GR 5 de Nice à Aspremont - GR 51 Aspremont à Grasse
Le balcon de la méditéranée
Mai 2014
Départ : Nice. Une bonne nuit dans un appart hôtel. Je ne connaissait pas ce principe, la chambre est équipé d'une cuisine et du matériel nécessaire pour préparer ses repas. Après une visite de Nice un peu chaotique, ou j'ai marché au jugé en passant deux, trois fois au même endroit, me voila parti vers l'aventure......
Carte IGN Trace GPS & Topo sans Commentaires Trace Randogps
Le code mobile de cette randonnée est b305474
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
Nice - Saint Jeannet Etape : 1001
Du 26 au 30 mai
KM Temps Arret V/d V/g Dénivelé total Alt maxi
30 6h19 1h22 4,6 3,8 1319+ 685
(26 km sur la carte mais bien 30 sur le GPS)
 |
Enfin les voitures ont disparues |
 |
GR 5 |
Départ de Nice sous le soleil, je suis ma trace GPS, durant ma visite de la
vieille ville je n’ai pas vue de traces rouge et blanche. j’en trouverai
certainement plus haut. Pas facile ce début de rando toute en monté, sur un
trottoir et puis une fois passé l’autoroute c’est une départementale, pas très large.
 |
Ruine sur le parcours |
 |
Un peu de neige au fond |

Pas de bas coté avec beaucoup de voitures et des virages, et ça monte, et ce n’est
pas drôle avec ses voitures cela circule sur cette route et ses dangereux. Je trouve après l'église moderne de Jeanne d'Arc quelques traces en pointillées. Cela s’arrange après Gairaut,
[ Quartier de Gairaut
 |
C'est quoi cette saignée caillouteuses ? |
 |
Aspremont |
Le quartier est situé au nord du centre de la ville sur la colline du
même nom. L'endroit avait autrefois une vocation agricole, comme en
témoigne les cultures en terrasses d'oliviers. Il accueille des villas avec vue imprenable sur la ville et la mer. Le cadre est très verdoyant. On y trouve la cascade de Gairaut, liée aux traitement des eaux, surmontée de la maison en bois historique du gardien du canal de la Vésubie.

Le toponyme « Gairaut » pourrait provenir de la combinaison des deux termes niçois gaire et aut qui signifient guère et haut ; ceci en référence au mont Chauve qui domine la colline. Une autre hypothèse reprend le mot aut mais en l'associant au niçois caire qui signifie lieu, endroit, et qui aurait été déformé en « gaire » voila ce que nous dit wikipédia] Dommage je n'avais pas vu la cascade sur la carte et j'aurai peut être pu faire un détour......
 |
La baie des anges |
Nous trouvons à partir de ce quartier de la peinture rouge et blanche. Enfin nous quittons la départementale et continuons de grimper en empruntant une rue. Ouf, nous arrivons enfin à des barrières et derrière plus de maisons, nous sommes dans ce que j'appel la garrigue ;
bois d’olivier puis du taillis et du genet. Nous avons une magnifique vue tout
autour de nous, au loin la montagne enneigé, les villages dans les vallées et
derrière la baie des anges.
 |
petite pose à l'ombre |
Comme nous sommes en montagne j'ai fait des temps intermédiaires indiquant le temps de monté. 2h00 pour 8,2 km de monté, 461 m de dénivelé positif, hauteur maxi 475m, V/d 5,0 – V/g 4,6 (je le paierai plus tard) A l'hôtel de la ville de
Grasse le propriétaire avait l' habitude des « chemineux », il fait
étape pour l'organisateur de rando chemina et me disait qu'il n'allait jamais à
Nice mais passait a Menton. Menton est sur le GR 51, Nice, non. Leur but étant peut être de faire les Balcons de la Méditerranée. En groupe sur
cette route ; difficile de marcher en toute sécurité. Mais lorsque l'on voit le peut d’intérêt de ses premières deux heures je ne suis pas étonnée. Peut être qu'en descendant c'est mieux nous avons la vue sur la baie des anges.
 |
Gattière |
Un beau sentier nous fait parcourir la crête de Graus enfin du plat ou presque, sur la droite le Mont Chauve
[Sous la dénomination "mont Chauve", à l'étymologie transparente,
apparaissent en réalité deux sommets jumeaux, le mont Chauve
d'Aspremont à l'Ouest (853 m) et celui de Tourrette à l'Est (785 m),
occupés l'un et l'autre par des fortifications et une forêt d'antennes
et pylônes de télécommunication.] Puis nous descendons sur
un charment village perché sur la colline, c'est Aspremont
et rencontrons le GR 51 que nous prenons sur
notre gauche. La trace du GPS ne correspond plus au terrain, il manque quelques
marques de peinture (je ne les ai pas vues) cela me perturbe un peu.

