En bleu : Ma trace - En rouge : Mon parcours après la déviation du GR (non mis à jour sur la carte IGN) - En mauve : Le GR "supposé"
Carte IGN Trace GPS & Topo sans Commentaires Trace Randogps
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Etape 39 Lille - Villeneuve d'Ascq 31 km
Jeudi 28 aout
km Temps arr V/d V/g Dénivelé31,4 5h56 0h54 5,3 4,6 185+
Je rejoints le grand boulevard, avant de retrouver la campagne j'ai un assez long parcours dans la banlieue entre immeubles, tram voitures et piste cyclable. Le temps est gris et une petite bruine fait sortir les parapluies. Je pensais que ses kilomètres seraient pénible, mais la voie est très larges et il reste de beaux immeubles. Nous serions à Paris je dirai des immeubles Haussmannien. Ces immeubles alternent malheureusement avec des constructions modernes en verre et en acier. J'ai des soucies avec mon GPS (je
sorts ma carte). Je ne sais pas pourquoi les manipes que je fais pour obtenir le trakback ne veut plus s'afficher correctement. Je mets un temps fou à retrouver un moyen de suivre ma trace en gros plan. Je me retrouve à la sortie de la ville sous les ponts de l'autoroute et de la ligne de chemin de fer, ici le paysage change. Sous les ponts c'est une décharge, entre les ponts un campement insalubre. Mon itinéraire me fait prendre de petites rues entre autoroutes et ville. C'est une bande de terre ou je ne me sens pas bien. Je ne voudrais pas y passer la nuit, c'est un peut lugubre, Faut dire que le temps est gris, il bruine plus ou moins, le talus de l'autoroute n'est pas entretenu, il y a une alternance de hauts murs et de portes automatiques entrecoupé de parcelles de champs ou de terrains vagues... vaguement propres et cultivés entrecoupés de quelques maisons construits de brique et de broc ; tôles ondulées et plastiques grillage défoncés jardins non entretenues avec de hautes herbes, : poules, lapins, oies en libertés. J'arrive dans la rue principale du village de Wasquehal que je quitte rapidement pour
prendre une impasse qui ma encore semblé lugubre, fin de semaine je suis fatigué, il ne fait gris, et, tous me semble gris. Je retrouve la rivière "la marque" et le GR 121b que nous suivons. Le chemin aménagé, n'est pas terrible, nous trouvons le talus d'une ligne SNCF qui nous bloc la vue, la rivière boueuse fait très sale. Non, elle est très sale. On trouve entre les roseaux cannettes, papier, et plastique. J'ai même vue un caddie barbotant dans une boue noir sous un ciel gris. Même les arbres son tagués. Je sorts de cet aménagement et de la petite zone industrielle situé sur l'autre rive pour me retrouver en ville (j'y était déjà) mais je veux dire dans des rues avec des habitations ou des bâtiment industrielles.
Château de Flers |
L'un des châteaux sur l'ancien GR |
Le GR remonte jusqu'au boulevard menant directement à Lille Europe. La je rencontre un problème de balisage. Le GR suis le boulevard N 450 et le métro. Ma trace monte dans une zone pavillonnaire verdoyante. Je commence par suivre le balisage, des voitures garées sur le trottoir m'oblige à marcher sur le boulevard et celles qui circulent ne ralentissent pas. Je vais ou par là ? Est ce que cela ne va pas me rallonger ?
Je fais demi tour pour suivre l'itinéraire que j'avais sur la carte qui malheureusement est encore fausse et pas à jour. Je ne retourne pas jusqu’à ma trace mais remonte par la D 64 qui coupe mon précédant tracé mais je suis vite bloqué. Ce parcours passait le long d'un château, qui a interdit le passage sur son territoire..... Faire demi tour et suivre cet affreux boulevard ou continuer pour retrouver la trace. Sur le petit écran de mon GPS j'ai du mal à estimer la taille des routes. Quand à ma carte, elle n'a pas de détail et puis maintenant que je suis en haut de cette colline je n'ai pas envie de descendre. Je prends la mauvaise décision ........ de continuer pour rejoindre ma trace un peu plus loin. Je pourrai a un rond point largement couper cette partie du parcours. Je poursuis ma D 64 (parcours rouge) et descend la colline vers Hem au rond point je dois prendre la D6d. Sur mon GPS c'est un trait sur la carte et dans la réalité c'est une deux fois deux voies avec séparateur central menant à l'autoroute. Il y a beaucoup de voitures. Pas de panneaux interdisant aux piétons d'emprunter la route, mais ce n'est pas une raison. Ma carte papier n'est plus lisible, elle a pris l'eau. comme ont dit dans le Limousin et peut être ailleurs "elle est trempe" De nouveau que faire ! demi tour ? c'est presque 2 km et regrimper (j'ai plus de 30 bornes aujourd'hui) Couper et retrouver la trace après Hem ! mais dans ce cas j'escamote une grande partie du GR121b. Dire que tout cela est dut à une carte IGN qui n'est pas à jour. Je trouve en bordure de la Départementale un chemin desservant une petite zone commerciale, que j'emprunte, je suis en sécurité, je déchante rapidement arrivée à la rivière "la marque" pas de pont le chemin tourne sur la droite le long de la rivière, mais je ne voix pas s'il débouche, il desserre peu être qu'un vague terrain terrière le talus. Je vais d'embuche en embuche, j'ai pas du tout envie de faire demi tour, je suis si proche de l'autre rond point et de la petite route. Je grimpe le talus, franchi la barrière de sécurité passe le pont au dessus de "la marque" par la
bande d’arrêt d'urgence. Je retrouverais bien un petit sentier de l'autre coté ou je marcherais sur le talus derrière la barrière il reste 100 à 200 à faire. Mais manque de chance le talus n'est pas coupé et l'herbe m'arrive au genou, je ne vois pas ou je mets les pieds et le talus est en
dévers. Reste la bande d’arrêt d'urgence. Ouf, je suis arrivé. Sur la carte papier j'ai tracé en bleu mon projet, en rouge mon parcours qui est ma trace, en rose l'estimation de la nouvelle trace du GR 121b (soit elle suit "la marque" soit elle coupe par les pointillés du bois).
Je passe devant un hôpital, puis une zone pavillonnaire en construction ou je retrouve mon GR. Et la, j'en reste assis à l'intersection la déviation du GR débouche de la droite par un chemin qui est ma trace. Je suis prêt à repartir en arrière pour vérifier ou il diffère de la carte, et puis je ne mis engage pas mes deux jours à 38 et 35 km de suite mon bien fatigué et je préfaire avancer, plutôt que de vérifier le parcours. La suite se passe plus ou moins en ville, entre des zones en constructions et des terrains de sport. A Flers entre les petits immeubles nous passons devant un petit chateau très long mais pas très large. [Le chateau qui à son fronton porte la date 1661 avait la forme quadrilatère ne comporte plus aujourd'hui que deux ailes. Son architecture de briques et de pierres blanches représente les constructions traditionnelles médiévales. Dévasté pendant la Révolution de 1789. Aux XIX et XXe siècles, le chateau connais une seconde vie. Il devient une ferme et tout les appartements sont transformés en étables et en écuries. En 1968 c'est l'expropriation pour la création de la ville nouvelle, en 1973, il est confié à l'"EPAM" qui restaure le bâtiment, en 1991, il devient bâtiment municipal. Puis, nous entrons dans la ville nouvelle de Villeneuve d'Ascq. Voila ce que nous dit internet
A la fin des
années 1950 un projet sort des cartons : implantation d'une ville nouvelle dans le Nord. Avec plus de 60 000 habitants sur 2 746 ha, la ville nouvelle est la seconde commune la plus étendue de Lille Métropole ; c'est aussi une technopole et l'une des principales villes de la région Nord-Pas-de-Calais.
Issue, le 25 février 1970, de la fusion des trois communes Ascq, Annappes et Flers-lez-Lille, elle est le berceau du premier métro automatique du monde (le VAL). Elle fut aussi le théâtre d'un événement historique tragique, le massacre d'Ascq.
Villeneuve-d'Ascq est surnommée « la technopole verte », en raison de la forte présence de pôles de recherche - on y trouve les campus de l'Université de Lille 1, de l'Université Lille III et de nombreuses écoles d'ingénieurs - et d'entreprises dans un espace plutôt aéré. Grâce à ses zones d'activités, son parc scientifique de la Haute-Borne et deux centres commerciaux, Villeneuve-d'Ascq est l'un des plus importants pôle économique de la région Nord-Pas-de-Calais ; des multinationales y ont placé leur siège social.
Les villes nouvelles explications :
La politique des villes nouvelles françaises est une politique d'aménagement du territoire mise en œuvre en France à partir de la fin des années 1960 jusqu'à nos jours, et ayant pour application pratique la réalisation de neuf villes nouvelles sur le territoire. L'objectif était d'éviter la concentration urbaine dans les grandes métropoles et notamment à Paris et de réaliser un développement urbain multipolaire.
Plusieurs outils réglementaires et institutionnels nouveaux sont mis
en place spécialement à cette fin. Cette politique est toujours en œuvre
puisque deux villes
nouvelles - Marne-la-Vallée et Sénart - sont toujours en cours d'aménagement.
Le gouvernement adopte en 1965 un nouveau Schéma d’aménagement et d’urbanisme de la région parisienne
(SDAURP). Celui-ci décide de renforcer le desserrement de la région et
de mettre en valeur des pôles de développement éloignés du centre de
l’agglomération, qui puissent acquérir une véritable autonomie. Ces
nouveaux pôles doivent se faire ex-nihilo (en dehors de villes existantes) mais sans être trop éloignés du centre de Paris, tous étant situés entre 15 km et 50 km
de la capitale. Cette stratégie d'aménagement du territoire va à
l'inverse du plan précédent pour l'agglomération de Paris - le Plan
d'aménagement et d'organisation générale (PADOG)
- qui prévoyait de limiter le développement de la région
parisienne par
le développement des villes situées à l'extérieur de celle-ci. Ce plan
parisien est conçu et mis en place par les équipes de Paul Delouvrier,
délégué général au District de la région de Paris entre 1961 et 1969. À
l’origine, ce schéma décide de la création de huit villes nouvelles aux
alentours de Paris, mais sans décider d’implantation précise.
Finalement, leur nombre est ramené à cinq.
Au niveau national, d'autres villes nouvelles sont décidées autour des agglomérations de Rouen, Lyon, Lille et Marseille. Pour cela, un Groupe central des villes nouvelles (GCVN) est créé en décembre 1970 pour coordonner l'ensemble du programme.
Il s’agit alors de constituer neuf villes nouvelles dont cinq en région parisienne. Elles ne doivent pas constituer des banlieues dortoirs : les premiers grands ensembles du début des années 1960 sont alors l’anti-modèle. Au contraire, elles doivent constituer des bassins de vie bénéficiant d'une relative autonomie au sein de l'agglomération parisienne, avec une capacité d’accueil suffisante pour assurer un équilibre entre habitat et emploi. Ces villes doivent, à terme, parvenir à fixer la population sur place sous la forme de nouveaux centres urbains et attirer la population des banlieues périphériques chroniquement sous-équipées
(Merci wikipédia)
Souvenir des fortifications de 1939 -1945 Isolé au milieu du parc l'une des rare fortification que j'ai rencontré sur mon parcours. Il est vrai que la Belgique comme le Luxembourg et la Hollande, étaient neutres et qu'il n'était pas nécessaire de fortifier à outrance, nous n'avions rien à craindre de ce coté. Le faire aurait à l'époque, peut être été considéré comme un acte belliqueux.
Nous commençons par un immense parc composé de plans d'eaux, de belles allées en ciment et de l'herbe bien tondu, c'est propre, cela change du début de la rando. Le temps c'est amélioré, le soleil pointe le bout de son nez, le moral revient. Un peut tôt pour manger, il n'est que midi, dommage j'aurai du profité de la belle herbe ou des tables de pic nique car après je n'ai rien trouvé à ma convenance; plus en bordure d'eau, trop boueux. Nous sortons du parc et suivons "la Marque" je trouve un petit coin pour manger juste avant la départementale un endroit pas trop boueux en bordure de l'eau. Le GR fait un grand détour et l'on se demande pourquoi ? il me semble que l'on pourrait continuer en bordure de l'eau, mais je suis la trace et le GR. Nous arrivons dans un village et je quitte le GR pour suivre la D 941 jusqu’à mon hôtel. La première et dernière partie comportent un trottoir et le milieu une piste cyclable. Je rentre dans Villeneuve d'Ascq avec les nuages et la bruine. Au départ c'est une petit zone pavillonnaires, puis de petits immeubles. Je me disais ; j'ai trouvé un hôtel pas cher, en plein centre ville : géniale. Et c'est géniale ..... à trois pas d'un immense centre commerciale et petits restos, mais la ville ne ma pas plu. Elle a pourtant des atouts, centre ville piéton, espaces vert arborés, petits immeubles, commerces, mais trop serré, trop sombre. Même
les arbres en pleurs de tristesse sur les bâtiments en brique et en verre, la sève ou le liquide poisseux tombant des arbres tache le pavé, les vitres. j'ai cru être à Paris ou du moins dans ses villes de la proche banlieue. "J'connais j'y ai vécu trente ans". Ça ma foutu un sacré bourdon. Ce dernier parcours ne ma pas surpris c'est ce que je pensais trouver durant toute cette semaine. Vous trouverez toute mon Périple en cliquant sur le lien ;
https://randosacaudos.blogspot.com/p/mon-periple.html
Souvenir des fortifications de 1939 -1945 Isolé au milieu du parc l'une des rare fortification que j'ai rencontré sur mon parcours. Il est vrai que la Belgique comme le Luxembourg et la Hollande, étaient neutres et qu'il n'était pas nécessaire de fortifier à outrance, nous n'avions rien à craindre de ce coté. Le faire aurait à l'époque, peut être été considéré comme un acte belliqueux.
Nous commençons par un immense parc composé de plans d'eaux, de belles allées en ciment et de l'herbe bien tondu, c'est propre, cela change du début de la rando. Le temps c'est amélioré, le soleil pointe le bout de son nez, le moral revient. Un peut tôt pour manger, il n'est que midi, dommage j'aurai du profité de la belle herbe ou des tables de pic nique car après je n'ai rien trouvé à ma convenance; plus en bordure d'eau, trop boueux. Nous sortons du parc et suivons "la Marque" je trouve un petit coin pour manger juste avant la départementale un endroit pas trop boueux en bordure de l'eau. Le GR fait un grand détour et l'on se demande pourquoi ? il me semble que l'on pourrait continuer en bordure de l'eau, mais je suis la trace et le GR. Nous arrivons dans un village et je quitte le GR pour suivre la D 941 jusqu’à mon hôtel. La première et dernière partie comportent un trottoir et le milieu une piste cyclable. Je rentre dans Villeneuve d'Ascq avec les nuages et la bruine. Au départ c'est une petit zone pavillonnaires, puis de petits immeubles. Je me disais ; j'ai trouvé un hôtel pas cher, en plein centre ville : géniale. Et c'est géniale ..... à trois pas d'un immense centre commerciale et petits restos, mais la ville ne ma pas plu. Elle a pourtant des atouts, centre ville piéton, espaces vert arborés, petits immeubles, commerces, mais trop serré, trop sombre. Même
les arbres en pleurs de tristesse sur les bâtiments en brique et en verre, la sève ou le liquide poisseux tombant des arbres tache le pavé, les vitres. j'ai cru être à Paris ou du moins dans ses villes de la proche banlieue. "J'connais j'y ai vécu trente ans". Ça ma foutu un sacré bourdon. Ce dernier parcours ne ma pas surpris c'est ce que je pensais trouver durant toute cette semaine.
Vous trouverez toute mon Périple en cliquant sur le lien ;
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