Poursuite de mes promenades autour de la France (Randonnée Le Plus Loin Possible)
Aujourd’hui nous traversons le Massif de la Chartreuse
Lundi 11 juin Après le bout du monde et le cirque de Saint Même, Je me rends un peut plus bas que Saint Pierre De Chartreuse
Depuis longtemps je souhaitais réaliser des promenades itinérantes autour
de la France. Et puis un jour j’ai découvert sur internet l’Association Nationale de Grand Sentier
de France, avec une carte tançant un chemin autour de la France. Jeune randonneur je
n’ai pu réaliser le parcours immédiatement. Il est resté un long moment dans ma
tête. Après quelques événements de santé, je me suis dit qu’il était temps de
partir et j’ai ressorti ma vieille photo de la carte avec ses 10 000
kilomètres de parcours. Me promenant seul et après quelques essaies de
promenades sur les hauts sentiers des Alpes ou je ne me sentais pas à l’aise,
je me suis tracé ma propre carte, en longeant la Seine, puis en tournant dans le sens des aiguilles d’une montre. C’est ainsi
que je ne traverse pas les Alpes par le GR 5, mais après La Grande Traversée du Jura, je poursuis par les Préalpes et la traversée de la Chartreuse en empruntant les vallées d’Entremont. Je n’ai pas traversé les
Pyrénées par le GR 10, mais en partie par le GR 78.
Pourquoi trois départs ? Dans un premier temps je fais des promenades ouvertes avec retour en trains proche de mon point de départ, sur la rive droite et gauche de la Seine, jusqu’au moment ou le temps de transport est plus long que le temps de parcours. La rive gauche de la Seine devant servir de retour.
Pourquoi Nice ? Difficile de marcher avec les grosses chaleurs. Alors le sud de la France je le fais au printemps.
Pourquoi la Seine ? Je ne suis pas certain de pouvoir marcher plusieurs jours de suite. La Seine à l’avantage d’avoir lors de mon départ des campings tout les 20 ou 25 km ainsi que des gares proches de mes campements.
Carte Open Street Trace GPS Carte Randogps
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
Le code mobile de cette randonnée est b374853
Carte VisioRando 
Toucher le lien puis le rectangle à coté du numéro
L'indice IBP est un système d'évaluation automatique de la difficulté
d'un itinéraire parcouru en vélo tout terrain, en vélo de route, en
randonnée pédestre ou en course.
Cet indice est très utile pour connaître la difficulté de différents itinéraires et afin de pouvoir les comparer.
Il est important de ne pas confondre le degré de difficulté d'un itinéraire avec l'effort physique déployé pour le réaliser : un indice IBP de 60 sera un parcours très difficile pour une personne non entrainée, normal avec une préparation physique moyenneet très facile pour un professionnel.
Les roches qui constituent la
Chartreuse se forment par sédimentation à partir de 135 millions d'années, au
cours du Crétacé inférieur, au fond de la Téthys alpine. Les dépôts d'origine
animale forment des calcaires durs tandis que les roches détritiques provenant
essentiellement de l'érosion de la chaîne hercynienne composent les marnes,
dans une alternance 
marquée par les changements climatiques ou les variations
de profondeur. Une hausse des températures combinée à la présence de bas fonds
contribuent à la mise en place de récifs coralliens parmi lesquels foisonnent
des mollusques du type rudistes, à l'origine du calcaire urgonien composant la
partie supérieure du massif. Cette faune primitive laisse de nombreux fossiles.
Au Paléogène, la Téthys se referme. Vers 23 millions d'années, au début du
Miocène, l'érection du massif alpin entraîne la formation d'une nappe de
charriage et repousse vers le nord-ouest tout en les soulevant d'environ 2 000
mètres les roches sédimentaires. Une érosion fluviatile est certainement à
l'origine de l'individualisation du massif par le creusement primitif des
cluses de Chambéry et de l'Isère. Le plissement de ces roches aboutit au niveau
de la Chartreuse à une succession d'anticlinaux et de synclinaux entrecoupés,
en raison de la dureté de la roche, de failles. Ultérieurement, une
sédimentation secondaire dans des cuvettes, à la suite du creusement des 
gorges
et de l'érosion des falaises par l'action du ruissellement, forme ainsi les
molasses présentes au pied du massif. Aussitôt formé, le massif est soumis à
une importante érosion qui accentue le relief. La dissolution du calcaire
entraîne la formation d'un relief karstique, caractérisé par des lapiaz et des
dolines, et percé de nombreuses cavités. Le découvrement de roches inférieures
à l'Urgonien, essentiellement dans la partie occidentale du massif, s'explique
par une ou deux périodes de pénéplanation, dont la plus récente remonterait au
Villafranchien (fin du Pliocène-début du Pléistocène), alors que le plissement
alpin était encore en cours. Lors de la glaciation de Riss, les larges glaciers
périphériques pénètrent dans le massif par les cols mais leur épaisseur reste
faible et, à part dans certaines gorges, ils n'ont pas d'effet érosif majeur.
En revanche, ils laissent de nombreux matériaux morainiques. Lors de la
glaciation de Würm, ils ne pénètrent que par le col du Granier au nord.
Quelques glaciers locaux de 
petite taille se forment au niveau des actuels
hameaux de Vallombré, de Perquelin, de la Plagne et dans le cirque de
Saint-Même.
Je ne souhaitais pas reprendre
le même chemin pour rejoindre Saint Même d'en Haut et je lui demande si je peu
prendre par le bois. Malheureusement je ne remonte pas suffisamment haut, et je
ne vois pas les marques jaune. Je suis surpris par le barriérage en bois tout
le long du chemin empêchant de ce rendre dans les parcelles. Lorsque je me
rends compte que je ne suis pas sur le balisage jaune, il est bien tard,
j'arrive au parking payant. Je ne tente même pas de prendre un chemin
forestier, si personnes n'y va ce doit être un chemin rempli d'herbes et de
taillis. Je ne tiens pas à récolter des tiques. Je reprends le chemin d'hier en
sens inverse jusqu'à Saint Même d'en Bas. Je quitte ici le balisage et prend la D45c puis sur la gauche la route du
Recoud. Une petite route que je pensais tranquille mais c'est un balais de
voitures d'entreprises. Je pense arriver à Saint Pierre d'Entremont, mais c'est
le hameau du Petit Chenevey. Je suis étonné du nombre de scieries, je croyais
que 
la filière était morte en France et que nos bois partaient en Chine pour
être transformés. J'en est bien vu quatre entre Saint Même et ici [La
Chartreuse compte environ 13 000 propriétaires forestiers privés. Ils possèdent
en moyenne une surface de 1,8 hectare, souvent répartie en plusieurs parcelles
non contiguës. les forestiers de Chartreuse, en forêt publique comme en forêt
privée, sont très attachés à la sylviculture en futaie irrégulière. Ce mode de
gestion se caractérise par des arbres à différents stades de développement. Les
coupes visent à ne prélever qu’un volume équivalent à l’accroissement pour
permettre une régénération 9en continu favorisant une mise en lumière
suffisante du sous-bois. Mais, si ce mode de gestion est idéal pour les forêts
de Chartreuse, il demande un accès simple et proche pour pouvoir intervenir
régulièrement. En 2004, un séchoir collectif était installé à Saint-Pierre
d’Entremont. Il s’agit d’un outil mis en place par la filière locale avec
l’appui du Parc de Chartreuse. Ainsi, cinq artisans se sont associés pour 
créer
une SARL et monter un séchoir qui permet aux scieries de Chartreuse de fournir
des bois secs aux clients. Cet outil est devenu peu à peu indispensable à la
filière locale qui peut ainsi intégrer les nouvelles normes constructives. En
2015, 5 professionnels de la filière bois (couvreur, charpentiers, menuisier)
se sont regroupés afin de permettre l’acquisition d’une machine de taille
numérique capable de tailler les bois massifs issus des scieries du territoire.
Cette outil est utilisé régulièrement par les professionnels concernés par la
structure et permet de répondre aux marchés publiques comme celui des nouvelles
caves de Chartreuse basé à St Laurent du Pont. Maillon indispensable de la
filière bois, la scierie fait le lien entre la ressource locale et les
utilisateurs finaux que sont les charpentiers, les architectes et les
constructeurs bois. Depuis plusieurs dizaines d’années, les scieries ont
tendance à diminuer en nombre et grossir en capacité de transformation. Les
zones de montagnes ne sont pas épargnées par ce phénomène. Résultat, les
scieries de moyennes dimensions disparaissent peu à peu des montagnes et les
vallées 
accueillent des scieries de plus en plus importantes. Pour conserver la
notion de circuit court et garder la maîtrise de l’utilisation de la ressource
forestière de la Chartreuse, le maintien des scieries sur le territoire est
donc une priorité. En effet, ces scieries locales assurent un rôle dans le type
même de gestion forestière pratiquée sur le massif. Leur présence contribue au
cadre de vie et à l’économie locale. Ces scieries structurent l’offre pour les
charpentiers locaux en permettant le contact et la prise en compte plus précise
de leurs attentes. Le maintien des scieries est à relier avec une exploitation
de qualité. Celle-ci s’appuie sur la présence de bûcherons compétents, encore
bien ireprésentés en Chartreuse. www.parc-chartreuse.net ]. Je remonte la D 512 sur
quelques centaines de mètres et prends le premier chemin sur la droite. Nous
contournons la scierie, le chemin fait fourche, je fais l'erreur de prendre le
chemin de gauche et termine ma course dans une prairie servant de stockage pour
matériaux. Je reprends le bon 
chemin, coupe dans un virage en épingle à cheveux
la D 512 et poursuit par le chemin en face, que nous trouvons entre des
barrières de sécurités. Je coupe de nouveau la route et par un chemin j'arrive
à Saint Pierre d'Entremont. Je poursuis par le chemin des Guiguets (bitumé),
traversons l'herbetan et prenons à droite
la rue du Dauphiné jusqu'à l'ancien moulin devenu restaurant. [Certains
des moulins de Saint-Même servaient à la fabrication de meules. Les meules sont
extraites des falaises calcaires au lieu-dit « Fouda Blanc », dans le Cirque de
Saint-Même, en aval de l’Alpe de la Dame. Une fois 
taillée dans la roche, ces
meules permettaient de fabriquer de la farine de froment, très fine. Ces meules
proposaient un diamètre de 1,20 mètre. Leur exploitation remonte au Moyen-Age.
D’après des enquêtes réalisées sur les moulins au début du XIXe siècle, ces
moulins pour meules avaient déjà été abandonnés. Aujourd’hui, il subsiste que
des traces infimes. Dumas]. Remontons la rue nous sommes sur un balisage jaune
et à la fourche poursuivons tout droit la D 102b en direction de Préversin et
d'autres hameaux. Au virage en épingle à cheveux nous prenons à gauche et
trouvons un poteau d'information nous nous dirigeons vers Préversin, le
Villard, Les Reys, nous sommes sur le chemin des Nants. Le chemin est bitumé
jusqu'aux dernières maisons puis devient carrossable. Passons les lacets, nous
débouchons sur la route ou nous trouvons les dernières maisons de Preversin.
Prenons à gauche, après la dernière maison et juste avant les barrières de
sécurités matérialisant un ruisseau, nous prenons le chemin de droite. Nous
Grimpons dans la foret, laissons sur la gauche un chemin, 
puis à la fourche
prenons à gauche. Nous arrivons au Villard. Le paysage est magnifique malgré
les quelques nuages venant cacher par intermittences les cimes, nous sommes
entourés de montagne, les combes Eparres, la dent de l'ours, mais surtout le
Grand Som. [Le Grand Som est un ensemble calcaire formé essentiellement de deux
barres urgoniennes. Le drainage du massif se fait en direction de la source de
Noirfond, au bord du Guiers Vif. Wikipedia]. Nom qui reviendra souvent durant
ses prochains jours. Le chemin est facile à trouver toujours en fond de
vallées. Nous passons dans le bas du Villard par un chemin carrossable,
poursuivons le balisage jaune, chemin de l'Abbe Roux ou aberoux (je n'ai pas
très bien prononcé dans mon topo orale et ne retrouve pas le nom sur la carte)
en direction des Reys et du Planolet situé à 3,2 km, il faut 1h05 pour s'y
rendre. Traversons plusieurs ruisseaux et passons en extérieur du hameau des Reys. Notre chemin
fait fourche, nous quittons un balisage jaune, pour poursuivre à gauche un
autre balisage jaune en direction de Saint Philibert. Nous traversons prairies
et bois, et arrivons au charment village de Saint Philibert. Sur la gauche nous
trouvons une croix avec une petite statue déposé dans une niche, un peu plus
loin passons un grand bac en ciment devant servir à une 
époque aussi bien de
lavoir, que d'abreuvoir. Laissons un balisage jaune partir à gauche, longeons
le ruisseau d'Ivernon, nous passons un ancien moulin. À travers une vitre qui
n'a pas été nettoyé depuis des lustres, nous apercevons sa roue. Sur
la façade, en déco une roue de transmission. La route tourne en épingle a cheveux
sur la droite. Poursuivons tout droit par le chemin longeant la petite maison.
Nous grimpons vers Longerait et le col du Cucheron. Arrivé vers la Sarra
(quelques maisons), traversons la route et prenons en face le chemin du Peysset
qui mène à la station de ski du Planolet, 1000 mètres d'altitude la plus haute
remonté se trouve à 1500 mètres. Voilà ce que nous dit la publicité [Vous
pouvez skier au cœur des plus beaux paysages de Chartreuse : descente
tranquille au milieu des sapins enneigés, slalom face au Grand Som pour les
plus sportifs, figures acrobatiques sur les bosses entre potes, fin de journée
en pente douce avec le soleil couchant… Au total, 19 pistes préparées avec
grand soin sur 33 km (3 noires / 8 rouges / 5 bleues / 3 vertes). Sans oublier
l’espace débutants en front de 
neige au Planolet. chartreuse-tourisme.com]. Il y a trois jours dans le Jura
il m'a été dit qu'à mille mètres c'est
un mélange pluie-neige. Nous avons vu que la neige comme partout à diminué sur
la Chartreuse de deux mètres, elle est passée à zéro mètre cinquante. Le bas
des pistes doit certainement être régulièrement alimenté en neige, que l'on doit aller chercher plus haut. Je fais un petit tour et une pose
devant le chalet comportant le plan des pistes. Poursuivons le balisage jaune
en direction du col de Cucheron, situé à 500m. Nous débouchons sur la D512 un
peu avant le col [Le Col du Cucheron – 1139 m – est situé en plein centre du
magnifique Massif de la Chartreuse. Son altitude modeste dissimule une
ascension assez rude. Il est l'un des points de la longue dépression « des trois
cols » qui relie Saint-Pierre-de-Chartreuse au sud au village de
Saint-Pierre-d'Entremont au nord. Il se situe entre le Grand Som à l'ouest et
la Scia au sud-est. Wikipedia]. Passons le restaurant et commençons notre
descente, en direction de Champ Massot 
et Saint Pierre se trouvant à 1h35.
Après quelques chalets en bordure de la départementale, nous trouvons une route sur la gauche menant aux
installations de ski du Bec de Scia. Nous trouvons un chemin sur la droite et un
espace suffisamment grand pour servir de parking par temps sec. Nous y trouvons
trois départs de chemins en étoile. Le balisage jaune prend le chemin le plus à
gauche. Nous descendons et arrivons à une intersection "champ Massot"
avec deux balisages jaune, laissons le chemin de gauche, poursuivons le jaune
face à nous. Un peu plus loin à la fourche laissons le chemin balisé en jaune partir sur la droite, en
direction du col Des Aures et du Grand Som, poursuivons légèrement à gauche,
nous coupons un chemin forestier carrossable et poursuivons notre descente vers
Saint Pierre de Chartreuse. Nous débouchons dans le hameau de La Coche, prenons
le bitume sur la droite (chemin de la Coche), en direction de Saint Pierre.
Laissons l'impasse des Aures sur la droite poursuivons notre descente. A la
fourche prenons à gauche, de bitume nous passons à chemin, longeons les
quelques maisons de Fumeron et nous arrivons devant une fourche, prenons le
chemin de gauche nous arrivons au hameau de la Pâtassière. (Le hameau porte
bien son nom, pour y arriver j'ai bien patassé dans un chemin boueux. À la
fourche prenons à droite, nous sommes toujours sur un balisage jaune en
direction de La Carliniere, La Dia et Saint Pierre. Mais tout les balisages
sont jaune. Je voulais me rendre directement à
mon gîte et je me trompe au lieu de suivre la route, j'emprunte un
sentier à flanc de colline sur la gauche (GR9) en direction de Saint Pierre de
Chartreuse. Ce n'est pas grave, il est de bon heure, et je ne suis pas trop fatigué. Je cherche un endroit, sec, ensoleillé et sans
crottes de moutons pour faire une pose et me sustenter. Nous traversons le
ruisseau et arrivons au centre du village. [Autrefois rattachée à la province
du Dauphiné, la commune se situe au cœur du massif préalpin de la Chartreuse
dont elle héberge, de façon totale ou partielle, certains de ses hauts sommets,
telle que Chamechaude, point culminant de ce massif, mais aussi le Charmant
Som, la Dent de Crolles, le Grand Som, 
le Bec Charvet et la Scia. La commune
héberge également une grande partie de la Forêt domaniale de Grande Chartreuse
qui est la plus grande forêt domaniale des Alpes françaises, celle-ci étant
essentiellement composée de hêtraies sapinières, marquant ainsi l'horizon
forestier de Saint-Pierre et de ses hameaux. La cité chartroussine qui se
positionne plus précisément dans la vallée du Guiers Mort entre le col de
Porte, au sud, et le col du Cucheron, au nord. Au Moyen Âge, le village
s'appelait « Calma Trossa », nom qui s'est progressivement transformé en «
Charme Trousse », puis « Chartrousse ». 
