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Vendredi 10 juin
En agrandissant la carte nous arrivons à la carte Top 25 000
Carte OpenStreet Trace GPS et Topo sansCommentaires TraceRandogps
Le code mobile de cette randonnée est b346422
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Carte VisioRando Cliquez sur le rectangle à coté du numéro
Km temps arrêt V/d V/g
deniv + deniv
– Alt Max Ibp
21 4h50 0h50 4,2 3,6 942 740 864 88
promenade classée 4. Sur une échelle de 1à5
Ouf,
aujourd'hui il fait beau, enfin le ciel daigne ouvrir les volets sur les cimes.
Je n'aurais plus de troncs de cônes coupés par les nuages. Depuis quatre jours
les Pyrénées ne dépassent pas les 500 ou 600 m tout ce qu'il y a haut dessus
c'est dans les nuages. Aujourd'hui je vais enfin voir ce qu'il y a derrière.
Aujourd’hui je quitte le GR 78 qui nous fait faire un large détour par l’Abbaye d’Escaladieu, l’un des trois sites à visiter dans les Baronnies. Je coupe en prenant la variante de GRP Tour des Baronnies de Bigorre avant de retrouver le GR 78 à Castillon.
Je rejoins la D84 en direction de
Bonnemazon, ou je retrouve le GR 78 et balisage jaune, je descends jusqu'au
carrefour avec la D 14 c’est ici que j'abandonne le GR 78 partant sur la droite
et faisant un large détour par Bonnemazan en suivant plus ou moins les boucles
de l’Arros [L’Arros est une rivière affluent droit de
l’Adour. L'Arros est un des principaux affluents de l’Adour. Prenant sa source dans la Forêt des Baronnies, au nord
du col d'Aspin, il traverse le
département des Hautes-Pyrénées
du sud vers le nord, passant par Bourg-de-Bigorre, Tournay et Chelle-Debat, puis pénètre dans
le département du Gers par Montégut-Arros et Villecomtal-sur-Arros, avant de rejoindre l’Adour sur sa rive droite peu après Plaisance. Sa longueur est de
131 km. La haute vallée de l'Arros est un endroit remarquable : sur
trois kilomètres environ, depuis la résurgence appelée l'Oueil de l’Arros,
la rivière s'écoule dans une gorge. L'humidité a permis le développement d'une
forêt aux allures de jungle, avec ses arbres et ses rochers recouverts de
mousses géantes, de lichens et de fougères lui donnant un aspect tropical, d'où
lui vient son
surnom de Petite Amazonie des
Pyrénées. Cette partie du cours d'eau, que longe un sentier
de 6 km entre Banios et Arrodets de découverte et
d'interprétation. Quelques jolis monuments sillonnent la vallée de l’Arros,
comme les abbayes de l’Escaladieu non loin de Tournay (65), de Saint-Sever-de-Rustan (65), la Tour de Termes
d'Armagnac (32), ou encore le château de Gaston Fébus à Mauvezin (65), témoin des quelques conflits qui se sont perpétrés dans
cette région frontalière. Wikipédia]. Je prends le GRP jaune et rouge
de la variante du tour des Baronnies de Bigorre, c'est également un balisage
jaune. Nous poursuivons tous droit la
D14 passons la rivière de l’Esqueda,
venant ce jeter dans l’ Arros et prenons la direction de Massa. Le balisage
n’est pas très bien fait pour le GRP nous suivons le jaune beaucoup plus
visible. Au loin nous voyons le château de
Mauvezin [Construit sur un éperon rocheux, cette forteresse bâtie à partir
du XIIe siècle, a été achevée à la fin du XIVe par Gaston
Febus. Le château de
Mauvezin domine toute la voie Toulouse-Bayonne depuis son donjon crénelé. La
cour intérieure est un exemple parfait de l’architecture militaire médiévale,
dans laquelle sont exposées des répliques de machines de guerre.
