Promenade en Limousin
Le Dolmen du Gaudour, le viaduc de
Rocherolle
En Haute Vienne, autour de Bessine
sur Gartempe nous trouvons beaucoup de Dolmens. Celui que nous allons voir est
un peu caché à l’écart des grands axes permettant de circuler d’un ‘’hameau
à un autre’’. J’avais un souvenir de promenade me faisant passer par ce dolmen
au milieu des champs, d’un Viaduc passant au dessus de la Gartempe, mais quel
ne fut pas ma surprise de ne plus retrouver les chemins de traverses. Le
remembrement avait déjà pas mal supprimé de chemins ‘’inutiles’’ puisque
aujourd’hui ne desservant qu’un seul et unique grand champ… Bien entendu la
carte n’a pas été mise à jour et l’on se casse le
nez face à des champs en culture, ou une clôture et des vaches derrières. Je pensais que cela s’arrangerais avec le temps, après tout nous sommes qu’à une dizaine de kilomètres des monts d’Ambazac. Beaucoup de promenades ont été tracées entre ses derniers et la rive gauche de la Gartempe, mais la crise est arrivée, les vacanciers et surtout les Anglais ce font rares, les agriculteurs ont eu d’autres priorités que t’entretenir des chemins qui ne leur servent pas,
quant aux bénévoles ils se font rares, préférant utiliser leur temps libre à aider des personnes qui peine à gagner leur vie. Les Bobos, n’ont qu’a faire comme nous bosser 14h00 par jour et verrons, si n’ont la force de marcher…. Oui c’est une caricature, OUI, c’est exagéré… Pas trop tout de même, je n’ai pas vu d’amélioration, au contraire, tous mes chemins de sortie ce sont fermer.
nez face à des champs en culture, ou une clôture et des vaches derrières. Je pensais que cela s’arrangerais avec le temps, après tout nous sommes qu’à une dizaine de kilomètres des monts d’Ambazac. Beaucoup de promenades ont été tracées entre ses derniers et la rive gauche de la Gartempe, mais la crise est arrivée, les vacanciers et surtout les Anglais ce font rares, les agriculteurs ont eu d’autres priorités que t’entretenir des chemins qui ne leur servent pas,
quant aux bénévoles ils se font rares, préférant utiliser leur temps libre à aider des personnes qui peine à gagner leur vie. Les Bobos, n’ont qu’a faire comme nous bosser 14h00 par jour et verrons, si n’ont la force de marcher…. Oui c’est une caricature, OUI, c’est exagéré… Pas trop tout de même, je n’ai pas vu d’amélioration, au contraire, tous mes chemins de sortie ce sont fermer.
La trace rouge sur la carte se décompose en 2 parties sur le terrain.
Première partie du Dolmen jusqu'au pont SNCF. Puis reprendre la trace principale sur la gauche passer sous le pont et prendre le chemin sur la droite.
La seconde partie se situe sur la D 94. La trace principale passe sous un petit pont d'une ligne secondaire SNCF, derrière le petit chemin existant se termine parfois devant une clôture provisoire avec des animaux. Si c'est le cas, poursuivre la D 94 jusqu'au pont SNCF et prendre le chemin de gauche
Le code mobile de cette randonnée est b322166
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile. Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
( Le diverticule orange n'est pas sur la carte Randogps)
km Temps Arrêt V/d V/g Dénivelé
( Le diverticule orange n'est pas sur la carte Randogps)
km Temps Arrêt V/d V/g Dénivelé
9,6 1:52 0 :10 5,2 4,7 132+
Départ Village du Cluzeau
Pour s’y rendre le plus simple est
peut être de prendre la D1 en direction
de Fromontale et Fursac. Après le village de La Traverse, ne pas prendre la D
51 mais la route sur la droite à la sortie du village. Cette route est peu
large et débouche sur une autre route formant Té. Nous prenons la branche de droite.
Nous arrivons au village. Pas de parking. Se garer à l’entrée du village sur un
espace à l’angle d’une ancienne ferme transformé en maison d’habitation et un
chemin.
