Nous empruntons des routes. Le randonneur chemineux que je suis ne
peut être tenu responsable en cas d’accident.
2021
Nous étions partie en Vendée avec notre petite fille. Une liste d’activités impressionnante dans la valise. Comme d’habitude ce n’est pas tout à fait nous, qui avons décidé. Déjà à six ans, elle sait ce qu’elle ne veut pas faire, mais surtout ce qu’elle veut. La piscine, le club enfant ou elle retrouvait les copains du moment, furent plus fort que les châteaux ou autres monuments du secteur. Vous me direz et la mer ? Pour notre petite fille la mer n’est pas une priorité, elle a la chance de la voir très souvent. Alors pourquoi venir ici, simplement parce que ses parents y sont venu il ya quelques années et qu’elle voulait y retourner. Cela ma permis d’improvisé de petites promenades, pendant qu’elle était sous la surveillance des animateurs du club. Le secteur renferme un bon nombre de mégalithes. A mon habitude, je délaisse les sentiers tout préparés ayant remarqué sur la carte les monuments éparpiller sur le territoire. J’essaie et bien souvent à tord de sortir des sentiers déjà tracés pour présenter sur le blog quelque chose de nouveau. Malheureusement cette promenade ne fut que déception. Je me suis même fait courser dans un champ par un petit fourgon. Cherchant un hypothétique menhir situé dans un bois derrière une propriété privée, je me suis cru dans un mauvais feuilleton télévisé, le type roulant à font sur la prairie fauchée faisant un large virage pour me couper la route et me demandant sur un ton qui n’aurait pas supporté de réplique, ce que je faisais là. Et je suis poli. Garde là, ton herbe et ton morceau de pierre, tu n’étais pas obligé de me parler comme ça. Je sais que les champs et les bois appartiennent à des propriétaires, mais bien souvent dans mes aventures, ils sont bien plus compréhensifs que dans ce pays. Le champ n’était pas clôturé, et de ce que je vois de la lisière du bois il ne l’était pas n’ont plus. Je ne voyais pas le mal que je faisais. Le foin était coupé et renté et il n’y avait même pas le regain. (Herbe qui repousse dans une prairie après la première coupe). Je ne suis même pas sur que ce soit le propriétaire du champ.
Ou se trouve Saint Hilaire la Foret ; Sur la D 19 entre Avrillé et Jard sur Mer
Carte OpenStreet Trace GPS & Topo sans Commentaires Trace Randogps
Le code mobile de cette randonnée est b346362
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Carte VisioRando 
toucher le rectangle à coté du numéro
Aout 2021
Nous trouvons un parking Place de
l’Eglise. [Des XIIe, XVIe, XVIIe et XIXe sièclesSeul le chœur de l’église Saint Hilaire est roman. Les maçonneries ont été arasées et les voûtes actuelles datent du XIXe siècle. Le clocher domine les toits du bourg.
. Prenons la rue des
Mûriers située le long de la poste, c’est également le GR 364 (du Poitou à
l’océan atlantique). Traversons un quartier neuf, bâtit de maisons basses.
Abandonnons le GR rue des peupliers, poursuivons tout droit la rue des mûriers,
nous arrivons dans les champs, après la ferme des mûriers nous passons à
chemin. (La rue porte bien son nom. Emportez une
boîte, pour une récolte, abondante, qui a ravi ma petite fille. Du moins lors
de mon passage). Nous sommes dans les champs bordés de haies, les haies
sont couvertes de ronces, les plus belles mûres sont dans le haut, il me
faudrait un râteau pour rabattre les tiges et des gants pour ne pas me piquer
les doigts. Au carrefour formant Té, je suis le balisage et le chemin de
gauche, laissons un chemin sur la droite, nous arrivons devant un carrefour
avec un petit bois, prenons à droite vers le Lavoir de la Courolle ou nous
trouvons une aire de pique nique et des étangs 
[Le
lavoir de la Courolle est un ouvrage datant du XIXe siècle qui est associé à
une fontaine miraculeuse qui l’alimente. Il est composé d’un bassin circulaire,
d’un déversoir et d’un puits. Une fontaine sacrée l’alimente. Une galerie
couverte fermée à l’opposé du bassin (au nord), permettait de protéger les
lavandières. La couverture en tuile actuelle est récente et date de la
restauration du lavoir. Pendant les sécheresses, des processions de la
population se rendaient jusqu’à la fontaine pour implorer la vierge. Ces
invocations avaient pour but de faire pleuvoir. http://www.cestenfrance.fr/lavoir-de-la-courolle-et-sa-fontaine-miraculeuse/]. Revenons sur le chemin et
au carrefour prenons le chemin de droite, nous débouchons sur la D 70 (route du
Pont Vieux, que nous prenons à droite, dépassons le hameau du Vieux Pont
passons, le ruisseau du Goulet [le
Goulet dont la source se situe sur la commune de
Saint-Avaugourd-des-Landes a une
longueur de 16.8 Km et se termine sur la commune de Saint-Vincent-sur-Jard. Son
autre nom est rivière du goulet, ruisseau de l'allière, ruisseau du bois
renard. https://www.gralon.net/rivieres-france/le-goulet-116429.htm]
. Sur la gauche nous
longeons une propriété privée avec un étang d’on l’entrée est marqué par des
statues de lions scellés sur des morceaux de poteaux électriques. Au milieu de
l’étang sur un poteau une statue de le vierge. Après la clôture nous prenons le
chemin de gauche, longeons l’étang qui doit servir de réserve d’eau pour
l’arrosage. Le chemin fait fourche, nous prenons à droite (le chemin longeant
le lac, mène au second lac puis, est sans issu). Nous débouchons sur la route
de La Guilbaudière que nous prenons à gauche, traversons le hameau, portant le
même nom. 
(J’ai voulu poursuivre mon chemin par
L’allière, de bitume nous passons à chemin et nous arrivons à la ferme ou
malheureusement j’ai un panneau propriété privée, et pas de chemin de
contournement. Avec ma mésaventure de ma promenade précédente, ou je me suis
fait courser par une camionnette au milieu d’une prairie, je ne prends pas le
risque de traverser la propriété surtout que le chemin passe au milieu de la
coure de la ferme et qu’il y a un gros chien en liberté. Je fais demi-tour.
J’ai supprimé la trace). Dans le hameau prenons la route de droite, elle
serpente dans les champs et au carrefour prenons la route de gauche, nous
débouchons sur la D 105, que nous prenons à gauche. Laissons la route
gravillonnée menant à la ferme de l’Allière, sur la gauche. 
Un peu plus loin, laissons la D 91b sur la droite et
poursuivons tout droit vers Avrillé, nous arrivons à une fourche. Abandonnons
la D 105 partant sur la droite et prenons la petite route sur la gauche. Elle
fait de nouveau fourche, laissons la voie de droite en direction de la D 105 et
prenons à gauche la petite route de La Maquinière, passons les quelques maisons
de ce hameau perdu dans la campagne, laissons sur la gauche la rue sans issu en
direction des Avenderies, poursuivons tout droit et traversons les trois
maisons de Quineveau. (Ici j’ai voulu couper pour
éviter un détour mais il ne faut pas le faire. Poursuivons le bitume sur la
droite qui deviendra chemin après la dernière maison, il débouche sur un chemin
formant Té à la ferme des 
Aires, prenons à gauche (chemin balisé). Au carrefour
quittons le balisage prenons le chemin de gauche, on retrouvera ma trace un peu
plus loin). J’ai quitté le bitume poursuivi le chemin tout droit pensant
que ce serait un raccourci. C’est un beau chemin jusqu’au passage d’un
ruisseau, puis tourne à droite pour se terminer dans un champ. Je crois avoir
de la chance en suivant la trace d’un tracteur qui à aplati les ronces et les
orties. C’est un mauvais chemin qui n’existe pas sur la carte, rempli de
grosses ornières, de ronces et de hautes herbes qui me pique les jambes, je
gadouille en longeant un ruisseau. Je devine dans les hautes herbes que le
semblant de chemin fait un esse gauche-droite, mais c’est impraticable. Je 
fais
l’inverse passe un tas de cailloux et un esse droite gauche qui me permet de
sortir du bois. Je longe le champ par l’accès du tracteur et aperçois derrière une
clôture de barbelés un beau chemin. J’aperçois également que derrière le
passage infranchissable de cinq à six mètres un chemin nettoyé. Je franchis la
clôture trouve une laie forestière sur la gauche suffisamment acceptable pour
la prendre débouchant sur un chemin formant Té que je prends à gauche et trouve
un petit passage me permettant de prendre la route bitumée sur la gauche. Traversons
le ruisseau, longeons un étang, et au carrefour prenons à droite un chemin
empierré. Dépassons la ferme et les stabuls, laissons un chemin sur la droite
menant à la ferme de Févriat. Normalement sur la gauche nous avons les 
dolmens
des Créchaudes. Malheureusement et une nouvelles fois dans cette promenade je
me casse le nez sur des fils de fer barbelé, les menhirs on les devine à peine
sous un amas de ronces. Nous retrouvons le bitume, laissons un nouveau chemin
sur la droite, poursuivons le bitume à gauche, nous entrons dans le nouveau
quartier de Saint Hilaire par la rue de la Lambertière. Au carrefour poursuivons
tout droit par la rue (chemin de la lambertière), nous débouchons route De
Lattre de Tassigny (D19) que nous prenons à gauche. Nous arrivons à l’église et
au parking.
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