage et des pavés de grès. Le roi et la cour de France y débarquent également pour se rendre au château de Fontainebleau. En 1827, le premier bateau à vapeur assurant la liaison entre Paris et Sens marque le début d’une ère nouvelle, mais, jusqu’en 1925, date de la construction d’un pont, il faut traverser la Seine à gué.
L’édifice actuel de 1977 a succédé à plusieurs ponts Bailey après la destruction du pont par le génie français, le 15 juin 1940.
Le domaine de la Madeleine, composé du château, appelé aussi "Ermitage", et du moulin, est partiellement visible des bords de Seine. Fréquenté par d’importantes célébrités de la vie intellectuelle et mondaine, devient au XIXe siècle la propriété du prince
Photos topic-photo
Troubetskoï, puis de son gendre, le prince Orloff, ambassadeur du Tsar à Paris, et de leurs descendants. Ces grands bienfaiteurs de la commune reposent au cimetière de Samois.De nombreuses personnalités du monde littéraire et artistique y ont séjourné, notamment Alfred de Musset et George Sand, fréquemment invités par le propriétaire d’alors, Alfred Tattet, dont la tombe est au cimetière de Samois. Après la deuxième guerre mondiale le château, aujourd’hui propriété privée, est le siège du SHAPE (OTAN), ou centre de commandement militaire des forces alliées en Europe.] Extraie = [http://fr.topic-topos.com/hameau-des-platreries-samois-sur-seine] Quittons le sentier jaune et TMF pour continuer le long du mur du château puis après l’entrée prendre à gauche le chemin qui descend, GR2. Traversons la route de Bourgogne  D 138 (je préfère traverser ici dans une zone droite ou j’ai une vue sur les voitures qui monte et descende, plutôt qu’au rond point (ou tout les sentiers ont été dirigés) qui se trouve en pente et, ou l’on ne voit pas les voitures qui descende. Comme de nombreux conducteurs ont choisi  comme option les clignotants..... On ne sait jamais qui tourne. Les automobilistes roulent vites autour du rond point. Ici au moins ils roulent aussi vite, mais dans la ligne droite nous avons de la visibilité. Que ce soit ici ou la haut de toute façon personne ne vous laissera le passage et surtout pas la haut ou l’on vous verra au dernier moment. Nous quittons le GR 2 (qui descend le long de la route) et  prenons en face la route Berthe. Nous retrouverons un peut plus loin le sentier bleu et le TMF que nous suivrons jusqu’au château de Bellefontaine. A l’abandon. [La première construction sur ce domaine date du XVIIIe siècle et appartenait à des maîtres tailleurs parisiens. En 1834, le prince de Tarente, duc de la Trémoille, en prend possession. C'est lui qui construira le château actuel. La grande histoire romanesque survient en 1846, quand la famille du prince russe Troubetskoï s'y installe. Ils donneront du faste à ce château avec 40 employés. Puis c'est Nikolaï Orloff, aide de camp de l'empereur de Russie, qui l'occupera. Nicolas Orloff (1824-1885), ambassadeur de Russie à Londres, Paris et Berlin, épousa Catherine,fille de Nicolas Troubetzkoï, propriétaire du château de Bellefontaine à Samois-sur-Seine. Catherine décéda en 1875, à l’âge de 35 ans. Nicolas Orloff fut l'un des créateurs de l'Alliance franco-russe, son père était le prince Alexis Fyodorovich Orloff (1787 -1862), militaire russe qui combattit Napoléon de 1805 à 1815. C’est en son honneur que le Chef Urbain Dubois (1818-1901) créa la fameuse recette de rôti de veau « Orloff ». Nicolas Orloff est mort à Bellefontaine, Qui sait que la fameuse recette du veau Orloff a été inventée au château de Bellefontaine par le prince Alexis Orloff, issue d'une grande dynastie russe qui s'installa à Samois-sur-Seine en 1846? Le jeune prince, qui habite à Paris, en fait sa résidence d'été. Une nuit, de retour à Samois, il demande à son cuisinier d'improviser une recette pour ses amis. Le cuisinier accomode les restes : un rôti de veau, une farce aux champignons, des épices, dont du paprika. La recette entre dans la légende.   