https://www.chateaudemauvezin.fr/]. Laissons
une route sur la gauche et prenons celle immédiatement après sur la gauche la
rue de Massa. Passons les quelques maisons et entrons dans la forêt. Nous commençons
à grimper sur un chemin ronceux et boueux dans le lit d’un ancien ruisseau. Je
n'ai pas vu de marques jaune et rouge, je ne vois que du jaune. Nous grimperons
environs cent mètres de dénivelés positif sur un chemin qui n'ai pas entretenu,
des ronces des orties, des arbres en travers non coupés et un balisage qui
laisse à désirer. Cette partie sans GPS est très difficile à faire. Laissons un
premier chemin sur la droite, puis le chemin
forme un Té nous prenons à gauche,
il faut bien faire attention, seul le balisage jaune et le GPS permettent de ne
pas se tromper dans cette première partie de l’itinéraire. [Je peste toujours après la FFRP qui se vente d’avoir 215
100 km de GR, GRP et promenades parfaitement entretenues. Mais ou seules les
autoroutes des randonneurs sont en état. C’est là ou l’on rencontre le plus de
monde. Ce n’est pas avec seulement 8900 baliseurs que l’on peut maintenir en
bon état tout ses chemins à travers le pays. Je le constate toute les semaines
soit dans les Pyrénées ou les GRP et balisage jaune rencontré depuis que je
vadrouille sont plutôt à l’abandon, je constate le même état en région
parisienne avec
les balisages jaune. Alors Mesdames et Messieurs de la FFRP un
peu de modestie supprimer le PARFAITEMENT. Faite également en sorte que les
modifications soient réalisées sur les cartes IGN. Le balisage et l’entretien
d’un sentier c’est dure et cela prend beaucoup, beaucoup de temps, si l’on veut
que le travail soit bien fait. Je sais je l’ai fait pendant plus de 20 ans. Je
Balisais mes sentiers dans les deux sens car une marque visible d’un coté n’est
pas toujours visible dans l’autre sens. Surtout aucune marque parallèle au
sentier elle ne se voit pas de loin et puis comme le petit poucet de l’emplacement
d’une marque on doit voir la suivante…]. Dans un virage à
l’équerre nous
laissons un chemin sur la droite, à cet endroit j’hésite fortement, plus de
balisage, les trois chemins sont ronceux. Prenons à gauche celui formant
épingle à cheveux. Dans le haut le chemin s’élargi, la végétation change nous
sommes sous les sapins et le sous bois s’éclairci enfin. Nous débouchons sur
le plateau au niveau d’une route carrossable, que nous prenons à droite. (On peut éviter cette partie, par le bitume en prenant la D
684, puis les directions soit de Bégues, Estantères ou directement Couyou.) Nous
sommes dans les prairies laissant découvrir les hautes montagnes qui ne sont
pas toutes proches, nous ne sommes que sur les collines du piémont pyrénéen. Au
détour du chemin une ferme isolée et dans un enclos des énormes cochons, noir
en semi libertés. Nous arrivons au Couyou. De chemin nous passons à rue et
débouchons sur la D 484, que nous prenons à droite. Nous trouvons un panneau
d’information avec des flèches,
(prenons la direction de l’Abbaye d’
Escaladieu.) Une trentaine de mètres plus loin, à l’angle d’une maison et d’un
champ, nous prenons à droite un chemin carrossable en son début. Ce chemin
permet de revenir par l'autre côté de la vallée de Sizerolle. Nous entrons en
foret, et descendons jusqu'au ruisseau de Bidaudos, par un chemin un peu moins
ronceux que le précédent, laissons un chemin sur la droite, plusieurs petits
ruisseaux viennent se jetées dans celui-ci. Heureusement qu'une croix sur un
arbre me fait dire que je me trompe de chemin, il faut traverser le
ruisseau à gué. Il existait bien une longue pierre, barrant le ruisseau mais ce
dernier l’a contournée et a fait son lit a côté, nous
Il faut se mouiller les pieds |
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Le
sommet est appelé pic de Mieidia de Bigòrra en occitan
gascon.
Il a précédemment été nommé montagne d'Arizes, toponyme de massif signifiant
« eau », en relation avec le vallon d'Arizes à ses pieds. Il est
appelé pic de Midi de Bagnères, puis pic de Midi de Bigorre à la fin du XIXe siècle. Le choix de ce nouveau nom
renvoie peut-être à une tradition alpine qui désigne des sommets situés au sud
de leur principal point d'observation en utilisant le nom « midi ».
Étant situé très en avant de la chaîne, le pic est connu pour son
panorama sur
la chaîne de montagnes franco-espagnole. Ce dernier est parmi les plus
importants de France métropolitaine puisque, par temps clair, il est possible
de voir l'essentiel des sommets de la chaîne pyrénéenne de la côte basque à Biarritz
jusqu'aux Pyrénées ariégeoises (massif
de Tabe), et les agglomérations de Tarbes,
Auch,
Toulouse
ou Montauban.
Vers 1858 il fallait trois heures de cheval ou quatre heures de chaise pour
atteindre le pic depuis le chemin du Tourmalet. Une auberge était déjà présente
près du sommet. Aujourd'hui il est possible d'accéder au pic à pied, par des
sentiers de randonnée, ou bien en téléphérique
au départ de La Mongie. Ce téléphérique est
composé de deux tronçons : le premier tronçon, entre La Mongie
(1 785 m) et le Taoulet (2 341 m),
comporte deux pylônes.
Le deuxième tronçon, entre le Taoulet et le pic du Midi (2 872 m), ne
comporte qu'un seul pylône, près de la gare d'arrivée. Il présente une travée
de câble de 2 550 m de long (3e rang français) entre
le Taoulet et ce pylône. L'observatoire astronomique
est un haut lieu d'observation et de recherche. La météorologie
puis l'astronomie ont été les principales
motivations de la création de cet observatoire. L'astronomie est encore à
l'heure actuelle le domaine d'investigations scientifiques le plus important au
pic du Midi. L'observatoire est rattaché à l'Observatoire Midi-Pyrénées.
C'est une UFR
de l'université
Toulouse-III-Paul-Sabatier. Depuis 1873, chercheurs et
techniciens de l'espace y scrutent la galaxie à la recherche de phénomènes
célestes inconnus. Le pic est connu depuis l'Antiquité.
Les
plus anciens témoignages sur le pic du Midi se retrouvent dans les récits
de la mythologie pyrénéenne,
qui est un mélange des panthéons locaux et grecs.
Ainsi les Pyrénées seraient le tombeau de Pyrène, morte de trop avoir
aimé Héraclès. Celui-ci lui fit le
plus beau et le plus grand des tombeaux : les Pyrénées. De leurs amours
était né Python, serpent mythique qui garde le tombeau de la belle Pyrène, sa
tête se trouve à Gavarnie et sa queue au pic du
Midi de Bigorre, que les strates de gneiss permettent, parfois, d'imaginer. En
même temps que les habitants du Haut-Adour vénéraient le dieu
solaire Abellio,
le pic du Midi de Bigorre devenait pour eux un élément essentiel de leur espace
vécu. Au pied de la montagne, dans le val d'Arizes vivaient les légendaires
pâtres de 999 ans, Milharis et Béliou. Au-delà de ces
légendes, la pointe de flèche découverte par le général
de Nansouty aux environs du col de Sencours
prouve que le pic du Midi de Bigorre était déjà fréquenté au Néolithique.
Dès le tout début du XVIIIe siècle,
le sommet du pic est connu pour être un lieu d'observations
astronomiques. On
sait que François de Plantade
monte au pic à plusieurs reprises : il étudie
pour la première fois de façon scientifique la couronne solaire lors de
l'éclipse de 1706. Il remonte en
1741 pour y effectuer des mesures barométriques dans le but de dresser
une carte des diocèses du Languedoc. Le 25 août, gravissant à nouveau la
montagne, il meurt au col de Sencours (2 379 m), à près de 71 ans, sextant au poing, en s'exclamant : « Ah !
que tout ceci est beau ! ». Ces mesures sont
suivies, dès
1774, par celles de Monge et d'Arcet
qui montent au pic pour y étudier la pression atmosphérique. La construction de
l'observatoire a débuté dans les années
1870, sous la direction du général Charles
du Bois de Nansouty, et de l'ingénieur Célestin-Xavier Vaussenat.
Les premiers terrassements au sommet commencent en 1875.
Les premiers locaux sont achevés le 8
septembre 1882.
En 1907, Baillaud y fait installer un
premier télescope de 50 cm de diamètre, l'un des plus grands au monde pour
l'époque, qui permet en 1909 de démentir l'existence
de canaux sur Mars que défendait Percival
Lowell et place l'observatoire à la pointe de la
recherche. Par la suite, ces locaux sont grandement complétés : nouvelles
terrasses, nouvelles coupoles, nouveaux bâtiments d'habitation. L'électricité
arrive au sommet en 1949.
Auparavant, les équipements électriques étaient alimentés par un ensemble de
batteries et un groupe électrogène.
Un premier téléphérique, affecté au transport du personnel, est installé en 1952, ce qui permet d'atteindre le
sommet en toute saison. En 1959-1962
est installé le « bâtiment interministériel », qui regroupe les
activités d'astronomie, de météorologie, de télévision et de navigation
aérienne. En 1994,
l'État envisage la fermeture de l'observatoire. La région Midi-Pyrénées se
mobilise, et crée un syndicat mixte pour la réhabilitation du site. Le projet
prévoit une réhabilitation des installations scientifiques, ainsi que
l'ouverture au public d'une partie du site. Ainsi, le téléphérique de service
est remplacé par un nouveau téléphérique capable
d'accueillir le grand public.
D'importants travaux sont engagés à partir de 1996 ;
le site, dans sa version rénovée, ouvre en 2000.
Le 20
mars
2008,
quatre alpinistes trouvent la mort dans un accident à la suite d'une avalanche
dans un couloir jugé « dangereux » du pic du Midi. Depuis fin 2011,
l'offre touristique du pic s'est étoffée de la possibilité d'y dormir la nuit.
Les touristes participent à différentes animations comprenant une visite des
lieux et des installations astronomiques et des interventions assurées par la
structure La Ferme des Étoiles, basée dans le département du Gers.
La création d'un planétarium en 2018 et d'une
passerelle suspendue appelée « Ponton du ciel » renforcent les
services rendus aux visiteurs. En 1908
la première coupole est installée, la coupole Baillaud, de 8 m de
diamètre. Elle est équipée d'une monture équatoriale mécanique. Elle abrite une
lunette
et un télescope réflecteur. Hors
service depuis 2000, elle fait désormais partie du
musée. En 1946,
M. Gentilli offre à l'observatoire une coupole et un télescope de 60 cm.
Un spectrographe est installé en 1958.
En 1963,
la NASA
finance l'installation d'un télescope de 106 cm. Il est utilisé pour
prendre des clichés précis de la surface lunaire dans le cadre de la
préparation des missions du programme
Apollo, avec l'astronome et mathématicien Zdeněk
Kopal et l'Université de Manchester.
Une tour haute de 28 m et de 14 m de diamètre est construite à partir
de 1972.
Elle est installée à l'écart des autres bâtiments, de façon à minimiser les
perturbations atmosphériques. En 1980,
elle abrite un télescope de 2 m : le
télescope Bernard-Lyot.
L'observatoire dispose d'un coronographe,
qui permet l'étude de la couronne
solaire. Autre instrument, installé depuis 1961,
la coupole Tourelle (rebaptisée « lunette Jean-Rösch » en 2004, en
l'honneur de son créateur). Cette coupole à la
forme caractéristique abrite une lunette
de 50 cm de diamètre destinée à l'étude du Soleil
(imagerie de la surface, étude de la granulation).
L'instrumentation s'est vue complétée en 1980 par un spectrographe.
En 1926-1927
sont installés au pic deux pylônes de 25 m de haut, qui supportent une antenne
de radiodiffusion. Un émetteur de télévision est installé en
1957.
Il commence ses émissions le 14 septembre de la même année. Lors de la
construction du « bâtiment interministériel », un nouvel émetteur est
installé. Il dispose d'une
antenne de 102 m de haut. Ses émissions
commencent en 1963.
Cet émetteur diffuse des émissions de radio
FM et de télévision numérique.
Il dessert une importante partie du Sud-Ouest de la France, soit un septième du
territoire national. Wikipédia]. Nous reprenons le bitume, laissons une route
sur la gauche et débouchons sur la D 584 que nous prenons tout droit. A nos
pieds, plutôt derrière nous la plaine toulousaine. Nous poursuivons notre
grimpette, passons un calvaire, nous changeons de vallée et de vue, la montagne
et la haute montagne se découvrent. Nous arrivons enfin au col des Palomières. [ Le col des
Palomières est un petit col qui culmine à 810m d’altitude. Il se trouve à
l’entrée des Baronnies, zone vallonée située à l’est de Bagnères de Bigorre.
Etant donné sa faible altitude,
l’ascension du col n’est pas longue. Du côté de
Bagnères, l’ascension est longue de 4,5 kilomètres avec des pourcentages
variants entre 5 et 7%. De l’autre côté au départ de Banios, l’ascension est un
peu plus raide en raison de la plus grande dénivelée. L’intérêt de ce col est
le panorama qu’il offre sur toute la plaine tarbaise et toulousaine. https://www.cols-cyclisme.com/pyrenees-centrales/france/col-des-palomieres-depuis-bagneres-de-bigorre-c923.htm]. Admirons le paysage. Prenons sur la gauche la
D 84 en direction Marsas et Banios, longeons le parking et prenons sur la
droite la large allée carrossable menant à une réserve d’eau. Nous trouvons des
flèches d’informations. Passons un portail et poursuivons notre
monté dans la
prairie. Le balisage est inexistant. Je demande mon chemin aux bovidés
traversant le chemin. Nous grimpons toujours, le chemin fait fourche prenons à
droite il faut se diriger vers les grillages du château d'eau semi enterré.
Quittons le chemin carrossable et le GRP des Baronnies pour prendre sur la
droite un chemin se dirigeant vers le bois. C’est le chemin le plus près de la
rangées d'arbres. Je ne vois pas de balises je suis la trace du GPS qui n’est
pas tout à fait juste par rapport aux chemins existants. A la rencontre de
l'autre chemin nous prenons à droite et entrons où sortons par un large portail
dans un autre enclos. Nous retrouvons les balises. Descendons dans la forêt
coupons une route avec des maisons isolées. Nous sommes à Naouail - Marcadieux
hameau isolé, maisons en bordure de la D 84 et 784. Nous prenons à gauche la
D84 en direction de Gerbe et Bagnière de Bigorre. A l’entrée du virage en
épingle à cheveux nous quittons le bitume pour prendre un chemin faisant
fourche nous prenons à droite. Nous coupons à nouveau la D 84 et poursuivons
notre descente vers Gerde. Notre chemin débouche rue de La Caoue. Entre les
maisons nous avons une belle vue sur la montagne. Traversons la place du 11
novembre en prenant la rue de droite, dans le bout de la place la rue fait
fourche prenons à gauche la rue de la République et à la fourche suivante
l’avenue Philadelphe de Gerde [Née en 1871 à Banios,
dans les Hautes-Pyrénées, l'auteur prend pour
nom de plume Philadelphe de Gerde en référence au village où elle passe
l'essentiel de sa
vie, Gerde, près de Bagnères-de-Bigorre.
