mardi 2 décembre 2025

Randonnée Le Plus Loin Possible 2025 - Etape 120 Laragne - Sisteron

 


 
 
 
 
 


Poursuite de mes promenades autour de la France (Randonnée Le Plus Loin Possible) sur  le plateau du Vercors. Trois promenades pour traverser les vallées de ce massif du Nord au sud. Après le
Vercors nous parcourons Les
Baronnies - Provençales.


Aujourd’hui l’étape sera entre Laragne à Sisteron

 J’ai ajouté pour ces parcours de montagne le dénivelé négatif. Lorsque j’ai annoncé à mon groupe de randonneurs du dimanche que je partais deux semaines pour traverser à pied le Vercors, une partie de la Drôme pour me rendre dans les Alpes de Haute Provence… En bon fanfaron, je leur dis que ce sera facile, je ne fais que descendre… vers le Sud-Est. En effet beaucoup de descentes surtout dans le Vercors et cela fait mal aux cuisses. J’ai ajouté également l’indice IBP qui évalue automatiquement la difficulté d’un itinéraire

L’exemple est simple à comprendre. Un parcours classé rouge vous le trouverez plus ou moins facile suivant votre préparation physique. 

En regardant le tableau en fin de page, un indice 84 est difficile pour une préparation moyenne. Dans le parcours Saint Nizier - Lans en Vercors, classé 84, la seule vraie difficulté sera la distance et le dénivelé. Le parcours se faisant en grande majorité sur des chemins. 

Mais Moyen pour une haute préparation, et facile à très facile pour une très haute préparation.

L’année dernière j’ai rencontré une randonneuse qui partait pour Saint Jacques de Compostelle sans aucune préparation. La marche, connaissait pas, m’avoue t’elle lorsque nous attendions que l’hôte nous ouvre sa porte. Après cinq jours, ses pieds étaient en sang, et elle n’était que dans les Landes. On était loin de la montagne, loin de chemins difficiles.

 
 Km       Temps    Arrêt     V/d     V/g      Dénivelés    Dénivelés     IBP
 31,5       7h16      1h45      4,3      3,4          680 +           739 -         94

En agrandissant la carte nous arrivons à la carte Top 25

 Carte OpenStreet        Trace GPS et topo sans commentaires     Trace Randogps

Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici

Le code mobile de cette randonnée est b428873

Carte VisoRando     Cliquez sur le rectangle à coté du numéro


 Mercredi 18 juin 

7h30 je suis parti. C’est chouette ses hôtels prévus pour les représentant de commerces le petite déjeuné est de très bonne heure. Avec cette chaleur il vaut mieux partir le plus tôt possible. Aujourd'hui c'est une longue journée 29 km annoncés. Avec la montagne de Chabre et ses lacets, ainsi que mon long chemin en bordure du Buëch pour trouver un coin sympa pour manger je me retrouve avec 2 kilomètre de plus. ( le temps que vous trouverez correspond à rien j’ai laisser le GPS allumé sans le remettre à zéro, d’où un temps de pose important.   

  Je rejoins le GRP du Tour de la Buëch, en prenant l’avenue de Provence et après avoir traversé le pont au dessus de La Véragne, je prends les escaliers sur la droite me permettant de traverser le parking à son extrémité. Nous retraversons la rivière, contournons le supermarché et prenons la D 942 en direction de Séderon, Ribiers, Châteauneuf. Devant nous se dresse la montagne de Chabre. Empruntons la 942, nous marchons en sécurité grâce à une piste cyclable, et contournons la montagne, nous sommes sur le GRP. Traversons le Büech, nous sortons de Laragne, laissons la route de Saléon sur la droite, après un peu plus de deux kilomètres, (environ 30 mn). Nous quittons le bitume pour une route carrossable sans issue de 7 km, (le panneau doit être faut ou j’ai mal lu), grimpant dans la montagne de Méouge, en direction de Serre de la Croix, Pomet, Pont Romant, Gorge de la Méouge. Cela grimpe bien, nous longeons le Torrent des Vignes, après un virage en épingle à cheveux nous arrivons au réservoir, je galère un peu pour trouver le sentier et le balisage, je n’ai pas dû tourner assez tôt. Je n’ai pas vu la balise. Je rattrape le balisage et le sentier en lacets qui monte un peu plus raide et que j'ai trouvé interminable. De 640 mètres nous grimpons jusqu’à environs 880 m, c’est raide. Nous débouchons sur un chemin forestier carrossable enfin nous voilà en haut. Notre sentier devient chemin carrossable. A l’aire de stockage de bois, passons la barrière, et prenons le chemin de gauche, (en direction de Serre de la Croix. Nous restons en foret plus ou moins sur la même ligne de niveau. Je suis étonné de voir depuis que je suis parti, des forets, sans trop de branches mortes au sol et d’arbres morts pourrissant sur pied. A fontainebleau c’est tout l’inverse, je la nomme la foret dépérissante… Nous arrivons au poteau d’information du Serre de la Croix (851 mètres), poursuivons en direction de  Pomet situé à 2,6 km et Pont Roman 4,2 km. Après un virage en épingle à cheveux nous rencontrons un chemin carrossable prenons à gauche. Au niveau d’ l’antenne émettrice, nous redescendons, les arbres sont petits et l’on à une vue d’ensemble sur la montagne. Au carrefour suivant dans l’épingle à cheveux laissons le chemin de droite prenons à gauche, nous descendons jusqu'à Pomet (660 mètres), hameau de quelques maisons. Certaines maisons sont habitées, j’ai rencontré une personne étendant son linge. Ici, il n’y a rien que le ciel bleu, la foret, et le paysage. Je ne peux me rendre à l’église ou à la chapelle le paysage devrait être magnifique. Le lieu est privé. De chemin carrossable, nous trouvons une route bitumée. Nous descendons. Plus nous descendons et plus je suis subjugué par le paysage. C’est magnifique, d’un coté la montagne de Méouge que nous venons de traverser entaillé des ravins de Picouta, de Pérage, de Mounette, mais surtout les Gorges de la Méouge. Dans l’épingle à cheveux à la rencontre de la route et du chemin je cherche un peu le balisage, il faut prendre totalement à gauche et descendre en prenant l’épingle à cheveux, en direction du Pont Roman, Le Banc du Bouc et Antonaves. La route peu large, deux voitures ne se croisés pas. L’autre route conduit à une aire de décollage pour parapente. Pour laisser passer les minis bus faisant la navette, il a fallut que je me plaque le long du rocher, le parapet ne m'a pas paru assez haut pour me plaquer dessus. La descende me subjugue, je ne peux retirer mon regard de ses gorges, plus nous descendons et plus nous apercevons de détail. Arrivé au point de vue du Banc du Bouc (ancien cimetière de Pomet). Je n’ai qu’un mot c’est magnifique, sur la droite les gorges et la montagne, sur la gauche la plaine. Plus je descends et plus nous apercevons les détails, les rochers sculpter par l’eau, la cascade et la montagne du Pénail qui se trouve juste en face. J’aperçois un trait qui monte sur le flanc de la falaise et par endroit des troncs qui remplace ce trait. Cela m’inquiète et me dit que j’ai choisi un itinéraire plus tranquille, que je vais retrouver la plaine en longeant la rivière. Ces aménagements sont juste pour retenir les pierres afin qu’elles ne tombent pas dans le lit de la rivière. Nous débouchons sur la D 942 route peut large ou une voiture et un camping car on du mal à se croiser. Nous remontons sur la droite sur quelques centaines de mètres et trouvons un sentier sur la gauche descendant vers la rivière. Sur le sentier nous avons des panneaux de sécurité indiquant la dangerosité du lieu le niveau de l’eau pouvant varier rapidement. Les personnes devant moi n’en n’ont que faire maillot de bain sous un paréo, bras chargé de serviettes, jeux de plage et pique nique se dirige vers le pied de la cascade et sa grande baignoire turquoise. La plage est de galets. Par cette chaleur et se ciel bleu, la Méange aurait plutôt tendance à perdre de l’eau. Ma trace ne passe pas à la cascade. Après le pont Roman je dois grimper à flanc de falaise. Je me sens obligé de me rendre au pied de cette cascade, je marche sur les galets dans le lit de la rivière, contourne les rochers torturés par l'eau. L’érosion a ici sculpté les énormes blocs de roches aux strates de couleur ivoire dans ce chaos de falaises et d’éboulis, de tufs calcaires. En hiver et au printemps, la Méouge, gonflée par les pluies et les chutes de neige, se transforme en un torrent parfois impétueux. L’eau chute dans une sorte de baignoire, cela donne envie de se baigner, mais je trouve qu’il y a trop de monde et je ne veux pas me donner en spectacle. Je reviens sur mes pas et au poteau d’information. Je quitte le Tour de la Büech qui remonte la rivière. Je change de GRP je m’engage sur le Tour du Sud de Büech – Méange. Horreur