Prenons ce chemin, après les
maisons nous trouvons sous les arbres et dans les herbes une mare ou plutôt un
ancien lavoir à l’abandon. Nous
avons sur la droite une vue sur les Monts d’Ambazac. Le chemin fait fourche nous trouvons une pancarte nous indiquant le dolmen en prenant la branche de droite. Nous arrivons au dolmen. [Le dolmen des Goudours, appelé également du Cluzeau ou des Vergnes, était dans un état de délabrement avancé quand nous en avons entrepris la fouille en 2003. Sa table, d'au moins 5 m de long et 2,80 m de large pour une épaisseur moyenne de 0,60 m était alors estimée d'un poids d'une vingtaine de tonnes mais elle était brisée en deux parties reposant à l'oblique sur trois orthostates au centre de l'édifice (fig. 4 à 8). Au sud, un autre fragment paraissait avoir été débité portant à l'origine cette dalle
unique de couverture à au moins 25 ou 30 tonnes. Seuls deux piliers de chaque côté étaient visibles, en partie cassés et inclinés vers l'intérieur pour deux d'entre eux. L'un d'eux, n° III du plan (fig. 4) n'était plus à la place où il fut dessiné par R. Crédot et M. Dominique en 1973 (Crédot & Dominique 1973, p. 285). A environ 380 m d'altitude, le dolmen des Goudours domine, 80 m plus bas, la vallée de la Gartempe au sud et deux vallées, tributaires de celle de la Gartempe, à l'est et à l'ouest (fig. 2). Un site gallo-romain a été repéré à quelques centaines de mètres en contrebas du dolmen à l'est. Au lieu-dit Les Vergnes (fig. 3), le monument, propriété de Monsieur Daniel Dupeux, se situe sur la parcelle n° 27 de la section ZO du plan cadastral de 1986 modifié en 1988 (feuille n° 87.0.067 ZO) de la commune de Folles. Un relevé topographique fut effectué au cours de la campagne de sondage qui s'est déroulée du 6 au 13 septembre 2003 par Régis Bernard (INRAP). Le dolmen se dresse sur une petite plate-forme limitée au sud-est par un muret ancien Les restes d'un autre muret d'une dizaine de mètres de longueur venaient prendre appui au nord-ouest du dolmen (fig. 4 et 5). Cette plate-forme supporte quelques petits chênes dont certains devront être coupés lors de la fouille.
La pente du côté est laissait penser que des traces de tumulus pouvaient s'y trouver. Il n'est pas impossible que la plupart des pierres qui composaient cette enveloppe tumulaire aient été utilisées à la construction des murettes servant de limites aux champs des alentours. http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=20488712] Ensuite la seule carte juste se trouve être le carte IGN. Les cartes aériennes sont fausses. Les chemins n’aboutissent plus. Ils arrivent dans des champs soit clôturés, soit céréaliers, en longeant le bois il s’y trouve des ronces aussi haute que nous. Il paraît que c’est le remembrement qui à modifié tout cela. En 2016 Il est devenu impossible de traverser les prairies pour rejoindre le chemin provenant des gouttes. Il n’est donc plus possible de passer de l’autre coté du lieu appelé les vergnes vers la petite ligne de chemin de fer, pour se rendre sous le petit pont au dessus de la Bussière à la cote 348 le chemin qui existe encore à été enclavé dans une prairie comportant des vaches.
avons sur la droite une vue sur les Monts d’Ambazac. Le chemin fait fourche nous trouvons une pancarte nous indiquant le dolmen en prenant la branche de droite. Nous arrivons au dolmen. [Le dolmen des Goudours, appelé également du Cluzeau ou des Vergnes, était dans un état de délabrement avancé quand nous en avons entrepris la fouille en 2003. Sa table, d'au moins 5 m de long et 2,80 m de large pour une épaisseur moyenne de 0,60 m était alors estimée d'un poids d'une vingtaine de tonnes mais elle était brisée en deux parties reposant à l'oblique sur trois orthostates au centre de l'édifice (fig. 4 à 8). Au sud, un autre fragment paraissait avoir été débité portant à l'origine cette dalle
unique de couverture à au moins 25 ou 30 tonnes. Seuls deux piliers de chaque côté étaient visibles, en partie cassés et inclinés vers l'intérieur pour deux d'entre eux. L'un d'eux, n° III du plan (fig. 4) n'était plus à la place où il fut dessiné par R. Crédot et M. Dominique en 1973 (Crédot & Dominique 1973, p. 285). A environ 380 m d'altitude, le dolmen des Goudours domine, 80 m plus bas, la vallée de la Gartempe au sud et deux vallées, tributaires de celle de la Gartempe, à l'est et à l'ouest (fig. 2). Un site gallo-romain a été repéré à quelques centaines de mètres en contrebas du dolmen à l'est. Au lieu-dit Les Vergnes (fig. 3), le monument, propriété de Monsieur Daniel Dupeux, se situe sur la parcelle n° 27 de la section ZO du plan cadastral de 1986 modifié en 1988 (feuille n° 87.0.067 ZO) de la commune de Folles. Un relevé topographique fut effectué au cours de la campagne de sondage qui s'est déroulée du 6 au 13 septembre 2003 par Régis Bernard (INRAP). Le dolmen se dresse sur une petite plate-forme limitée au sud-est par un muret ancien Les restes d'un autre muret d'une dizaine de mètres de longueur venaient prendre appui au nord-ouest du dolmen (fig. 4 et 5). Cette plate-forme supporte quelques petits chênes dont certains devront être coupés lors de la fouille.