C'est en bigourdan qu'elle publie ses premiers poèmes wikipédia]. A la
fourche poursuivons à droite. Je fais une pose sur un banc au carrefour avec la
rue du cimetière. Nous avons une vue magnifique sur le Pic du Midi. Du coup je
ne me rends pas compte que le GR prenait à droite et poursuis tout droit
l’avenue Philadelphe de Gerde. Longue rue sans un point d’ombre, mais je ne
vais pas me plaindre c’est ma seule journée de soleil. Je retrouve le GR au
carrefour avec l’impasse Pé de Castet et prends à gauche la rue du Bédat, coupe
l’avenue des Pyrénées et continue la rue Bédat après un esse droite –
gauche.
Nous traversons l’Adourette et prenons à droite la rue Henri Cordier, longeons
un lycée, prenons sur la gauche la Place René Escoula, puis à droite un petit
bout de l’Allées d’Artagnan, puis à gauche la rue Charles Lacoste. Traversons
l’Adour [L'Adour
est un fleuve du Bassin
aquitain dans le Sud-Ouest de la France,
D'une longueur de 307,1 km (ou en France : 308,3 km), il prend
sa source dans le massif pyrénéen du pic du Midi de Bigorre,
au col du Tourmalet (Hautes-Pyrénées) et se jette dans l'océan Atlantique après Bayonne,
à Tarnos
(Landes)
pour la rive droite et Anglet (Pyrénées-
Atlantiques)
pour la rive gauche. En gascon, adour (terme
ancien) signifie « source », « cours d'eau » et adourgà
ou adorgar signifie « irriguer ». Le mot adur s'est
spécialisé en basque dans le sens de 'destin',
« onde magique » (sens présumé de « humeur »). Adour, en
basque Aturri, en latin Aturrus, est un nom de rivière pré-latin
peut-être apparenté aux mots basque
iturri « source »
et languedocien teron
« fontaine ». Au XIVe siècle,
le chroniqueur Jean Froissart mentionnait l'Adour en
ces termes « la belle rivière de Lisse qui court tout au milieu de
Tarbes ». On peut aussi rapprocher la racine -adour du brittonique Dwr
(Dour, en breton), signifiant « eau ». À l'époque glaciaire et
jusqu'au Moyen-Âge,
l'Adour se jetait dans l'océan à Capbreton
au niveau du Gouf de Capbreton, un canyon
sous-marin d'origine tectonique qui entaille profondément le
plateau continental sur 50 km au large et permettait un mouillage sûr.
Grâce à des documents anciens, on peut suivre la course capricieuse imposée à
l'Adour par les sables. L'Adour a souvent changé d'embouchure. Il errait au gré
de l'ensablement de son delta de Trossoat (devenu le Boucau
nau 'nouvelle embouchure') au Plecq (devenu
alors Port d'Albret et depuis le Boucau bielh ou Vieux-Boucau).
S'il s'écoulait encore à Capbreton au début de notre ère,
en 910 une crue le dirige vers le nord par Soustons et
Vieux-Boucau. En 1164 il perce la dune face à
Bayonne puis retourne à Capbreton, qu'il délaisse en 1390 pour Port-d'Albret.
En
1562,
la ville de Bayonne, alors en déclin, obtint de Charles IX de France
qu'on lui donnât un accès direct à l'océan. C'est Louis de Foix
qui, aidé par une crue providentielle de la Nive,
fit réaliser la trouée vers l'océan dans laquelle le fleuve s'engouffra le 25
octobre 1578. À cette époque la branche
bayonnaise de l'Adour remontait de Trossoat vers le nord pour rejoindre
le Boudigau.
Malgré l'endiguement,
l'ensablement de son estuaire crée un conflit de masses d'eau connu sous le nom
de barre de l'Adour, qui rend
délicat l'accès au port
de Bayonne et impose un dragage régulier de la passe.
Wikipédia]. Je prends à droite l’Allée Jean Jaurès bordant la rivière. Je
suis arrivée à Bagnières de Bigorre. La cité des eaux.
A 25 Km du Pic du Midi, Bagnères-de-Bigorre est une ville thermale qui
a hérité de son
âge d’or, le XIXè s. Une architecture élégante, des parcs paysagers et
un goût certain pour la culture. [L’histoire de Bagnères est aussi liée à La
Mongie, station réputée des sports d’hiver qui est située pour une partie sur
le territoire de la commune. Pour rappel La Mongie fait partie d’un des plus
grand domaine skiable des Pyrénées qu’est le domaine du Tourmalet. Sans cette
incroyable ressource en eau, Bagnères de Bigorre aurait sans doute connu un
autre destin. L'eau... quelques soit l'endroit où vous
posez le regard, elle
rappelle son omniprésence, preuve s'il en est de la longue histoire qui relie
cette cité à ce précieux liquide. Ses qualités thermales, reconnues depuis
longtemps, on largement participé à la renommée de la ville depuis près de 4
siècles...Mais c'est sans compter les autres facettes de cette histoire qui
donnent le visage d'aujourd'hui à Bagnères : notamment le marbre, transformé
près de l'Adour en pièces de choix pour habiller les façades...
https://www.cirkwi.com/fr/circuit/73977-bagneres-de-bigorre-au-gre-de-l-adour
& https://www.camping-oree-des-monts.com/camping-bagnere-de-bigorre-haut-adour.html]
[Begorra, relevé vers 400, serait l'ancien nom de Bagnères-de-Bigorre ou
de Cieutat.
À l'époque romaine, la ville aurait porté le nom d'Aquae Convenarum ou
de Vicus Aquensis(« le village des eaux ») ou Aquæ
bigerritanas (« les eaux bigourdanes »). Le nom actuel n'est attesté que depuis 1171 sous la
forme
gasconne Banheras issue du latin balneariæ (« bains,
établissements de bains ») et du nom de la région, Bigorre.
Le nom de celle-ci vient du peuple ibère des Bigerres ou Bigerrions
qui habitait la haute vallée de l'Adour dans l'Antiquité. La graphie française,
Bagnères, apparaît en 1285. Le déterminant en-Bigorre date au moins de 1770
(carte de Cassini) et sera remplacé par de-Bigorre avant 1852 (c'est ainsi
qu'il apparaît dans le Dictionnaire des communes publié cette année-là).
En 28 avant Jésus-Christ,
sous le règne de l'empereur
Auguste,
Valerius Messala
sort vainqueur de sa lutte contre l'un des derniers foyers de résistance de la
tribu aquitaine des Campani sur une
colline de Pouzac. Les Romains
y découvrent les eaux chaudes qui coulent du mont Olivet. Autour des thermes
qui se construisent, une ville apparaît, qui atteint une taille égale à la
moitié de la superficie de Bagnères au début du XXIe siècle.
La croissance économique modifie la structure sociale de la ville, devenue plus
commerçante que rurale, ce qui conduit Henri III de Navarre
à établir en 1551 un nouveau mode de gouvernance de la cité. Un conseil de
quarante membres se substitue aux six consuls qui étaient jusqu'alors élus
indirectement par l'assemblée générale des habitants. Jeanne
d'Albret, reine de Navarre et comtesse de Bigorre, se
convertit au protestantisme en 1560. L'année suivante, elle tente d'imposer la
Réforme mais les Bagnérais restent majoritairement fidèles au catholiscisme. En
1562 ont lieu les premières arrestations pour hérésie. Le roi de France
réagit militairement contre les protestants. Alors que Jeanne d'Albret est à La
Rochelle pour porter secours aux protestants qui s'y
battent, les armées françaises s'emparent du Béarn.
La reine de Navarre fait alors appel à Montgommery
pour récupérer ses terres. C'est chose faite en 1569, mais le chef de guerre
pille et rançonne les villes. Il menace Bagnères, réclame une forte somme. On
ne sait pas si la somme demandée a bien été versée avant que le chef de guerre
se dirige vers le Gers.
En 1574, le chef de guerre protestant Lizier tend un piège près de Pouzac au
gouverneur de Bagnères Antoine de Beaudéan, qui y trouve la mort. Au sortir des
guerres de religion, Bagnères est ruinée, la malnutrition qui y règne favorise
le retour de la peste en 1588. Cet épisode est l'occasion de la mise en lumière
de Liloye (surnommée « pure comme le lys » à cause de sa grande piété).
Celle-ci aurait prophétisé l'épidémie, annoncée par une apparition de la Vierge
à la chapelle Notre-Dame-de-Médous.
Ce ne serait qu'après une procession collective que la peste aurait cessé ses
ravages à Bagnères. En 1606, l'accession de Henri de
Navarre au trône de France sous le nom d'Henri IV
rattache définitivement la province au
royaume de France.
Époque classique : les XVIIe et XVIIIe siècles ; La peste frappe de
nouveau Bagnères en 1628, 1653 et 1654. Des mesures de salubrité publiques sont
prises. Les malades les plus atteints sont isolés au vallon de Salut. La
maladie ne réapparaît pas après décembre 1654. Le 21 juin 1660, de fortes
secousses sismiques frappent la ville. Les tremblements de terre se poursuivent
durant trois semaines. Seulement sept personnes trouvent la mort, cent
cinquante maisons sont détruites au moins en partie, et surtout les sources
thermales semblent taries. Cet épisode n'est que passager, et l'eau coule de
nouveau quelque temps après. La reconstruction s'effectue avec de la pierre de taille de la carrière de
Salut. Cette pierre a la particularité de devenir du marbre une fois polie,
élément qui va caractériser l'architecture de la cité par la suite. Le
thermalisme prend de l'importance. À partir de 1670, les établissements privés
se multiplient, on en compte 25 en 1787. Le bâtiment d'un couvent est
transformé en 1775 en établissement de jeux où l'on peut aussi se restaurer et
danser : le Vaux-Hall. C'est le premier casino de Bagnères. De 1789 à 1793, durant la Révolution française les « modérés suspects » viennent se réfugier dans la
ville, prêts à fuir en Espagne si la situation s'aggrave. Les autorités
départementales se méfient des Bagnérais, qui selon eux ont bien peu d'esprit
civique et révolutionnaire. Fin 1793, devant la saturation des hôpitaux du
Sud-Ouest, les blessés sont évacués vers les stations thermales. À Bagnères,
l'hospice Saint-Barthélémy, les maisons d'Uzer et de Lanzac, puis l'hospice des
Capucins de Médous font office
d'hôpitaux militaires. L'économie bagnéraise est
fondée sur le commerce, l'artisanat et le thermalisme jusqu'à la fin de la Seconde Restauration. Les établissements thermaux privés étant vieillissants, la
municipalité organise la construction du Grand établissement thermal achevé en
1828. L'exploitation du marbre devient un pilier de l'économie locale avec
l'expansion de la marbrerie Géruzet, qui de 1829 à 1880 devient l'une des plus
importantes de France. Son exemple est suivi par de petites entreprises
locales. Cette industrie emploie mille
personnes en 1870. Des entrepreneurs
diversifient les secteurs d'activité. S'installant dans un ancien moulin en
1877, Dominique Soulé fonde ce qui
deviendra au siècle suivant la plus grande usine de la ville. 1862 est également l'année de l'arrivée du chemin de fer
à Bagnères. Le XIXe siècle est une période d'expansion
urbaine au terme de laquelle la forme du centre-ville se fige jusqu'au début du
XXIe siècle. Le gain d'espace après
la démolition des remparts autorise l'achèvement des boulevards périphériques.
XXe siècle ; La Première Guerre mondiale permet l'expansion de l'industrie bagnéraise, notamment dans le domaine du matériel ferroviaire roulant. L'industrie du marbre s'est effondrée, mais les industries mécaniques et textiles la suppléent. La part du thermalisme dans l'économie a beaucoup diminué. Lors de la Seconde Guerre mondiale, une expédition punitive d'une compagnie de SS en représailles contre les actions de la résistance dans la région, en juin 1944, fait 32 morts à Bagnères et une centaine dans la vallée. La ville de Bagnères de Bigorre reçut la Croix de guerre wikipédia ].
Les Grands Thermes de
Bagnères-de-Bigorre se caractérisent, pour une grande part, par une architecture
de facture néo-classique, du XIXe siècle, utilisant de nobles matériaux
tels que le marbre des Pyrénées. Le Palmarium offre un exemple de l'architecture
caractéristique de l'ère industrielle.
La halle de la fin du XIXe siècle, de type Baltard.
La Tour des Jacobins du XIVè Siècle
Est le seul vestige de 'église
conventuelle des
dominicains. Le terme jacobin fait référence à l'ordre des Frères Prêcheurs
installé au départ dans un couvent de la rue Saint-jacques à Paris. C'est dans la
première moitié du XIVe siècle que les dominicains s'établissent à Bagnères.
Implantés hors les murs dans un premier temps, ils gagnent cet emplacement à la
suite du pillage de leur premier couvent par les Grandes Compagnies au service
d'Henri de Trastamare en 1367, dans le contexte de la guerre de Cent Ans. La
tour ne possède à l'origine que deux niveaux de baies, surmontés par une flèche
couverte d'ardoises. Le dernier niveau est ajouté au XIXe siècle pour
accueillir I ‘horloge et la cloche acquises grâce au don du chevalier de
Montesquiou. Depuis cette époque on donne également au clocher le nom de Tour
de l'horloge.
L’église abrite un remarquable mobilier liturgique.
