37- Le Fourneau-Les Fraillons-Bois Prieur- Veneux les Sablons
Pour agrandir la carte
Neuvième édition pour ses P.P.F.F toujours basé sur une distance de plus ou moins 10 km.
Ce sont les quatre dernières promenades pour le massif "historique". Et encore.... Deux dans la foret historique et deux dans ce que j'appelais dans ma jeunesse les bois de Dammarie les lys et de la Rochette, attenant à la foret domaniale. Il me semble, qu'ils ont été associés à la foret dans les années 80. Ensuite ce sera le départ d'une nouvelle série de promenades entre Arbonne et Milly avec la foret de Coquibus puis les Trois Pignons, ensuite nous ferons un petit tour vers Larchant et pour finir la Foret de Nemours qui malgré son éloignement (environs 20km et séparé par une rivière et une plaine agricole) ressemble comme deux gouttes d'eau à la foret de Fontainebleau.
J'espère que vous m'accompagnerez dans mon jardin 'secret'. Les itinéraires peuvent être réalisés dans l'après midi. Un GPS n'est pas indispensable mais utile se sera votre seul fil d’Ariane, je ne suivrais pas obligatoirement le balisage. Des guides très bien fait sont édités pour cela. Le parcours sera en noir, la partie "histoire locale" en vert. L'histoire provient de divers documents de ma bibliothèque mais surtout d'internet. Une bonne partie de ma doc à été numérisé et se retrouve sur la toile, ce qui supprime la tâche fastidieuse du clavier en la simplifiant par un copier collé.
Un lien permettra d'obtenir une carte un peu plus grande que celle présente sur ce blog et vous permettra de réaliser la promenade sans mon inséparable GPS. Le second lien vous permettra de copier le trace GPX par l'intermédiaire d'un site permettant de tracer des itinéraires sur une carte IGN.
Carte IGN Trace GPS et Topo sans commentaires
Randogps Le code mobile de cette randonnée est b306554
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
KM Temps Arret V/d V/g Dénivelé
11,8 2h40 20mn 4,4 3,9 66 +
Avril 2014
Départ : Parking de la croix de Guise situé sur la D
138 appelé ancienne route de Bourgogne entre La Butte Monceau et la gare SNCF
de By.
Petite
anecdote : Je trace mes itinéraires sur le site de planification de
randonnée avant de les réaliser. j'en trace trois ou quatre à la suite,
que je
réalisent dans les semaines qui suives. Etant enregistré et public,
elles sont donc visibles par tout le monde. Cette promenade fut primé de
trois
étoiles avant que je ne la réalise. J'y ai apporté quelques
modifications.
Nous démarrons à l'angle des parcelles (18 et 16) par la route du Fourneau et nous coupons la route des Ramiers. Au carrefour de la fosse au moulin nous continuons tout droit nous traversons la route menant à Thomery et continuons en face la route du fourneau, nous laissons la route Chapuis sur la droite poursuivons notre chemin. Nous trouvons une borne nous indiquant que nous quittons la foret domaniale pour entrer dans les bois de Thomery. Nous prenons au carrefour la route Sainte Barbe sur la droite et revenons un peu sur nos pas. Nous coupons la route de la petite Haie puis nous prendrons au carrefour suivant sur la gauche, la route sans pancarte (route des mares) formant un angle à 90° avec la notre, sur un arbre cornière nous trouvons le N° de la parcelle 402. Nous passons devant les mares de by.
Je retransmets le texte intégral trouvé sur le site traditions et légendes. Une seule précision : Ses mares en 2014 ne ressemble plus à des bauges à sanglier. Mais si la sécheresse revient nous seront tout a fait dans les termes du texte.
[Je tiens le témoignage qui va
suivre de Mr Georges P, qui le tenait lui-même d’un certain Paul P de Thomery.
La mare à laquelle il est fait allusion ici est la plus grande des deux mares
dites : de By, du nom d’un
hameau à présent rattaché au village de Thomery. Cette mare ancienne, presque
complètement asséchée aujourd’hui, conserve encore un peu d’eau en son centre,
et sert de souille aux sangliers qui semblent apprécier l’endroit en dépit de
la fréquentation humaine des lieux. Elle est située au point : parcelle
111, ou 402 pour la forêt domaniale, lieu-dit actuel : les Mares de By.
LA MARE DE LA FOSSELLE (FORÊT DE
FONTAINEBLEAU)
|
« En bordure de la forêt de Fontainebleau, le long du Chemin des mares de
By, se trouve deux mares. La première, qu’on appelait la Vieille Mare ou la
Mare de la Fosselle, était l’objet de crainte et de superstitions. Jusque vers
le début du vingtième siècle, certains habitants de Thomery faisaient le signe de croix quand on leur parlait
de cet endroit, qu’ils croyaient maudit et dangereux et qu’ils évitaient à tout
prix. Ils affirmaient également qu'un trésor y avait été enseveli. Un Culard,
grand comme un homme et qui avait l’apparence d’une haute flamme rouge, en
était le gardien. La nuit, il se jetait sur ceux qui s’approchaient d’un peu
trop près de la mare et les précipitaient dans l’eau pour les noyer.
On racontait aussi que ce trésor, qui contenaient
de l’or et des diamants était enfermé dans un coffre. Lorsque l’eau était au
plus bas, il était alors possible de le voir au fond de la mare. On pouvait
même tenter de s’en emparer. Mais ce n’était pas si simple. Lorsqu’on
commençait à le sortir de l’eau, de petits Culards apparaissaient et
saisissaient le coffre pour le tirer vers eux jusqu'à ce que le voleur finisse
par céder. Pour s’emparer de ce coffre, on devait réciter, à trois reprises,
une sorte de formule magique. Si on était interrompu ou que l’on prononçait mal
ladite formule, la tentative ratait et on ne pouvait pas recommencer avant neuf
ans ».]
Nous étions route des mares de By, [BY, le camp normand
On dit volontiers que ce nom découlerait de celui de David De BICK, officier de la garde écossaise de Charles VII, au XV ième siècle. C'est possible, mais il est certain que le hameau existait déjà depuis longtemps à cette époque. Le premier fait rapporté, non par l'histoire mais par la tradition concernant le hameau, est celui de l'existence d'un Camp Normand, dont le chef s'appelait BIER, lors de l'invasion des Vikings en 885. Il n'est pas impossible que ce Camp Normand, non seulement ait existé, mais soit l'origine véritable de celui de BIER, le chef de ce camp.
Des bandes organisées de pillards et de brigands semaient la terreur ; partout les paysans voyaient leur vie menacée, leurs maisons brûlées, leurs terres ravagées. Partout alors, et c'est de l'origine de la société féodale, ils ont recherché des protecteurs, trop heureux de se livrer à eux jusqu'au servage, pour éviter une vie de bête traquée.] extraie systhome.free.fr/thomery.php
Nous traversons la route goudronner nous emmenant …. route forestière de la Fossette, quittons la route des mares de By pour prendre à droite le chemin traversant la ligne de chemin de fer. Passé le pont nous prenons à gauche et longeons la ligne de chemin de fer. Puis à droite nous retrouvons la route des mares de by (nous n'aurions pu sans ce détour traverser la ligne SNCF Pari-Moret-Montereau ou Montargis ce qui fait un paquet de trains dans les deux sens : RER, Téos et autres trains de marchandises. Il est donc indispensable de prendre le pont. Nous nous dirigeons vers le mur, coupons la route de la Curée puis la route du Bornage, passons la barrière et entrons dans une hêtraie certainement communale. Un beau taillis de hêtre comme je l'aime, bien propre. Un chemin peu large et, la cime des arbres des deux cotés du chemin venant se toucher et faisant l'été une route ombragée. Fontainebleau dans ma jeune époque était un peu comme ça. Avant que l'ONF ne tracent au cordeau d'immonde laies forestières pour soit disant le débardage des arbres. Or mis des arbres en moins, et une foret qui va ressembler à toute les autres. De toute façon les engins défoncerons les chemins et parcelles lors des transports du bois vers les lieux de stockage. Les engins étant toujours plus gros, plus lourd, roues chargées de chaine arrachant définitivement le peu d'humus pour débarder malgré une terre bien trop humide. Nous arrivons au village de Veneux les Sablons. Mon itinéraire franchissant la D 607 (deux fois deux voies à cette endroit) très circulante, qu'il est dangereux de traverser, à l'orée
de Veneux il existe un tunnel nous permettant de rejoindre l'autre coté de la Foret Domaniale. Nous allons traversser Veneux en utilisant le plus possible des sentiers intra muros.