La pente du côté est laissait penser que des traces de tumulus pouvaient s'y trouver. Il n'est pas impossible que la plupart des pierres qui composaient cette enveloppe tumulaire aient été utilisées à la construction des murettes servant de limites aux champs des alentours. http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=20488712] Ensuite la seule carte juste se trouve être le carte IGN. Les cartes aériennes sont fausses. Les chemins n’aboutissent plus. Ils arrivent dans des champs soit clôturés, soit céréaliers, en longeant le bois il s’y trouve des ronces aussi haute que nous. Il paraît que c’est le remembrement qui à modifié tout cela. En 2016 Il est devenu impossible de traverser les prairies pour rejoindre le chemin provenant des gouttes. Il n’est donc plus possible de passer de l’autre coté du lieu appelé les vergnes vers la petite ligne de chemin de fer, pour se rendre sous le petit pont au dessus de la Bussière à la cote 348 le chemin qui existe encore à été enclavé dans une prairie comportant des vaches.
En 2019 j’ai tenté ma chance en
poursuivant après le dolmen dans le petit bois. Nous débouchons dans un champ
qui n’est plus cultivé ce qui facilite son contour. La partie haute du champ
n’est pas cultivé pour cause d’affleurement du rocher, longeons la lisière du
bois sur notre gauche. D’après la carte aérienne le chemin se poursuivait tout
droit entre le champ de gauche et le bois de droite, mais il à disparu. Longer
la lisière du bois sur la droite et descendre vers l’extrémité du champ. (trace jaune). Pas
très facile entre la culture, les pierres de l’ancien mur de séparation et les
ronces. En 2019 le champ étant en jachère cela ma facilité les choses, mais il
suffirait qu’il soit clôturé pour les vaches et le passage deviendrait
impossible. Dans le bas nous trouvons un chemin permettant à un tracteur de
traverser le bois. Chemin un peu ronceux. Si ce chemin n’est pas entretenu, il
vous restera à faire demi tour, le bois étant rempli d’épineux. Il y aurait
peut être un passage dans le taillis sur la droite en s’approchant de la ligne
de la petite ligne de chemin de fer à voie unique, permettant soit disant au
train de déchets d’uranium de rejoindre l’ancien centre minier de Béssine. Mais elle est à cet endroit encastré dans un
profond ravin rocheux. Si les passages sont fermés il vous restera qu’à faire
demi tour. Si le passage du tracteur est dégagé vous arriverez sur le chemin
longeant la ligne de chemin de fer Paris, Limoges, Toulouse. Il faut prendre à
droite. Si vous avez trouvé un passage dans le petit bois et suivi la ligne de
chemin de fer vous arriverez à un passage à niveau.
