Poursuite de mes promenades autour de la
France Aujourd’hui nous parcourrons le Jura ; de
lundi 26 aout 2019
Heureusement que j'avais prévu une promenade autour du lac de Villers, et que je n'avais pas pris le train du début d'après midi, me faisant arriver à Morteau autour de 16h00. Ce train (bus) loupé, le second pour Morteau me faisait arriver bien tard et il me restait plus qu'à prendre un taxi jusqu'à Villers, mais c'est plus d'une centaine d'euros. Quatre heures d'attente, enfin un peut moins, j'ai improvisé une promenade dans Besançon.
Visite de Besançon. 5 km. Je ne mets pas ma trace GPS sur le blog n'ayant fait que les rues principales.
solution qu'avait trouvé la SNCF pour me permettre de rejoindre mon point d'arrivé. D'après le chef de gare nous devions être trois, ce qui permettait de mettre un transport à notre
disposition, mais je suis le seul à m'être présenté, alors rien ne fut fait. Un taxi en solitaire, cela coute une bonne centaine d'euros pour ce rendre à Morteau...
J'ai attendu et me suis promené en ville. Ce blog est également fait pour découvrir, alors à vous d'approfondir le lieux que je n'ai fait qu'effleurer.Voici un site vous donnant une trace GPS vous faisant faire le tour de la ville http://www.randogps.net/nb_telecharge.php?dep=25&num=37&file=gpx-trace.gpx
Besançon : Entourée de collines et est traversée par le Doubs. Capitale de la région historique et culturelle de Franche-Comté.
Établie dans un méandre du Doubs, la cité joue un rôle important dès l'époque gallo-romaine sous le nom de Vesontio, capitale des Séquanes. Sa géographie et son histoire spécifique ont fait d’elle tour à tour une place forte militaire, une cité de garnison, un centre politique et une capitale religieuse.
Berceau historique de l'horlogerie française, Besançon a hérité de ce savoir-faire pour devenir un centre industriel important constitué d'entreprises innovantes dans le domaine des microtechniques, de la micromécanique et du génie biomédical. Ville universitaire, son université fondée en 1423 accueille chaque année plus de 20 000 étudiants ainsi qu'environ 4 000 stagiaires du monde entier au sein du Centre de linguistique appliquée.
Proclamée première ville verte de France, la capitale comtoise jouit d'une qualité de vie reconnue. Grâce à son riche patrimoine historique et culturel et à son architecture unique, Besançon possède un label Ville d'Art et d’Histoire depuis 1986 et ses fortifications dues à Vauban figurent sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 2008.
Durant le Moyen Âge, plus précisément entre le IXe siècle et le XIIe siècle, la ville est parfois surnommée Chrysopolis
À la Belle Époque, alors que la ville connaît une intense activité thermale, elle est parfois appelée Besançon-les-Bains.
Elle est située plus précisément à la jonction de la région montagneuse d’élevage du massif du Jura et des vastes plaines cultivables fertiles franc-comtoises. La ville de Besançon s’inscrit également dans un site géographique naturel particulièrement remarquable. En effet, la cité s’est d’abord développée dans un important méandre du Doubs de près d’un kilomètre de diamètre, prenant la forme d’une boucle presque parfaite fermée et surplombée par le mont Saint-Étienne, une section du faisceau bisontin abrupt du côté de la ville, dont la pointe est intégralement coiffée de l’imposante citadelle de Vauban. Puis la ville a débordé de ce cadre initial (d’une altitude moyenne de 250 mètres) pour s’étendre dans une cuvette entourée de sept collines dont la plupart sont coiffées de forts. (wikipédia)
La tour se dresse au centre du bastion de Battant construit par Vauban au
Elle a été conservée par Vauban qui l'a utilisée comme magasin dans le cadre de la ceinture urbaine de Battant terminée vers 1688.
Les jours de crue, la statue du Minotaure fontaine monumentale de 7m de haut en bronze, réalisé par l'artiste bisontin Jens Boettcher semble posée sur le Doubs. Cette sculpture-fontaine, coulée dans huit tonnes de bronze, est ancrée au pied du pont Denfert-Rochereau (Schwint). https://www.besac.com/tourisme-besancon/le-minotaure/43.htm
du 12e siècle. La ville se compose de deux ensembles distinctes le quartier religieux sur les pentes de la colline et l'ensemble de la boucle, protégés par la rivière, ainsi
que le quartier sur la rive droite du Doubs - actuel quartier Battant, fermé par une enceinte. Au 13e siècle de nouveau remparts double la totalité de ses lignes de défense il s'accompagne d'une muraille percé d'une dizaine de porte d'accès. Au XVème, l'apparition des armes à feu oblige au renforcement des fortifications. En 1475 de grands travaux sont entrepris près de la porte de Battant avec la construction de la "Tour neuve de la
Pillote" qui doit peut-être son nom à la famille Pillotte à qui le terrain est acheté. Après la conquête française Vauban, chargé de la réorganisation des fortifications de la ville, conserve la tour et l'intégration rempart. (Panneau d'information). Je longe le Doubs par le quai de Strasbourg. Sur l'autre rive les imposants bâtiments barrant la place de la révolution. On a sut conserver les arcades. Je passe devant la synagogue : Monument historique.
Une petite synagogue avait été aménagé en 1831 par l'architecte municipal
Pierre Marmotte. L'accroissement de la communauté juive, présente à
Besançon depuis le 14e siècle. Le grand rabbin projette un
nouveau lieu de culte. Le terrain est acquis en 1865. La synagogue est inaugurée le 18 novembre 1869 est achevé en 1871
son style néo-mauresque dans la veine de l'inspiration orientaliste en fait l'une des plus représentatives et des plus originales parmi c'est le
bâti dans l'Est de la France sous le Second Empire. (Panneau d'information. Je traverse le pont Battant et pénètre sur la place de la révolution. C'est la plus grande place de la ville.

Son nom officiel de place de la Révolution, lui a été donné en référence à la Révolution française de 1830. Cette place s'appelait place du Puits du Marché au Moyen Âge puis place Neuve au XVIIe siècle, place de l'Abondance à la Révolution de 1789, place de la Révolution depuis 1904.
Elle est restée longtemps la place Labourey, en souvenir du supplice qu'un certain Barthélémy Labourey y subit un jour de 1618. La destruction de sa maison par décision judiciaire eu pour effet d'agrandir d'autant la place. Continuant à mépriser les noms
officiels, les Bisontins l'appellent aujourd'hui place du Marché. En effet, le marché de Besançon y est implanté depuis toujours. Il se trouve désormais dans le bâtiment couvert marché Beaux-Arts situé derrière le musée. Lors de la crue du Doubs de 1910, elle fut submergée par endroits par deux mètres d'eau à l'instar du reste du centre-ville. La place de la Révolution comprend un grand nombre de bâtiments typiques du XVIIIe siècle de trois ou quatre étages, en général des anciennes fermes et/ou des anciens commerces. L'ensemble des bâtiments aux façades élégantes encadrant la place sont bâtis en pierre de Chailluz de même que le pavage lui conférant son unité.
La fontaine de la place est l'une des plus belles fontaines de la ville.
Elle date de 1854, elle fut réalisée par Alphonse Delacroix, également
sculpteur de la fontaine Bacchus dans le quartier Battant. Elle
comportait alors une vasque de 4 mètres de diamètre, brisée en 1860 et
jamais remplacée. Très endommagée, la fontaine fut réparée au début du XIXe siècle.
Lors des derniers travaux de réaménagement de la
place en 2005, elle
fut réimplantée à quelques mètres de son ancien emplacement, réhabilitée
et modernisée, elle égaye désormais la place par ses jeux d'eau et de
lumière.
Son nom officiel de place de la Révolution, lui a été donné en référence à la Révolution française de 1830. Cette place s'appelait place du Puits du Marché au Moyen Âge puis place Neuve au XVIIe siècle, place de l'Abondance à la Révolution de 1789, place de la Révolution depuis 1904.
Elle est restée longtemps la place Labourey, en souvenir du supplice qu'un certain Barthélémy Labourey y subit un jour de 1618. La destruction de sa maison par décision judiciaire eu pour effet d'agrandir d'autant la place. Continuant à mépriser les noms
officiels, les Bisontins l'appellent aujourd'hui place du Marché. En effet, le marché de Besançon y est implanté depuis toujours. Il se trouve désormais dans le bâtiment couvert marché Beaux-Arts situé derrière le musée. Lors de la crue du Doubs de 1910, elle fut submergée par endroits par deux mètres d'eau à l'instar du reste du centre-ville. La place de la Révolution comprend un grand nombre de bâtiments typiques du XVIIIe siècle de trois ou quatre étages, en général des anciennes fermes et/ou des anciens commerces. L'ensemble des bâtiments aux façades élégantes encadrant la place sont bâtis en pierre de Chailluz de même que le pavage lui conférant son unité.
Ancien hospice du Saint-Esprit ce
bâtiment appartient à l'ordre des Hospitaliers du Saint-Esprit installés à
Besançon au début du XIIè siècle. Durant le moyen-âge leur établissement accueil malade vieillard
voyageurs femme enceinte est orphelin sans distinction d'origine. Il ne reçoit
plus ensuite que les enfants abandonnés qu'il prend en charge jusqu'en 1797
date, à laquelle il est transféré à l'hôpital Saint-Jacques. L'église est un
édifice gothique du XIIIe augmenter

d'une chapelle du XVe privée sde son clocher pendant la Révolution.
la nef unique large et basse voûtée sur sa croisées d'ogives semble remonter au 2e
tiers du 13e siècle. La
tour qui se trouve dans la cour de l'ancien hospice a été construite au 15e par
Lambelet Vernier recteur du Saint-Esprit ; son cadran solaire est le plus ancien
de Besançon. La galerie de bois sculpté chef-d'œuvre d'un artiste anonyme possède un riche décor
dans l'iconographie encore influencé par le moyen-âge (monstres et dragons) et
d'un témoignage précoce de l'introduction des formes de la Renaissance en
Franche-Comté. En 1841 l'architecte byzantin Alphonse Delacroix réalise un
portail néogothique qui prend la place du vieux porche, tandis que les
aménagements intérieurs font disparaître un intéressant ensemble de fresques. (panneau d'information).
La fontaine monumentale qui orne la Place Jean Cornet est gravée de la devise de Besançon : "UTINAM", terme latin qui signifie "Plût à Dieu".
Elle remplace une fontaine installée en 1740 et détruite sous la Révolution.
réalisée par le sculpteur Pasche en 1900 d'après les dessins de l'architecte Saint-Ginest. C'est sur cette place qu'est né Hilaire de Chardonnet, l'inventeur de la soie artificielle, en 1839. https://www.besac.com/tourisme-besancon/fontaine-de-la-place-jean-cornet/47.htm
Petite promenade dans les rues



Je regagne la gare par le quartier Battant et passe devant l'église ; L’église Sainte-Madeleine est une église-halle de style classique du XVIIIe siècle, du quartier Battant de Besançon, dans le Doubs en Bourgogne-Franche-Comté. Elle est reconstruite, entre 1746 à 1766, par l'architecte bisontin Nicolas Nicole, et dédiée à Marie de Magdala. Cette église de l'unité pastorale Saint Étienne, est classée aux monuments historiques depuis 1930, et abrite un orgue classé aux monuments historiques, ainsi qu'un musée de la vie passée du quartier de Battant.


Elle remplace une fontaine installée en 1740 et détruite sous la Révolution.
réalisée par le sculpteur Pasche en 1900 d'après les dessins de l'architecte Saint-Ginest. C'est sur cette place qu'est né Hilaire de Chardonnet, l'inventeur de la soie artificielle, en 1839. https://www.besac.com/tourisme-besancon/fontaine-de-la-place-jean-cornet/47.htm
Petite promenade dans les rues
Je regagne la gare par le quartier Battant et passe devant l'église ; L’église Sainte-Madeleine est une église-halle de style classique du XVIIIe siècle, du quartier Battant de Besançon, dans le Doubs en Bourgogne-Franche-Comté. Elle est reconstruite, entre 1746 à 1766, par l'architecte bisontin Nicolas Nicole, et dédiée à Marie de Magdala. Cette église de l'unité pastorale Saint Étienne, est classée aux monuments historiques depuis 1930, et abrite un orgue classé aux monuments historiques, ainsi qu'un musée de la vie passée du quartier de Battant.
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Carte OpenStreet Traces GPS et Topo Trace Randogps
Le code mobile de cette randonnée est b313214
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Enfin j'arrive à Morteau vers16h10. Heureusement qu'il n'y a que 8 km, une bonne cote au départ, dure cote, mais apres nous restons relativement à plat ce qui m'a permis d'être à Villers autour de 17:30.
Traverser le Parking et prenons soit la rue du Champ de foire ou la rue des marchandises nous débouchons rue de l’Helvétie que
nous prenons à droite puis sur la gauche la rue Jean Claude Bouquet, puis à droite la rue du Trépied. Au rond point, nous prenons la rue Victor Hugo sur la droite, au nouveau rond point à l'angle de la clinique vétérinaire, nous prenons sur la droite la rue des prairies et à la fourche la rue des Clarines sur la gauche, nous retrouvons la rue des prairies un peu plus loin. A la sortie du hameau de la Tanche, nous prenons la route de droite à la fourche nous poursuivons tout droit. Nous entrons en foret, j'entame le premier virage ayant
loupé le petit raccourci. je ne loupe pas le second mais j'en bave à monter perpendiculairement cette colline. Nous arrivons à une intersection avec un triangle boisé en son milieu, prenons à droite, après un large virage à gauche, nous entamons un virage plus serré sur la droite et trouvons un chemin sur la gauche que nous prenons. Sortons de la rentrer foret et longeons quelques prairies puis la grange. Nous débouchons route des cotes que nous prenons à gauche on rentre de nouveau dans la foret, nous sortons de la foret, après un pré, nous longeons sa lisière et débouchons sur une nouvelle route que nous prenons à gauche. Nous longeons de nouveau la lisière et trouvons sur la gauche un chemin que nous prenons nous traversons le bois, puis la prairie, nous passons le long d'un mur d'une maison et une clôture de barbelé, nous sortons dans la rue Camille Joriot de la zone pavillonnaire, poursuivons jusqu'à la route des Fin (D215 que nous prenons à droite.
Vous trouverez toute mon Périple en cliquant sur le lien ;
https://randosacaudos.blogspot.com/p/mon-periple.htm
Enfin j'arrive à Morteau vers16h10. Heureusement qu'il n'y a que 8 km, une bonne cote au départ, dure cote, mais apres nous restons relativement à plat ce qui m'a permis d'être à Villers autour de 17:30.
Besançon |
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Vous trouverez toute mon Périple en cliquant sur le lien ;
https://randosacaudos.blogspot.com/p/mon-periple.htm
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