samedi 2 décembre 2023

Randonnée Le Plus Loin Possible 2023; Etape 2044 - GR 34 - Le Vivier - Le Verger

Vendredi 1 sept 2023

 

 Carte IGN   Trace GPS & Topo sans commentaires    Trace Randogps    

 Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici

Le code mobile de cette randonnée est b341524

Km       temps    arrêt    vd     vg     dénivelé     

27,5      5h40     2h00    4,9    3,6      177+

Attention si la marrée monte, il faut suivre la piste cyclable le plus près de la jetée protégeant la route. Ne pas prendre le chemin en bordure de plage. Après Saint Benoit des Ondes je me suis fait piéger. En mettant les pieds dans l'herbu je me suis rendu compte qu'il était plein d'eau. Que sur mon chemin légèrement en surélevé je n'avais pas vue que j'étais isolé. Faudra se mouillés les pieds pour rejoindre la piste cyclable. Des que l'on attaque la falaise, nous avons de nombreuses marches, un sentier peut faciles sur roche. C'est très jolie car on contourne toutes les criques.

Le départ ce fait de l'église du Vivier [Le Vivier-sur-Mer tire son nom du latin « Vivarium » (vivier). Selon certains historiens, ce serait au Vivier que Saint-Samson, premier évêque de Dol et prêtre fondateur de la Bretagne aurait débarqué en l’an 548. Le Vivier-sur-Mer se développe à partir du XIIème siècle, suite au creusement du grand Bied. les eaux du Guyoult furent canalisées de Dol à la mer, à travers le marais. La digue, d’une longueur de 30km, allant de la limite du département de la Manche à Saint-Méloir des Ondes, aurait été construite à partir du XIème siècle par les évêques de Dol. Par sa configuration et sa situation, Le Vivier-sur-Mer ne pouvait avoir qu’une vocation maritime. Le quai du Vivier, en pierre de tailles, est un ouvrage du XIXème siècle et le pont qui enjambe les quatre canaux fut inauguré en 1817 par Louis d’Artois, Duc d’Angoulême d’où son nom de Pont d’Angoulême. Pendant un millénaire, le cabotage a été très actif : port du pays de Dol commerçant avec l’Angleterre, l’Espagne, l’Afrique du Nord. Le déclin de cette activité coïncide avec le développement du chemin de fer (deuxième moitié du 19ème siècle). En 1954, la commune a implanté en Baie une activité nouvelle : la mytiliculture (élevage des moules de bouchots). Elle est devenue l’activité économique principale de la Baie avec l’ostréiculture. Ce centre mytilicole est le 1er centre d’élevage de moules de bouchots de Bretagne Nord et représente le quart de la production française. On compte environ 250 kilomètres de lignes de bouchots pour une soixantaine d’entreprises qui emploient 300 ouvriers. Ces emplois sont essentiellement basés sur le port du Vivier/Cherrueix. https://www.le-vivier-sur-mer.fr/notre-histoire/]. Faisons le tour de l'église. [Dédiée à Saint-Nicolas, patron des enfants, des prisonniers, des célibataires, mais aussi et surtout des marins et des navigateurs.

l’église du Vivier a l’avantage d’être très homogène puisqu’elle fut reconstruite et remeublée sous la direction du même architecte, le Malouin, Jean-Gabriel Frangeul.
C’est une des dernières entièrement dans la tradition classique en Ille-et-Vilaine. Elle porte la date emblématique de 1848, car beaucoup de paroisses profitèrent de la main d’œuvre bon marché en cette période de crise pour rebâtir leur église.
L’église médiévale précédente avait été édifiée parallèlement au littoral. Les coups de vent répétés l’avaient fragilisée, surtout les charpentes et le « campanier » en haut de la nef.
En 1830, la charpente de la sacristie, en avant du chœur, fut refaite et en 1839, l’ingénieur des Ponts et chaussées Besnard prolongea la nef d’une jolie tour de granit. Il fallut encore attendre une dizaine d’années pour reconstruire l’église elle-même, exactement au même endroit que la précédente, mais en forme de croix régulière, et ajouter encore quelques années pour achever le mobilier.
Les trois retables furent achevés en 1855 par l’arrivée des quatre statues des autels latéraux (qui honorent les saints patrons des donateurs !). Tous différents, ces trois retables de bois forment un ensemble très harmonieux et ont la chance d’avoir conservé leurs trois peintures et leurs six statues d’origine.
Au début des années 1920, le cimetière entourant l’église fut désaffecté et le mur d’enclos détruit (le cimetière n’étant plus utilisé pour les inhumations depuis 30 ans.)
Les retables et les statuts ont été restaurés et inaugurés en 2017. https://www.le-vivier-sur-mer.fr/a-decouvrir/]. Poursuivons par la rue du Gros Orme sur quelques centaines de mètres et prenons la première rue à droite, la ruelle Chaude. Coupons la rue de la grève (D 155), en face nous poursuivons par la ruelle menant sur la grève, on y trouve en contre bas de la digue la piste cyclable que nous prenons à gauche. Nous sommes sur la variante du GR 34 (celui qui se poursuivait le long des grèves au départ du Mont Saint Michel). Passons des bassins ostréicoles puis nous sommes dans les herbus, enfin je vois la mer, je pense qu'elle descend, puisque hier elle montait - (je ne calcul pas qu'elle à eu le temps, durant la nuit de finir de monter, de se reposer, de redescendre, de se reposer et de remonter tranquillement, on verra les conséquences un peu plus loin). Au loin, l'horizon est barré d'un grand trait gris, la pointe de la Chaîne c'est le même trait que l'on voyait de Granville. De la bas je distinguais des rochers d'ici je vois les îles. Nous allons là-bas, et même plus loin, et cela semble bien loin. Lorsque l'on est au milieu de cette baie et que l'on regarde sur la droite, nous avons également une grande pointe, c'est le Cap Lihou et la tache blanche ressemble bien à l'implantation de Granville. Que de chemin parcouru. Le paysage n'est pas très varier, l’œil se perd sur l'immensité de la mer, sur l'immensité de l'herbu. Heureusement, au dessus de la digue nous trouvons quelques moulins plus ou moins en état et souvent transformés ou intégrés à des maisons privées. Nous trouvons un poteau planté sur la digue, nous indiquant le GR 34. Nous entrons un peut plus loin dans le village d'Hirel et traversons la plage de la grève ; une bande de sable au milieu de l'herbe, à marée basse la mer est loin. A la sortie du village se trouve l'ancien moulin de la ville es Brune servant à des expositions. Tout en bordure de la grève un moulin isolé devant être loué aux estivants. J'en ai déjà mare de ses immenses étendues sans rien et me dit qu'il y a peut être quelque chose à voir dans ses villages avec des maisons en granit de bord de mer, je quitte la digue et me dirige vers le centre du village. Je ne suis pas déçus, cela change vraiment des villages de béton pour estivent construit en Normandie c'est un beau village fleurie avec ses maisons en granit bien ordonnancées autour de l'église [Elle a été érigée en commune en 1790. Le 18 floréal an II (), elle a été absorbée par la commune d'Hirel dont elle est une section de commune. Une demande de re-création en commune distincte a été soumise au conseil général d'Ille-et-Vilaine en 1908 qui la rejette car cela ne relève pas de sa compétence.
L'église paroissiale Saint-Louis de Vildé-la-Marine est l'œuvre de l'architecte malouin Jean-Gabriel Frangeul (corps des édifices) et de son fils Alfred-Louis Frangeul (tours et massifs occidentaux). Elle a été réalisée en deux temps : 1855 puis 1870. Église Saint-Louis de Vildé-la-Marine. Le mobilier de l'église paroissiale Saint-Louis compte une horloge d'exception réalisée par l'orfèvre-horloger Léon Lognoné (1899 - 1984), inscrite à l'inventaire du patrimoine culturel de la région Bretagne. Au milieu du 19e siècle, l'architecte malouin Jean-Gabriel Frangeul reconstruit l'église Saint-Louis démolie en 1793. Le mobilier très simple, et dont on peut souligner l'homogénéité, est le fruit de deux campagnes principales.
Pendant la première, vers 1850, apparaissent les autels secondaires de style néoclassique, œuvres d'artisans locaux, et la très belle chaire, dont les panneaux galbés sont recouverts d'un placage d'orme et dont Frangeul fournit probablement le dessin à deux menuisiers du pays : J. M. Bunel et J. Lemercier, qui travaillent sous la direction du recteur. L'ensemble des bancs de chêne, réalisé peu après, est encore conservé, de même qu'une partie de la clôture du sanctuaire qui reprend, à presque 50 ans d'intervalle, le dessin de celle de Saint-Etienne de Rennes (1819).
Vers 1890, alors qu'il dirige les travaux de restauration des autels, l'architecte diocésain Arthur Regnault, fidèle à son habitude de conserver et de mettre en valeur le mobilier en place, donne au sculpteur Pierre Aubert, de Romillé, le dessin des retables latéraux, dans le style néo-Renaissance. Dans le même temps, Aubert construit le "panneau supérieur" du retable du maître-autel : c'est donc sa main que l'on pourrait voir dans le second niveau et dans le décor des parties basses dont les chutes de fleurs vigoureuses s'opposent au reste de la sculpture de l'autel et du tabernacle, plus plate et maladroite. Dans les niches des retables, sont disposées des statues saint-sulpiciennes sorties de l'atelier de Raffl, dont se distingue celle de Notre-Dame des Victoires, particulièrement remise à l'honneur à cette date. En 1900, un ensemble de verrières décoratives est mis en place par le maître verrier angevin Jean Clemens.
Face à l'entrée sud, la statue en bois de saint Louis, de bonne facture, est traitée dans l'esprit du 17e siècle : il porte la couronne d'épines, la 
main de justice et un manteau semé de fleurs de lys ; la présence à son cou du collier de l'ordre de Saint-Michel, rétabli de 1815 à 1830, pourrait consolider l'hypothèse de datation vers 1820]. Revenons en bordure de mer par la rue grande, il est inutile de retourner sur la grève, un élevage en pisciculture détourne le GR et la piste cyclable sur la digue, ensuite on a le canal des allemands et le bief jean à traverser [Le fossé anti-char creusé par des prisonniers durant la dernière guerre constituait une ligne défensive avancée à l'Est du dispositif allemand protégeant la citadelle de Saint-Malo ; un alignement de blockhaus, au Pont Gilles à Saint-Coulomb, prolongeait cette défense échelonnée. Les travaux commencés à Saint-Benoît devaient être poursuivis jusqu'à Chateauneuf-d'Ille-et-Vilaine pour réaliser la jonction Manche-Rance. Ils furent interrompus. Afin de le construire, deux maisons ont été détruites, des wagonnets sur des rails ont été utilisés pour déblayer la terre sur la grève, au niveau de l’actuel camping municipal. Après-guerre et encore aujourd’hui, le canal des Allemands a été transformé en bief, ou collecteur d’eau. Il transporte l’eau du marais de Dol vers la mer. https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/IA35004426 & https://redon.maville.com/actu/actudet_-saint-benoit-des-ondes.-le-canal-des-allemands-un-fosse-antichar_dep-4196965_actu.Htm]. Nous quittons le bord de la route pour faire le tour du camping sur un chemin maintenu par une digue de grosses pierres, le GR et la piste cyclable rejoint la route, face à moi une bande de sable un peu plus haute entre la mer et les herbus la mer semble basse, du moins elle est loin derrière l'herbu. Pourquoi faire un crochet, autant continuer tout droit. Nous sommes en font de baie il n'y a pas ou très peu de vague et avec les herbus je me rends compte de rien. Je ne sais jamais si la mer continue de descendre, ou si elle remonte. Je ne m'en suis jamais inquiété, un tort.
