Hauteur de la Solle-Mont Saint Père-Cuvier Chatillon
Pour cette seconde édition 5 promenades dans le nord de la foret.La première édition : 4 promenades février 2013
Seconde édition pour ses P.P.F.F toujours basé sur une distance de plus ou moins 10 km.
La Foret de Fontainebleau ce n'est pas qu'Apremont et, Franchard. Ce n'est pas n'ont plus que des sentiers bleu, des GR, des TMF. Je les ai fréquenté, je les fréquente encore, un peu moins souvent aujourd'hui : Il y a trop de vélo à mon gout. Si encore ceux ci étaient respectueux des piétons qui EUX sont sur leur territoire, mais non je fonce, je gueule, avec la phrase devenu célèbre (casse toi pauvre c.. tu gênes ma progression) , je bouscule car je ne maitrise pas mon engin et je veux absolument passé, les ronces c'est bon pour tes molets pas pour mes pneus (j'risque d'crever). Je suis désolé mais c'est du vécu. On a même bousculé mon chien que je tenais en laisse à deux reprises. Mais c'est surtout une superficie de plus de 25 milles hectares, peu fréquenté dans son espace total. J'espère que vous m'accompagnerez dans mon jardin 'secret'. Les itinéraires peuvent être réalisés dans l'après midi. Un GPS n'est pas indispensable mais utile se sera votre seul fil d'ariane, je ne suivrais pas obligatoirement le balisage. Des guides très bien fait sont édités pour cela. Le parcours sera en noir, la partie "histoire locale" en vert. L'histoire provient de divers documents de ma bibliothèque mais surtout d'internet. Une bonne partie de ma doc à été numérisé et se retrouve sur la toile, ce qui me facilite la tâche fastidieuse du clavier en la simplifiant par un copier collé.
Un lien permettra d'obtenir une carte un peu plus grande que celle présente sur ce blog et vous permettra de réaliser la promenade sans mon inséparable GPS.
Refait en 2020 sans changement
Trace Randogps Le code mobile de cette randonnée est b302519
(Explications Code Mobile)
km Temps arret Vitesse Dénivelé
11.3 2h30 15mn 4,2 149 +
Le départ n’est pas tres bien situé (surtout à
trouver, mais avec le GPS pas de problème ) Il se trouve sur la D142 (route
ronde) entre la fin de la côte et le virage de belle croix. Route du
Clocher. C'est le premier chemin après la cote.
On prend la route du Clocher (parcelle 235) [Route ouverte exactement dans la direction du clocher de
Chailly, en partant du Cabinet de Monseigneur.] Puis à droite la
route de la Chevillure [troisième andouiller.
Généralement le premier andouiller est le maître andouiller, ou andouiller de
massacre, le second le surandouiller, le troisième la chevillure, et le
quatrième la trochure. Au-dessus, c'est la couronne ou empaumure.] Nous
rejoignons la route du Mont Saint Germain, que nous prenons à
droite arrivée à un vague espace servant lors de l’exploitation forestière
à stocker les grumes nous prenons sur la gauche le sentier bleu N° 4 en bas
nous prenons la branche de droite, nous laissons la branche de gauche passant
devant la Grotte aux Cristaux (Voir promenade N°9 pour les explications) et
prenons le sentier qui suit le banc de grès, nous passons devant les pins
greffés [Nous sommes de nouveau dans une ancienne
carrière de grès qui fût exploitée en 1667. Dans le chantier devenu chemin
piéton nous trouvons des pins comportant des boursouflures Greffage des pins
dans la forêt de Fontainebleau
Dans le numéro de la Revue Forestière
Française, il est fait mention du greffage des pins. Or, il y a plus de
cent ans, la question avait déjà retenu l'attention des forestiers. Article
paru dans les Annales Forestières en avril 1843 (p. 220-224) MARRIER
DE BOISDHYVER ,a donné d'intéressantes précisions « Cette greffe ne peut
s'effectuer qu'à l'époque de la végétation du printemps, au moment où la pousse
terminale a acquis les deux tiers ou les trois quarts de son allongement. Elle
se fait en fente sur des sujets de trois à six ou huit ans de semis. Le pin
sylvestre paraît le plus propre de tous à recevoir la greffe. le greffage
commence à Fontainebleau du 15 au 25 mai « La pratique a enseigné qu'il faut de
préférence s'attacher aux sujets dont la pousse terminale est environ de la
grosseur du petit doigts...
De nombreux conseils sont encore donnés
: une planche montre en détail toutes les opérations. L'auteur trouvait comme
avantage de la greffe « la propagation prompte des pins les plus précieux, en
créant des porte-grains au moyen desquels on obtient sur place des semences
qu'il faudrait tirer à grands frais des lieux éloignés, d'où elles arrivent souvent
avariées. C'est dans ce dessein que le greffage des pins en laricio a lieu
annuellement à Fontainebleau, et avant un quart de siècle, cette forêt pourra
rivaliser avec la Corse pour livrer des graines de laricio de bonne qualité et
à bas prix ».
REVUE FORESTIÈRE FRANÇAISE
Fontaine Maria |
Cent quatre mille pins sylvestres dans la forêt de Fontainebleau ont été
ainsi greffés en laricio et autres espèces, considérées à l'époque comme «
encore rares ».Le sort des pins laricio ainsi greffés, M. Γ Inspecteur
principal -CLÉMENT JACQUIOT a bien voulu, par une lettre datée de juin 1949,
donner les indications complémentaires suivantes: « On trouve encore des
pins laricio greffés dans beaucoup de parcelles résineuses de la forêt de
Fontainebleau. Ces pins sont toujours vigoureux et d'une forme parfaite. Leur
diamètre varie de 60 à 80 cm. Il est assez difficile d'évaluer leur nombre, car
ils sont irrégulièrement dispersés dans des peuplements de pin sylvestre,
notamment à la (Croix de Toulouse. Plaine de Samois), (Barnolets), (Monts
Girard), etc.. Le nombre ne doit plus dépasser 1.000 ou 1.500, par suite des
réalisations progressives au cours des exploitations normales, mais surtout à
la suite des incendies qui, au cours des cent dernières années, ont parcouru au
moins une fois la presque totalité des parcelles résineuses de la forêt.] Puis nous passons devant la fontaine Maria [prénom
de Mme Colinet. fontaine créée et baptisée par Colinet en 1891] Puis nous traversons le parking de Belle croix [Erigée vers 1304 par Pierre Tapereau, s'il faut en croire
l'inscription placée par .son descendant, Simon Tapereau :
DEUX CENTS
ANS A QUE DANS CE LIEU
PIERRE
TAPEREAU FIT POSER
UNE CROIX EN
L'HONNEUR DE DIEU,
POUR LA VOIR
A TOUS EXPOSEE
PUIS NAGUERES
A FAIT APPOSER
SIMON TAPEREAU CETTE CY
PRIEZ DIEU QUE REPOSER
PUISSENT LEURS AMES SANS NUL SOUCY
LE MOIS D'AOUT MDIIII.
SIMON TAPEREAU CETTE CY
PRIEZ DIEU QUE REPOSER
PUISSENT LEURS AMES SANS NUL SOUCY
LE MOIS D'AOUT MDIIII.
Les Tapereau, seigneurs en partie de
Brolles, existaient encore au
XVIIe siecle. Les plans Picard, Boisseau, Scotin, désignent cette croix sous le
nom de Croix Tapreau. Détruite en 1793, elle a été réédifiée en 1827
sans l'inscription. C'est près de ce carrefour qu'eut lieu en 1871 le duel Soutzo-Ghika,
qui coûta la vie à ce dernier. A quelques pas du sentier Colinet, une roche
porte la date de ce triste événement. Lieu de relais quand la chasse à
courre est du côté de Chailly, de la Table du Roi ou de la Boissière] Nous continuons tout
droit
autour de hippodrome |
vers la route des Ligueurs [Autrefois, dit-on, principale route pour se rendre au
château de Fontainebleau. Elle se détachait de la route de Bourgogne à la Table
du Roi (aujourd'hui route Ronde jusqu'au carrefour de Belle Croix), puis du
carrefour de Paris arrivait au carrefour de l'Obélisque en traversant le Grand
Parquet, pour aboutir à l'allée de la Chaussée (avenue de Maintenon),
principale et pour ainsi dire seule entrée du château avant les travaux de
François Ier.
