39 - Brolle - bois de La Rochette - Bois le Roi
Pour agrandir la carte
Neuvième édition pour ses P.P.F.F toujours basé sur une distance de plus ou moins 10 km.
Ce sont les quatre dernières promenades pour le massif "historique". Et encore.... Deux dans la foret historique et deux dans ce que j'appelais dans ma jeunesse les bois de Dammarie les lys et de la Rochette, attenant à la foret domaniale. Il me semble, qu'ils ont été associés à la foret dans les années 80. Ensuite ce sera le départ d'une nouvelle série de promenades entre Arbonne et Milly avec la foret de Coquibus puis les Trois Pignons, ensuite nous ferons un petit tour vers Larchant et pour finir la Foret de Nemours qui malgré son éloignement (environs 20km et séparé par une rivière et une plaine agricole) ressemble comme deux gouttes d'eau à la foret de Fontainebleau.
J'espère que vous m'accompagnerez dans mon jardin 'secret'. Les itinéraires peuvent être réalisés dans l'après midi. Un GPS n'est pas indispensable mais utile se sera votre seul fil d’Ariane, je ne suivrais pas obligatoirement le balisage. Des guides très bien fait sont édités pour cela. Le parcours sera en noir, la partie "histoire locale" en vert. L'histoire provient de divers documents de ma bibliothèque mais surtout d'internet. Une bonne partie de ma doc à été numérisé et se retrouve sur la toile, ce qui supprime la tâche fastidieuse du clavier en la simplifiant par un copier collé.
Un
lien permettra d'obtenir une carte un peu plus grande que celle présente
sur ce blog et vous permettra de réaliser la promenade sans mon
inséparable GPS. Le second lien vous permettra de copier le trace GPX par l'intermédiaire d'un site permettant de tracer des itinéraires sur une carte IGN.
Carte IGN Trace GPS et Topo sans Commentaires
Trace Randogps Le code mobile de cette randonnée est b306782
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
KM Temps Arret V/d V/g Dénivelé
10,7 2h40 20mn 4,4 3,9 76 +
Brolles-Bois de la Rochette-La Seine-Bois le Roi
Départ : Pas facile de trouvez un parking. Le week end nous trouverons facilement de la place au parking de la gare de Bois le Roi (coté gare : passer la petite place et devant la gare, le parking se trouve en bout de cette impasse) en semaine il est complet. Ensuite, il faut chercher une place libre sur les emplacements prévus. Comme l’itinéraire traverse Bois le Roi on devrait trouver quelques choses. Mon point de départ sur ma carte ne comporte aucun parking. J’ai trouvé à me garer le long d’un mur dans une voie sans issus.
Partons de la gare : C’est le plus simple. Passons
devant le garage de réparation de voiture sur cette petite place pavée, on
coupe la D115 (route menant à Brolle), puis en face un chemin entre les maisons
nous suivons le GR1 et le TMF puis à gauche la rue pasteur et à droite l’avenue
de la foret sur quelques centaine de mètres.
[Il est évidemment impossible de déterminer avec exactitude les origines de
Bois le Roi - Brolles aurait été fondé par une colonie gauloise qui s'installe dans un
lieu appelé Brigolium ( qui veut dire lieu boisé ) c'est de ce mot celtique après bien des
déformations au cours des temps, que nous arrivons à Broissoles sous Saint Louis, plus
tard Brezolles et enfin Brolles
En 52 avant Jésus-Christ la 4 ie légion de Titus Labienus lieutenant de César en
Gaule passait à Bois le Roi par la route de Bourgogne aménagé par les Romains il se
dirigeait vers Lutèce.
Dans les années 275 - 276, les Romains vont faire venir en Gaule les Sarmates une peuplade Slave des environs de la Mer Noire, ces Sarmates s'installèrent dans la
plaine pour assurer la culture et faire l'exploitation des bois de la forêt : ces peuplades
sont à l'origine de Sermaise .
Vers 850 les Normands remontent par la Seine jusqu'à Sens ils passent à
Bois le Roi.
C'est sous le régne de Philippe Auguste
que Bois le Roi et surtout Brolles, va entrée dans l'histoire écrite.