À la fin du XIe siècle, Bruno a
construit avec ses six compagnons le premier ermitage cartusien pour mener une
vie érémitique tempérée d'un peu de cénobitisme.
avec les sports d'hiver durant les années 1970 et après avoir souffert des
"années sans neige" dans les décennies 1980 et début 1990, elle
connait actuellement un second souffle. Certes l'enneigement est
parfois aléatoire ne permettant guère des saisons supérieures à trois mois,
mais sa position stratégique près des grands centres urbains (notamment
Grenoble), son rapprochement de la station voisine du Planolet, son ambiance
familiale et des prix accessibles font qu'elle a connu en 2005 et 2006 ses plus
importants chiffres d'affaires en termes de vente de forfaits. Wikipedia]. Je me dirige vers l'église [Église de
Saint-Hugues-de-ChartreuseCe bâtiment religieux, construit en 1860 dans le
hameau du même nom, abrite un musée d'art sacré contemporain comprenant
principalement cent onze œuvres d'Arcabas. Ces œuvres sont essentiellement des
peintures, des sculptures, des vitraux et des gravures, réalisés à partir de
1952. Wikipedia]. Sur la place de magnifiques sculptures en bois, cinq arbres
pour célébrer la vie. Chez moi à grand renfort de 
publicité on a détruit un beau fût de Séquoia pour en faire une sculpture qui ne ressemble à rien. j'avais demandé au sculpteur ce que cela allait représenter... Il ne le savait même pas lui même, il ponçait à 
droite, à gauche et au milieu en essayant de concevoir un espèce d'élan vers...Vers Rien. Pour rejoindre mon gîte je prends la départementale coupe
les virages par un sentier dans un bois et j'arrive au petit hôtel proche d'un
carrefour et de la rivière du Guiers Mort. Malheureusement il n'ouvre qu'à 17
ou 18h00, j'ai deux ou trois heures d'attentes. Je vois une pancarte gorges du
Guiers Mort, sur la carte un peu plus bas un sentier découverte.
Malheureusement pour le rejoindre il faut suivre la route coincée entre les
montagnes. Arrivé aux tunnels, je crée un embouteillage il n'y a pas de place
pour une camionnette, une voiture et moi, je me protège dans une anfractuosité. C'est déjà compliqué pour les deux véhicules, l'un devant faire
marche arrière. Chose qui ne doit plus s'apprendre dans les autos écoles. Le
deuxième tunnel ou simplement la fatigue me 
fait renoncer à ce parcours. Je
remonte à l'hôtel et attend au soleil assis sur un banc. Je sèche...
Dénivelée positive accumulée: 727.9 m
Dénivelée négative accumulée: 771.3 m
Altitude maximale: 1143.6 m
| Montées | Distance Km | Km au total en % | Vitesse en Km/h | Temps h:m:s | |
| Entre 30 et 55% | 0.245 | 1.39 | 4.87 | 0:03:01 | |
| Entre 15 et 30% | 0.805 | 4.57 | 2.92 | 0:16:32 | |
| Entre 10 et 15% | 1.844 | 10.46 | 3.51 | 0:31:31 | |
| Entre 5 et 10% | 2.282 | 12.94 | 3.85 | 0:35:36 | |
| Entre 1 et 5% | 2.528 | 14.34 | 3.92 | 0:38:39 | |
| Total | 7.704 | 43.69 | 3.69 | 2:05:19 | |
| Terrain plat | |||||
| Dénivelées de 1 % | 1.594 | 9.04 | 4.19 | 0:22:50 | |
| Descentes | |||||
| Entre 1 et 5% | 2.564 | 14.54 | 3.07 | 0:50:05 | |
| Entre 5 et 10% | 2.794 | 15.85 | 4.02 | 0:41:45 | |
| Entre 10 et 15% | 1.383 | 7.84 | 3.64 | 0:22:49 | |
| Entre 15 et 30% | 1.439 | 8.16 | 3.81 | 0:22:40 | |
| Entre 30 et 55% | 0.154 | 0.87 | 5.39 | 0:01:43 | |
| Total | 8.334 | 47.27 | 3.6 | 2:19:02 | |
| Total trace: | 17.63 | 100 % | 3.68 | 4:47:11 | |
Sur la route du Guiers Mort.
Vous trouverez toute mon Périple en cliquant sur le lien ;
https://randosacaudos.blogspot.com/p/mon-periple.html
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire