dimanche 2 juin 2019

86-Petite Promenade en Loire Atlantique ; Haute Goulaine - Le Marais

Petite Promenade en Loire Atlantique ; Haute Goulaine - Le Marais

promenade local balisage jaune

 
 
Carte IGN                                 Trace GPS sans Commentaires

Trace Randogps                                               Le code mobile de cette randonnée est b312887
                                                                                               
(Explications Code Mobile)

Km     Temps     Arrêt      V/d     V/g      Dénivelé
15       2h22       10mn     6,3       6,1        151+

Haute Goulaine ; au porte de Nantes.
De l’époque gallo-romaine au 3e millénaire, Haute-Goulaine n'a eu de cesse de se développer tout en s'adaptant. La commune a traversé les siècles préservant et se bâtissant ainsi un riche et remarquable patrimoine, précieux témoignages de ses racines alliant Histoire et Nature.

 

Le départ se fait placé de l'église, nous trouvons de la place sur le parking du super marcher le second se trouve face au super marcher derrière la Bibliothèque. 

place beau soleil, ou derrière la pharmacie.

 En extrémité du parking nous trouvons un chemin que nous prenons à droite, il serpente entre les clôtures attention bien faire le esse gauche droite pour ce diriger vers la rue (le Petit chemin ne mène que dans les jardins.) Nous débouchons dans la rue des Forges (D74) que nous prenons à droite puis la sente  longeant l'école  sur la gauche. La sente fait un esse gauche - droite attention à ne pas
 louper ce dernier virage si l'on continue tout droit la sente débouche rue du pâtis forestier. En prenant à droite nous arrivons rue des pinsons, que nous prenons à droite, enfin, comme nous sommes dans le virage de la rue nous poursuivons tout droit. Nous arrivons à un rond point, comme le dirait un GPS pour voiture, quoi que certain pour randonneur le font aussi, il faut prendre la quatrième sortie rue de la Blandellerie. C'est une belle rue bordée de deux rangées d'arbres de chaque côté. Nous logeons les terrains de sport de bitume nous passons à chemin après les accès aux différents équipements sportifs. Nous arrivons au hameau de la Gâche coupons la rue sans issus du même nom. Nous sommes à l'intersection de balisages jaune. Sur la gauche le circuit de la Haudinière (il me semble qu'il ne fait que six kilomètres, c'est pour cette raison que je l'ai collé au circuit château. Pour le détail voir l’Office de Tourisme.) Poursuivons tout droit par le chemin de la Gâche et le balisage jaune des circuits château et Marais. Dans un premier temps le chemin desserre des jardins puis l'on contourne un étang, longeons des prés et des bois. Comme dans l'itinéraire précédent nous arrivons à la route goudronnée du château, que nous prenons à droite (le château à été fait dans le circuit Haute Goulaine 1 http…).
Puis nous prenons sur la gauche la rue du Bois, traversons le hameau du bois composé de quelques maisons et de serres. Longeons ces dernières par l'impasse du Bois. A son extrémité nous prenons à droite la rue de la Bigotière, (balisage jaune) plus ou moins carrossable, à la fourche nous laissons le balisage jaune continuer tout droit vers le hameau de l'Héric et prenons le chemin de gauche en direction du Marais. Champs et vignes se succèdent. Nous arrivons au hameau de ’’La Ville’’ la balise n'est pas bien placé elle se trouve sur le mur de la première maison et l'on pense qu'il faut prendre la départementale. (Il aurait fallut un poteau en amont surtout que l'on ne pense pas que se chemin devant la maison permet de continuer notre route, j'ai cru qu’il ne menait que dans l'arrière cour de la bâtisse.) Donc prenons le chemin devant la maison, traversons les vignes et nous arrivons de l'autre côté du village. Nous faisons un petit détour, il semblerait que le petit bout de chemin entre le notre et la rue de la ville soit privée. Aux premières maisons poursuivons sur la gauche.  