L'abbé Millon , du Mont St Père à Melun cède à Philippe-Auguste tout ce qu'il avait de droits à Brolles et à Barbizon pour 100 marcs d'argent.
L'abbé Millon , du Mont St Père à Melun cède à Philippe-Auguste tout ce qu'il avait de droits à Brolles et à Barbizon pour 100 marcs d'argent.
Brolles devient donc propriété royale et va
le rester jusqu'à Saint-Louis. Saint-Louis, égaré en forêt au cours d'une
chasse est sauvé des brigands sur le Mont
Houy où il fait ériger une chapelle à Saint-Vincent. Ce Mont Houy deviendra plus
tard la Butte Saint-Louis et le Prieuré de Saint-Louis dépendront de la cure de
Bois le Roi (voir prom : randosacaudos.blogspot.fr/2013/04/7-petites-promenades-en-foret-de.html?q=butte+saint+louis)
Saint-Louis
vend au Sire Tappereau de Melun la terre de Brolles et Bois le Roi en partie .
Henri IV assiége et prend
la ville de Melun , qui était aux mains des ligueurs
Henri
IV est bien connu des habitants de Bois le Roi. On racontait comment en un seul
après midi
il tua sept sangliers au hameau des Hautes
Loges. En 1643 La famille Tappereau, qui possédait depuis Saint-Louis le fief de
Bois le Roi vend à Philippe Maniquet Seigneur
des Bergeries à Chartrettes, le fief de Brolles, de Bois le Roi et Sermaize en
partie avec les droits de
basse justice lui attenant, c'est ainsi que pendant deux cents ans, Bois le Roi
restera aux mains de la famille Maniquet ou de leurs descendants,
les Besnard ou les Racault . Louis
XIV ordonne le destruction de la chapelle Saint-Louis et de l'ermitage attendu
que plusieurs
ermites y auraient été successivement assasinés, il à été impossible d'en
découvrir les
auteurs bien qu'on eut soupçon des habitants du hameau. Il
fit aussi raser le hameau des Hautes Loges.
La
démolition de l'ermitage entraina la suppression du pèlerinage et de la fête solennelle de Saint-Louis .
1776 Inauguration du Champ de courses de Sermaise, le premier hippodrome au lieu-dit la Bruyère des Barbeaux, M. le Comte d'Artois lui même fit courrir un magnifique pur sang, mais il ne remporta pas la course .
1792 Bois le Roi devient Bois la Nation ; son premier Maire, est Monsieur Mathurin Paulmier . 1836 Bois la Nation qui est devenu Bois, redevient Bois le Roi .
1849 Construction du Chemin de Fer ( Ligne P.L.M ) Paris Lyon Méditerranée .
1776 Inauguration du Champ de courses de Sermaise, le premier hippodrome au lieu-dit la Bruyère des Barbeaux, M. le Comte d'Artois lui même fit courrir un magnifique pur sang, mais il ne remporta pas la course .
1792 Bois le Roi devient Bois la Nation ; son premier Maire, est Monsieur Mathurin Paulmier . 1836 Bois la Nation qui est devenu Bois, redevient Bois le Roi .
1849 Construction du Chemin de Fer ( Ligne P.L.M ) Paris Lyon Méditerranée .
A partir de cette date, arrivée à Bois le Roi de
nombreux peintres, artistes et personnalités célèbres.
Résumé sur l’histoire de Bois le Roi que l’on
retrouve sur le site ttp://celtiq.perso.neuf.fr/page4.html
Nous prenons le chemin "des coureurs" sur la droite et apercevons la maison "le Rocher" du ténor Georges Thill résident à Bois le Roi entre 1929 et 1935. Puis nous quittons le GR et le TMF, nous prenons sur la droite la rue Gustave Baudoin. A la patte d’oie nous prenons la branche de droite rue de la Terre des Roches. Nous arrivons à la lisière de la foret la rue se rétrécie et devient unique avec des fossés et pas beaucoup de place pour le piéton. Nous trouvons sur la gauche un sentier qui nous fait pénétrer dans la foret. Nous serpentons, passons devant une mare et rencontrons un autre sentier formant T avec le notre. Nous prenons la branche de droite qui nous ramène en toute sécurité sur notre rue de la Terre des Roches. Nous prenons la rue de la Croix de Vitry ou nous trouvons la chapelle de la fraternité de Marie reine immaculé [Inspirée par Clémence Ledoux (1888-1966), la Famille des Messagers rassemble des baptisés de tout état de vie, qui choisissent de mener une vie intimement liée à la personne de Marie, pour devenir témoins de Jésus-Christ, de son règne d'amour et de lumière, pleinement réalisé en Elle.