On dit volontiers que ce nom découlerait de celui de David De BICK, officier de la garde écossaise de Charles VII, au XV ième siècle. C'est possible, mais il est certain que le hameau existait déjà depuis longtemps à cette époque. Le premier fait rapporté, non par l'histoire mais par la tradition concernant le hameau, est celui de l'existence d'un Camp Normand, dont le chef s'appelait BIER, lors de l'invasion des Vikings en 885. Il n'est pas impossible que ce Camp Normand, non seulement ait existé, mais soit l'origine véritable de celui de BIER, le chef de ce camp.
Des bandes organisées de pillards et de brigands semaient la terreur ; partout les paysans voyaient leur vie menacée, leurs maisons brûlées, leurs terres ravagées. Partout alors, et c'est de l'origine de la société féodale, ils ont recherché des protecteurs, trop heureux de se livrer à eux jusqu'au servage, pour éviter une vie de bête traquée.] extraie systhome.free.fr/thomery.php
Nous traversons la route goudronner nous emmenant …. route forestière de la Fossette, quittons la route des mares de By pour prendre à droite le chemin traversant la ligne de chemin de fer. Passé le pont nous prenons à gauche et longeons la ligne de chemin de fer. Puis à droite nous retrouvons la route des mares de by (nous n'aurions pu sans ce détour traverser la ligne SNCF Pari-Moret-Montereau ou Montargis ce qui fait un paquet de trains dans les deux sens : RER, Téos et autres trains de marchandises. Il est donc indispensable de prendre le pont. Nous nous dirigeons vers le mur, coupons la route de la Curée puis la route du Bornage, passons la barrière et entrons dans une hêtraie certainement communale. Un beau taillis de hêtre comme je l'aime, bien propre. Un chemin peu large et, la cime des arbres des deux cotés du chemin venant se toucher et faisant l'été une route ombragée. Fontainebleau dans ma jeune époque était un peu comme ça. Avant que l'ONF ne tracent au cordeau d'immonde laies forestières pour soit disant le débardage des arbres. Or mis des arbres en moins, et une foret qui va ressembler à toute les autres. De toute façon les engins défoncerons les chemins et parcelles lors des transports du bois vers les lieux de stockage. Les engins étant toujours plus gros, plus lourd, roues chargées de chaine arrachant définitivement le peu d'humus pour débarder malgré une terre bien trop humide. Nous arrivons au village de Veneux les Sablons. Mon itinéraire franchissant la D 607 (deux fois deux voies à cette endroit) très circulante, qu'il est dangereux de traverser, à l'orée
de Veneux il existe un tunnel nous permettant de rejoindre l'autre coté de la Foret Domaniale. Nous allons traversser Veneux en utilisant le plus possible des sentiers intra muros.
Traversons la route goudronnée et prenons le chemin sur la
gauche (chemin des Hatiers) qui mène au deux châteaux d'eau
et nous trouvons sur la droite un petit sentier entre deux clôtures de
jardin, sent des Aubines). Au mois de mars 2014 ce chemin est bien entretenu les haies taillées,
les jonquilles commencent à laisser apparaître un peut de jaune. Laissons un
premier chemin sur la droite menant à la (rue de la Libération) et prenons le second sur la
droite, traversons la rue de la Libération et continuons en face, nous trouvons un balisage
jaune. Le chemin serpente entre les jardins. Prendre
le chemin de gauche
(laissons celui venant de droite), puis nous tournons à droite, on serpente
entre les jardins et nous prenons le chemin de gauche, nous arrivons dans une
partie un peu plus délicates. Laissons un premier chemin, continuons, passons
des friches prenons le chemin de droite qui passe sous des cyprès. Nous sommes
sur le chemin des planteaux et suivons le balisage jaune. A la rencontre de la rue
Rosa Bonheur prenons à gauche nous continuons de descendre et nous arrivons à la route de Bourgogne. (Nous avons une différence de nom de chemin entre la carte (oui encore) et le terrain [j'ai vérifier avec le plan de la ville et il me semble que la carte soit fausse) Nous
prenons la rue du Bois
Prieur sur la droite. Puis nous prenons à gauche le
chemin du lavoir, Nous
descendons dans le lavoir en faisons le tour et sortons
de l'autre coté nous retrouvons notre rue que nous poursuivons par la gauche,
à la rencontre de la rue suivante, nous tournons à droite chemins de la Fontaine
puis à droite le chemin de Sysley on monte légèrement, nous arrivons à la rue
principale de Veneux avenue de Fontainebleau que nous prenons à gauche. Traversons la rue et prenons à droite la rue des Grillottes un peu plus loin nous
quittons la rue pour prendre sur la gauche un sentier intra muros qui part en
biais. Il semblerait, qu'ici on aime ses petits sentiers, ils sont balisés
et entretenus, ce n'est pas comme dans
mon village, ou, on les caches, laissant lierre et herbes pousser. On obstrue le
passage et surtout on avorte tout projet de création d'un réseau de promenades. Le chemin débouche sur une
petite cour disposant d'un puits. A la rencontre de la rue, nous quittons le sentier
jaune pour prendre la rue des bois sur la droite. Nous trouvons également le GR
venant de la gare que nous suivons. Nous
arrivons à la D 606 et nous trouvons l'entrée du souterrain sur notre gauche.
De l'autre coté nous entrons de nouveau dans la foret domaniale. Nous prenons
tout droit la route des sablons, puis à droite la route Médicis.[Catherine de Médicis est née le 13 avril 1519 à Florence (Florence) sous le nom de Caterina Maria Romola di Lorenzo de' Medici et morte le 5 janvier 1589 à Blois (France).] Nous arrivons à
l'aqueduc de la vanne, nous passons entre les barrières, et prenons le chemin de droite,
une fois sur l'aqueduc qui forme une butte au milieu d'une longue clairière, nous trouvons un chemin suivant celui-ci.
L'aqueduc est légèrement en surplomb. Nous traversons une route, nous passons les clôtures à proximité de
l'usine de traitement des eaux de la Vanne, du Loing et du Lunain, (nous avons
un passage piétons dans la clôture et nous ressortons face à l'usine.) Nous
prenons sur la droite la route Lefoin [ Lefouin était lieutenant de la maîtrise particulière de Fontainebleau (Domet).] Grimpons un peu et trouvons quelques
rochers (les seuls du parcours) nous prenons sur la gauche la route du chêne
feuillus. Coupons la route de la Meute [Une meute est un ensemble de chiens courants. Pour le courre du
cerf, lorsqu'on forme des relais, on distingue des chiens de vieille
meute, de seconde meute, de troisième meute selon qu'ils sont destinés
au premier, au second, au troisième relais, les chiens les plus âgés
étant destinés aux relais qui donnent le plus tard .]
Continuons notre route le long de la
parcelle en régénération. Vue les chênes qui sont en place, sans être
forestier, il me semble qu'on nous prépare une belle parcelle de chêne en semi
naturelle si, si..... la sécheresse, ne s'y colle pas, ou des hivers trop rigoureux. Cela tombe bien l'année 2014 est pluvieuse, très pluvieuse cela risque t'il de faire pourrir les glands?