je constate que mon chemin grimpe sur le flanc de la montagne du Pénail avec les réparations en bois pour empêcher les cailloux de tomber dans la rivière, afin de rejoindre Antonaves. J’ai un autre choix le balisage jaune qui grimpe aussi fort mais ensuite doit se situer sur un plateau, sauf que le temps est beaucoup plus long. Je prends mon courage à deux mains et me dis que si des aménagements ont été réalisés c’est que le chemin est praticable. Chemin est un bien grand mot, un sentier pas plus large que mes pieds, disons un replat sur ce flanc de falaise que j'ai trouvé si abrupt, lorsque je suis descendu de Pomet. Heureusement il est bien entretenu des pieux et des rondins maintiennent le cailloutis. Cette partie est la plus dangereuse. C’est le vide, abrupte sans arbre que de la roche et pour vous recevoir à plusieurs mètres en contrebas, le filet d’eau de la Méouge… Mais le sentier à été réparé il est impeccable si l’on n’a pas le vertige. Je regarde mes pieds, je regarde devant vers la monté, et soupir en voyant au centre de cette fin de canyon la plaine arboricole tendu de filets blanc anti grêlons. Mais pourquoi n’as-tu pas choisi la plaine. Un peut plus loin la végétation à repousser, le sentier n’est pas plus large mais au moins la végétation comble le vide. Heureusement qu’il fait très beau, je n’imagine pas ce sentier sous la pluie. Je ne pensais pas qu'il y avait ce type de terrain en si basse altitude. Je fais plusieurs poses. Notre sentier débouche sur un chemin au milieu des prairies et d’une montagne moins abrupt. Je rencontre des promeneurs du mercredi… On sort le petit fils le matin, une belle balade en montagne pendant qu’il ne fait pas encore trop chaud. Tantôt avec la fournaise ce sera la sieste. La fournaise débute à Antonaves, je n’ai plus l’ombre de la foret, que des prairies, et des Verger. Nous traversons le village par la route du haut, chemin du Daumas, ou nous quittons le GRP et poursuivons par la route de la fontaine. Je fais une halte à la fontaine, rempli ma casquette d’eau et me la remet sur la tête. Je suis trempé, heureusement il fait tellement chaud que tout le monte est cloîtré chez lui, ou au travail et personne ne voit que je dégouline, d’eau. Je n’ai pas le courage de me rendre à l’église, poursuis la route en suivant le balisage jaune du chemin de Fond de Poiron, longe une maison avant de m’apercevoir que c’est la chapelle Saint Eutrope. Chapelle, maison je ne sais trop. La route fait un coude, ce qui nous donne une vue sur le village et j’ai l’impression d’avoir devant moi un tableau de Cézanne. En haut du tableau sur un petit tiers un ciel bleu, venant terminer ce petit tiers la montagne du plan de Pomet avec quelques falaises abruptes, sur le second tiers la colline agrémenté de son indispensable village qui s’étire comme un gros chat sur son flanc, le troisième tiers le reste du paysage avec ses prairies, ses oliviers, et ses vergers, cette plaine blanche de filets. Un autre élément indispensable c’est la luminosité, une lumière différente, une lumière que l’on ne trouve qu’ici. Moi qui n’y connais rien en peinture je suis subjugué par ce tableau. Je me verrais bien là, au milieu de la route, installer mon chevalet, mon tabouret, et sortir ma palette de peinture. Malheureusement mon tableau ne retranscrirait pas ce que je vois, alors je sorts mon appareil photo et je fais un ‘’clic-clac, merci kodak’’ (comme nous le faisait savoir dans une pub de la marque d’appareils photos et de pellicules argentiques qui a disparue, ou presque).  A ce carrefour ou j’ai planté mon chevalet, je quitte le balisage jaune et poursuis la route qui descend lentement vers la départementale 948, que nous prenons à droite. Heureusement il y a une piste cyclable pour marcher en sécurité, nous avons environ trois kilomètres à réaliser sur cette route écrasée de soleil. Je ne suis pas le seul fou à marcher sous cette chaleur, des cyclistes itinérants avec leurs grosses sacoches accrochées au cadre des roues avant et arrière me doublent et me fond un petit signe d’amitié ou de compassion. Sous cette chaleur nous souffrons tous mais eux ne porte pas le sac. Nous prenons la première route à gauche qui est sans issu, se terminant au fossé du canal de Sisteron, c’est un grand espace de prairie, nous devons prendre à droite un chemin qui deviendra plus loin carrossable. Il est midi passé, j’entends la douce mélodie en cette journée caniculaire de l’eau qui coule. C'est l'heure de faire la pose et sécher les affaires mouillées de transpiration, enfin pas tout à fait, avant de les sécher, je vais les mouiller pour les laver, tout au moins pour que cela ne sente pas trop. Sans trop chercher, je trouve un sentier me conduisant en bordure du Büech, mais l’eau qui se trouve la plus proche est stagnante, facilement je trouve un point haut sur les galets pour rejoindre le filet d’eau qui court vers sa grande sœur la Durance qui n’est plus très loin (Le Büech rencontre la Durance à Siteron). Je suis obligé de marcher assez longtemps dans ce lit inconfortable de galets, avant de trouver une sorte de plage. Les galets ont fait barrage, la rivière fait un coude et à creusée une petite rive, le courant est fort. Je suis surpris par ce courant, par rapport à la largeur de son lit on pourrait croire que la rivière est douce et tranquille, mais une fois allongé dans l’eau les pieds face au courant, je suis obligé de m’accrocher au gros cailloux du fond de la rivière pour ne pas être emporté. Je lutte pour rester en place et la moindre inattention, me fait tourner. Impossible de revenir au centre de celui-ci, mes abdos ne sont pas assez développés… Je suis entraîné à pivoter et même les gros cailloux ne