Les sentiers emprunté tout au long de cette journée, ne son pas facile. Que de la caillasse ou le pied ne sait jamais
qu’elle position prendre pour être stable. Nous suivons la D414 nous avons
également rencontré le GR 653 route de Saint Jacques de Compostelle sud. Plus connu sous l’appellation : Chemin d'Arles. Le GR 51 à également comme nom le
chemin du balcon de la méditerranée. Nous passons
le var, Immense saignée dans cette
vallée que nous avons remarqué dès que la vue nous l'a permis.
[Sa source jaillit à Estenc, hameau de la commune d'Entraunes. Source située à une altitude de 1 790 mètres, dans les Alpes-Maritimes. Son parcours de 114 kilomètres s'achève dans la mer Méditerranée entre Nice et Saint-Laurent-du-Var.
Lors de la création des départements français en 1790, la rive droite du Var formait la limite orientale du département homonyme et sa rive gauche la frontière avec le Royaume de Piémont-Sardaigne. Son rôle de frontière disparaissant entre 1793 et 1814 avec l'annexion du Comté de Nice devenant
alors le département des Alpes-Maritimes. Mais ce rôle de frontière reprenant après la chute du Premier Empire. Il faudra attendre l'année 1860 et le second rattachement du Comté de Nice, pour que le fleuve perde définitivement cette fonction de frontière.
Avec la constitution d'un nouveau département des Alpes-Maritimes englobant cette fois-ci l'arrondissement de Grasse,
le Var ne borde plus le département auquel il a donné son nom, cas
unique
 |
Baou à St. Jeannet |
en France. Il coule maintenant presque entièrement dans les
Alpes-Maritimes à l'exception d'une brève incursion dans les Alpes-de-Haute-Provence à Entrevaux.
On remarque, sur l'arc de triomphe de l'Étoile à Paris les mentions Le Var (bataille du Var) et armée du Var en souvenir de la bataille des guerres de la Révolution et de l’armée de la Révolution française. Voila ce que nous dit wikipédia sur ce que j'avais noté comme étant une affreuse tranchée]
Nous grimpons à Gattière comme il est midi passé, que j’ai quitté la route
et que je traverse un petit bois bordé d’une source, je profite de l’ombre et
du peu d’eau qui cour pour grignoter.
 |
Saint Jeannet |
Temps intermédiaire : 4h44 pour 22,9 km arrêt 1h02 repas
compris 938 m de dénivelé total V/d 4,8 V/g 4. Je traverse le village (le GR le
contourne) et poursuit mon chemin. Nous quittons le GR de Saint Jacques et poursuivons notre chemin qui quitte la
route au cimetière pour prendre un petit sentier sur la droite. Nous avons un panneau d’affichage nous informant que St. Jeannet

se trouverai à 1h45.
Nous grimpons à nouveau un chemin difficile (par ses cailloux mais pas
dangereux sauf pour les chevilles. Je double un promeneur, (petit sac à dos) qui me
semble grimper lentement, Notre GR est commun à un sentier local. Je suis un bon marcheur, reposé, ce n'est que ma première étape, je n'aime pas avoir quelqu'un devant (ou derrière) qui marche à la même vitesse, j'ai l'impression d'être surveillé ou de surveiller, alors j'accélère le pas, par des enjambés

plus grande et je double. Erreurrrrrrr, et voila que je ne décroche pas, il est derrière, a vingt mètres. si je m'arrête, il me double, je force le pas, je fais des pas trop
grand dans cette monté. j'aimerai bien
décrocher, mais ça monte trop rude, le sentier est trop mal pavé. Je force, à chaque virage je me retourne et il est toujours là un virage plus bas.

je payerai plus tard cette excès de zèle. Enfin une bifurcation, je continue de monter en prenant
le chemin de gauche, enfin seul, il a pris a droite, je peux me poser. Après un
moment de plat nous descendons et la descente est encore plus dur que la monté,
sur ses cailloux instables le pied ne sait ou se poser. J’ai marché un peu vite
pour se premier jour, j’ai mal aux cuisses. Nous arrivons sur Saint Jeannet et
apercevons ses magnifiques rochers appelés ici des Baous. Je traverse le
village et descend vers le quartier du Peyron ou se trouve
mon hôtel.
L’hôtel est bien, je suis en sous pente avec des fenêtres plus longue que
haute c'est un peut dommage il faut être couché tête aux pieds pour avoir la
vue sur les rochers. Je dîne de pâtes pour réparer les efforts d'aujourd'hui et préparer
ceux de demain.

Vous
trouverez le détail des Étapes précédentes sur l'adresse ci dessous
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire