Petite Promenade N°95 Promenade en Limousin ; Saint Etienne de Fursac

Aujourd'hui nous partons dans le Limousin et plus précisément dans les Monts D'Ambazac à Saint Etienne de Fursac

Devant nous se déroulait un pays vert et mouvant,
silencieux et profond, coupé de haies épaisses,
empli d'ombres puissantes et tout mouillé d'eaux vives.
Point de fleuves, des rivières, point de lacs, des étangs,
point de vallées, des vallons, une gravité touchante.
Nous étions en Limousin."

Jérôme et Jean Tharaud

 

Fursac se trouve à l’intersection des D 4 et D1 mais également sur le GR 654 permettant de rejoindre Saint Jacques de Compostelle.

Mais ou situer se village ?  Il est à environ 11 km de La Souterraine dans la Creuse par la D1.

                                                A 12 km De la sortie de l’autoroute A 20 (il me semble que c’est la 23^.1) Bessinnes la Croix du Breuil. Par la D1 et la D4 direction Fromental.
 Nous trouvons de la place dans la Grand’Rue 

 

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J’ai mis un peu de temps à écrire le topo, il risque d’être un peu moins précis que les autres. Les chemins et la carte ne sont pas tout à fait en coordination. Ne parlons pas des balisages ou beaucoup de progrès sont encore à faire.

Km     Temps   Arret    V/d     V/g    Dénivelé

 9        1h50     0h15     5,2      4,8       209+

Remontons la Grand’Rue vers l’église Saint Pierre , prenons à gauche la rue de l’église  et faisons le tour de l’église Saint pierre[Saint-Étienne-de-Fursac et Saint-Pierre-de-Fursac sont des communes jumelles. En effet, leurs chefs-lieux, autrefois nettement séparés, sont aujourd'hui réunis pour ne former qu'un bourg. Pour les locaux, il ne s'agit ni de Saint-Pierre, ni de Saint-Étienne, mais de Fursac. Les deux églises ne sont distantes que d'environ 200 mètres et le même bâtiment accueille les deux mairies reliées par la salle des fêtes, l'horloge extérieure marquant la limite entre les deux communes. La commune, au pied du ‘’Massif central’’, (attention ici nous sommes vraiment au début de ce massif ne vous attendez pas à u voir des volcans) 
est surplombée par le puy de Forêt (442 mètres) à partir duquel s'étend une chaîne avec des ‘’pics’’ de 424 mètres à Crépiat et 471 mètres à la limite communale près du Bois-Neuf. Le territoire communal est arrosé par la rivière Gartempe qui est alimentée par le Peyroux dans lequel se jettent les ruisseaux de Crépiat et de Beauvais. Le sol, soit granitique, soit argileux, est imperméable donnant naissance à un ruisseau dans chaque dépression. L'Ardour, affluent de la rive gauche de la Gartempe, traverse aussi le territoire de la commune. Le sol et le sous-sol sont formés de roches siliceuses avec des granites dans la vallée de la Gartempe et les 

collines qui la bordent. La vallée du Peyroux est constituée de granulites. Le reste du sol étant composé de gneiss et micaschistes.  wikipédia] [Saint Étienne de Fursac possède deux églises, l'une dans le bourg : l'église Saint-Étienne, sans vraiment d'unité de style. l'autre à Paulhac : la Commanderie de Paulhac dont il ne subsiste plus que l'église de la décollation de Saint-Jean-Baptiste XIII^e siècle et la chapelle Saint-Fiacre XV^e siècle. L'édifice est classé au titre des monuments historiques en 1938. Wikipadia].  Nous poursuivons la route de Bel-Air jusqu’au château. Revenons sur nos pas, et prenons à droite la route du château, puis à droite la rue de la place Marc Geoffre, nous prenons à droite les escaliers passons le parking et le monument aux morts, nous retrouvons la Grand’Rue que nous prenons à droite descendons la rue, nous arrivons place de l’église, faisons le tour de l’église saint Jean. Faisons un petit tour sur le pont au 
dessus de la Gartempe [Le nom de la rivière est attesté sous la forme Vartimpa, Wartimpae fluvii au VIII^e siècle, Vuartimpe en 825, Guartimpa en 886, super fluvium Wartimpae, super fluvium Guartempa. Les formes citées Wartimpae au VIII^e ou celle de 825, Vuartimpe représentent vraisemblablement un ancien Wartimpa, devenu régulièrement Guartempa, puis Gartempe (cf. ware > gare ; warde > garde). En marchois, elle s'écrit et se prononce donc Gartempa. C'est un hydronyme obscur, d'origine germanique ou influencé par le germanique sur la consonne initiale. Le premier élément est peut-être le gaulois var-, 

variante de ver-, « eau, rivière » que l'on retrouvent dans les noms du Var et de la Vière, cependant on ne peut rattacher le second élément -timpa à aucune racine connue. Cette rivière prend sa source dans l'ancienne province de la Marche à 629 mètres d'altitude, près de Pétillat sur la commune de Peyrabout dans le département de la Creuse. Son confluent avec la Creuse, se trouve près des communes de La Roche-Posay, pour sa rive gauche (département de la Vienne) et Yzeures-sur-Creuse, pour sa rive droite (département d'Indre-et-Loire), après un trajet de 204,6 km. wikipédia] Remontons la D1 vers Paulhac, Marsac, Laurière, passons la Gartempe la rue fait fourche poursuivons la D 1 (Route de Limoges) nous montons laissons une rue sur la gauche et un tout petit peu plus loin prenons à droite la route descendant vers la station d’épuration. Un peut avant la station d’épuration nous contourne une 

maison sur la gauche et prenons sur la gauche un chemin utilisé  également par les VTT. Nous longeons une prairie et bifurquons sur la Gartempe. Entrons dans le bois et longeons la rivière, le chemin fait fourche et prenons à gauche, nous grimpons. Laissons un chemin sur la gauche qui n’est pas sur toute les cartes. Notre chemin devient un peut plus large, nous sommes sur le balisage 5 jaune. Bois et champs se succèdent, notre chemin débouchent sur un autre formant Té nous prenons à gauche (sur la carte nous sommes entre ‘’Les Roches et Les Nadauds’’. Poursuivons dans le bois (laissons sur la gauche un chemin menant au champ, longeons le bois, puis nous le traversons , après un coude à l’équerre, nous sortons du bois traversons des champs et nous arrivons au village de Meides. De chemin nous passons à rue, longeons des bâtiments, nous débouchons sur une route que nous prenons à gauche et retrouvons la D1 

que nous prenons à droite sur environs 150m. Nous trouvons un chemin sur la droite, longeons un bois à la limite d’un champ. Dans le virage d’un chemin à l’entrée du bois nous trouvons une fourche à trois dents nous prenons le chemin de gauche pénétrant dans le bois de hêtres et de châtaigniers le chemin est bordé d'un muret de pierres , à la sortie du bois nous retrouvons les champs, et les monts d'Ambazac coupons un large chemin et poursuivons en face. Nous débouchons sur la D 42 A1 que nous prenons à gauche, nous entrons dans Paulhac, coupons la D1, nous sommes sur le balisage jaune 

et un vert. Nous passons devant l’église Templière [La commanderie de Paulhac fut d'abord un établissement de l’ordre du Temple avant d'être dévolu aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, Cette commanderie fut une des plus importantes du Limousin. Cette commanderie fut établie vers 1200, Elle faisait partie à l'époque des terres du comté de la Marche, qui dépendait de la province d'Auvergne-Limousin. On y nota la tenue de chapitres par Gérard de Sauzet, Pierre de Madic, et Raymond de Mareuil, qui furent les maîtres successifs de cette province de 1284 à 1299. Après  l'arrestation des Templiers, la commanderie fut dévolue aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem en 1312. Il ne reste aujourd’hui de l'ancienne commanderie que l'église Saint-Jean (dite église de la Décollation-de-Saint-Jean-Baptiste) et la chapelle Saint-Fiacre bâtie en 1449, toutes les deux monuments historiques inscrits par arrêté du 19 février 1938. Le style de l'église est gothique (arche et intérieurs) et romane (intérieurs). Des fragments de peintures monumentales sont encore visibles sur les travées et les voûtes. Elles datent de la fin du XIII^e siècle. Elles ont été restaurées en 1971 puis de 1982 à 1991, mais auraient encore besoin de travaux de restauration. Wikipédia].

   

    

Poursuivons la rue, laissons trois rues sur la droite et prenons la rue après le virage sur la gauche. (Ou suivre le petit chemin sur la droite de l’église et passant le long de la chapelle, il rejoint la rue de notre itinéraire. Nous débouchons sur une rue formant Té et prenons à droite, la rue principale D1. Laissons une voie sans issu entre deux maisons sur la gauche et prenons la seconde rue faisant tout de suite fourche nous prenons à droite. Laissons une rue sur la droite, puis une rue sur la gauche contournant une maison formant un îlot central, ensuite la rue fait fourche et nous prenons à droite, à la fourche suivante nous prenons à droite et sortons du village, par la D 42A1. Laissons un bâtiment sur la gauche, puis un chemin, coupons la D1 poursuivons en face. Prenons le premier chemin sur la gauche, vers la table d'orientation. A l'orée du bois le chemin fait fourche nous prenons à gauche, longeons la lisière, retrouvons les champs et longeons de nouveau un bois, le chemin débouche sur un chemin formant Té nous prenons à droite longeons de nouveau la lisière, puis nous pénétrons dans le bois. L'alternance de bois et de champs se succèdent. Juste avant de pénétrer dans le bois nous laissons un chemin sur la droite. Après avoir traversé le bois, puis longé sa lisière, à l'angle de 

ce dernier  nous laissons un chemin sur la gauche. Notre chemin devient bitume, nous longeons le cimetière, débouchons rue du Puy la Croix que nous prenons à droite. Poursuivons la rue en laissant les rues de droite et de gauche nous débouchons rue de Marsac (D42) que nous prenons à gauche, elle débouche route de Limoges (D1) que nous prenons à droite. Nous retrouvons le centre ville.





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