km temps V/d V/g Dénivelé culminant
15,5 2h56 5,3 3,9 581+ 1227
Le code mobile de cette randonnée est b305093
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La monté au Puy de Dôme en suivant le gr 4 et 441 par le chemin des muletiers, tout le monde le fait. Du moins en 2013 le tram ne fonctionnait pas. De gros problèmes de stabilité des traverses me
semble t’il l'empêchait de gravir la pente. (Comme ci Mercure n'était pas satisfait du commerce que l'on faisait de sa retraite.) A pied chacun met le temps qu’il peut avec des
poses, sans pose, en courant, ou encore avec un énorme sac sur le dos, pour une fois la haut s'envoler. Sous le soleil, la monté est rude. Comme tout le monde je l'ai fait. Cela ne ma pas beaucoup plus. Il y a vingt ans je ne me souvenais pas avoir pris ce chemin.

Je ne me souvenais pas
d’un chemin si rocailleux et si peuplé de touristes (Un week end en Avril ; et oui en cure ce n'est pas les vacances et l'on a que le Dimanche sans soin. Et encore ma femme n'est pas astreinte à boire régulièrement de l'eau.) En regardant la carte, en
discutant avec ma femme nous en sommes arrivées à penser que la première fois
nous ne sommes pas passés par la, mais par l’autre face. D’où mon idée d'en faire le tour.
Bien sur vous me direz : Il y a le tram, train, on peut le baptiser comme on veut, mais si vous êtes un adepte de cette mécanisation, vous pouvez fermer ce blog.

La vue, de la haut est à 360°.
ou l’on découvre tout les puys
de ce
plateau et plus loin encore si la pureté de l’air le permet. Cela mérite de transpirer un peu.
Au col de Ceyssat,
j’avais remarqué un balisage et une pancarte « ventant » cette
rando. J’ai décidé de revenir et de la faire.

Profitant de ce parking trop petit
les fins de semaine, pour garer la voiture. Je suis étonné malgré l’heure matinale, qu'il y
ai autant de voitures, des randonneurs grimpent déjà la rampe avec d’énorme sac sur le dos.
Il fait beau, le ciel est dégagé, pas de vent au pied du puy. Ce ne sont pas des randonneurs. Beau temps pour
les parapentes.
Le sentier jaune part derrière le
restaurant. Première surprise le panneau d'information n'indique pas 12, mais 9
kilomètres. c'est parti, le chemin reste à peu prêt sur la même ligne de niveau
nous partons à environ 1077m et le tour ne grimpe pas à plus de 1100m et ne descend
pas à plus de 920 mètres.
Nous démarrons
dans un bois de hêtres très tortueux, c’est agréable avec ce soleil, nous sommes à
mis ombres, puis nous passons dans des bouquets de charmille pour déboucher
dans les pâtures. Non seulement nous avons une vue sur le Puy de
Dôme, mais en
plus, sur ce que

j'appelle la chaine des puys, ils sont là, alignés sous nos yeux : les
deux Souchet, le Pariou, le Côme. Qu’elle changement de ce coté du Dôme : Autant nous trouvons du monde sur
le chemin des muletiers, ressemblant à des fourmis à l’assaut de leur fourmilière. Autant ici, il n’y a personne. Je n’ai même pas vue les troupeaux de moutons, en
ce mois d’avril, ils ne sont peut être pas encore de sortie. le chemin est facile, mais
pas un coin d'ombre. Dans cette pâture, je ne rencontre pas grand monde jusqu’à
ce que je croise des

vététistes. Je sorts un peut du sentier, et, "sentier" est un
bien grand mot disons la trace. Le cheminement réalisé par les moutons dans cette pâture divise notre itinéraire en multitude de sentiers. Ici pas moyen de se tromper on randonne à vue avec comme repère une borne
mesurant 1415m d’altitude tant que l’on tourne autour, nous ne sommes pas
perdu.
Je sorts du balisage m’approche d’une cabane (de
berger) situé sur ma droite, à la recherche d'un chemin conduisant au sommet du Puy de Dôme sans prendre
le GR et puis j’abandonne la piste. Elle semble se perdre sur la pente. A
vue je regagne le balisage. Sur la gauche ce grand puy me tente. Non j’ai dit
que je faisais le tour pas de promenades sur les puys. A la fontaine, je me rends
compte que j'en suis déjà à la moitié de mon parcours. La fontaine ! un bien grand
mot. Une construction en pierre de lave, pas très jolie. En avril pas une goutte
d'eau. Le robinet a été

condamne. Prévoyez votre boisson, pas un coin d'ombre
dans cette plaine. je réfléchi un petit moment : Trois chemins s'offrent à
moi. Le jaune, avec le tdpd, un GR, mais également un balisage blanc vert qui
monte vers le sommet du dôme. Ce blanc vert ; je l'ai vue au sommet l'autre jour et je me dis
que c'est peut être l’autre chemin, celui que je cherchais tout à l’heure. Moins dure, je ne le pense pas, mais certainement moins fréquenté,
je ne vois personne. Alors que sur le muletier j'ai eu l'impression d'être dans
le métro ou dans une gare, un jour d'affluence. En regardant bien dans la

direction du blanc vert, après le petit bois je vois un chemin qui serpente
fortement, puis je le perds à la rencontre de la route et du tram. Je ne vois
pas ensuite ou il passe sans être obligé d'emprunter la route. Je regarderais
cela plus tard et je me le réserve pour l'année prochaine. Revenons en à nos
moutons. En avril ils ne sont pas encore en pâture. D'un chemin non balisé sur
la gauche viennent vers moi deux vététistes, et, au bout, la bas, le sommet du Pariou qui me tente vraiment, il n'est pas midi, j'ai le temps de faire un détour.

Allez
en route pour le Pariou. Le chemin est facile c’est tout droit il suffit de
suivre les traces au sol et de regarder face à soit on ne peut pas se perdre. Pour
grimper au sommet il faut emprunter un immonde escalier en bois. (Comme à Fontainebleau, je n'aime pas ses construction humaine) Je rencontre
quelques personnes montante et descendent. Pour ceux qui monte comme moi je me
demande d’où ils sont parties n'ayant rencontré personne ?
Arrivée
en haut je comprend pourquoi... il a été construit cette escalier. Nous sommes
en semaine, ce n'est pas encore les vacances scolaires de la zone Auvergne et
il y a du monde. l'été ce doit être un défilé permanent

comme sur le Puy de Dôme.
L'escalier évite le ravinement causé par la forte fréquentation. En faisant le tour du cratère, je remarque un autre accès balisé en jaune
permettant d'éviter l'escalier. Je ne descends pas au fond du cratère, mais j’en
fais le tour
, j'admire le paysage, je
m'aperçois que le mont chopine (promenade que j’ai fais) n'est pas loin et, je
me dit, l'année prochaine je ne m'amuserait pas a faire le tour par la route
des crêtes (surnom que j'ai donnée à la route menant de Volvic à Seyssa sans

passer par Clermont). Jolie route, jolie vues, mais un peut longue. Je pense que l'année prochaine je
me garerais à Beauregard, et que je traverserais la plaine à pied pour me rendre
au Dôme par le sentier blanc vert. Revenons sur le Pariou. Je redescends par les escaliers. Midi
approchant, je me diriger toujours sans balisage vers les monts petit et grand Souchets. Dômes abandonnés par les promeneurs. Sur le petit souchet, je trouve un
bosquet rabougri me permettant de manger à l'ombre. L’hiver fut long cette
année, le printemps à eu du mal à montrer le bout de son nez et voila que ce
mercredi c'est

le pleine été. Ce coin d'ombre est bien agréable et recherché
par des promeneurs indélicats. Les marques de la civilisation sont présentes,
une bouteille en verre et une boite de conserve, vide. Que faire…Regarder
ailleurs ! il y a de quoi le paysage est si beau. Il est difficile de
cacher ses détritus. Ayant pris un mini sac je n’ai pas la place de prendre les
déchets des autres, j'ai déjà les miens. Tant pis ils resterons D’où je suis, j’ai une vue sur le puy de Côme et l'enfilade des
puys : Chopine,Jume et les autres, ainsi que sur

la cheminée de volcania. Après le Petit Souchet, je grimpe sur le grand, en mangeant j'ai vue quelqu'un le gravir, mais
je l'ai pas vue redescendre. arrivée en haut plus personne et pourtant la vue
est dégagée. il était pourtant habillé de rouge, mais aucune trace visuelle.
disparu, peut être dans un cratère...... Quelques photos, et je retourne vers ma fontaine toujours
à vue, pour poursuivre mon balisage jaune. A partir de la, le chemin

descend légèrement.
Nous regagnons les bois. Soit, je me suis tromper, soit le chemin à été modifié,
la trace GPS ne suis pas celle de la carte, pourtant il ne me semble pas mettre
trompé. Traversons la voie du tram puis la D68 route du col Ceyssat. Nous
sommes dans les sapins et le chemin remonte plus fortement vers le parking. Ici
aussi la trace GPS ne correspond pas au tracé sur la carte.
Dans le sens des aiguilles d'une
montre le balisage est bien fait, je n'ai pas sortie la carte n'y le gps. Ensuite
pour le diverticule tout se fait de visu pas besoin de carte.
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