Ils veulent vivre et manifester au coeur de l'Eglise et du monde le mystère de la Royauté universelle de Marie, et la faire connaître sous son titre de Reine immaculée de l'univers.]
Nous prenons le chemin "des coureurs" sur la droite et apercevons la maison "le Rocher" du ténor Georges Thill résident à Bois le Roi entre 1929 et 1935. Puis nous quittons le GR et le TMF, nous prenons sur la droite la rue Gustave Baudoin. A la patte d’oie nous prenons la branche de droite rue de la Terre des Roches. Nous arrivons à la lisière de la foret la rue se rétrécie et devient unique avec des fossés et pas beaucoup de place pour le piéton. Nous trouvons sur la gauche un sentier qui nous fait pénétrer dans la foret. Nous serpentons, passons devant une mare et rencontrons un autre sentier formant T avec le notre. Nous prenons la branche de droite qui nous ramène en toute sécurité sur notre rue de la Terre des Roches. Nous prenons la rue de la Croix de Vitry ou nous trouvons la chapelle de la fraternité de Marie reine immaculé [Inspirée par Clémence Ledoux (1888-1966), la Famille des Messagers rassemble des baptisés de tout état de vie, qui choisissent de mener une vie intimement liée à la personne de Marie, pour devenir témoins de Jésus-Christ, de son règne d'amour et de lumière, pleinement réalisé en Elle.
Ils veulent vivre et manifester au coeur de l'Eglise et du monde le mystère de la Royauté universelle de Marie, et la faire connaître sous son titre de Reine immaculée de l'univers.]
Poursuivons sur la
gauche, puis à droite la rue des Charbonniers. Nous poursuivons par la rue des Mariniers puis à droite la rue aux loups, poursuivons sur la gauche la D 115, encore à droite la rue du
coulant pour arriver enfin en foret. Nous poursuivons par le chemin
forestier en face de nous. Beaucoup de
rues dans cette promenade, mais voulant boucler mes randos par ce dernier bout
de bois coincé entre la D607 et la Seine, il était difficile de faire autrement.
Difficile de traverser la route menant à Melun pour faire un itinéraire entre Dammarie et La Rochette et puis il y a
la Seine et ses belles maisons. Coupons la route de la ruelle continuons tout
droit (nous n’avons pas de pancarte sur notre chemin.) nous prenons au prochain
carrefour la route de Livry sur la droite,
de chemin nous passons à sentier, nous descendons vers la ligne de
chemin de fer et prenons à gauche la route du bois Saint Pierre. Nous longeons
la ligne SNCF. Laissons le pont sur la droite qui ne me semble pas être prévu
pour les piétons, mais plutôt à l’évacuation de l’eau. Nous remontons la route
du Bois Huré, le chemin fait fourche et continuons la route du bois saint pierre
ici les pancartes et la carte ne sont pas très juste. Puis nous prenons à droite
la route d’étrangle veau sur la droite. 20 mètres plus loin un sentier de
bornage sur la gauche il serpente le long des bornes à flanc de coteau.
Laissons un chemin sur la gauche. Nous faisons un coude à 90° sur la droite
tout en descendant. Le chemin fait une patte d’oie et prenons la branche de
gauche le long de la ligne SNCF. nous
rejoignons une route goudronnée nous permettant de traverser la ligne SNCF et
de descendre à la Seine. Arrivant en bordure du fleuve, nous prenons à droite
c’est une rue bitumée nous remontons la Seine, nous sommes sur le chemin de
hallage de la feuilleraie, nous trouvons le balisage du GR 2. Nous trouvons de belles propriétés avec des terrains
pas très pratiques la coline est proche ainsi que la ligne SNCF. Certaine
sont très modernes et d’autres d’allure 1900.
Bois le Roi - Les affolantes des bords de Seine.
Devant
le succès des aménagements, précédent, une société immobilière fut crée : La Société des coteaux de Bois le Roi. Elle racheta les terrains,
entre la ligne de chemin de fer et la Seine. Les viabilisa et les
revendit par lot, pour la somme de un franc le mètre (0,60€). Cette
petite villa date de cette époque. Le style générale est le gothique
flamboyant, mais les garde corps en bois sont eux tout simplement 1900.
construite,
vers 1908 sur un terrain de la société de Bois le Roi. A elle seule,
elle est une anthologie des composants sur lesquels joue
l'architecture pittoresque : retraits et décrochements, balcons et
terrasses, toitures complexes avec clochetons, lucarnes et auvents.
balcon le bout ressemble à une tête de dragon aujourd’hui on aurai une coupe
droite au mieux en biais.
Nous passons une source, je suis passé plusieurs fois par ici et je
n’ai jamais vue d’eau coulé et me suis demandé pourquoi on avait fait un égout
si grand aujourd’hui après toutes la pluie que nous avons eu je comprends.
Egalement construit, vers 1908 la "Roseraie" apparaît comme une chaumière de conte de fée
Le dénuement n'était pas le genre préféré de l'architecte qui a réussi à juxtaposer sur une seule maison un nombre surprenant d'éléments
Le vieux logis
Le propriétaire voulant un décor a sa mesure, il construisit, non pas un
pastiche médiéval a la mode a cette époque. Il s'offrit une véritable
maison du XV eme. Il acheta en 1896 a Amiens la façade d'un édifice
gothique, fortement endommagée par un incendie en 1890 qui fut démonté et
transporte a Bois le Roi, ceci au grand dam de la population picarde qui
voyait d'un mauvais œil disparaitre son patrimoine. Cette maison est un mélange d’authenticité et de rajouts du XIX. Le nombre d’écussons témoignent de l’interprétation fantaisiste que l'on faisait du moyen age
au siècle dernier. Vrai ou faux, peu importe, l'ensemble, très cohérent, a fière allure. A la date de la photos l'habillage de bois était démonté. Ma seul peur c'est qu'il ne soit pas refait.
La Ruelle
Construite a partir d'un prieure, qui figurait déjà sur les cartes du XVIIe, occupe par des moines passeur. C'est religieux avaient un rôle important puisqu’ils détenaient le droit de passage sur la Seine par le bac, privilège qu'ils gardèrent jusqu’à la Révolution.
La chapelle fut transformée en habitation. Une succession de petits bâtiments, furent agrandit et crépi afin de donner une certaine homogénéité. La tourelle, accolée a la façade, dont chaque étage a été conçu différemment. Au rez de chausse, elle forme un porche. Au premier étage, elle est un balcon. L’étage supérieur est clos de murs revêtus de colombages. Le jeu des briques, claires et sombres donnent un caractère médiéval.
Chantemerle :
Villa en habits Gothiques
Les alentours du Pont de Chartrettes ne seraient pas ce qu'ils sont, sans les constructions de Louis Perin. Il bâtit ou transforma quatre villas, dont l’originalité et l’exubérance dans le paysage.
Au pont nous prenons à droite remontons la rue, suivons pour l’instant le GR et prenons la deuxième à gauche l’allée de Barbeau laissons l’allée des sources et prenons la suivante sur la droite le chemin sans issu « dessous des pourris » également GR et TMF. après le transformateur nous prenons le chemin de droite, quittons le balisage et suivons ce chemin entre clôture et bois. Nous arrivons dans une sorte de prairie derrière un château devenue la mairie. Le chemin se dirige plutôt vers la droite vers un panneau d’information. La maison de gauche semble être destinée aux services techniques. Dirigeons nous vers la petite allée gravillonnée, entre la mairie et les services techniques. C’est un peu déroutant cette espace n’est pas géré, l’herbe n’est pas coupé, il n’y a pas de sentier bien défini, On a l'impression d'un abandons totale et j'ai hésiter à y faire ma trace. Cela fait bizarre à l'arrière de la maison du peuple. Un panneau nous dit que c’est écologiquement naturel. On laisse la nature reprendre ses droit, mais quel bordel. Il parait que c’est pour protéger les espères. Il semblerait que c’est pour sauvegarder les herbes les plus commune, alors on pratique la fauche tardive. "J'dirais plutôt ; la fauche jamais"
A
l'origine existait une maison, que Louis Perin rhabilla a son gout aux
alentours de 1902. Tout jeune architecte, il s'agit peut etre de son
premier chantier. Il maria allégrement références médiévales et Ars
nouveau. Dans la conception de la tourelle, il reprit les canons du
Moyen Age, mais a son idée toute personnelle. Les panneaux de céramique représente un arbre dore portant des merles sur ses branches.
Villa en habits Gothiques
Les alentours du Pont de Chartrettes ne seraient pas ce qu'ils sont, sans les constructions de Louis Perin. Il bâtit ou transforma quatre villas, dont l’originalité et l’exubérance dans le paysage.
Louis Perin conçut des maisons aux façades complexes, qui témoignent d'une imagination très féconde.
Je n'ai pas fait de photos de toutes les maisons du bords de Seine, je vous laisse les découvrir. Celles ci et d'autres.....Tout ses commentaires (extraie) sur les maisons proviennent du livre Mémoires et patrimoine en Seine et Marne. Marie Françoise Laborde. Les Affolantes des bords de Seine Villas du XIX siècle Somogy Editions d'Art. Dans ce livre nous trouvons d'autres maisons, puisqu'il couvre les berges de : Seine Port à Thomery.Au pont nous prenons à droite remontons la rue, suivons pour l’instant le GR et prenons la deuxième à gauche l’allée de Barbeau laissons l’allée des sources et prenons la suivante sur la droite le chemin sans issu « dessous des pourris » également GR et TMF. après le transformateur nous prenons le chemin de droite, quittons le balisage et suivons ce chemin entre clôture et bois. Nous arrivons dans une sorte de prairie derrière un château devenue la mairie. Le chemin se dirige plutôt vers la droite vers un panneau d’information. La maison de gauche semble être destinée aux services techniques. Dirigeons nous vers la petite allée gravillonnée, entre la mairie et les services techniques. C’est un peu déroutant cette espace n’est pas géré, l’herbe n’est pas coupé, il n’y a pas de sentier bien défini, On a l'impression d'un abandons totale et j'ai hésiter à y faire ma trace. Cela fait bizarre à l'arrière de la maison du peuple. Un panneau nous dit que c’est écologiquement naturel. On laisse la nature reprendre ses droit, mais quel bordel. Il parait que c’est pour protéger les espères. Il semblerait que c’est pour sauvegarder les herbes les plus commune, alors on pratique la fauche tardive. "J'dirais plutôt ; la fauche jamais"
Dans cette prairie je ne pense
pas que l’on mette des engrais et du désherbant. Protéger de l’herbes commune
pour ne pas qu’elles disparaissent, je pense que c’est une idée "d’écolo,bobo, parisien" Une idée en
provenance des grandes mégapoles de béton et de verre garnis de bitume, n’ayant que
‘et heureusement’ des parcs, pour passer de la couleur minérale aux douces
couleurs de la nature variant avec les saisons et l'heure de la journée. J’avais constaté cela sur le GR 2 : il traverse à l’Ouest de Paris
une ile devenue parc. Tout un espace était consacré aux « mauvaise
herbes » bon, à Paris, ou une grande ville, je veux bien. Mais à Fontainebleau
25 000 hectares de foret et encore un nombre incalculable de terres agricoles, il ne
me semble pas nécessaire de conserver ses mauvaises herbes.
Elles poussent beaucoup plus vite que les bonnes et étouffent les fleurs rares. Une émission sur la 3 avec des
naturalistes ont confirmés mon idée. C’était sur l’une des nombreuses iles du Morbihan un propriétaire depuis trente ans entretenait un espace biologique
sans pesticide, il coupe ou arrache les herbes les plus galopantes. Conséquence :
les graines qui attendent patiemment en terre, sous l’afflux de lumière, s’en
donnent à cœur joie et son ile est devenue un espace d’étude pour les spécialistes. Aujourd'hui il a de vrai rareté qui pousse d'eux même. Sans ce travail arasant d'arrachage et d'entretien, toutes ses herbes délicates
n’aurai jamais poussées. Un deuxième point sur ses mauvaises herbes. Les graines s’envolent
et viennent sur les pelouses et dans nos massifs de fleurs, dans les rues. Comme ce n’est pas jolie, les propriétaires après avoir désherbé deux ou trois fois, en ont raz le bol de recommencer toute les semaines et
utilisent du désherbant. Il est plus difficile de bien
dosé un arrosoir, qu’une tine (Sorte de tonneau qui sert à transporter l’eau, le lait, la vendange, etc.) de 100 litres. J’ai toujours du mal à comprendre
comment on peut mesurer et ce n’est qu’un exemple 10g par litre pour un mètre carré, ou pire on parle en décilitre. Il faut une
balance ou un verre gradué qu’aucun jardinier amateur ne possède. Aucune industries me semble t'il n'a pensé à diviser en petits sachets pour un litre. Il est plus commode et plus juste donc "plus écolo" de mettre un, deux, trois kilos dans 100,200,300 litres puisque les boites sont en kilo, Je pense que c’est une question uniquement "économique"
qu’autre chose, c’est du temps passé en moins pour les employés communaux. Mais que nos villages sont moches l'été avec leur mauvaises herbes sur les trottoirs et dans les caniveaux. Nous traversons le parc de la mairie qui coté face est bien entretenu.
Il faut montrer un beau visage à nos concitoyens. (Je n'habite pas Bois le Roi, c'est juste l'une de mes nombreuses réflexions lorsque je rencontre des zones non entretenues avec ses pancartes soit disant écolo, qui permet d'avoir bonne conscience à moindre frais. Çà fait bien. Cela donne une réponse toute faite aux personnes qui se plaignent du mauvais entretient du village..... Faut bien dire que de hautes herbes ou même les basses, dans les rues et sur les trottoirs ce n'est pas jolie, mais c'est soit disant écologique. Comme ont nous matraque toute la journée que ; Si la planètes va mal c'est de notre faute. On se sent coupable et l'on ne dit rien. Croyez-vous que la planète se portera moins bien sans herbes dans les rues et avec des pelouses tondues....) Que les villages sont agréable à regarder et à traverser, pas très loin, à quelques kilomètres, dans l'essonne, ou encore dans la creuse, ou dans le sud sur le GR 51 ou le nord de la France. Je me régale avec ses vielles maisons fleuries et ses rues sans herbes mais avec des fleurs. Après cette humeur. Montons sur la gauche, arrivée sur la rue, suivant le chemin pris dans le jardin, nous arrivons, soit dans la rue Perin (ça vous dit quelques chose se nom n'est-ce pas! ) ou l’avenue Foch nous apercevons la ligne de chemin de fer et la suivons sur la droite passez sous le pont et prenez la première rue sur la droite le long de la ligne, la gare est en haut de la cote, le parking un peut plus loin.
Il faut montrer un beau visage à nos concitoyens. (Je n'habite pas Bois le Roi, c'est juste l'une de mes nombreuses réflexions lorsque je rencontre des zones non entretenues avec ses pancartes soit disant écolo, qui permet d'avoir bonne conscience à moindre frais. Çà fait bien. Cela donne une réponse toute faite aux personnes qui se plaignent du mauvais entretient du village..... Faut bien dire que de hautes herbes ou même les basses, dans les rues et sur les trottoirs ce n'est pas jolie, mais c'est soit disant écologique. Comme ont nous matraque toute la journée que ; Si la planètes va mal c'est de notre faute. On se sent coupable et l'on ne dit rien. Croyez-vous que la planète se portera moins bien sans herbes dans les rues et avec des pelouses tondues....) Que les villages sont agréable à regarder et à traverser, pas très loin, à quelques kilomètres, dans l'essonne, ou encore dans la creuse, ou dans le sud sur le GR 51 ou le nord de la France. Je me régale avec ses vielles maisons fleuries et ses rues sans herbes mais avec des fleurs. Après cette humeur. Montons sur la gauche, arrivée sur la rue, suivant le chemin pris dans le jardin, nous arrivons, soit dans la rue Perin (ça vous dit quelques chose se nom n'est-ce pas! ) ou l’avenue Foch nous apercevons la ligne de chemin de fer et la suivons sur la droite passez sous le pont et prenez la première rue sur la droite le long de la ligne, la gare est en haut de la cote, le parking un peut plus loin.
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