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Une journée supplémentaire de frustration, il fait beau et même
très beau et je suis toujours dans la campagne, les près, la foret. Tant pis c’est
comme cela. J’ai eu peur, peur de la neige. En avril il a neigé sur tous les
massifs et j’ai modifié ma trace. Je devais, à partir de Lourdes partir dans la
montagne par le Val d’Azun, et changer de vallée par des cols à 1500 et 1700
mètres pour redescendre sur Gourette et l’Aubisque par la vallée d’Ossau, cela
me faisait quatre ou cinq jours en montagne. En début de semaine j’étais
satisfait de ce choix ; avancer vers l’atlantique par la plaine Béarnaise.
Le brouillard, les nuages bas me cachait la montagne. La rencontre d’un
randonneur avant d’arriver à Lourdes ayant abandonné le GR 10 pour cause de
neige, faut bien avouer qu’il était très mal chaussé. Il avait des chaussures
de treck. Il est certain qu’elles sont, bien plus légères que mes chaussures en
cuir à tige haute. Sauf qu’elles n’avaient pas sécher depuis hier, et
qu’aujourd’hui avec l’herbe gorgée d’eau il faisait déjà floc - floc à chaque
pas. il n’est que dix heures du matin. Lorsque j’avais tracé mon itinéraire,
j’avais vu la route saisonnière de l’Aubisque, en me disant cela peu me servir
de route de secours en cas de grosse pluie et de sentiers impraticable
transformé en ruisseau. Je me suis aperçu qu’elle n’était ouverte que début
mai, donc très peu fréquenté. Plus tard dans la monté du col d’Osquich j’ai
rencontré deux cyclistes sur les pentes du Pic d’Elhaudi, elles faisaient de
l’itinérance avec de vrai vélo (sans assistance motorisé) et lors de la pose
dans la discussion, elles me disent qu’il a neigé dans le bas des pistes de
Gourette. Revenons à notre promenade d’aujourd’hui.
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Le village de
l'Hôpital-Saint-Blaise doit son existence à un établissement d'accueil pour les
voyageurs (un hôpital) aujourd'hui disparu. La petite route qui le traverse
aujourd'hui était au XIIe siècle une
voie de passage entre le sud de la France et la péninsule ibérique pour des chevaliers, des marchands, des religieux, des
migrants. C'était l'époque de la Reconquista :
les rois chrétiens de la péninsule ibérique faisaient appel aux hommes du nord
pour les aider à conquérir, à peupler, à gouverner les terres autrefois
musulmanes. Tout un réseau d'hôpitaux est alors créé au nord des Pyrénées pour
faciliter le voyage de ces migrants. Le roi d'Aragon, le vicomte de Béarn y prennent
une part essentielle. Ils confient la gestion de ce réseau à l'Hôpital
Sainte-Christine du Somport qui devient un puissant ordre religieux avec des
possessions tant au Béarn, en Navarre qu'en Aragon. L'Hôpital de Miséricorde
est une communauté constituée de quelques
religieux et de laïcs appelés
"donats" car ils se sont "donnés" à l'hôpital et travaillent
à son entretien. C'est également une commanderie avec un patrimoine qui permet
à la communauté de vivre et d'assurer sa vocation d'accueil : bâtiments,
terres, droits de pâturage, dîmes. À partir du XIIIe siècle les itinéraires transpyrénéens se déplacent, et
rares sont désormais les voyageurs qui s'arrêtent dans ce modeste hôpital.
Parmi eux, on compte probablement quelques pèlerins de Compostelle, mais
c'est plutôt à partir du XVIe siècle. Un seul a laissé une trace de son
passage. Au cours des siècles suivants l'église ne bénéficie que de réparations
d'urgence pour l'exercice du
culte et elle n'est que peu transformée. La
commanderie subsiste jusqu'à la Révolution, et le village qui se développe
autour de l'église ne grandit guère. Le culte de saint Blaise, évêque de Sébaste en Arménie,
martyrisé le 3 février 316, est attesté dans cette église depuis le XVIe siècle. Chaque année au début du mois de
février, un pèlerinage réunit la population locale. Autrefois les éleveurs
invoquaient sa protection pour guérir les
maladies du bétail. Il était réputé
guérir aussi les maux de gorge. Saint Blaise est un des saints protecteurs les
plus vénérés en Europe. Beaucoup d'églises lui sont consacrées. De nombreux
corps de métiers en fait leur saint patron : les bergers, les cardeurs de
laine, les tailleurs de pierre, les vignerons, etc. wikipédia].
L’église est ouverte, je rentre et surprise non seulement par la construction,
mais il y a une permanence pour les pèlerins jusqu’à 19h00. [L'église
Saint-Blaise, édifice roman du milieu du XIIe siècle a été inscrite à l'inventaire des monuments
historiques
en 1888. Cela lui a permis
d'échapper de peu à la ruine complète. Elle a bénéficié de deux campagnes de
restauration, la première de 1903 à 1906, la seconde de 1985 à 2002. Au cours
du XXe siècle sa notoriété a grandi peu à peu chez les historiens
de l'art, puis dans le grand public.
Un isolement de plusieurs siècles explique l'état de
conservation remarquable du monument. Et le site dans lequel on le voit
aujourd'hui reste très évocateur. Le voyageur découvre un petit village serré
autour de son église romane, dans un vallon boisé.
Cette église frappe par
l'harmonie des proportions, l'aspectmonumental que lui donnent ses deux
clochers, l'épaisseur des murs en pierre brune, la simplicité du décor sculpté.
Dès le début du XXe siècle les historiens de l'art ont remarqué ce
qui fait sa grande originalité : les orientalismes du décor. On parle de
style hispano-mauresque. Les claustra - grilles de pierre qui ferment les
fenêtres-, la coupole ornée de fines nervures, les arcs polylobés rappellent
les monuments construits en Espagne au Moyen Âge, tant
dans les royaumes chrétiens que dans la partie musulmane du pays. Les
bâtisseurs ont certainement voulu évoquer l'orient lointain, ce pays à l'est de
la Méditerranée que les chevaliers d'occident disputaient alors aux
musulmans : la Terre sainte et Jérusalem qui
était perçue alors comme le centre du monde.
En 1998, l'Hôpital-Saint-Blaise est inscrit au patrimoine mondial de
l'Humanité comme témoignage des chemins
de Saint-Jacques-de-Compostelle. Ce classement est une consécration pour la commune, une
reconnaissance de ses efforts pour restaurer, mettre en valeur le monument et
le site du village. Mais ce n'est que depuis quelques années que les pèlerins
de Compostelle passent par le village. Wikipédia]. Jolie petite
place avec sa maisons (restaurant) et sa galerie desservant l’étage, passons
l’ancien cimetière autour de l’église devenu pelouse et prenons tout de suite à
gauche le chemin en
stabilisé en direction du moulin, c’est également le GR et
nous trouvons un poteau d’information. Passons le ruisseau. Face à nous un peu
sur la gauche, le moulin [ancien moulin à eau, probablement d’origine médiévale, mais resté en
activité jusque dans les années 1960. Depuis, il a subi de très importantes
restaurations, au point d’avoir presque intégralement été reconstruit. Le
moulin a fonctionné
jusqu’à ce que le développement de l’industrie ne le rende
obsolète, avant la Seconde Guerre Mondiale. Pendant la guerre, les agriculteurs
locaux reviennent au moulin faire moudre leurs céréales clandestinement
afin d’éviter que les Allemands ne prélèvent une partie de leur production.
Après la guerre, le propriétaire décide de transformer le moulin en une petite
scierie qui servira jusque dans les années 70. Ces bâtiments (moulin, bâtisse
et hangar) ont récemment été rachetés par la commune qui, depuis, s’efforce de
les restaurer afin de les rendre accessibles au public. https://www.grandsudinsolite.fr/3151-64-pyrenees-
atlantiques-l-hopital-saint-blaise-et-son-etonnante-eglise-romane-d%E2%80%99inspiration-hispano-mauresque.html ]. Passons le petit ruisseau servant de bief, et
poursuivons notre chemin en le longeant, puis en prenant le sentier de gauche
pénétrant en foret, on grimpe fortement (environ 80 mètres. Le chemin nous fait
revenir un peu sur nos pas. Nous débouchons sur le bitume dans un virage de la
route menant à deux villages isolés, poursuivons tout droit et arrivons de
nouveau sur la D 859. Sur la gauche une petite croix en fer monté sur un socle
de pierre. Nous trouvons aussi un poteau d’information Moléon est à 3h50.
Prenons à droite en direction de Barcus. Ouah une départementale mais deux
voitures ne se croise pas sur cette route, je ne parle pas même pas d’un
tracteur. Passons, un ruisseau, pour moi ce n’est qu’un fossé. Nous arrivons à
une fourche et laissons la route de droite ou une pancarte en bois nous donne
la direction d’Arthegiet, poursuivons par la route de gauche et arrivons à une
nouvelle fourche, cette fois ci laissons la route de gauche et prenons celle de
droite grimpant un peu sur le talus. Nous trouvons un panneau d’information. La
route se termine à la ferme, si le portillon est ouvert le chemin semble faire
fourche, prenons celui de gauche. Après les
champs nous arrivons devant une
maison isolée, le chemin fait fourche, la voie de gauche conduit à la ferme,
poursuivons à droite. Pour une fois depuis
mon départ, je fais une pose le midi. Jusqu'à présent je ne la faisais pas trop
souvent cette pose. Pas le temps, je voulais arriver autour de 15h00. Ne me
demander pas pourquoi, ce sont mes idées. En
marchand, je n’ai pas souvent
faim, du moins je n’ai pas la fringale. Je préfère marcher jusqu’à 15 ou 16h00,
manger mon frugale repas après la douche, parfois après une sieste, ce qui me
permet d’attendre le repas du soir. Les km de la semaine commencent à ce voir, j’ai
mal aux jambes. Je cherche un coin à l'ombre et près de l’eau pour manger et me
reposer. Bois et champs se succèdent
ainsi que quelques fermes isolées. Notre chemin est agrémenté de sources d’on
certaine sont aménagés en abreuvoir et en lavoir. J’ai l’impression que certain
lavoir sont monté à l’envers… Les animaux boivent en amont et on
lavait son
linge après. Je cherche toujours un
endroit plutôt à l’ombre et en bordure de l’eau mais rien ne me satisfait
vraiment c’est souvent boueux et avec de hautes herbes. Bois et champs se
succèdent. Nous débouchons sur une route que nous prenons à droite. Après
quelques virages en épingle à cheveux, nous débouchons sur la D 24 que nous
prenons à droite. Dans le creux nous suivons le Locé, petit ruisseau que l’on
ne voit pas dans le taillis touffus du talus composant sa rive. Je trouve un
chemin de tracteur permettant de descendre vers le ruisseau, pas facile de
s’approcher de l’eau, les herbes sont
hautes et j’ai peur d’attraper des
tiques. Je n’en peu plus, j’ai mal aux jambes. Je fais ma pose au milieu du
chemin, en m’appuyant sur un arbre. Je déménage rapidement mon sac est plein de
fourmis je ne m'étais pas aperçu que j'étais sur leur trajet. La route traverse
un ruisseau ; le Lausset. Nous arrivons devant une intersection et y
trouvons un panneau d’information et la pancarte Narbuna, prenons à gauche
comme le GR nous l’indique. Nous
grimpons un peu, dans un virage la route fait
fourche poursuivons à gauche. Le reste du parcours ce fait sur le bitume avec
pas mal de dénivelés, pas important, mais on monte et on descend tout le temps
dans un espace boisé. Enfin nous descendons vers Moléon. Nous sortons de la
foret et avons une belle vue sur le village et au loin les collines du Piémont
Pyrénéens. Nous entrons dans Moléon par la rue Ramuntcho. [Son origine remonte
à l’époque médiévale, sa naissance est liée directement à la forteresse jugée
imprenable d’où le nom « Lion
Redoutable » (Mau/léon). Quant à
Licharre, le mot signifie en
langue basque « frêne » rappelant ainsi la présence de forêts de frênes.
Licharre fut le siège de la juridiction de Soule depuis le Moyen
Age, « Lo noguer de Litxarre ». La fusion entre Mauléon et Licharre eut lieu en
1841. La Ville s’est considérablement développée au XIXème siècle grâce à
l’implantation de l’industrie de l’espadrille.
A ce moment, de belles maisons ont été bâties autour de la vaste
place des Allées ainsi que dans la rue Victor Hugo. Sa population s’est
enrichie et diversifiée grâce à la venue de Navarrais et Aragonais, puis des
Portugais à la fin des années 1960, arrivés pour travailler.
Cette industrie a connu son apogée au début du XXème siècle, et
aujourd’hui encore Mauléon est considérée comme la capitale de l’espadrille.
Une fête lui est consacrée le 15 août.
Si on remonte le temps, avant le Xème siècle, seul un camp
protohistorique élevé domine la vallée du Saison (Uhaitz Handia).
Les anciens y érigent une bâtisse en bois remplacée au XIIIème
siècle par le plus fort château de Guyenne « assis sur son moult haut roc
» ce qui lui confère une situation stratégique sur la route de l’Espagne.
Auger de Mauléon, dernier vicomte de Soule, sera contraint de livrer le château
à Edouard 1er, roi d’Angleterre.
La bastide (haute ville) apparaît au Moyen-Age et devient un
carrefour de rencontres, foires et échanges. Aujourd’hui un marché se
tient tous les mardis à la Haute-Ville.
Le poète baroque Jean de Sponde, naquit à Mauléon à la fin du
XVIè siècle et vécut les souffrances liées aux guerres de religion. En effet,
la ville ne fut guère épargnée par les violences de ces conflits interminables
et sanglants.
C’est bien plus tard, au XIXème siècle, que l’on assiste au
développement économique de la cité. Mauléon fusionne avec Licharre en 1841. Le
bourg s’industrialise. La fabrication artisanale puis industrielle d’un produit
local va propulser Mauléon au rang de capitale mondiale de l’espadrille.
Usines et belles maisons bourgeoises, érigées à cette époque,
ornent la grande rue et s’offrent au regard autour d’une vaste place qui
s’embellit d’un kiosque à musique et d’un majestueux fronton.
L’esplanade présente aujourd’hui un ensemble architectural
remarquable, unique dans le Pays Basque intérieur : la Mairie, la Maison du
Patrimoine, et surtout le château d’Andurain, édifice du XVIeme siècle classé
aux monuments historiques. https://www.mauleon-licharre.fr/histoire ].
Je suis tellement
fatigué que je ne fais que traverser la capitale de l'espadrille pour me rendre
à l’hôtel. Sur la place je ne vois qu’une boutique vendant les célèbres
espadrilles. Je crois mettre trompé d’hôtel,
trois étoiles, un parc immence, mais non c’est bien là. Je vais dénoter avec
mon sac à dos… Heureusement avant de traverser la ville je m’arrête devant
une
fontaine pour nettoyer mes chaussures boueuses [Situé sur une
colline verdoyante, dominant Mauléon-Licharre, capitale de la
Soule, le Domaine Agerria vous accueille dans un cadre exceptionnel de 97 hectares. De
la plupart des chambres, vous pourrez admirer les toits de la ville et une vue
unique sur le château-fort dont la construction a débuté au XIème siècle. Le bâtiment principal, un ancien monastère, articulé autour
d’un jardin intérieur et sa fontaine a
été construit dans les années 1840.
L’ensemble a servi de lieu de formation puis de maison de retraite des Frères.
Un peu à l’écart, vous pourrez découvrir les traces de ce passé religieux en
particulier ses statues et ses oratoires. La chapelle du XIXème siècle est
toujours présente mais ne se visite pas. https://domaine-agerria.com/ ]. L’entrée est
loin du bâtiment principale, en montant vers celui-ci une porche me double. Je
vais vraiment dénoter. J’ai une belle chambre donnant sur le château que je
n’avais qu’entre aperçu [Au XIIème siècle, le
quatrième vicomte de Soule, Gassion, voulut resserrer les liens avec la Navarre
toute proche. Il se mit au service d’Alphonse le Batailleur, roi de Navarre et
d’Aragon.
Il existait une enceinte protohistorique dominant largement la
vallée traversée par le Saison (gave). Cette position stratégique idéale fit
que l’on y érigea une première bâtisse en bois. Alphonse la fortifia et la
transforma en une forteresse redoutable, en Guyenne, « à la tête de la Soule ».
La présence du château donna naissance à un bourg castral, la Haute Ville
actuelle.
Cependant, cette position géographique privilégiée, ne le mit
pas à l’abri de multiples conflits au cours des siècles. En effet, il subira de
plein fouet, d’abord la domination anglaise, puis la reconquête par Gaston de
Foix au cours de laquelle il sera saccagé et incendié (XVème siècle).
Le château souffrit des guerres de religion au XVIème siècle et
Louis XIII lui donna le coup de grâce en exigeant son démantèlement (1642).
Partiellement reconstruit en 1648, son rôle fut désormais réduit. Au XIXème
siècle, il servit de garnison militaire et de prison.
Même s’il connut des infortunes, le vieux château est toujours
debout. Des traces de son prestige d’antan sont encore visibles, comme l’ancien
pont-levis et le chemin de ronde qui découvre aux visiteurs les collines à
perte de vue. Le 13 août 1910, la municipalité Heugas obtient la cession
gratuite du château et entreprend la réfection du toit. En 1925, il est inscrit
sur l’inventaire supplémentaire des monuments historiques. Les municipalités
successives s’attachent à son entretien. Des associations, Ikerzaleak, Les Amis
du Château, oeuvrent depuis des années pour sa valorisation. https://www.mauleon-licharre.fr
/patrimoine ].
Je n’ai pas compris pourquoi trois étoiles peut-être parce que les chambres
sont grande, le grand parc. Même si le prix est dans ma fourchette haute, il
est encore acceptable. Après une douche et une sieste, je redescends en centre
ville pour quelques courses, mais n’est même pas le courage de me rendre à l’église,
je loupe la rue, il fait chaud. C’est
surtout que je suis fatigué, qu’il fait très chaud 28 degrés, je n’ai plus le
courage.
Lors du frugale repas du soir, les
fourneaux sont soit disant en panne, mais sur la porte de la salle à manger il
est écrit complet. Pas le courage de redescendre en ville. Je consomme sur
place une planche de charcuterie et de fromage.
Qu'apporte
l'indice IBP?
L'indice
IBP est un système d'évaluation automatique de la difficulté d'un itinéraire
parcouru en vélo tout terrain, en vélo de route, en randonnée pédestre ou en
course.
Cet indice est très utile pour connaître la difficulté de différents itinéraires et afin de pouvoir les comparer.
Il est important de ne pas confondre le degré de difficulté d'un itinéraire avec l'effort physique déployé pour le réaliser : un indice IBP de 60 sera un parcours très difficile pour une personne non entrainée, normal avec une préparation physique moyenne et très facile pour un professionnel.
Distance totale: 24.95 Km
Dénivelée positive accumulée: 832 m
Dénivelée négative accumulée: 794 m
Pourcentage de montée: 6.61 %
Pourcentage de descente: 8.37 %
Montées |
Distance Km |
Km au total en % |
|
|
Entre 30 et 55% |
0 |
0 |
|
Entre 15 et 30% |
0.785 |
3.14 |
|
Entre 10 et 15% |
1.333 |
5.34 |
|
Entre 5 et 10% |
4.925 |
19.74 |
|
Entre 1 et 5% |
5.537 |
22.19 |
|
Total |
12.58 |
50.41 |
Descentes |
|||||
|
Entre 1 et 5% |
3.65 |
14.63 |
||
|
Entre 5 et 10% |
2.383 |
9.55 |
||
|
Entre 10 et 15% |
2.298 |
9.21 |
||
|
Entre 15 et 30% |
1.127 |
4.52 |
||
|
Entre 30 et 55% |
0.032 |
0.13 |
||
|
Total |
9.489 |
38.03 |
Vous trouverez toute mon Périple en cliquant sur le lien ;
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