Avec internet c'est facile à savoir. Dans nos locations au milieu des terres, ils n'ont pas pensés à ça. L'eau monte et je ne m'en rend pas compte, je marche tranquillement, mon regard droit devant à observer le gris du ciel sur la bande de terre, il pleut là bas, je vois les rafales de vent coucher la pluie en oblique, c'est tout juste si l'on aperçoit encore le relief de la falaise. Je suis tout à mes réflexions à savoir si je dois mettre mon imper, ou si le grain passera au large, et me voilà en bout de cette bande de sable. Ensuite il faut encore s'éloigner pour franchir la zone Conchylicole, et les herbus, mais il me semble qu'il y a de l'eau, de l'eau aussi grise que le ciel avalent les parcs. Par sécurité je décide de revenir sur la route et surprise les tiges des herbus sont dans l'eau. La mer montait. Comme il n'y a pas de vague, je n'ai pas vu qu'elle s'infiltrait sournoisement tout autour de moi, et de l'eau, il y en a, au dessus des semelles, et jusqu'au ras de la tige haute de mes chaussures lorsque les herbes ne sont pas suffisamment importante pour supporter mon poids. Je ne suis pas fier de mettre fait piégé ainsi, la terre ferme me semble bien loin, il ne reste pas grand chose de cuir avant que l'eau ne rentre dans les chaussures. Heureusement, il n'y a ni tangues, ni chenal, la mer peu monter vite tout dépend de la pente de la grève et ici c'est bien plat. Il n'y a qu'un soir ou je suis allé sur une plage en font de baie, je crois que c'était du coté de Saint Jacut. Je voulais mettre mes pieds dans l'eau après une journée de marche. La mer était loin, j'ai voulu également faire quelques photos d'une pointe rocheuse, la mer montait, mais chaque vaguelette (il n'y a pas de vent) avançait, avançait et me dépassait. Impressionnant, je n'ai jamais vu cela. D'habitude je fais une marque sur le sable et j’attends. J'ai constaté que si elle monte au bout de la septième vague mon trait était dépassé et que les cinq et sixième vagues étaient moins fortes comme pour renforcer la septième.  Je ne suis plus dans la baie du Mont Saint Michel et pourtant la mer avale le sable, comme un cheval au galop... comme le compte la légende de la baie. En septembre il n'y a pas grand monde sur les plages, mais j'apercevais quelques points noirs ou de couleur bien plus loin que moi, je me sentais en sécurité, le temps de faire mes photos j'avais les pieds dans l'eau, je me retourne, et plus un point sur la plage, des habitués certainement, ils sont tous déjà sur la grève. Je voulais marcher dans l'eau, c'est une réussite, je m'inquiète un peu, l'eau ma bien dépasser, et monte maintenant au dessus des chevilles, la partie montante de la plage n'est pas encore toute proche, faut que j’accélère le pas. J'ai un temps horrible une pluie fine, je ne vois plus rien de la côte. Je contourne la zone Conchylicole par la route et j'enfile mon imper, la pluie n'a pas l'air de vouloir s'arrêter. Quittons la grande route et prenons la petite voie bitumée sur la droite, nous longeons une plage, et à la fourche, nous trouvons une fontaine sur la gauche. Nous sommes au château Richeux. Un panneau d'information nous informe de poursuivre tout droit, mais la promenade du tour de la baie prend à gauche. Je ne comprends pas les balises. Le Gr fait passer par la grève, J'imagine que celui-ci à son passage, je passe par les grèves. Nous poursuivons le bitume qui se termine sur une autre crique. Des chevaux me doublent, la mer monte et je pense que je ne pourrais pas passer la pointe rocheuse à moins que le sentier grimpe sur les rochers. Les chevaux poussent un galop sur la plage, la crique est bordée de falaise et au dessus le château, je me dis que par gros temps ce chemin est impossible. Au milieu de la crique une pancarte chemin de servitude sans balisage. Les chevaux sont arrivées à la pointe rocheuse et fond demi tour. En me croisant ils ne me disent rien. Je devine que je ne pourrais pas passer, je rebrousse chemin et prends le chemin de servitude, un peu plus loin je retrouve une marque et rencontre chemin faisant trois randonneurs. Pas très bien tracé ce GR je n'ai pas compris par ou il passait. C'est ce que me dira un randonneur rencontré quelques jours plus tard. Un vrai pas comme moi, Compostelle, et jusqu'à la Pologne qu'il est allé. Nous grimpons quelques marches, et suivons un sentier boisé sur la falaise, puis nous redescendons dans une crique (Baie de Radegonde) ou nous trouvons une maison en bordure de la plage du château. La route s'arrêtant à la plage il faut traverser cette dernière à pied pour entrer chez soit. La maison doit faire partie du parc du château et l'on doit y avoir accès par le parc. Prenons le sentier pavé le long du mur, dans le haut prenons à droite, passons devant la ferme ou les communs, puis le château de Vaulérault [Le château date du début du XVIIIe siècle et a probablement été construit par Siméon Garangeau. Il a été habité notamment au XIXe siècle par le docteur Paul de Lorgeril, maire de Cancale et précurseur de l'ostréiculture, qui a planté l'allée d'accès au château et fait construire la chapelle.Wikipédia]. Prenons le chemin de droite, nous ramenant vers le bord de la falaise, nous voilà à la pointe des Roches Noires, de l'autre coté, nous apercevons des maisons au pied de la falaise. Je pense être à Cancale, mais c'est le village de La Houle. [Seul port orienté au sud de la côte nord, la Houle est marquée par ses terrasses en front de mer, son port, ses deux jetées et les petites rues derrières. https://www.saint-malo-tourisme.com/nos-tresors-preserves/les-perles-de-la-cote-cancalaise-cancale-les-perles-de-la-cote/une-immersion-cancalaise-au-port-de-la-houle/] Après quelques marches nous débouchons sur la route panoramique que nous prenons à droite. Route peu large et très touristique nous descendons vers La Houle et trouvons après une fourche un chemin derrière une barrière de sécurité. Nous voilà en bordure de plage, je longe le quai, passe la cale de l'Epi. Pensant être à Cancale, je prends la petite rue de Moncalm (face à la stèle) pour connaître l'intérieur du village, et chercher l'église. Nous trouvons beaucoup de maisons avec des statuettes de la Vierge. Après un crochet dans la rue Victor Hugo et un tour par la rue Notre Dame, puis Carnot et enfin National, je retrouve le quai que je prends à gauche. Sur la petite place toute en longueur se trouve de jolies petites maisons. [La plage de la Houle se situe au niveau du port du même nom, le long des quais. C’est la plage la plus centrale de Cancale, mais pourtant pas la plus fréquentée. La raison en est qu’à marée basse la mer peu se retirer très loin, alors qu’à marée haute la plage est presque systématiquement inondée. De ce fait on y vient surtout pour se balader le long de la promenade aménagée. le port de la Houle a été construit sur des coquilles d’huîtres. la cale de la Fenêtre. Son nom vient du rocher sur lequel la jetée a été construite courant 19ème siècle. Ici on peut observer la vie du port. De l’autre côté, qui ferme le port, c’est la cale de l’épi, première cale du port de la Houle. C’est avec cet encadrement que le port se dessine, et que la vie de la Houle se construit. A une époque, tous les petits métiers de la pêche étaient présents sur le port de la Houle. Aujourd’hui, la Halle à Marée est reconvertie en lieu d’exposition. https://www.tourismebretagne.com/offres/plage-de-la-houle-cancale-fr-2016303/ ]. Après la rue Georges, prenons le passage Tourville traversons l'extrémité de la rue Carnot et grimpons les escaliers. Nous arrivons sur l'esplanade de la colline, prenons à droite et suivons un balisage jaune, nous avons une belle vue sur la baie de Cancale. Contournons un centre de vacances et longeons quelques belles maisons du siècle passé. Nous sommes sur le chemin du haut de La Houle, et trouvons un sentier sur la droite descendant vers la rue de la Roulette que nous prenons à droite (balisage jaune). Au carrefour avec le haricot central arboré, prenons à gauche en direction du centre ville et de Saint Malo. Nous remontons. Passons le petit château transformé en Mairie, et arrivons sur la place de l'église. Cette fois ci nous sommes à Cancale [La perle de la Côte d'Emeraude, Ce joli port se savoure autant par le regard que par le palais. Élue site remarquable du goût, Cancale est depuis longtemps réputée pour ses huîtres et ses coquillages. Atout incontestable, ces délices iodés s’apprécient en admirant la merveille qu’est le Mont Saint-Michel, serti au milieu de la baie. Comme la Vénus, Cancale est née d’un coquillage ! Les Romains y mangeaient déjà des huîtres. Elle a acquis son statut de ville en fournissant la cour royale en bourriches… et en marins. Au 19e s. les marins deviennent Terre-Neuvas, laissant leurs épouses diriger le bourg. De cette époque, les Cancalaises ont gardé leur franc-parler. Surtout au port de la Houle et dans les pittoresques « rues de derrière », adossés à la falaise. La ville « d’en haut » était plutôt le domaine des armateurs. Les allées et venues des bateaux, le travail des ostréiculteurs, le rythme des marées animent en permanence le port bordé de jetées. A marée basse, les parcs ostréicoles quadrillent le paysage sur 366 ha. Autrefois draguée, l’huître de Cancale est aujourd’hui élevée. La richesse en plancton de la Baie du Mont Saint-Michel lui donne son goût typé. 
Cancale aurait été fondée par le moine breton saint Méen vers 545. La cité est évoquée sous le nom de Cancaven, anse de la rivière, au XIIème siècle. Le titre de “ville” lui a été accordé en 1545, de par sa qualité de fournisseur d’huîtres plates de la table royale. Les échevins de Paris avaient passé un contrat avec Cancale afin d’avoir un arrivage frais et régulier deux fois par semaine pour servir la table du roi.
Le dragage des huîtres sauvages s’effectuait dans la baie du Mont Saint Michel, plus de cent millions de grosses huîtres plates appelées “pieds de cheval” en étaient extraites chaque année. Le gisement naturel tendant à s’amenuiser,  Louis XIV publia en 1787 une ordonnance réglementant le dragage des huîtres. Dès le XVIème siècle, les marins cancalais se rendaient la moitié de l’année à la pêche à la morue à Terre Neuve, l’automne et l’hiver ils se consacraient à la pêche côtière, au ramassage des huîtres ou à l’agriculture. À marée basse, on pouvait rencontrer ces femmes sur la grève cancalaise, autour des tas d’huîtres entreposés près des embarcations. Aujourd’hui Cancale est un lieu de culture ostréicole d’huîtres.
https://www.tourismebretagne.com/destinations/les-10-destinations/cap-frehel-saint-malo-baie-du-mont-saint-michel/cancale/ & https://www.fontainesdefrance.info/fontaines/la-fontaine-des-laveuses-dhuitres/]. Sur la place La Fontaine des Laveuses d’Huîtres de Cancale ; [Afin de marquer le passage au troisième millénaire, sur la place de l’église, se dresse une fontaine comportant un hommage aux femmes de Cancale. Composée de deux laveuses d’huîtres, cette sculpture symbolise le travail des Cancalaises au début du XX° siècle. Ces bronzes sont l’oeuvre du sculpteur Jean Fréour, qui traite du travail de ces femmes de marée employées aux huitres. Il est peu commun de rencontrer une sculpture qui représente des femmes au travail. https://www.fontainesdefrance.info/fontaines/la-fontaine-des-laveuses-dhuitres/].  l'église [Impressionnante, majestueuse, imposante, Dès que l’on arrive à Cancale, on ne voit qu’elle. Cette grande église Saint-Méen voit le jour entre 1876 et 1886 et remplace l’ancienne église paroissiale Saint-Méen de Judicaël, devenue trop petite.
En effet, après la Révolution, Cancale voit sa population doublée et la vieille église du 18ème siècle devient trop petite. Le Conseil de Fabrique, qui gère les fonds du clergé à l’époque, décide bâtir un nouvel édifice. Il acquiert un terrain appartenant à la propriété de Bellevue (actuelle supérette) sur le plateau de Bellevue dominant la mer et la Houle.
Alfred-Louis Frangeul dresse les plans dans un style néogothique du 13ème siècle qui est lui est familier, et c’est l’entreprise Huchet qui effectue les travaux. La première pierre est posée le 17 août 1875. Les travaux prennent fin en 1886. L’église fait environ 36 mètres d’envergure et sa voûte culmine à 22 mètres de hauteur.
En septembre 1906, un incendie se déclare dans la toiture. Les dégâts sont considérables et les travaux de restauration vont trainer jusqu’en 1930.
Le 22 février 1931, l’on bénit la première pierre de la tour et en 1932, celle-ci s’élève à 34 mètres au-dessus du sol. Deux vestibules placés de chaque côté finalisent la façade. Mais faute d’argent, la flèche qui devait couronner la tour ne verra jamais le jour, de même que les 5 chapelles rayonnantes initialement prévus sur les plans de 1875. Les cloches seront installées en 1932 dans leur nouvelle demeure. En 2000, une nouvelle cloche baptisée « Jeanne Jugan » rejoint le clocher.
La place de la République devient le nouveau « cœur » de Cancale et l’ancienne église sombre dans l’oubli jusqu’en 1972.
A intérieur de l’église, dans une des chapelles absidiales, un monument aux morts recense les noms des marins cancalais péris en mer, et de nombreux vitraux retrace l’histoire maritime de la paroisse.
Egalement, un vitrail représentant Sainte Jeanne Jugan, née à Cancale en 1792, fondatrice de la Congrégation des Petites Sœurs des Pauvres, canonisée en 2009. https://www.sensation-bretagne.com/patrimoine-culturel/eglise-st-meen-cancale/.]. Je fais le tour de l'église au chevet prenons la rue de Bellevue, puis la rue de la marine sur la gauche, puis à gauche la rue de la vallée Porcon, au lieu de descendre par la rue je descends par le parc parallèle, pour retrouvé le GR 34 et le chemin de la corniche ou chemin de ronde, du moins c'est l'association du chemin de ronde qui entretien le sentier. Ce chemin nous donne de magnifiques vues sur la mer, les criques, et Cancale. Prenons à gauche, et dirigeons vers la pointe du Groin. Souvenez vous à Granville ce bout de terre que l'on voyait à l'horizon avec ses rochers qui se détachaient du continent je n'ai pas bien sut si c'était la pointe de la Chaine ou du Groin les deux comportant des îles, mais après cinq jours de marche nous y sommes.