La tradition veut que ce soit par cette route qu'en 1562 le duc de Guise, le maréchal de Saint-André et le connétable de Montmorency aient emmené de force, de Fontainebleau à Melun, le roi Charles IX : d'où son nom de route des Ligueurs. Mais tout cela est problématique. Les anciennes cartes, Picart, Boisseau, Defer, ne portent aucune indication d'une route de ce genre. Les conjurés de 1562 ont plutôt suivi le chemin de Melun, route nationale n° 5 bis, lequel ne date pas de 1664, comme le dit Jamin, ou de 1751 à 1758, comme le dit M. A. Hugues. Il est bien antérieur. Il semble bien que c'est Jamin qui, par suite de cette erreur, a imposé à la route l'appellation de route des Ligueurs. Elle se nommait auparavant route à Dimps, du nom d'un marchand de bois qui l'avait réparée. Ce nom rappelait un fait plus certain que celui d'avoir été le théâtre de l'enlèvement d'un roi.] Les arbres étant clairsemés nous avons de belles vues sur l’ensemble du rocher Saint Germain, Plaine de la Solle et Hauteur de la Solle. Nous prenons la première route à gauche, route du regard qui descend dans la vallée puis à droite la route de l’Union. Nous passons en bout de l’hippodrome de la solle [Installé dans son écrin de verdure, l’hippodrome de la Solle est l’un des plus anciens de France. Sous le règne de Louis XVI, les ducs d’Artois et de Chartres organisèrent pour la 1ère fois, le 11 novembre 1776, des courses à Fontainebleau, devant le roi venu chasser. En 1862, après l’ouverture d’une souscription à la Mairie de Fontainebleau, la Société Hippique Départementale organisait officiellement ses premières épreuves sur l’hippodrome de la Solle. Les Travaux (bâtiment, piste de 2400 mètres pour la première fois en France, corde à gauche) avaient été réalisés avec l’aide des chasseurs de la garde. L’inauguration eut lieu en présence de l’empereur Napoléon III et de l’impératrice Eugénie le 22 juin 1862 et de
30 000 spectateurs dont 4 000 venus de Paris par le train. Une vingtaine de réunion de courses sont au calendrier chaque année] En bout nous prenons à gauche la route Amélie [Ouverte en 1844. C'est un des noms de Marie-Amélie, femme de Louis-Philippe.] Nous sommes à la limite d’une réserve biologique. Il est préférable de rester sur le chemin et les chiens doivent être tenues en laisse. On peut constaté ce que devient la foret lorsqu’elle n’est pas entretenu par les forestiers. Les beaux arbres sont morts ou mourants, le sous étage en hêtre ou charme est remplacé par le houx. Dans ce secteur il y avait un entrelacs de sentiers Denecourt, j’ai eu l’occasion de les rechercher et de les parcourir (seul et à mes risques et périls, puisque nous sommes en réserve biologique.) C’était une époque nostalgique, ou beaucoup de personnes recherchaient les anciens sentiers, ou les anciens passages oubliés, modifiés par le temps. Cela faisait de beaux articles dans le journal local. La tempête de 1999 à remis de l’ordre dans tous cela. J’ai essayé de prospecter mais les ronces, les houx, les arbres en travers m'y ont fait renoncer pour vous les proposer. Il ne me reste que des diapos sur les sites découverts ou aménagés par Denecourt. (Comme parait-il, rien ne se perd sur internet, je précise que les diapos, raccourcie de diapositive, était l'un des anciens supports pour la photographie avant bien sur le numérique.) Nous remontons vers la route goudronnée des hauteurs de la solle (attention nous sommes en réserve biologique rester sur le chemin.) D’ailleurs se chemin est suffisamment jolie pour ne pas s’en éloigner. Que nous traversons et continuons en face, puis nous prenons la première à droite ici encore nous sommes en réserve avec un sous bois rabougris. Nous prenons la première à droite (sur la carte il n’y a pas de chemin mais il est bien tracé au sol. En faite nous côtoyons la route goudronnée des Hauteurs de la Solle toujours accessible aux voitures. Cela permet même si les voitures sont rares de ne pas marcher sur le bitume. Nous arrivons au carrefour du Gros Hêtre. J’ai modifié mon itinéraire nous prendrons le bitume sur quelques centaine de mètres et nous ne pénétrerons pas dans la réserve biologique intégrale du Gros Fouteau. Pourquoi : parce que. et surtout C’est interdit. Il est interdit d’interdire. Slogan de 1968 de certains