me retiennent plus. Par contre assis dans l’eau le dos au courant je reste en place, il n’y a plus ce mouvement de balancier dû aux jambes. Je suis bien, j’imagine rester là jusqu’au soir. Cela fait bien une heure de pose. Je repars avec l'idée de couper par le taillis de bouleau pour rejoindre le chemin. Cela doit faire quelques années, que la Büech à abandonné son large lit, une foret de bouleaux plus ou moins grand y a poussée. Arrivée aux grandes herbes j’y renonce, je retrouve ma trace en marchant sur ses inconfortables galets pour ressortir par ou j’étais entré. J’ai bien fait de faire ma pose en ce lieu c'était le seul endroit où je pouvais rejoindre la rivière. En plus j’avais une belle vue sur le village de Mison avec son promontoire surmonté d’un château ruiné. Nous traversons des vergers et lieux dits de quelques maisons comme La Victoire, ou le Pré Neuf. Comme il fait très chaud les vergers sont arrosés c’est agréable de recevoir cette pluie fine. Le paysage est magnifique la vallée est entouré de montagnes. Après quelques grandes propriétés nous débouchons sur la D 948 que nous prenons à gauche et traversons le torrent de Clarescombes, nous entrons dans Ribiers. Je loupe le raccourcie de la D 522 qui m’aurais évité de monter dans le village. Je n’ai pas compris ma trace. Je monte en ville écrasé par la chaleur. Pas un chat en vu, tous les volets sont fermés pour conserver la fraîcheur dans la maison. J’arrive sur une place de village déserte aux volets clos, trônant en son milieu une fontaine à l’eau non potable, c’est écrit dessus. Je remplis ma casquette d’eau et je me la verse sur la tête. Je n’ai même pas le courage de me rendre dans l’église, si elle est ouverte c’est peut être le seul endroit ou il y fait frais… Nous avons un poteau d’information, mais aucune direction ne m’intéresse. Dans le Vercors, on ma fait remarquer que je n’empruntais pas le chemin classique pour me rendre aux portes de la Provence, à Serres j’aurais dû prendre le GR 946, il me semble qu’il fait Serres-Sisteron (mais il a été fermé en 2022, en attente d’une déviation, suite à plusieurs accidents sur la crête. C’est encore le seul renseignement que l’on a en 2025). Lorsque j’ai étudié mon itinéraire, j’avais tracé ce parcours, sans savoir qu’il était fermé au départ de Serres. Par la suite il était devenu mon plan ‘’B’’ j’avais beaucoup de dénivelés par jour et il me semble, que j’avais des soucis de couchage par rapport au nombre de kilomètres que je parcours. Je ne suis pas dans les normes de la FFRP. Je prends la rue de Mison (D552), qui me fait redescendre sur la route que je n’ai pas prise tout à l’heure, au moins je me serais rafraîchi à la fontaine. Dans le bas nous prenons à droite et une belle piste cyclable de couleur verte, nous permet de marcher, plus ou moins en sécurité puisque seul la peinture délimite la bande de roulement des voitures et des vélos. Un peu plus loin nous avons un sentier sur le talus. A la sortie de Ribiers, il nous reste que le bas coté de la route. Traversons la Büech et de l’autre coté nous changeons de département, nous voilà dans les Alpes de Haute Provence, pour nous accueillir un champ de lavande, et un panneau qui m’interpelle, de décembre à mars il faut les chaînes ou les pneus neige. Je ne pensais pas que la neige descendait si bas. Il est vrais qu’aujourd’hui dans les départements de montagne il est obligatoire de d’équiper six mois de l’année son véhicule. Sur la gauche perché sur sa colline Mison. Dans la monté après les virages je prends la route de Magdelaine sur la droite, mais le hameau se nomme Madeleine. Longue route, très longue route en plein soleil, champs, prairies et vergers bordent cette route. Un panneau m'annonce qu'il me reste 5 km, ils sont long c'est 5 km, elle ne grimpe pas beaucoup mais c’est encore de trop. Après une importante entreprise fruitière, la route descend en traversant un petit bois. Je marche en zig-zag pour chercher le peu d’ombres que produits les petits chênes de bordure. Je ne rejoins pas la D 4085 (route Napoléon). Au carrefour avec le poste électrique nous prenons à droite. Le panneau indique Sisteron en vélo et c’est la direction de l’entreprise Artsud, entre les arbres nous apercevons un viaduc et la citadelle perchée sur son rocher, (Je vous mets le lien tout de suite trop fatigué par la distance et la chaleur, je ne suis pas monté. Le lendemain on m’a dit que j’avais eu tord, on a un magnifique panorama). Faisons les virages en épingle à cheveux et passons sous le viaduc ferroviaire, dans l’un des virages nous apercevons le Büech. Face à nous la montagne de la Baume et le pont au dessus du Büech. Nous prenons sur la droite la D 4085, passons le pont routier au dessus de la rivière et là nous découvrons au pied de la montagne pointue le village du Couvent, c’est atypique et magnifique. Passons l’écomusée et au rond point il ne faut pas se tromper en prenant la route descendant vers la Durance. Prenons la rue Melchior Donnet, longeons le parking, je suis ébloui par se village au pied de la montagne, j’en oubli que je suis là pour Sisteron. Je lève tout de même la tête pour apercevoir, en haut d’une falaise abrupte un bout de mur et une échauguette. De ce coté, c’est imprenable. Ensuite nous avons le choix pour entrer dans Sisteron. Soit la rue Saunerie situé à coté de l’hôtel (à la gauche du tunnel) ou le Tunnel. J’ai pris le tunnel parce que mon gîte d’un soir se situe au pied de la citadelle. La rue de la Saunerie, me rallongeais en me faisant traverser la vieille ville. Pour l’instant je n’ai envie que d’une chose, une bonne douche, et d’une chambre fraîche. Après m’être reposé, je me lance dans la fournaise pour visiter la ville

 

Montées

 Distance Km

 Km au total en %

 Vitesse en Km/h

 Temps h:m:s

 

 Entre 30 et 55%

 0

 0

 0

 0:00:00

 

 Entre 15 et 30%

 1.153

 3.66

 2.76

 0:25:06

 

 Entre 10 et 15%

 1.054

 3.34

 3.26

 0:19:24

 

 Entre 5 et 10%

 1.909

 6.06

 4

 0:28:37

 

 Entre 1 et 5%

 7.233

 22.95

 4.51

 1:36:08

 

 Total

 11.349

 36.01

 4.02

 2:49:15

 Terrain plat

 

 Dénivelées de 1 %

 6.779

 21.5

 4.57

 1:28:57

 Descentes

 

 Entre 1 et 5%

 5.992

 19.01

 4.67

 1:17:04

 

 Entre 5 et 10%

 6.612

 20.98

 4.54

 1:27:19

 

 Entre 10 et 15%

 0.75

 2.38

 3.33

 0:13:32

 

 Entre 15 et 30%

 0.039

 0.12

 3.63

 0:00:39

 

 Entre 30 et 55%

 0

 0

 0

 0:00:00

 

 Total

 13.393

 42.49

 4.5

 2:58:34

 

Total trace: 

 31.52

 100 %

 4.33

 7:16:46







 Echelle comparative des valeurs IBP

 

 
 
 
 
  

 
Le château de Miscon
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
  
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
  Pomet et les Gorges de la méouge
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
  Je n'ai pas planté mon chevalet au milieu du carrefour mais sortie l'appareil photo 
Antonaves 
  
 
 
 

 

 
 
  

 
 
 
 
 
la chapelle Saint Eutrope.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 Le village de Ribiers.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 Visite de la ville Sisteron

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Roche et citadelle
 
la montagne de la Baume et le village du couvent
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
  
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 
 
 
 

 
 
 
 
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