Le Prince Nicolas Troubetzkoï, qui, on le rappelle, contribua à la construction du Presbytère actuel pour une somme de 8000 francs et fit don du jardin qui l'entoure. C'est lui qui pendant la guerre de 1870 joua un rôle de médiateur auprès des Prussiens pour éviter des réquisitions et des exécutions d’otages et il participa aux dépenses de l'invasion par une somme de 2284 francs.
A sa mort, le prince Nicolas Orloff, son gendre, fut en 1875 un des artisans les plus dévoués de la paix, offrant ses services en tant qu'ambassadeur de Russie en France comme médiateur auprès du Kaiser, qui menaçait d'une reprise de la guerre. Il fut l'un des créateurs de l'Alliance franco-russe. Son décès, en avril 1885, donna lieu à Samois à de grandioses funérailles.
Pendant 50 ans Wladimir et Alexis Orloff et leurs descendants subventionnèrent l'hospice et le bureau de bienfaisance.
Pour mémoire, rappelons le mariage en1857 du Duc de Morny (1811-1865) demi-frère de Napoléon III, avec Sophie Troubetzkoï (décédée à Paris en 1886) sans doute fille illégitime de Nicolas Ier.] [ Se château passa successivement à la ville de Paris, on pouvait le loué pour des réceptions. Puis devint une IUT abandonné pour des locaux plus appropriés, il est laissé à l'abandon, baraquements murés, durant un moment il aurait du faire partie des locaux pour réinsertion des délinquants. Quelle tristesse de voir se magnifique bâtiment se perdre il me semble avoir lu que ses jardins étaient inscrit au patrimoine historique]. Nous arriverons ensuite vers les immeubles des Fougères (ville d’Avons) et nous prendrons à droite vers la D 137 que nous traverserons, nous passons sous le pont de la ligne SNCF.  Nous continuons en face le sentier bleu jusqu'à la route goudronnée de la Tour Denecourt, nous suivons cette route par la gauche ainsi que le sentier bleu nous arrivons à la ligne de chemin de fer que nous suivons par la droite. A la maison forestière de la porte aux vaches, nous prenons à droite passons devant "l’ancienne piscine découverte, que de souvenir", devenue parc avec parcourt dans les arbres et maintenant totalement à l’abandon. Suivons le parking et prendre de suite à droite le sentier bleu N° 2 qui grimpe le long de la piscine en ruine. Nous arrivons fort essoufflé sur le parking des Forts des Moulins, après la barrière, nous prenons à droite passons devant, la Reine des Bois et le médaillon Foucher de Careil [voir histoire & légende http://randosacaudos.blogspot.fr/2013/02/4-petite-promenade-en-foret-de.html] le sentier tourne à gauche et  passe à flanc de colline au détour  d’un rocher prendre la branche de gauche qui nous fait traverser la route nous suivons celle-ci par le sentier et serpentons entre les rochers remarquer les  aménagements réalisé par Denecourt ou ses successeurs (un petit muret en pavés de grès à flanc de coteau en contre bas de la route soutien le sentier passant en encorbellement. Nous arrivons à la Croix du Calvaire ou nous avons une belle vue sur Avon et Fontainebleau continuons sur la gauche de la route. Le chemin est facilement repérable
Difficile d'y trouver le bon chemin
 avec son aménagement récent : Des marches en grès facilitent la descente. Lorsque l'on veut ; on peut. Et c’est tout de même, bien plus jolie que les palettes misent en place sur les autres sites. Par contre je n’approuve pas les barrières et les filins, renforcé maintenant par un claustra, au niveau de la grotte…. par principe de précaution. Pourquoi ne pas interdire tous les sentiers et tous les rochers, c’est partout dangereux. C'est tout de même aux randonneurs, promeneurs, parents à faire attentions, et à surveiller leurs gamins pour ne pas qu'ils tombent lorsqu'ils marchent ou court sur le chemin du haut. La roche est tres fissurée mais semble (je dis semble, je ne suis pas expert) saine, stable, pas dangereuse. Denecourt aurai trouvé une solution plus esthétique. Mais j'ai oublié nous sommes dans une foret d'exception, alors on utilise des moyens exceptionnelles.
Nous sommes encore dans un espace ....naturel (peut être plus pour longtemps) donc potentiellement dangereux.
