mercredi 3 juillet 2013

GRP de la Vallée du Lunain retour Orvane étape 7 Dollot - Diant

GRP de la Vallée du Lunain retour par l'Orvane étape 7


En avril, je découvrais la vallée du lunain (voir page http://randosacaudos.blogspot.fr/2013/05/grp-de-la-vallee-du-lunain-etape-1.html
les cinq premières étapes  sont décritent dans le mois d'avril 2013.
Aujourd'hui, je parcours la branche de l'orvanne
 Pour débuter, je n’ai pas trouvé mieux que cette interminable route (je n’ai pas rencontré une seule voiture mais faire attention tout de même la route n’est pas large.) J’ai eu peur de m’engager plus avant dans les chemins, et de rencontrer des clôtures ou de me trouver face à de grands champs, les chemins ayant disparus sous le socle de la charrue. A cette époque je trouvais que 27 km c’était déjà pas mal et je n’avais pas envie de faire beaucoup plus. J’ai également refait l’itinéraire avec un peut plus de détails. Les six premiers numéros n’en comportaient pas beaucoup, mais à l’époque je pensais que pour les grandes randos (plus de 12 km) seul l’itinéraire comptait. C’est un peut plus tard que j’ai réalisé que l’on pouvait marcher et être curieux…




Carte IGN                                            Trace GPS & Topo sans Commentaires

Trace Randogps                                             Le code mobile de cette randonnée est b303605
 
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici 

KM    temps   arret    V/d   V/g  Dénivelé
26,5    4h50  30mn     5,4   4,9      273 +


Le départ se fait de Dollot nous trouvons un parking Place de la Mairie, l’Impasse du Moulin. Laissons derrière nous la rue Grande (D 82) puis à gauche la rue du château, nous débouchons rue du Frébinier (D65) puis à gauche la Rue de la Justice, nous passons le cimetière dans le virage nous trouvons un carrefour prenons à droite. Sur la carte le chemin se nomme Sous les Tourtereaux. Poursuivons dans les champs jusqu’au lieux dit les Ménagers ou nous avons deux fermes. Au carrefour nous continuons tout droit au carrefour suivant toujours tout droit jusqu’au hameau de La Grande Justice ou nous coupons la D 103. Faisons un esse gauche droite pour prendre la rue de Villeneuve les Ormes (laissons sur la droite la rue de la petite Justice) poursuivons la route jusqu’au hameau de Villeneuve les 
Diant
Ormes traversons le hameau, par la rue des Ormes, longeons le terrain de sport, nous débouchons sur la D 145 que nous prenons à droite, passons le château d’eau à la fourche nous abandonnons la Départementale pour prendre le chemin sur la droite. Le chemin fait fourche dans la pointe nous trouvons quelques arbres et un bâtiment, poursuivons tout droit. Nous prenons le chemin suivant sur la gauche, coupons la D 145 au château d’eau poursuivons en face par la rue du château d’eau jusqu’à Villoiseau. Au carrefour, nous débouchons rue Sainte Geneviève, que nous prenons à droite (attention à ne pas continuer tout droit la rue porte le même nom que celle de droite.) Nous arrivons à une fourche 

Diant
 prenons à gauche, nous débouchons sur la D 219e que nous prenons à droite (rue de la Raie Creuse). Juste avant l’école nous rencontrons le chemin des écoliers sur la droite, nous prendrons sur la gauche le chemin dans les champs longeant à quelques encablures la D 219b, passons une haie assez large puis un petite bois. Nous arrivons à Launoy par le chemin de la Marnière aux Mouches, nous débouchons rue du Golfe que nous prenons à droite à la fourche nous prenons à gauche toujours la rue du Golfe (laissons sur la droite l’impasse du Puits). Au carrefour suivant, 

 nous continuons tout droit. La rue change de nom (cela dépend des cartes) et devient rue du cheval Blanc. Nous sortons du hameau pour en retrouver un autre s’appelant Epigny. Laissons le chemin d’Epigny  et la rue des trois communes sur la droite poursuivons par le chemin face à nous. Laissons un chemin sur la droite et au carrefour suivant nous prenons le chemin de droite, jusqu’à la D 219b, que nous prenons à droite puis la première route sur la gauche. Nous arrivons à Diant après avoir longé un marais et l’Orvane ( sur notre droite le château de Diant) [Le village de DIANT, d’origine celtique, qui s’orthographiait primitivement Diantenis, Diens, Dian et enfin Diant, bien que modeste par son importance, peut cependant se glorifier d’un histoire locale très fournie et que bien des cités plus importantes ne possèdent pas.

Son manoir féodal remonte au X° siècle. Don Morin, historien du Gâtinais, en parle comme d’une construction très ancienne, ajoutant que les rois y séjournèrent assez souvent. Du reste, les terres environnantes portent encore, au cadastre, les noms caractéristiques de terres de la Quesonne ou  Couronne.
Milon Crochu et Pierre de Voulx semblent en avoir été les premiers seigneurs, avec Geoffroy de Dyans. Apparait ensuite la famille des Barres dont Guillaume premier du nom, qui était déjà seigneur d’Egreville à la fin du XII° siècle et à qui la seigneurie de Dian fut sans doute octroyée en récompense des grands services rendus au roi par sa vaillance !
Jean des Barres 1210  - Pierre des Barres qui affranchit les serfs de son domaine en 1247 (acte ratifié en 1269 par le comte Thibault de Champagne) – Charles des Barres, dont la fille Marguerite épousa le seigneur de Milly, Hugues de Bouville. Après la mort de Charles des 
Barres, en 1282, la terre de Diant avait été vendue ou donnée à un Conseiller du roi, François Chanteprime dont la petite fille porta la Seigneurie de Diant en mariage à un Receveur des Finances, Etienne de Bonnay. La fille unique de celui-ci – Guillaumette – épousa Guillaume d’Allégrain. Cette illustre famille, les Allégrain, conserva pendant plus de 350 ans la seigneurie de Dian, qu’elle agrandit considérablement.
Robert d’Allégrain, jacques et Louis étaient Seigneurs de Blennes, de Voulx et de Dian. François d’Allégrain était Conseiller au Parlement de Paris. Jacques d’Allégrain fit ériger la terre en Vicomté. Son fils, Louis Vicomte de Dian chassé de son château par suite d’un bail judiciaire qui en attribuait la jouissance à pierre Satin, bourgeois de Paris –soutin en 1713 in siège de 
quelques jours contre les soldats du roi qui venaient l’expulser, mais son fils, qui s’appelait également Louis, renonça à la succession. Cependant, après un arrangement, il revint à Dian où, un an après, comme son père, il soutin un nouveau siège. Il fut arrêté en 1717 et envoyé à la Conciergerie. Son épouse, née marguerite de Saint Aubin, se retira à Voulx.
Le 29 juillet 1717, le Domaine de Dian fut adjugé à pierre de Chamousset, maître de comptes. Après sa mort en 1742, ses héritiers cédèrent ce domaine à René Cordier de launay qui possédait  déjà le compté de Vallery, les terres de Blennes, Boismillet, Voulx, Villethierry etc….  Claude René de Montreuil, son héritier et dont le fille épousa le fameux Marquis de Sade, ne conservera que les terres de Blennes et Valery, et Dian passe, en 1175, à 
son beau-frère, le compte de Toulongeon, Brigadier des Armées du Roi. Enfin, le château et le domaine de Dian, échurent au Baron Dijols de Mondot, dont la famille était originaire du Rouergue et du Limousin.
D’après un plan de 1734, ce château dont la construction peut être assignée aux premiers temps de la féodalité, était flanqué de onze tours avec cour intérieure, pont-levis. La cour comportait une deuxième enceinte protégée par un donjon.
Les douves remplies d’eau(L'Orvanne) ont, en moyenne, de 20 à 30 mètres de large. Il ne reste actuellement que 5 tours (dont l’une fut très endommagée ainsi que le château actuel, par les bombardements aériens en juin 1940) et les deux tiers de l’enceinte.
Les murs des tours ont trois mètres d’épaisseur en moyenne et les murs d’enceinte deux mètres cinquante. Le château actuel (habitation) a été reconstruit au XVIII° siècle, en partie sur les ruines de l’ancien. Au cours d’un curage des douves effectué en 1907, on a retrouvé intactes, à un mètre environ sous l’eau, toutes les fondations des tours rasées.
Ce château fut habité par Blanche de Castille et le roi Saint-Louis, qui y firent d’assez longs séjours. Il peut s’enorgueillir d’avoir abrité dans ses murs, la reine qui, pendant ses deux régences, gouverna la France avec  tant de sagesse et de fermeté et le Saint Roi Louis IX qui reste une des plus belles figures de notre histoire. Philippe VI de Valois y data une chartre le 10  février 1349. Pendant la guerre de 100 ans, le Dauphin –entre 1420 et 1422 – vint établir son quartier général au château de  