 
 
 
 
 
 
 
 

 
 
 
 
 
 
 
 

 Nous allons tourner la page, une nouvelle grande page s'ouvre sous nos pas en direction de Brest. En attendant parcourons la grande rade de Cancale jusqu'à la pointe du Grouin, qui s’étire dans un cadre majestueux entre Cancale et Saint-Malo. Sept kilomètres entre ajoncs et pins au-dessus des flots et d’anses abritées. Atteindre la pointe n’en sera que plus magique (texte copier adapté dans tourisme Bretagne). Nous arrivons à la Pointe des Rimains et son Ile [Elle est située à environ 700 m à l'est de la pointe de la Chaîne, à l'extrémité de la Grande rade de Cancale, et à 2 km au sud-est de l'extrémité nord de la pointe du Grouin qui termine à l'ouest la baie du Mont-Saint-Michel.
L'île mesure environ 300 m de long, sur un axe nord-sud pour un peu moins de 100 m dans sa plus grande largeur (le sud de l'île est deux fois plus large que le nord). Cette partie sud est majoritairement occupée par un ancien fort du XVIIIe siècle aménagé en résidence dans la seconde moitié du XXe siècle. La côte de l'île est rocheuse, exception de sa façade sud bordée par une petite plage.
Au sud-ouest, à mi-distance entre l'île et la côte se trouvent deux autres îlots, le Châtellier et le rocher de Cancale, reliés par basse marée. Un fort maritime y a été construit à la fin du XVIIIe siècle sur des plans de Vauban pour défendre la passe de Cancale et assurer la sécurité de la baie du Mont Saint-Michel.
L'île fut achetée par le boulanger Lionel Poilâne, qui restaura le fort et en fit un lieu de villégiature avec eau courante et électricité et plantation d'arbres. Il y aménagea une piscine et un héliport. Il se tua avec son épouse dans un accident d'hélicoptère qu'il pilotait lors de l'approche de l'île en octobre 2002. L'île est rachetée en 2012 par Pierre Kosciusko-Morizet, le fondateur de PriceMinister. wikipédia
Siméon Garengeau dresse les plans d'un fort à bâtir sur l'île des Rimains en 1703. Les États de Bretagne refuseront toujours de supporter le coût de cette construction (30 000 livres). Le débarquement des anglais de 1758 et leur incursion de 1779 décident le gouvernement à consolider la protection militaire de la baie de Cancale. La même année, le colonel de Carpilhet du corps royal du Génie est chargé du projet. Comme son prédécesseur, il choisit de construire un fort sur l'île des Rimains.
Avril 1780, une batterie provisoire est installée. Les bâtiments principaux sont achevés en 1782 (chambres, corps de garde, chapelle, logement du gardien, magasins, prison, hangar d'artillerie). Aucune source n'ayant été découverte durant la construction, les ingénieurs ont dessiné un système de toiture en forme d'entonnoir afin de récupérer les eaux de pluies, alimentant ainsi une citerne souterraine d'une capacité de 65 000 litres. Le 12 octobre, les clés du fort sont remises au commandant de Saint-Malo. Une place d'armes à l'est sera terminée l'année suivante. Les travaux auront coûté 300 000 livres. Le fort, déclassé en 1875. https://patrimoine.bzh/gertrude-diffusion/dossier/fort-maritime-ile-des-rimains-cancale/438270e5-13b1-43ed-8af5-0f19b7dd19c1#presentation]. Poursuivons notre chemin côtier, jusqu'à Port Briac, la mer dans cette petite anse est couverte de bateaux. Passons les petites Port du Picain, et après la pointe du Chatry, le Port Mer, nous arrivons à la pointe Brulé et au détour du chemin au ras du sentier nous sommes surpris de voir surgir de la roche un canon de la guerre de 1940. Le blockhaus repeint de graffiti défendait la Baie du Mont Saint Michel et devait empêcher l'accès de Saint Malo. Au dessus Le Castel de Barbe Brûlée, [Il domine l'anse de Port-Mer, est un château aujourd'hui reconverti en centre d'accueil pour classes de découvertes et colonies de vacances. Implanté au coeur d'un parc arboré de 2,5ha, il offre un cadre de jeu idéal pour les enfants. Des chemins permettent de rejoindre les différentes plages dont celle de Port-Mer. Le château, offre une vue sur toute la baie. Cette belle demeure, appelée aussi maison Hériot, domine la plage de Port-Mer. Elle est bien connue de tous les anciens Cancalais qui se souviennent encore des « poussins », ces petits enfants de troupe qui ont occupé les lieux avant que ceux-ci ne deviennent classe de mer de l’Éducation nationale en 1966. Mais, à l’origine, la famille Hériot, propriétaire des Grands Magasins du Louvre, enrichie par l’essor rapide du capitalisme commercial, n’avait conçu Barbe Brûlée que comme une maison de villégiature. C’est là que la célèbre romancière Colette, installée à Roz Ven, à quelques encablures de Port-Mer, a pu retrouver le fils Hériot, Auguste, un temps son amant. C’est là aussi que Virginie Hériot a découvert la voile avant de devenir la première Française championne olympique de cette discipline en 1928. Alain Bergerat, professeur à la retraite, évoquera jeudi 12 août l’extraordinaire ascension de cette famille Hériot et, à travers elle, l’histoire de la naissance des grands magasins, mais aussi abordera la vie de la romancière Colette durant les quelques années où elle a résidé à Roz Ven, à quelques kilomètres de Cancale. https://www.ouest-france.fr/bretagne/cancale-35260/cancale-retour-sur-l-histoire-du-castel-de-barbe-brulee-174f565a-f934-11eb-a2f4-335ec7eea65f]. Retournons nous. C'est la dernière fois que nous verrons la rade de Cancale. Nous allons tourner cette page et nous diriger vers la pointe du Groin. Cet éperon rocheux, ultime limite avant d’entrer dans la Baie du Mont Saint-Michel, (pour nous c'est la sortie de la baie), est un magnifique observatoire, exposé au vent. D’une beauté à couper le souffle, le site offre l’un des plus vastes panoramas d’Ille-et-Vilaine. Après un dernier détour, sous le château de Barbe Brulée, c'est l'Ile des Landes qui s'étire vers le large, parallèle à la Pointe qui se cache encore. La falaise abrupte abrite une dernière petite plage dont le sable n'apparaît qu'à marée basse. De part et d'autre de celle-ci, des postes de pêche réputés attendent l'amateur ... je suis impressionné par les pêcheurs que je vois sur les rochers, je ne me serais pas aventuré aussi bas. j'aurais eu peur de louper une marche ... La vue récompense la petite marche à effectuer dans les chemins creux du sentier vallonné du Saussaye. De la pointe, le regard embrasse un impressionnant décor, du Cap Fréhel à Granville en passant par la baie du Mont Saint-Michel. A 25 km, se détache le Mont lui-même. Je ne le vois pas il est dans la grisaille. Au large, apparaissent les îles Chausey. Les plus chanceux verront une colonie de dauphins qui fréquente régulièrement ces eaux poissonneuses. A marée basse (surveillez les horaires !), une sente permet d’explorer une grotte creusée dans la falaise. Face aux pentes ornées de lichens, au-delà d’une passe agitée par le flux et reflux des marées, l’île des Landes constitue une réserve ornithologique et botanique. Le grand cormoran est l’oiseau emblématique des lieux. Il partage le territoire avec le goéland argenté, l’huîtrier-pie, la tadorne du Belon, le cormoran huppé… A partir de la pointe du Grouin, la route et le sentier des douaniers suivent un rivage contrasté, révélant d’autres surprises. La corniche s’avance jusqu’à l’anse du Verger. (Pourquoi réécrire ce que l'on trouve sur le net. La description en est remarquable de vérité https://www.tourismebretagne.com/destinations/les-10-destinations/cap-frehel-saint-malo-baie-du-mont-saint-michel/la-pointe-du-grouin/. [La quasi-totalité de la pointe du Grouin appartient au Département, soit près de 25 hectares. Celui-ci en assure la préservation et organise l’accueil du public. Les zones dénudées ont été revégétalisées. Le sémaphore veille Construit en 1861, il surveillait le passage des bateaux au large. Ses signaux les alertaient en cas de danger. Il prévenait les secours si nécessaire. On y effectuait aussi des observations météo, utiles aux navires et au service de la Météorologie nationale.
Acheté en 2000 par le Département, le sémaphore assure son activité de surveillance l’été. 
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, les Allemands ont édifié sur la pointe du Grouin un important réseau de blockhaus. Ils abritent désormais le Grand rhinolophe, une espèce de chauve-souris protégée car menacée.
Les landes et les pelouses du Grouin sont typiques du littoral rocheux breton.
La végétation y est très particulière. Elle a dû s’adapter aux difficiles conditions de vie du littoral. Le bord des falaises est tapissé par l’armérie maritime, l’orpin anglais, la jasione des montagnes, la carotte à gomme et le nombril de Vénus. Sur la pointe se plaisent l’ajonc d’Europe et l’ajonc de Le Gall, le prunellier, la rose pimprenelle et la fougère aigle. À l’est, les pentes plus douces sont occupées par des prairies de dactyle aggloméré, de séneçon jacobée, d’orge des rats, d’achillée millefeuille, de mauve… https://www.ille-et-vilaine.fr/pointe-du-grouin]. Face à la pointe, l’île des Landes est propriété du Conservatoire du littoral. Elle accueille une importante colonie d’oiseaux marins dont le grand cormoran, le cormoran huppé, le goéland brun ou encore l’unique canard marin présent en Bretagne, le tadorne de Belon.
S’il est des lieux magiques, l’île des Landes en fait alors partie. Inaccessible puisqu’entourée par la mer et protégée, les « gens du coin » la surnomme « l’île aux oiseaux ».
Cette réserve biologique créée par l’association Bretagne Vivante (aussi appelée Société pour l’étude et la protection de la nature en Bretagne) accueille la plus grande colonie d’oiseaux marins de Bretagne. Seuls les membres de l’association y débarquent une fois par an pour le comptage des espèces. https://www.saint-malo-tourisme.com/nos-tresors-preserves/les-perles-de-la-cote-cancalaise-cancale-les-perles-de-la-cote/la-pointe-du-grouin-et-son-ile-aux-oiseaux/]. Je suis une nouvelle fois étonné par le courant qu'il y avait entre le continent et l'île, un bateau à voile en à mis du temps à parcourir le chenal de la Vieille Rivière. Poursuivons notre sentier des douaniers appelé par les randonneurs qui l'on vraiment parcouru "le sentier des escaliers ou des marches" traversons les landes de bruyères et d'ajoncs, la saison est bien trop avancée pour que tout cela soit en fleur. Nous arrivons à la pointe de Rochefroide, et avons une vue magnifique sur la pointe du Groin. Nous passons à la petite plage du Saussaye [la plage de Saussaye fait partie des plus belles criques de l’Ille et Vilaine. Confidentielle et surtout fréquentée par des locaux, cette belle crique de sable offre un paysage de falaises à proximité de la pointe de la Moulière. Par contre, il faut être prudent car elle n’est pas surveillée et est réputée comme dangereuse par mer agitée. Plage.tv]. Nous arrivons à la pointe de la Moulinière avec sa tour peut être un petit phare ou de surveillance utilisée par les douaniers, et juste derrière l'anse du Verger et sa plage douillettement blottie entre deux langues rocheuses et parfaitement protégée des vents d'Ouest. Le sentier longe un parking. Fin de ma journée de marche.
 

Le plus des Photos

 






























































Cancal

 

 

 

 

 

 

 

 













































 
 

Sur le chemin de la pointe du Groin 


 
 
 

 La Pointe du Groin

 
 
 
 
 

 
 
 
 
Vous trouverez toute mon Périple en cliquant sur le lien ; 
https://randosacaudos.blogspot.com/p/mon-periple.html



 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire