dimanche 2 février 2025

Randonnée Le Plus Loin Possible 2024 ; Etape 1081 – Biarritz - Biodos


Aujourd'hui nous rejoignons la  Corniche de Biarritz, puis nous nous rendons à Bayonne et en suivant l'Adour nous atteignons Biaudos

Depuis longtemps je souhaitais réaliser des promenades itinérantes autour de la France. Et puis un jour j’ai découvert sur internet l’Association Nationale de Grand Sentier de France, avec une carte tançant un chemin autour de la France. Jeune randonneur je n’ai pu réaliser le parcours immédiatement. Il est resté un long moment dans ma tête. Après quelques événements de santé, je me suis dit qu’il était temps de partir et j’ai ressorti ma vieille photo de la carte avec ses 10 000 kilomètres de parcours. Me promenant seul et après quelques essaies de promenades sur les hauts sentiers des Alpes ou je ne me sentais pas à l’aise, je me suis tracé ma propre carte, en longeant la Seine, puis en tournant dans le sens des aiguilles d’une montre. C’est ainsi que je ne traverse pas les Alpes par le GR 5, mais après La Grande Traversée du Jura, je poursuis par les Préalpes et la traversée de la Chartreuse en empruntant les vallées d’Entremont. Je n’ai pas traversé les Pyrénées par le GR 10, mais en partie par le GR 78.

Pourquoi trois départs ? Dans un premier temps je fais des promenades ouvertes avec retour en trains proche de mon point de départ, sur la rive droite et gauche de la Seine, jusqu’au moment ou le temps de transport est plus long que le temps de parcours à pied. La rive gauche de la Seine devant servir de retour.

Pourquoi Nice ? Difficile de marcher avec les grosses chaleurs. Alors le sud de la France je le fais au printemps.

Pourquoi la Seine ? Je ne suis pas certain de pouvoir marcher plusieurs jours de suite. La Seine à l’avantage d’avoir lors de mon départ des campings tout les 20 ou 25 km ainsi que des gares proches de mes campements.

  3 septembre 2024

 Le grand Sentier de France ne longeais pas les sables de l’atlantique en contournant les Landes par le GR 65. Je n’ai pas choisi cet itinéraire qui me faisait revenir en arrière. Et puis je désirais réaliser la corniche puis rejoindre l’un des GR remontant vers le nord. Malheureusement ils sont loin et il y a beaucoup de bitume à faire sur des routes qui sont parfois dangereuses.

 

 Carte OpenStreet    Trace GPS    Trace Randogps

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Le code mobile de cette randonnée est b379547

Carte mobile VisioRando   Toucher le lien puis le rectangle à coté du numéro.

Km    temps     arrêt    vd     vg           dénivelé

37       6h00     2h00     6,1    4,6             324+

Ce matin il pleut, je dois retraverser tout Biarritz pour retrouver la corniche et ses clichés. Beaucoup de kilomètres aujourd’hui, je parts au levé du jour, en septembre c’est 7h30. Traversons le rond point et prenons l’avenue du Maréchal Juin, après le commerce de proximité prenons sur la gauche l’avenue du Sabaou, traversons le boulevard du BAB, longeons le cimetière. La rue change de nom et devient avenue Pasteur, au rond point prenons à gauche l’avenue de Gramont, puis la rue Saint Martin sur la droite, un petit esse droite-gauche dans l’avenue Foch, prenons à gauche l’avenue de la République, puis pour un aller-retour l’avenue Bellefontaine ou nous avons un aperçu sur le château Boulard. Poursuivons l’avenue de la République, coupons l’avenue de Londres et prenons sur la gauche l’avenue Carnot, qui devient rue Victor Million à l’approche de la cote. Nous arrivons au petit parc situé en bordure de la corniche, Prenons sur la droite la perspective de la Côte des Basques. Un peu avant l’affreux immeuble des années 1960, nous avons une magnifique maison en moellons, et balcons en balustres. Si le temps était clément j’aurais une vue sur toute la cote en direction de l’Espagne, les Pyrennées, Nous apercevons également les toits en poivrières du de la Villa Belza.

Nous pouvons prendre les escaliers pour descendre au pied de la villa. Je continue le boulevard qui descend. La vue s’ouvre sur le rocher de la Vierge. Je descends vers l’esplanade du vieux port et je fais le tour de la plage portant le même nom. De belles maisons, des hôtels particuliers ressemblant à des châteaux,  Si vous avez le temps voici des idées de visites.

 


 
 Je fais le tour de la petite plage, ou l’été je pense que c’est le lieu ou il faut se montrer, et me dirige vers le rocher de la vierge faisant la célébrité de la cité impériale d’été de Napoléon III. Nous arrivons à cette pointe déchiquetée et à ce fameux rocher
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 
  
 Je poursuis par le parc du plateau de l’Atalaye et arrive devant l’église Sainte Eugénie.  
 
 
 
 
Je poursuis le trait de cote en direction du phare puis longe la grande plage situé entre deux beaux hôtels ici aussi l’été c’est certainement le lieu ou il faut se montrer, car situé devant le casino municipal. Sur la droite à l’entrée de la plage, un immense bâtiment se terminant pour épouser la fin de l’éperon rocheux par une grosse tour ; l’hôtel Bellevue. Puis je passe devant l’ancien Casino municipal. Au loin l’hôtel du Palais fermant la plage. Il faudrait rester une journée entière pour tout visiter, et il me reste beaucoup de route à faire. Je remonte par le parvis Emile Lagache et poursuis par le boulevard du Général de Gaulle. Devant les grilles de l’hôtel du Palais, parce que sur la gauche il y a de beaux immeubles, je prends au hasard l’avenue de la Reine Victoria me conduisant dans le quartier Saint Charles. A l’ancien hôtel particulier le majestic transformé en appartements, dont l’entrée se trouve dans l’arrondi d’une tour, je prends à gauche la rue de l’Université Américaine, la rue est chargé d’anciens hôtels particuliers ; Résidence Henri IV, du Carlton. Coupons la rue de Russie, sur la gauche nous apercevons la coupole de l’église Orthodoxe. Je redescends vers l’avenue de l’impératrice, ne fait pas le tour de la pointe Saint Martin et de son phare, parce que je n’ai pas trop le temps, je poursuis par l’avenue Crosquey et longe le golf du phare, par l’avenue Cavell, puis l’avenue du golf, de Fourvière et la rue de Paloumet que je prends à droite. Une longue traversée de la ville d’Anglet nous attend, La ville ne ma pas laissée un souvenir impérissable, je n’ai peut être pas choisi les meilleurs quartiers tirant au cordeau une route me menant à Bayonne. Après le petit centre ville d’Anglet et la difficile traversée de boulevard du BaB, je n’avais pas compris que c’était une voie express en site propre et au lieu de prendre le pont, je l’ai coupé par le parking. Lorsque je m’en suis aperçu, je n’ai pas eu le courage de faire le tour surtout qu’il fallait monter sur le pont. Oui les kilométres d’hier et ceux fait aujourd’hui commence à peser sur les cuisses. Ensuite j’ai pris la rue du Bois Belin, bois qui ne doit plus exister que par le nom et quelques espaces vert de ci de la, avec peut être des arbres. Traversons la zone commerciale et poursuivons par les rues Pontots, avenue de la Légion Tchèque, coupons la ligne SNCF. Nous entrons dans Bayonne. A une rue près je ne passe pas devant les arènes pourtant si importante à Bayonne, passons une chapelle coincée dans les villas, puis devant l’ancien couvent des capucins. Au loin nous apercevons les deux clochers de la Cathédrale Sainte Marie. Je traverse le parc du champ de foire et suis surpris que Bayonne soit incluse dans des fortifications Vauban. Descendons par l’allée de la poterne et passons sous la poterne.
 
 
 
 
  Nous arrivons au château neuf, je poursuis par les petites rues. La rue des Gouverneurs me conduit directement à la cathédrale et au cloître. Dommage la rue la cathédrale est en réfection bungalows et barrières de chantiers empêchent les photos.  
 
 

 
 
 
 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Je poursuis par la rue des Prébendés, de Luc, ce qui nous permet d’avoir un autre aperçu du cloître, je descends la rue d’Espagne, passe devant la fontaine du pilori, situé à l’emplacement de l’ancien pilori. Une nouvelle fois je sacrifie la visite de la ville par manque de temps en empruntant, qu’une seule rue étroite, celle du pilori avec ses immeubles à pans de bois, de pierre de taille et toujours les volets peints en rouge.
 
 
 
 
  Nous arrivons sur la place du marché avec sa halle et ses maisons alignées sur les bords de la Nive juste avant qu’elle ne se jette dans l’Adour. Je traverse la Nive sur le pont Pannecau. Je n’ai pas suffisamment de temps pour me promener dans le petit Bayonne.
 
 
 
  poursuis mon chemin par la rue Pannecau, et à son extrémité je me rends au château neuf. Je me dirige vers la Nive en passant devant le chevet de l’église Saint André. Au niveau du petit square, je prends la rue Sans issu de Mousserolles. Nous sortons de Bayonne comme nous y sommes rentrer par les fortifications Vauban.
 
 
 
 
Longeons une galerie en plein cintre, passons la porte Mousserolles (ancienne porte pont levis), traversons les douves sèches et sortons par le pavillon Mousserolles. Faisons un esse gauche – droite et prenons l’avenue Commandant William Boissel, puis nous remontons le cour de l’Adour jusqu’au pont de fer SNCF Charles Vaillant. Traversons l’Adour par la passerelle situé sur le coté de la voie Bordeaux-Turin. De l’autre coté, je loupe le passage par l’esplanade et en fait le tour par la rue des Lavandières. Prenons la rue du maréchal Juin. Nous sommes dans la zone industrielle, au rond point poursuivons à gauche et après les immeubles, prenons à droite la direction de Pau et de Bordeaux. Nous commençons un long chemin de bitume bordé de trottoirs, dans sa première partie. Nous coupons la D 810, puis l’autoroute Basque. Nous sommes maintenant dans la banlieue de Bayonne avec des maisonnettes sans grands intérêts. Dans la traversée du petit bois avant de retrouver l’Adour j’ai la surprise de voir un paon échappé d’une propriété. Nous remontons L’Adour. La première partie n’est pas facile, la voie verte ne partant que du hameau de Pascau. Rapidement un talus nous cache la rivière. Nous passons plusieurs hameaux, certains composés que de deux ou trois maisons. Nous sommes dans les Barthes de l’Adour. Nous perdons la piste cyclable en site propre, passons le Fronton Saint Barthélémy, nous croisons la D 154 que nous prenons à gauche en direction de Saint Barthélémy (ma trace originel ne passait pas par cette route mais remontait par les PR puis empruntait la D 817 Bayonne – Orthèse. N’y pensez même pas, cette route est très charger en voitures et camions.) A la fourche prenons à droite la D 362 en direction de Biaudos. Nous passons devant la tuilerie. Une drôle de maison très orientale. Il pleut à verse, je n’aperçois que le haut de la maison dominant la haie. Je pense trouver une meilleure image plus loin. Malheureusement ce n’est pas le cas. Je ne fais demi-tour pour ne photographier que quatre créneaux. Après avoir traversé plusieurs hameaux et grimpé cette petite colline me voilà débouchant sur la D 817. Aujourd’hui je n’ai pas grand kilomètres à faire sur cette route infernale, mais demain ce sera une autre histoire.

Les Barthes

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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