Détails du clocher de Vallery
Dian dont il renforça les fortifications. http://www.diant.fr/fr/information/52036/le-chateau] Coupons l’Orvanne (2 fois) passons le Lavoir. La route fait fourche nous prenons sur la droite la ruelle des sablons, nous débouchons dans la Grande Rue que nous prenons à droite (D 92). Nous retrouvons le balisage du GRP. Nous sortons du village. Dans un virage nous longeons une ferme et laissons le bitume pour prendre à droite. Laissons deux chemins formant fourche sur la gauche se dirigeant vers les bois. (sur la gauche nous pouvons aller voir la Pierre aux Couteaux (Menhir) moi je n’ai rien à l’époque ce n’était pas mon centre d’intérêt, j’étais plus préoccupé à utiliser mon GPS correctement.) prenons un peu plus loin le chemin de droite. Nous débouchons sur une route au hameau de Cornoy que nous prenons à droite (Rue de Villejouan) à la fourche, prenons à gauche la rue aux Moines, nous sortons du hameau. Laissons sur la gauche un grand batiment sur la carte il se nomme La Ferté Besnard. La rue devient chemin puis vers le hameau des Moines nous retrouvons le bitume. Nous entrons dans Blennes, faisons le détour par l’église et reprenons le balisage  par la rue du petit moulin. Longeons de long bâtiments et au bois nous prenons à droite la rue de la Plaine. Traversons le hameau des Basses Loges, presque à la sortie du hameau un peu avant la D 219b, prenons à gauche menant au moulin Bichot. Laissons la rue de droite poursuivons par la gauche le chemin contournant la bâtisse, franchissons l’Orvanne, longeons l’étang ou la mare (tout dépend de la saison) coupons un bras de la rivière nous débouchons sur un chemin formant Té avec le notre nous prenons à droite. Après les champs nous longeons la station d’épuration et nous entrons dans Vallery par le chemin des Morlettes. Nous débouchons sur la D 103 (rue de la République). Au carrefour nous prenons à gauche la rue de l’église et au cimetière la rue du général de la Ferrière sur la droite, puis encore à droite passez devant le château [Le château de Vallery, ou château des Condé, de style
Eglise de Vallery
Renaissance, est situé en Bourgogne-Franche-Comté dans le département français de l'Yonne sur la commune de Vallery. Le jardin et le verger du château font l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le juillet 1946 alors que le château et ses dépendances sont classés depuis le octobre 2001. Très probablement, le site est au cours du XIIe siècle, le centre principal des vicomtes de Sens (Salo, son fils Garin, la sœur de ce dernier Ermensent, Galeran le second époux d'Ermensent). Au décès d'Ermensent, les domaines vicomtaux qui couvrent une quarantaine de communes actuelles sont partagés entre ses petits-fils issus de sa première union avec le Champenois Laurent de Vendeuvre, et sa fille Helissent, dame de Chaumont dont procède la branche des Barres possesseur de la seigneurie de Chaumont (sur-Yonne). La construction était de fort belle facture à tel point que Jacques Androuet du Cerceau la compare à celle du Louvre de l'époque dans son ouvrage Les plus excellents bastiments de France, tout en précisant que les matériaux utilisés diffèrent complètement, ainsi que sa conception, mais que la beauté de l'œuvre les réunit.
Suivant la description faite par cet architecte, l'ensemble était principalement composé de deux corps d'hôtel avec un pavillon faisant l'angle (à l'image de celui du Louvre sous Henri II), le tout érigé à la mode antique de l'époque. Les murs étaient faits de pierres blanches et de briques, tant dehors qu'à l'intérieur, décorés de moulures et autres enrichissements. Du marbre polychrome rouge et noir ornait également les façades. Wikipédia.] Nous arrivons à un carrefour, laissons un chemin sur la gauche, et prenons également sur la gauche la rue du château. Passons un terrain de sport, nous arrivons à la ferme de La Margottière, et prenons à droite la rue du même nom desservant la ferme. A la fourche entre les deux bâtiments nous prenons à droite. Traversons la D 26 et prenons le chemin en face, à la fourche poursuivons tout droit. Laissons un chemin menant à la ferme de la Fosse. Passons une patte d’oie traversons une rue. Nous sommes à Bapaume traversons la vicinal 7, poursuivons en face. Bois et champs se succèdent. Nous débouchons sur la D 196 que nous prenons à droite. Nous entrons dans Dollot . A la rencontre de la D 82. Nous prenons à droite. Passons le lavoir et l’Orvanne et nous retrouvons la Mairie sur la droite.

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