Puis nous arrivons à un nœud de sentiers, il faut chercher le 1-3 (pas celui qui descend) celui qui se dirige vers la croix d’Augas attention à ne pas prendre le sentier 2 sur le même plateau qui se dirige vers la Tour Denecourt. Oui, ici ce n’est pas facile. Trop de fausse traces sur ce plateau. Nous traversons l’ancienne carrière du "banc du roi" ou certain moellons ont servi à la construction du Château de Fontainebleau (j’espère ne pas dire de bêtises) nous arrivons à la Croix d’Augas passons sur le pont  et prenons le sentier N°1 sur la gauche nous entrons dans le Mont Ussy. Nous rencontrons une branche du sentier  1-1 qui descend en suivant la route de la Butte aux Aires. Ne pas prendre cette embranchement. Continué sur la droite vers la route (fermé à la circulation). Continuons en face de celle-ci, ne pas louper la représentation de la vierge peinte sur un rocher, nous serpentons entre les rochers et passons en encorbellement le long de cette vallée. En fin de parcours nous passons dans la grotte des Montussiennes traversons la vallée de la chambre (les chambres étant de petits abris sous roche.) Nous
traversons une friche qui était le camp de camping-bivouac des huit routes. Passons devant la fontaine d’eau potable (qui fonctionne encore en 2014) et arrivons à la maison forestière des huit routes. Ici je modifie mon itinéraire. A l'origine je suivais le GR par la route Léopold  vous pouvez pas vous tromper c’est celle qui grimpe le plus raide. Passions devant la madone forestière dans sa niche accrochée à un arbre. (Dommage que l’intérieur de la niche soit peint en blanc la madone étant blanche nous ne la distinguons plus.) Nous gravissions le Mont Pierreux, redescendions et  coupons la route goudronnée Louis Philippe et continuions en face, pour rejoindre le carrefour de La Fourche. Que l'on traversait en sécurité grâce au feu tricolore.  Mais en mars 2014 fut ouvert un tunnel sous la D607 un peu plus haut au carrefour de Paris. A cette date le GR sur ma carte n'était pas modifié,  (toujours pas en novembre 2014)
 mais sur le terrain il a été effacé et bifurque sur la droite au carrefour du Mont Pierreux. Pour une fois même le secteur de Fontainebleau n’est plus à jour. J’en fais la remarque ayant souvent rouspété que Fontainebleau était privilégié. Mais non comme les autres il faudra peut être attendre 5 ans pour obtenir une carte à jour, et encore je me suis rendu compte récemment que certain GR ne sont mis a jour, que sur la carte routière et ont disparus sur la carte piéton, la seule qui nous intéresse. La déviation est certainement du au tunnel, mais, je ne vois plus de raisons pour que le GR gravisse cette "montagne" calcaire. (Carte de la modification de ma trace après ouverture du tunnel)  (La trace GPS à été modifiée)
La Faisanderie
Au carrefour des Huit routes, j'abandonne le GR (oui je ne respecte pas ce que j'ai écris) mais il me semble ridicule de gravir le mont pierreux par le GR (a part pour le "fun") redescendre de l'autre coté pour qu'au carrefour suivant on grimpe à nouveau vers le gros fouteau. Ce tracé était parfait pour traverser la D 607 au carrefour de La Fourche, mais pour rejoindre le tunnel du Carrefour de Paris  il vaut mieux prendre la route de la Butte aux aires sur notre droite, elle grimpe en pente douce. Puis à droite la route paul, ou nous rencontrons le sentier bleu 4-5 et de nouveau le GR (je ne comprend pas la raison pour laquelle le GR ne passe pas par là. Depuis la construction du tunnel il n'y a plus aucune raison de gravir le Mont Pierreux. Mais cela fait longtemps que je ne réfléchi plus aux raisons de certain détour qui ne servent à rien et aux lignes droites qui évitent des lieux intéressants (exemples GR 2 foret domaniale de la Londe Rouvray ou le GR évite méticuleusement tout les points d’attraits du panneau d'information. GR 128 dans le Nord qui évite les trois moulins de Steenvoorde ou encore le GR 32 qui évite la ville fortifiée de Yevre le Chatel dans le Loiret) Nous arrivons à une intersection de routes goudronnées continuons la route Paul en face (bitume) jusqu'au tunnel, une fois traversée prendre sur la gauche la route Notre Dame de Paris nous suivons le GR puis nous rencontrons ou coupons le Sentier bleu 6-7 que nous prenons ou pas on peut continuer le GR nous arrivons au même endroit.
Traversons la D 409 poursuivons en face le GR. Nous trouvons le sentier bleu 6-7 que nous suivons, il tourne sur la gauche vers les bâtiments de la Faisanderie (je me rend compte que personne ne lit mes blogs du moins pas l’ONF, la pancarte avec la liste périmée des campings-bivouacs est toujours cloué sur la grande porte. Passons devant la faisanderie et attention au nœud de sentiers. Le notre part, ou se poursuit (c’est le N° 8) entre la route léonard de Vinci et la route du Levraut, il se confond avec le parcours de santé. Le sentier passe dans des buissons. Nous arrivons à un groupe de petits rochers et gravissons le rocher du Long Boyau. Arrivée sur la crête nous avons les restes d’une construction militaire. En contre bas c’est le polygone de tir. A l’époque de Napoléon I la vue était dégagé et l’on pouvait contrôler le résultat des tirs (pour en savoir plus http://randosacaudos.blogspot.fr/2014/05/25-petite-promenade-en-foret-de.html?view=magazine). Ce sentier dans les rochers n’est pas facile. Nous laissons sur la droite le sentier 8-8 et prenons à
Reste des constructions militaire
gauche le sentier 8 qui grimpe à nouveau. Nous rencontrons une nouvelle intersection de sentiers, nous quittons le sentier 8 pour continuer le sentier 7-8 par la route de sommet, cette partie est un peu plus facile, plus de rochers dans le sentier qui est devenu chemin. Nous longeons le banc de coupe d’une ancienne carrière. Tranquillement nous arrivons au carrefour des gorges de Franchard traversons la route ronde et continuons en face, nous rencontrons le sentier 7 avec les premiers rochers de Franchard, nous poursuivons le sentier 7 par la gauche (si nous prenions à droite nous reviendrions à la
faisanderie par les gorges du houx) Nous arrivons à la route des ermites que nous prenons à gauche puis à droite la route des gorges de Franchard (avant le sentier passait par la mare aux pigeons, mais il fut dévié lorsque le secteur fut mis en réserve biologique. Aujourd’hui le secteur à changé de statue mais le sentier n’a pas réintégré son tracé, c’est dommage le secteur de la mare aux pigeons est beaucoup plus jolie que ce détour routier. Puis à droite la route Tavane nous arrivons au sphinx des druides, intersection de sentier 7 (qui ne figure plus sur la carte de géoportail)  et qui emmène me semble t’il au monastère. Existant sur les anciennes carte papier ce chemin servait à faire la boucle des gorges en passant par l’ermitage sans être obligé de partir de Fontainebleau) continuer le sentier  par la gauche, passons devant un petit rocher posé au sol et ressemblant à la casquette d’un jockey (je l’ai longtemps cherché sans la voir) puis nous arrivons à un point de vue sur l’autre face de Franchard et au fond sur la gauche, l'Isatis et peut être les trois pignons. Nous arrivons à la route Raymond que nous prenons à gauche. Il y a encore quelques années le sentier montait dans les rochers et passait dans la faille que nous voyons. Mais voila un rocher à glissé du à
                        l’affouillement du sable dans le secteur de l'ermitage, la ou sont les parkings et ou il y a le plus de

monde. Ce n’était pas ici, mais de l’autre coté et de gros travaux on été réalisés avec succès. Mais voila pour le principe de précaution on a dévié GR et sentier pour sécurisation, ici nous marchions sur les rochers, il n’y avait rien à craindre et puis l’on commence à être un peu loin des voitures.... Il ya moins de monde. Suivons le nouveau sentier (plus facile) qui nous ramène sur la route des gorges de Franchard  que l’on prend à droite on y retrouve le GR. Le sentier retrouve les rochers en grimpant à droite puis est de nouveau détourné pour  revenir sur la route des gorges de franchard. Avant : Ce brusque virage à gauche ne se faisait pas. Il fallait passer dans la faille puis sous un rocher pour descendre dans le vallon c’était un peut plus court qu’aujourd’hui et plus jolie. Une fois sur la route nous prenons à droite, une route qui porte bien son nom pour cette promenade bleu N°7  route du Carnage.
 
Coupons la route Amédée grimpons en face et juste avant de descendre par l’escalier en palette nous tournons à droite (c’est dommage dans la moitié de la monté nous y trouvons des grès pour stabiliser le terrain, de l'autre coté pour qu’elle raison n'a ton pas continué ! le prix ! avec ce qui a été
A franchard sentier 7-6,GR,TMF
  dépensé à Franchard, je pense qu’un escalier en or était possible. Plus ont agrandi le parking  plus il y a de voitures..... Plus ily a de monde. Suivons le 7 jusqu’a l’ermitage, la aussi le chemin à perdu son attrait, il est sur la platière sans aucun risque, faut dire que nous approchons de la zone ou le ou les rochers ont glissés. Avant nous passions dans une faille entre deux rochers pas large de quoi passer à une personne mais assez longue, le GR passait également à cet endroit, et lorsque deux groupes se rencontraient au milieu, il ne fallait pas être gros pour se croiser, si personne voulait faire marche arrière. Une bonne partie de rigolade. La nous serpentons sur les rochers et aboutissons à l’ermitage. Avant ce lieu nous rencontrons la route raymond et les travaux herculéens réalisé par L’ONF pour stabiliser les rochers. Faut bien penser que derrière les murs de pavés s’étaient des  trous. Pas des grottes des trous du au sable qui glissait. Faut bien avouer que cette route sableuse en légèrement en descente lorsque l'on vient des parkings est fréquenté par les randonneurs et les
Mare de Franchard
 nombreux touristes voulant faire trois pas dans ses affreux rochers. Fallait-il dévier tout les sentiers......? Nous passons devant le pylône de guet vous trouverez un petit topo sur l'utilisation de cette tour à l'adresse suivante (http://randosacaudos.blogspot.fr/2014/07/31-petite-promenade-en-foret-de.html) et prenons le sentier 7-6 – GR et TMF, un peut plus loin un hêtre avec un autre venue se souder à son tronc. Le chemin rectiligne est bordé de hêtre tortueux. Nous traversons la D409 et prenons à droite la route cavalière du fourneau David (nous avons quitter le GR et TMF) Nous rencontrons sur la droite un embranchement du sentier bleu N° 7. Nous continuons sur la gauche le sentier bleu 7-6 par la route de la Roche qui Pleure. Au carrefour de la Gorge aux Néfliers, nous coupons la route goudronnée du même nom et continuons en face. nous arrivons à la route ronde nous la suivons par la gauche traversons le carrefour du Grand Veneur et 
arrivons à la maison forestière, prenons sur le coté la route des Accords (le long de la maison forestière) peut de temps après avoir traversé la route des ligueurs nous prenons à gauche le sentier bleu 4-5 arrivons à belle croix, puis nous prenons le sentier 4 sur la droite et passons devant la Fontaine Maria. Remarquer dans les vallons de l'ancienne carrière les pins greffés [http://randosacaudos.blogspot.fr/2013/04/9-petites-promenades-en-foret-de.html] puis la branche de droite et passons devant la grotte aux cristaux.
Poursuivons ce que j’appelle le circuit du bas, il me semble que c’est le circuit le plus ancien, d’après mes souvenir c’est l’une des branches qui réalisait le tour de la vallée de la solle. La branche du  haut fut réalisée plus tard lorsque l’hippodrome et la réserve biologique  fut établis. Il fallait une boucle à ce sentier alors on a crée le chemin du haut. Nous suivons donc le sentier 4 jusqu’au Cabaret Masson. Au parking  nous abandonnons le sentier bleu pour prendre la route du Luxembourg puis la route du faon sur la gauche et la route Duguay Trouin sur la droite. Arrivée au carrefour de la Croix de Toulouse, prendre le chemin en face portant le même nom jusqu'à la route d’Aumale que nous prenons à gauche, passons sous la ligne de chemin de fer et au carrefour de la plaine de Samois  prendre sur la droite la route de la Fausse Oronge que nous suivons jusqu’au pavillon Magnier (construction en dur ressemblant à un maison et comportant avant 1940 les pompes alimentant Samois en eau  courante) prendre à droite sur la carte route des Turlures (sur place le bornage) que nous suivons au premier chemin prenons sur la droite couper la route du cèpe continuer en face nous avons toujours le bornage,
  nous arrivons route Farewell que nous prenons à droite sur peut de mètres et rencontrons le sentier jaune N°13 que nous prenons à gauche nous arrivons à la maisons forestière et après la route le parking.
Etape 1 
 http://randosacaudos.blogspot.fr/2015/02/le-tour-des-sentiers-balises-de.html

 

  Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html

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