Randonnée
Le Plus Loin Possible : GR 11-26
Mantes la Jolie - Bonnières sur Seine Etape 2010
Liaison avec le début de ce
troisième départ
http://randosacaudos.blogspot.fr/2012/12/randonnee-le-plus-loin-possible-12.htmlLe code mobile de cette randonnée est b300786
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
Etape 2010 Mantes la Jolie – Bonnières 33 km
15 avril 2015
km Temps arrêt
V/d V/g
Dénivelé
33,20 6h17 56,00 5,2
4,6 424
GR
11 – 26
Bonnières – Mantes
Jolie promenade vallonnée verdoyante avec une alternance de
bois et de champs. En avril c’est peut être encore plus jolie par les taches de
couleur, sous le soleil le jaune du colza ressort sur le vert des premières
pousses de céréales et le marron des terres fraîchement semées.
Comme pour la précédente promenade le parcours ce fait du plus
loin au plus prêt. Tout simplement pour une raison d’horaire de train. Ils sont plus favorables dans ce sens. A Mantes la Jolie nous trouvons des trains
directs, semi direct, omnibus. Mantes dessert également la gare Montparnasse.
correspond pas tout à fait à la trace et se balade hors chemin. Ayant l’impression que nous redescendons dans la plaine vers l’usine de stockage. Je quitte le balisage qui descend pour prendre le chemin qui monte. Nous débouchons sur un autre chemin que nous prenons sur la droite nous arrivons au carrefour de Bayard et nous sommes sur la route sans peur (Je n’ai pas trouvé la route sans reproche.) poursuivons notre chemin vers le carrefour Dauphine. Ce chemin devient parallèle à un sentier sur la droite, quittons cette large route pour traverser (trois à quatre pas) la parcelle et rejoindre le sentier, nous retrouvons le bord de la colline. Je trouve ce passage très jolie, nous sommes en hauteur et avons une vue sur les champs et leur divers couleurs. La foret est bien entretenue. Nous y trouvons de beaux arbres. Je retrouve mon balisage jaune (j’aurai pu poursuivre le jaune, sans passer par le chevalier de François I). Nous descendons et en bas nous retrouvons le GR 26 que nous prenons à gauche. Un chemin bien plat, nous faisant arriver au carrefour Dauphine. Nous retrouvons un peu la
L’église d’implantation ancienne est située sur un
site Gallo-Romain à proximité d’une source.
Il s’agit d’une église rurale de plan rectangulaire
possédant une très grande richesse d’objets mobiliers datant des XVIe et XVII e
siècles. https://www.fondation-patrimoine.org/fr/ile-de-france-12/tous-les-projets-593/detail-eglise-de-perdreauville-421]
Eglise de Perdreauville |
Chateau de Beuvron |
civilisation, nous longeons le village de Jouy Monvoisin. Puis nous ne suivons plus le tracé que l’on trouve sur la carte il semblerait qu’à la place de continuer sur la D 110 tout droit, nous prenons cette même départementale à droite puis un chemin dans les champs sur la gauche. Ici j’ai un peut perdu le balisage et j’avais un décalage sur mon GPS, au moins j’ai un trottoir sur la D110. Ma trace n’est pas mauvaise elle évite le bitume. Je prends le premier chemin sur la gauche grimpe vers les réservoirs d’eau et retrouve le GR que je prends sur la droite. Attention à ne pas continuer tout droit le beau chemin comportant un balisage local. Sur cette colline nous avons une belle vue. Vraiment ses champs multicolores sont jolies. Nous traversons de nouveau un bois, "le bois des terriers" encore un détour ne servant pas à grand-chose. Ha ! si, il faut voir l’arbre Mademoiselle.
[Mantes et son histoire
Les
formes les plus anciennes du nom de Mantes sont : Mantela, Mantola,
Mentula. Puis Mante sans S jusqu’au XVIIè siècle. Elle devient ensuite
Mantes-sur-Seine, quant à son surnom de Jolie,
il lui aurait été donné lors

de la reconstruction entière de la ville qui fut détruite par Guillaume le Conquérant, ou selon les versions à Henri IV, qui brûlant d’amour pour la belle Gabrielle d’Estrées aurait eu ces mots : « je suis à Mantes, ma jolie…. »
de la reconstruction entière de la ville qui fut détruite par Guillaume le Conquérant, ou selon les versions à Henri IV, qui brûlant d’amour pour la belle Gabrielle d’Estrées aurait eu ces mots : « je suis à Mantes, ma jolie…. »
Mantes comprenait dès
l’origine, trois localités distinctes : Mante-le-Château,
qui était le centre de la ville. Mante-l’Eau hameau
habité par des pécheurs qui s’étendait tout le long de la Seine, et un domaine
rural du nomde Mante-la-Ville.
Ci cla vous intéresse voici un
site avec la suite de l’histoire de la ville http://www.aghyn.com/categorie-1514-mantes_et_son_histoire.html
[La Collégiale
Notre-Dame de Mantes-la-Jolie est une église gothique des XIIe et XIIIe siècles
située à Mantes-la-Jolie (Yvelines, France) en bord de Seine. Elle fut classée Monument
historique en 1840.
Cette
église ressemble à Notre-Dame
de Paris par le style et par son
élévation sur trois niveaux. C'est une nef simple, encadrée de bas-côtés, sans transept, qui se
termine par une abside entourée d'un déambulatoire et de neuf chapelles
rayonnantes construites au XIIIe et XIVe siècles. La façade orientée vers
l'ouest est percée de trois grands portails sculptés surmontés d'une rosace.
Cette disposition s'inspire du modèle de la cathédrale de Laon. Le portail central dédié à la Vierge a été endommagé
pendant la Révolution.
Commencée
vers 1150, elle fut achevée vers 1350 après plusieurs campagnes de travaux. Les
travaux commencèrent par l'implantation d'une plate-forme au nord et les murs
extérieurs avec les trois portails. La tour sud fut construite vers 1250 et la
tour nord vers 1510.
Après
la signature du Concordat en 1801, quelques travaux de restauration d'urgence ont
été réalisés.
Le 30
mai 1944, un important bombardement aérien allié, visant le pont de Mantes,
détruit une grande partie du vieux centre de Mantes-la-Jolie. La collégiale est
légèrement touchée.
La
toiture a été entièrement refaite en 2001 et 2002. Ces travaux ont nécessité la
pose de 44 650 tuiles vernissées. La rosace a été restaurée en 2003.
Le 27
septembre 2012, à l'occasion du lancement d'un timbre à l’effigie de la
collégiale, Michel Vialay, maire de Mantes-la-Jolie,
annonce son intention de demander l'inscription du bâtiment au Patrimoine mondial de l'UNESCO
Dimensions
La
collégiale de Mantes-la-Jolie a des dimensions proches de celles de la cathédrale de Senlis.
- Longueur totale : 67,70 m ;
- longueur de la nef et du chœur : 57,70 m ;
- largeur de la nef : 11,75 m ;
- hauteur sous voûtes : 29,90 m ;
- hauteur totale des tours : 61 m ;
- largeur de la façade : 29,70 m ;
- largeur des bas-côtés : 6,10 m ;
- hauteur jusqu'à l'étage des galeries : 31,25 m.]
Je vous
laisse découvrir les autres détails sur : http://fr.wikipedia.org/wiki/Coll%C3%A9giale_Notre-Dame_de_Mantes-la-Jolie ou d’autres sites.
Étant un peut loin de la gare, et ayant aperçu un
clocher, je prends la rue Saint Maclou face à la collégiale et remonte la rue jusqu'à
la tour portant le même nom.
[Il subsiste aujourd'hui la tour du XVIe siècle, de
même qu'un pan de mur roman, long de deux arcades, avec les piliers du bas-côté qui
lui correspondent. La façade, quoique remaniée fortement, présente encore des
éléments d'origine. De l'église primitive, il reste la crypte.De nombreux travaux furent entrepris au cours de la première moitié du XVIe siècle : le chœur fut refait et la tour fut construite.
En 1715 fut redessinée la carte des paroisses entre Saint-Maclou et Sainte-Croix (Notre Dame) : la division ne se ferait désormais plus par statut social, mais géographiquement. Au XVIIIe siècle, l'église était dans
un état pitoyable et n'était toujours pas entretenue correctement : la pluie tombait à l'intérieur.
Arriva la Révolution française et la paroisse fut supprimée en 1791 : le peuple irait désormais uniquement à Notre-Dame, l'unique paroisse de la ville. L'église fut donc désaffectée. En l'an III, le conventionnel Joseph Augustin Crassous autorisa la ville à y établir le temple de la Raison et, afin de financer les travaux à effectuer, vendre les matériaux issus de la démolition du chœur et de la tour. Si le chœur fut effectivement démoli, la tour, dont la démolition était déjà programmée, ne fut sauvée qu'in extremis grâce à l'action de la Commission des arts. L'église fut à nouveau fermée et ne servit jamais de temple.
Entre 1810 et 1828 eurent lieu d'innombrables tractations car la municipalité souhaitait acquérir l'emplacement de l'église pour élargir la rue qui la longeait malgré le refus du propriétaire. Cette opération devait permettre de relier les deux marchés principaux et d'embellir le quartier. Finalement, elle obtint gain de cause pour utilité publique et fit raser les derniers murs en 1828.
Il est temps de retrouver le chemin de la gare, remontons la rue de Chanzy puis à droite la rue
nationale débouchant avenue de la République, ici je suis un peu perdu, au carrefour, je ne vois pas de pancarte indiquant la gare, je demande mon chemin et prend à gauche la rue Franklin Roosevelt. Qui me mène directement à celle-ci.
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