manifestants qui sont aujourd’hui en politique. Mais franchir cet interdit, pour nous promeneur, cela ne nous apporte rien. Plus bas Denecourt y avait tracé des sentiers, aménagé des fontaines, baptisé des arbres des rochers. Il y avait une histoire. Ici c’est le domaine de la science (il y avait également des sentiers) pour montrer de beaux arbres, mais ceux-ci sont morts, cassés, en état de décomposition, pour le simple randonneur que je suis cela n’apporte aucun intérêt, c’est dangereux avec un peut de vent une branche peut toujours se briser, c’est compliqué il faut enjamber des arbres. Et puis l'on risque d'écraser la plante rare, l'insecte en voie de disparition, déranger les oiseaux. Considéré comme un « carrefour biogéographique », le massif de Fontainebleau abrite de considérables richesses floristiques et
faunistiques.1331 hectares de Réserves dirigées et 1000 hectares de Réserves intégrales permettent d’assurer l’étude et
la conservation d’espèces et de milieux rares et fragiles. Les Réserves intégrales sont consacrées à la conservation et à l’observation de la forêt laissée à son évolution naturelle, et comportant de très vieux peuplements. Ici c’est le domaine des scientifiques, marcher sur une branche pourrie pour nous cela n’a aucune importance, mais pour connaitre l’éco système, c’est important. On à accéléré la décomposition de la branche, voir écrasé quelques vers et autres larves qui étaient en étude par nos scientifiques. Tous ses lieux montrent également ce que deviendrait la foret de Fontainebleau si l’homme n’intervenait pas. J’y suis passé simplement pour photographier et montrer que le secteur est bien un cas d’étude. Prenons la route et le sentier bleu, puis à l'intersection suivante poursuivons à droite le sentier bleu, nous passons devant la fontaine Sanguinede [Orfèvre à Paris, souscripteur de l’œuvre de Denecourt la fontaine à été crée en 1852]
à cent mètres de là, se trouve les ruines du Men-pehous [(maisons, ruine gallo romaine) Je ne pense pas que la photo représente les ruines c’est plutôt une ancienne cabane de carier donc plus moderne mais cela marque l’événement.]
La tradition veut que ce soit par cette route qu'en 1562 le duc de Guise, le maréchal de Saint-André et le connétable de Montmorency aient emmené de force, de Fontainebleau à Melun, le roi Charles IX : d'où son nom de route des Ligueurs. Mais tout cela est problématique. Les anciennes cartes, Picart, Boisseau, Defer, ne portent aucune indication d'une route de ce genre. Les conjurés de 1562 ont plutôt suivi le chemin de Melun, route nationale n° 5 bis, lequel ne date pas de 1664, comme le dit Jamin, ou de 1751 à 1758, comme le dit M. A. Hugues. Il est bien antérieur. Il semble bien que c'est Jamin qui, par suite de cette erreur, a imposé à la route l'appellation de route des Ligueurs. Elle se nommait auparavant route à Dimps, du nom d'un marchand de bois qui l'avait réparée. Ce nom rappelait un fait plus certain que celui d'avoir été le théâtre de l'enlèvement d'un roi.] Les arbres étant clairsemés nous avons de belles vues sur l’ensemble du rocher Saint Germain, Plaine de la Solle et Hauteur de la Solle. Nous prenons la première route à gauche, route du regard qui descend dans la vallée puis à droite la route de l’Union. Nous passons en bout de l’hippodrome de la solle [Installé dans son écrin de verdure, l’hippodrome de la Solle est l’un des plus anciens de France. Sous le règne de Louis XVI, les ducs d’Artois et de Chartres organisèrent pour la 1ère fois, le 11 novembre 1776, des courses à Fontainebleau, devant le roi venu chasser. En 1862, après l’ouverture d’une souscription à la Mairie de Fontainebleau, la Société Hippique Départementale organisait officiellement ses premières épreuves sur l’hippodrome de la Solle. Les Travaux (bâtiment, piste de 2400 mètres pour la première fois en France, corde à gauche) avaient été réalisés avec l’aide des chasseurs de la garde. L’inauguration eut lieu en présence de l’empereur Napoléon III et de l’impératrice Eugénie le 22 juin 1862 et de
30 000 spectateurs dont 4 000 venus de Paris par le train. Une vingtaine de réunion de courses sont au calendrier chaque année] En bout nous prenons à gauche la route Amélie [Ouverte en 1844. C'est un des noms de Marie-Amélie, femme de Louis-Philippe.] Nous sommes à la limite d’une réserve biologique. Il est préférable de rester sur le chemin et les chiens doivent être tenues en laisse. On peut constaté ce que devient la foret lorsqu’elle n’est pas entretenu par les forestiers. Les beaux arbres sont morts ou mourants, le sous étage en hêtre ou charme est remplacé par le houx. Dans ce secteur il y avait un entrelacs de sentiers Denecourt, j’ai eu l’occasion de les rechercher et de les parcourir (seul et à mes risques et périls, puisque nous sommes en réserve biologique.) C’était une époque nostalgique, ou beaucoup de personnes recherchaient les anciens sentiers, ou les anciens passages oubliés, modifiés par le temps. Cela faisait de beaux articles dans le journal local. La tempête de 1999 à remis de l’ordre dans tous cela. J’ai essayé de prospecter mais les ronces, les houx, les arbres en travers m'y ont fait renoncer pour vous les proposer. Il ne me reste que des diapos sur les sites découverts ou aménagés par Denecourt. (Comme parait-il, rien ne se perd sur internet, je précise que les diapos, raccourcie de diapositive, était l'un des anciens supports pour la photographie avant bien sur le numérique.) Nous remontons vers la route goudronnée des hauteurs de la solle (attention nous sommes en réserve biologique rester sur le chemin.) D’ailleurs se chemin est suffisamment jolie pour ne pas s’en éloigner. Que nous traversons et continuons en face, puis nous prenons la première à droite ici encore nous sommes en réserve avec un sous bois rabougris. Nous prenons la première à droite (sur la carte il n’y a pas de chemin mais il est bien tracé au sol. En faite nous côtoyons la route goudronnée des Hauteurs de la Solle toujours accessible aux voitures. Cela permet même si les voitures sont rares de ne pas marcher sur le bitume. Nous arrivons au carrefour du Gros Hêtre. J’ai modifié mon itinéraire nous prendrons le bitume sur quelques centaine de mètres et nous ne pénétrerons pas dans la réserve biologique intégrale du Gros Fouteau. Pourquoi : parce que. et surtout C’est interdit. Il est interdit d’interdire. Slogan de 1968 de certains manifestants qui sont aujourd’hui en politique. Mais franchir cet interdit, pour nous promeneur, cela ne nous apporte rien. Plus bas Denecourt y avait tracé des sentiers, aménagé des fontaines, baptisé des arbres des rochers. Il y avait une histoire. Ici c’est le domaine de la science (il y avait également des sentiers) pour montrer de beaux arbres, mais ceux-ci sont morts, cassés, en état de décomposition, pour le simple randonneur que je suis cela n’apporte aucun intérêt, c’est dangereux avec un peut de vent une branche peut toujours se briser, c’est compliqué il faut enjamber des arbres. Et puis l'on risque d'écraser la plante rare, l'insecte en voie de disparition, déranger les oiseaux. Considéré comme un « carrefour biogéographique », le massif de Fontainebleau abrite de considérables richesses floristiques et
faunistiques.1331 hectares de Réserves dirigées et 1000 hectares de Réserves intégrales permettent d’assurer l’étude et
la conservation d’espèces et de milieux rares et fragiles. Les Réserves intégrales sont consacrées à la conservation et à l’observation de la forêt laissée à son évolution naturelle, et comportant de très vieux peuplements. Ici c’est le domaine des scientifiques, marcher sur une branche pourrie pour nous cela n’a aucune importance, mais pour connaitre l’éco système, c’est important. On à accéléré la décomposition de la branche, voir écrasé quelques vers et autres larves qui étaient en étude par nos scientifiques. Tous ses lieux montrent également ce que deviendrait la foret de Fontainebleau si l’homme n’intervenait pas. J’y suis passé simplement pour photographier et montrer que le secteur est bien un cas d’étude. Prenons la route et le sentier bleu, puis à l'intersection suivante poursuivons à droite le sentier bleu, nous passons devant la fontaine Sanguinede [Orfèvre à Paris, souscripteur de l’œuvre de Denecourt la fontaine à été crée en 1852]
Fontaine Sanguinede |
à cent mètres de là, se trouve les ruines du Men-pehous [(maisons, ruine gallo romaine) Je ne pense pas que la photo représente les ruines c’est plutôt une ancienne cabane de carier donc plus moderne mais cela marque l’événement.]
Entrée, petite folie Denecourt |
Nous passons sous la petite folie Denecourt [passage aménagé et renforcé par des pavés de grès comme on savait le faire à l’époque (du solide du résistant au temps)
puis la mare aux ligueurs continuons le sentier bleu le long de la route des ligueurs
prenons la route Gustave à gauche [Nom donné sans doute en l'honneur des rois de Suède.], traversons la route ronde et prenons la sente de droite bien marqué au sol (il est dommage que ce coin ne soit pas plus propre (voir un peu plus surveillé, comme maintenant beaucoup de secteur à fort trafics routiers de la foret) prenons la première à gauche route Christine
[Le 10 novembre 1657, le père Le Bel, supérieur du couvent des Mathurins d'Avon, est convoqué au château de Fontainebleau, tout proche. Dans la galerie des Cerfs, l'ex-reine Christine de Suède, de passage au château, lui demande de confesser son confident et favori, l'Italien Monaldeschi. Après quoi, elle fait exécuter ce dernier à l'épée... Face au scandale de cette justice sommaire exercée sur le sol français, l'ex-reine revendique son droit de souveraine. Elle explique à son hôte, le cardinal Mazarin, que le condamné avait reconnu l'avoir trahie auprès des envoyés du roi d'Espagne. Selon des sources malveillantes, la reine aurait aussi eu connaissance de lettres où son grand écuyer et amant raillait son physique.
L'affaire est finalement étouffée et Christine s'établit à Rome.] Puis
sur la droite, la route Henri Chapu
(1833-1891)[Issu d'une famille modeste de Le Mée-sur-Seine (son père est un ancien cocher devenu concierge à Paris), Henri Michel Antoine Chapu entre en 1849 à l'École des Beaux-Arts. Il est l'élève de James Pradier (1790-1852), Francisque-Joseph Duret (1804-1861) et du peintre Léon Cogniet (1794-1880). Henri Chapu remporte en 1851 le second grand prix de gravure en médaille, en 1853 le second grand prix de sculpture et en 1855 le premier Grand prix de sculpture (Prix de Rome) avec le bas-relief "Piété filiale de Cléobis et Biton". Ce dernier lui permet de se rendre à Rome où il réside jusqu'en 1861. Son "Christ aux Anges" (1857) à l'expression intense, lui vaut de vives critiques des défenseurs de l'académisme. A réalisé notamment le médaillon Millet-Rousseau à barbizon ] puis à gauche la
route Lebel [Ouverte par arrêt du 19 décembre 1724. Le P. Lebel était
ministre du couvent des Trinitaires, au château de Fontainebleau, lorsque la
reine de Suède, Christine, s'y trouvait. C'est lui qui a confessé Monaldeschi à
ses derniers moments : il a laissé une relation, plusieurs fois imprimée, de
l'évènement où il a joué un rôle plutôt fâcheux (6 novembre 1657). Il était
encore ministre quand le roi décida la création de la paroisse de Fontainebleau
et appela pour l'administrer les frères des Missions. Le P. Lebel, qui n'avait
su se concilier ni l'affection de ses paroissiens, ni la faveur royale, fut
disgracié et envoyé par son Ordre à la ministrerie de Verberie. Le P. Aguenin
Le Duc le remplaça. Celui-ci eut maille à partir avec ses religieux qui se
révoltèrent contre son autorité.] et encore à gauche la route des
Monts Saint Pères ou nous
trouvons la roche Décamp [peintre 1803-1860 s’est tué d’une chute de cheval] nous continuons la route tournante des Monts Saints Père qui descend puis, nous prenons la route Kalmar à droite [Kalmar, sur le Kalmar sund, détroit de la Mer Baltique, est l'une des plus anciennes ville de Suède.] on retrouve le sentier bleu que l’on prend à gauche on le quitte rapidement pour continuer
tout droit dans les rochers. Puis prendre sur la gauche le sentier bleu N° 5. On passe devant de très beaux rochers et prenons une ancienne sente qui traverse une réserve biologique dirigée. Depuis que le GR n’est plus marqué elle est difficile à trouver dans les rochers. Il faut dire que les VTT passant un peut partout ne facilite pas les choses. Nous traversons une zone plane mais rocheuse qui à subie la tempête de 1999 une pancarte en fait fois (il n’y a pas de quoi s’en glorifier depuis cela aurait du s’améliorer. Nous passons dans une zone très marécageuse pour atteindre les mares à Dagneau [Déformation de Dagnan isidor 1794-1873 paysagiste qui travailla à Fontainebleau] puis nous prenons la route du Ragot [Ragot, sanglier qui a quitté les compagnies mais qui n'a pas encore trois ans.] que nous suivons jusqu'à la route du Clocher que nous prenons à droite jusqu'au parking.
(1833-1891)[Issu d'une famille modeste de Le Mée-sur-Seine (son père est un ancien cocher devenu concierge à Paris), Henri Michel Antoine Chapu entre en 1849 à l'École des Beaux-Arts. Il est l'élève de James Pradier (1790-1852), Francisque-Joseph Duret (1804-1861) et du peintre Léon Cogniet (1794-1880). Henri Chapu remporte en 1851 le second grand prix de gravure en médaille, en 1853 le second grand prix de sculpture et en 1855 le premier Grand prix de sculpture (Prix de Rome) avec le bas-relief "Piété filiale de Cléobis et Biton". Ce dernier lui permet de se rendre à Rome où il réside jusqu'en 1861. Son "Christ aux Anges" (1857) à l'expression intense, lui vaut de vives critiques des défenseurs de l'académisme. A réalisé notamment le médaillon Millet-Rousseau à barbizon ] puis à gauche la
Roche Décamps |
trouvons la roche Décamp [peintre 1803-1860 s’est tué d’une chute de cheval] nous continuons la route tournante des Monts Saints Père qui descend puis, nous prenons la route Kalmar à droite [Kalmar, sur le Kalmar sund, détroit de la Mer Baltique, est l'une des plus anciennes ville de Suède.] on retrouve le sentier bleu que l’on prend à gauche on le quitte rapidement pour continuer
Mare à Dagneau |
tout droit dans les rochers. Puis prendre sur la gauche le sentier bleu N° 5. On passe devant de très beaux rochers et prenons une ancienne sente qui traverse une réserve biologique dirigée. Depuis que le GR n’est plus marqué elle est difficile à trouver dans les rochers. Il faut dire que les VTT passant un peut partout ne facilite pas les choses. Nous traversons une zone plane mais rocheuse qui à subie la tempête de 1999 une pancarte en fait fois (il n’y a pas de quoi s’en glorifier depuis cela aurait du s’améliorer. Nous passons dans une zone très marécageuse pour atteindre les mares à Dagneau [Déformation de Dagnan isidor 1794-1873 paysagiste qui travailla à Fontainebleau] puis nous prenons la route du Ragot [Ragot, sanglier qui a quitté les compagnies mais qui n'a pas encore trois ans.] que nous suivons jusqu'à la route du Clocher que nous prenons à droite jusqu'au parking.
Mes autres PetitesPromenades
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