Le tabernacle, dont le ciboire est destiné à conserver les hosties, la chaire à
prêcher, et l’armoire des fonts baptismaux surmontée de la scène du baptême du
Christ datent de la seconde moitié du XVIlle siècle. Siècles dans le contexte
de la Contre Reforme. La surcharge décorative réaffirme l'importance de l’imagerie
religieuse dans I ‘instruction des fidèles. La
Chaire à prêcher et la clôture
des fonts baptismaux sont toutes deux classées au titre des Monuments
historiques. On doit a Jean-Baptistee Auguste CIésinger (1814-1883),
sculpteur
romantique de renom, gendre de George Sand, l'exceptionnelle Vierge à l'enfant
en marbre de Carrare. Les fresques du chœur, relatant des épisodes de la vie de
saint Vincent, exécutées en 1968, sont oeuvre du peintre languedocien jacques
Bringuier. Six siècles d'histoire Monument Bâtie à partir du XIVe siècle sur
l'emplacement d'un édifice paléochrétien, l'église qui porte le vocable de
Saint Vincent, diacre de Saragosse mort en martyr en 304, est entourée d'un
cimetière jusqu'au XXe
siècle. Elle se compose d'une nef unique de quatre
travées, qui débouche sur une abside semi polygonale, de chapelles qui prennent
place entre de puissants contreforts et d'un imposant clocher mur en façade
occidentale. Les vitraux et la voûte du chœur. L’édifice actuel résulte de
plusieurs campagnes de construction. Au XIVe siècle, les épidémies de peste et
le sac de la ville par Henri de Trastamare, futur roi Henri ll de Castille,
retardent la construction de la nef qui n'est achevée qu'au début du XVle
siècle. Si vers 1539 l'église est embellie par un très beau portail au sud, le
tremblement de terre de 1660 endommage le clocher-mur et les vitraux. La
période de
reconstruction de la fin du XVIIe siècle voit la création d'une
voûte en bois plus légère et d'importantes restaurations ont lieu au XIXe
siècle sur l'ensemble de l'édifice. L’orgue, installé au début du XVIlle
siècle, est remarqué pour ses qualités par Rossini lors de son séjour à
Bagnères. Maintes fois remanié, il a fait l'objet d'une restauration complète
en 1988 par Gehrard Grenzing, L'eglise Saint-Vincent ; Abrité sous un
porche voûté d'ogives, le portail sud de l'église illustre I ‘évolution de
l'architecture religieuse en France à la fin du Moyen Age. On remarque aussi
deux personnages en médaillon, sculptés en haut-relief. La coquille plusieurs
fois représentée, constitue un motif décoratif habituel de la Renaissance. Pour
autant, certaines Edifié dans le milieu du XVle siècle, il réminiscences
médiévales subsistent, présente toutes les caractéristiques d'un portail
médiéval. De part et d'autre de la porte, les piédroits sont profondément
ébrasés. lls supportent une archivolte composée de nombreuses voussures au
profil légèrement brisé, encadrées comme l'ange à la clef de l'arc ou les crochets
en chou frisé de l'archivolte. D'une moulure en accolade héritée des gables des
portails gothiques. Au centre, le tympan demeure l'espace privilégié pour
délivrer le message iconographie principal de l'édifice. Il dispose de niches
destinées à recevoir des statues aujourd'hui disparues. En revanche, le décor
témoigne de la diffusion en Bigorre du courant de la Renaissance, dont le
répertoire ornemental est ici déployé. Des pilastres ornés de grotesques ont
remplacé les colonnes gothiques et un entablement à l'antique couronne le
portail. De belle facture, il comporte une frise de Le portail sud de l'église
Saint-Vincent. (Panneau d’information).
Ruines
de l'église Saint-
on pensa
en faire un musée en 1900. Le 9 janvier 1901, l'église fut entièrement ravagée par
un incendie. http://lieux.loucrup65.fr/rempartsdebagneres.htm
Distance totale: 21.69 Km
Dénivelée positive accumulée: 961.08 m
Dénivelée
négative accumulée: 740.18 m
Altitude maximale: 863.9 m
Altitude minimale: 325.1 m
Pourcentage de montée: 8.94 %
Pourcentage de descente: 7.59 %
Montées |
Distance Km |
Km au total en % |
|
||
|
Entre 30 et 55% |
0 |
0 |
|
|
|
Entre 15 et 30% |
1.532 |
7.06 |
|
|
|
Entre 10 et 15% |
2.823 |
13.02 |
|
|
|
Entre 5 et 10% |
3.476 |
16.03 |
|
|
|
Entre 1 et 5% |
2.921 |
13.47 |
|
|
|
Total |
10.751 |
49.57 |
|
|
Terrain plat |
|||||
|
Dénivelées de 1 % |
1.188 |
5.48 |
||
Descentes |
|||||
|
Entre 1 et 5% |
4.21 |
19.41 |
||
|
Entre 5 et 10% |
2.475 |
11.41 |
||
|
Entre 10 et 15% |
1.715 |
7.91 |
||
|
Entre 15 et 30% |
1.348 |
6.21 |
||
|
Entre 30 et 55% |
0 |
0 |
||
|
Total |
9.747 |
44.95 |
||
|
Total trace: |
21.69 |
100 % |
Dans l'hotel ou je suis déscendu j'ai assité à une conversation entre des clients et une serveuse.
Les clients : De Bagnère on ne voit pas le pic du Midi ?
La serveuse ; mais si il est là juste derrière.
Les clients : Ah, nous ne l'avons pas vu.
La serveuse ; Sorton je vais vous le montrer
Alors, j'ai suivi, car moi non plus je ne l'avais pas vu. Faut vraiment être d'ici pour le reconnaitre. On le repère grace à son antenne et d'ici nous la devinons c'est le trai blanc entre les deux arbres.
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