Coupons les routes Desquinemare, [arpenteur général des Eaux et Forêts de l'Ile de France, est l'auteur d'un plan de la forêt de Fontainebleau en 1727.]
Puis la route de l'allali, [voici ce que nous dit wiktionnaire : De l’ancien français, formé à partir d’une forme du verbe haler « exciter par des cris » et des mots a li « à lui ». Le verbe haler est issu du germanique hara qui signifie « ici, de ce côté », la préposition a du latin ad « dans la direction de, vers » et le pronom li du latin illi
« celui-ci ». De l'arabe "hallal" dans le cas précis bien que réducteur
où l'on égorge une bête pour qu'elle soit licite ou conforme selon un
rituel religieux. Cri de victoire dans la chasse à courre, pour annoncer que la bête est aux abois]. Nous arrivons au
carrefour du chêne feuillus et prenons sur la droite la route de Chessac, [M. de Cheyssac, grand maître des eaux et forêts de l'Ile de France, en 1784, a été le dernier titulaire de la charge.] puis
nous prenons à droite la route de Montmorin (sans pancarte) [Gouverneur de Fontainebleau ] coupons la route de
la Retraite [C'est la fanfare que l'on sonne après la chasse. On sonne la
retraite prise si l'animal est pris, la retraite manquée si l'animal est
manqué] et nous arrivons au carrefour (rond point) de Montmorin
[Un arrêt du Conseil de 1723 ordonne la construction d'une croix au lieu
dit le Puits de la Lieue, carrefour de la Route Ronde et du chemin de Fontainebleau
à Moret. Comme on voulait donner à la croix nouvelle le nom du Gouverneur de
Fontainebleau et qu'il existait déjà une croix de Saint-Hérem, elle s'appela du
nom patronymique du marquis de Saint-Hérem, Montmorin. Sous le premier Empire,
la croix de Montmorin s'est appelée croix du Grand Écuyer ; elle est ainsi
désignée sur la carte des chasses de 1809. L'indication est assez étonnante,
car la croix détruite en 1793 n'avait pas encore été rétablie.] Que nous traversons aux emplacements réservés aux
piétons, ce qui permet de franchir la D 606 en deux temps et en sécurité. Nous
prenons en face le chemin dans la parcelle 23 la route de Montmorin. arrivée au talus de la ligne SNCF, nous prenons le chemin de gauche, nous passons
sous le pont puis, nous prenons sur la droite. Nous longeons de nouveau la
ligne dans l'autre sens, il aurait été dangereux de traverser la ligne. Nous prenons à gauche, la route des
petites Haies puis encore à gauche la route de la caille [Les cailles sont de petits oiseaux migrateurs
(15 cm de longueur environ) de la sous-famille des Perdicinae. Elles
ressemblent beaucoup aux perdrix]. Coupons la route de
la porte Nadon [réunion de trois hameaux : les Sablons, Veneux et Nadon]. Un peu plus loin la route de la Butte Montceau, nous
retrouvons le TMF, laissons la route cavalière de Guise [La charge de grand veneur est restée pendant plusieurs générations dans la maison de Guise. Le premier qui l'a tenue est Claude de Lorraine, premier duc de Guise, comte d'Aumale, marquis de Mayenne et d'Elbeuf, baron de Joinville, cinquième fils de René II, duc de Lorraine, et de Philippe de Gueldres, qui succéda dans l'office à Louis de Vendôme, prince de Chabanais, vers 1545. Après lui, en furent nantis successivement ses deux fils, François de Lorraine, duc de Guise, prince de Joinville, pourvu en 1556, mort le 24 février 1560, et Claude de Lorraine, duc d'Aumale, mort en 1573. Le fils de ce dernier, Claude de Lorraine, duc d'Aumale. lui succède, puis un autre Claude de Lorraine, duc d'Elbeuf, fils de René de Lorraine et de Louise de Rieux. La charge de grand veneur passe dans la maison de Rohan en 1602.] sur la gauche
continuons légèrement sur la gauche par la route de Guise et nous arrivons au
parking.
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