Si vous ne voulez pas risquer de
vous arracher les jambes ou être obligé de rebrousser chemin vous apercevant
qu’il n’est plus possible de poursuivre…
Du dolmen faisons demi tour revenons sur le grand chemin caillouteux,
prenons à droite descendons. Nous arrivons à la ligne de chemin de fer Paris – Limoges. Prenons le chemin juste avant le pont sur la droite, nous remontons, et passons la petite ligne de chemin de fer à voie unique desservant l’ancienne mines d’uranium. (Trace orange sur la carte, n'existe pas en GPS.) Nous arrivons sur la D 94, que nous prenons sur la gauche passons sous le pont et prenons à droite un chemin plus ou moins entretenu sur la droite. (Ce chemin à été parfaitement entretenu
lorsqu’il permettait de rejoindre les champs. (En 2016 les deux champs ont été regroupés, et le chemin en a pâti.) Une fois que nous entrons dans le bois de châtaignier le chemin est plus large, nous apercevons le viaduc de Rocherolles. Un large virage à gauche nous fait descendre doucement vers la Gartempe [ La Gartempe, principale affluent de la Creuse, prend sa source sur la commune de Peyrabout, près de Lepinas (carte), dans le département de la Creuse, à plus de 600 mètres d’altitude. Longue de 206 km, la Gartempe conflue avec la Creuse sur les communes de La Roche-Posay et Yzeures-sur-Creuse. http://www.syndicat-gartempe.fr/la-gartempe-et-ses-affluents/
Du dolmen faisons demi tour revenons sur le grand chemin caillouteux,
prenons à droite descendons. Nous arrivons à la ligne de chemin de fer Paris – Limoges. Prenons le chemin juste avant le pont sur la droite, nous remontons, et passons la petite ligne de chemin de fer à voie unique desservant l’ancienne mines d’uranium. (Trace orange sur la carte, n'existe pas en GPS.) Nous arrivons sur la D 94, que nous prenons sur la gauche passons sous le pont et prenons à droite un chemin plus ou moins entretenu sur la droite. (Ce chemin à été parfaitement entretenu
lorsqu’il permettait de rejoindre les champs. (En 2016 les deux champs ont été regroupés, et le chemin en a pâti.) Une fois que nous entrons dans le bois de châtaignier le chemin est plus large, nous apercevons le viaduc de Rocherolles. Un large virage à gauche nous fait descendre doucement vers la Gartempe [ La Gartempe, principale affluent de la Creuse, prend sa source sur la commune de Peyrabout, près de Lepinas (carte), dans le département de la Creuse, à plus de 600 mètres d’altitude. Longue de 206 km, la Gartempe conflue avec la Creuse sur les communes de La Roche-Posay et Yzeures-sur-Creuse. http://www.syndicat-gartempe.fr/la-gartempe-et-ses-affluents/
Le nom de la rivière
est attesté sous la forme Vartimpa (sans date2), Wartimpae
fluvii au VIIIe siècle, Vuartimpe
en 825, Guartimpa en 886), super fluvium Wartimpae (sans date), super fluvium
Guartempa (sans date6). Wikipédia] Nous
arrivons sur un chemin formant Té en bordure de la gartempe, prenons le chemin
à droite longeant la rivière. Nous passons devant plusieurs hautes falaises qui
servaient de terrain d’exercices aux varappeurs de Limoges. [(En 2016 un arrêté du maire à interdit l’escalade de la roche pouvant se détacher) Depuis l'accident du 20 juillet 2016, la pratique de
l'escalade est interdite par arrêté municipal sur le site du viaduc de
Rocherolles. Quatre personnes - un couple et leurs deux enfants, originaires de
Limoges - avaient été gravement blessés,
percutés par un rocher décroché de la falaise, alors qu'ils effectuaient une sortie d'escalade. Deux ans et demi plus tard, une
opération de sécurisation du site est en cours. Il s'agit de consolider les falaises, dont
la roche a été fragilisée au fil du temps par les intempéries et les racines de
végétaux. Trois cordistes d'une société spécialisée sont chargés des travaux,
qui vont durer deux semaines. Coût total de l'opération : 37 000€.
L'opération vise surtout la mise en sécurité des promeneurs, sur ce site très fréquenté aux beaux jours. La pratique de l'escalade devrait y rester interdite, car trop dangereuse.
https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/haute-vienne/operation-securisation-du-viaduc-rocherolles-1608755.html]
Longeons la rivière tumultueuse, passons sous le viaduc de Rocherolles [Le viaduc de Rocherolles L'opération vise surtout la mise en sécurité des promeneurs, sur ce site très fréquenté aux beaux jours. La pratique de l'escalade devrait y rester interdite, car trop dangereuse.
« C’est un pont
ferroviaire de la ligne Paris – Toulouse, classé monument historique et situé
au cœur de la forêt occitane, un site qui vaut le détour. » Il enjambe la
vallée de la Gartempe à environ 40 kms de Limoges entre Folles et Bersac.
Construit en pierre de taille de granit, il fut
conçu par l’architecte De Leffe
et s’élève à 54,60 mètres de haut et fait 187 mètres de long. Il fut réalisé en
deux années par 2000 ouvriers de fin 1852 à fin 1854 ; le 24 juin 1856, les trains circulaient. Les pierres extraites des carrières environnantes
furent taillées sur place et montées ; il comprend deux étages de huit
arches de 15 mètres d’ouverture à l’origine de la voûte. A l’époque, il était
le plus haut de France. La ligne ferroviaire fut électrifiée dans les années
1950. https://chabatzdentrar.blog4ever.com/folles-le-viaduc-de-rocherolles]
poursuivons par un petit sentier qui devient difficile, (nous
trouvons une pancarte nous invitant à respecter le chemin qui est bien
difficile de trouver au mois de juin dans les herbes et les orties.) De plus racines,
trous, ronces et branches font qu’il n’est pas facile à suivre. Parfois on
attrape même des tiques… Sur le parcours nous trouvons des ruines de maisons, ou
d’anciens moulins. Proche du moulin de Coulerolles (refais en 2014 mais juste
pour la déco) le passage dans la prairie n’est pas facile l’herbe est parfois
haute dans cette sorte de marécage il y a toujours de l’eau. (En 2016 l’abord
du moulin à été entretenu et il en est ressorti un puits ou la résurgence d’une
source matérialisé par des pierres). Prenons le chemin de droite (il n’est pas
possible de suivre la Gartempe.) Rapidement nous arrivons sur des clôtures ce
qui est fort dommage de ne pas pouvoir suivre le chemin comme sur la
carte.) Remontons par le chemin carrossable de
droite en longeant la maison. Nous débouchons sur la D 94 que nous prenons à
droite. Après un virage nous longeons de nouveau la petite ligne SNCF, nous
trouvons un petit pont.
Faisons
l’essaie de passer en
dessous (ça gadouille un peu) En 2016 il n’était pas possible de suivre
le
chemin partant sur la droite, des clôtures électriques nous empêchent de
déboucher sur le chemin des gouttes. Par contre dans le premier virage
si la
barrière à gauche est ouverte vous
aurez peut être la chance de pouvoir traverser le champ et de ressortir de l’autre coté sur le chemin des gouttes. (Si les chemins son toujours bloqués il faut suivre la route, traverser le hameau de la Bussière et reprendre le chemin de gauche juste avant le pont de la ligne SNCF. Il est possible de prendre ce dernier à gauche. Juste avant une descente sur votre gauche vous trouverez une drôle de croix avec un large socle [C’était pour poser le cercueil. On décédait à la maison, et l’on portait le cercueil souvent à la main jusqu’à l’église et le cimetière. (Note des anciens)] Nous arrivons au hameau des Gouttes. Traversons la ferme inhabité, nous arrivons sur la route que nous prenons à droite et remontons. La route débouche sur une autre que nous prenons à droite, nous traversons le village du Cluzeau pour rejoindre le parking.
Si la
clôture est fermé, il nous reste à revenir sur la route traverser le petit
village de la Bussière et nous retrouvons le pont de la ligne SNCF. Pour le
retour nous prenons le chemin juste avant le pont, longeons la ligne SNCF, traversons
la petite ligne de chemin de fer, nous arrivons à l’autre pont et au carrefour
avec le chemin passant sous le pont, nous prenons le chemin sur notre gauche.
Le chemin monte un peu longe une ancienne décharge nous arrivons au carrefour
avec celui menant au Dolmen Godour prenons à droite et l’on suit la piste
jusqu’au parking.aurez peut être la chance de pouvoir traverser le champ et de ressortir de l’autre coté sur le chemin des gouttes. (Si les chemins son toujours bloqués il faut suivre la route, traverser le hameau de la Bussière et reprendre le chemin de gauche juste avant le pont de la ligne SNCF. Il est possible de prendre ce dernier à gauche. Juste avant une descente sur votre gauche vous trouverez une drôle de croix avec un large socle [C’était pour poser le cercueil. On décédait à la maison, et l’on portait le cercueil souvent à la main jusqu’à l’église et le cimetière. (Note des anciens)] Nous arrivons au hameau des Gouttes. Traversons la ferme inhabité, nous arrivons sur la route que nous prenons à droite et remontons. La route débouche sur une autre que nous prenons à droite, nous traversons le village du Cluzeau pour rejoindre le parking.
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