Longeons les vignes et poursuivons le balisage sur la droite, nous retrouvons la rue de la Ville que nous prenons à droite nous débouchons sur la D 105 (route du pont de l’ouen), que nous prenons à gauche à la sortie du village le balisage nous fait prendre un petit chemin sur la gauche. Nous avons une rue piétonne sur la droite de la départementale. Coupons la rue de la Verdonnière, à la sortie du village traversons la départementale. Longeons la clôture d’une prairie. Il fait tout de suite fourche. Sur la droite il longe la route derrière de barrières  de protections en bois. Nous poursuivons tout droit le balisage jaune il tourne sur la droite et serpente le long d’ un ru. Après quelques virages nous longeons un canal du marais nous arrivons a l’étang de Goulaine [Le marais de Goulaine est situé à 15 km au sud-est de Nantes, au cœur du Vignoble Nantais (appellation Muscadet), dans le département de Loire-Atlantique. Il s’étend sur cinq communes : Haute-Goulaine, Le Landreau, Le Loroux-Bottereau, Saint-Julien de Concelles et La Chapelle-Heulin.
 Au début de l’ère tertiaire, le secteur est pratiquement nivelé au niveau de la mer. Seule résiste à l’érosion une petite crête de serpentinite et d’amphibolite à l’emplacement de la Butte de la Roche. À l’époque du soulèvement alpin, le vieux socle est rajeuni et surélevé d’une trentaine de mètres, sauf à l’emplacement des marais actuels. Ces dépressions tectoniques attirent le réseau hydrographique. Les variations du niveau des mers provoquent une alternance de remblais des dépressions par les alluvions et de profonde érosion par le réseau hydrographique. Mais la crête d’amphibolite et de serpentinite résiste à l’érosion, provoquant ainsi l’étranglement de la cuvette des marais.
(d’après André Guilcher, in Bull Soc. ac. nat. de l’ouest, 1946-1947)
Les premières traces d’activités humaines sur les bords du marais datent du Néolithique. Son exploitation semble toutefois avoir commencé lors de l’occupation romaine au Ier siècle avant Jésus-Christ : le marais était alors directement ouvert sur la Loire, et servait pour les échanges commerciaux entre les communes riveraines. Après avoir appartenu au pays des Pictons (dont la capitale était Poitiers), le marais fut rattaché au Duché de Bretagne en 845. Le château de Goulaine, édifié au XVe siècle en bordure du marais, fut l’une des pièces de la ligne de châteaux construits pour défendre le duché.
Les premiers aménagements du marais en lui-même datent du XVIIe siècle, sous l’impulsion des marquis de Goulaine. Ceux-ci réalisent les premiers aménagements, notamment la canalisation de la Goulaine jusqu’à la Loire (l’exutoire naturel du marais), pour accélérer l’écoulement de l’eau et permettre l’exploitation agricole des terres. Ces travaux ont très peu modifié la nature sauvage du marais.
En 1825, un four à chaux est construit près du port du Montru, sur la commune de La Chapelle-Heulin en 1825. Le calcaire est extrait à Liré (Maine-et-Loire), puis acheminé par barque sur la Loire et les canaux du marais. La chaux permet l’amendement des landes environnantes aux terres acides : les agriculteurs parcourent parfois 20 km pour venir exploiter les terres. Chaque commune dispose alors d’un port sur le marais, d’où partent des barques à fond plat transportant vin, céréales, chaux, rouche (jeune roselière fauchée) et denrées diverses.
En 1830, sous l’égide du premier syndicat, les travaux hydrauliques reprennent : des douves latérales sont notamment créées, pour faciliter l’exondation du marais et l’exploitation des prairies humides à la belle saison par fauche et pâturage de la rouche. Des saules sont plantés pour délimiter les parcelles.
L’artificialisation du paysage prend toute son ampleur à partir de la seconde moitié du XIXe siècle, avec la création d’ouvrages hydrauliques (digue de la Divatte en bord de Loire, vannes de Basse-Goulaine et d’Embreil). Ces ouvrages permettent de contrôler les niveaux d’eau en fonction des saisons, des activités humaines et des besoins écologiques. Mais ils ont mis fin aux échanges commerciaux par voie d’eau entre les ports du marais et la Loire : c’est l’agriculture, et notamment la coupe de la rouche, qui a donné au marais son aspect actuel.
Dans la seconde moitié du XXe siècle, le développement de la viticulture sur le bassin versant a conduit au déclin de l’activité agricole sur le marais. Cette évolution a mené à une hausse des surfaces en friche : en effet, les 1 300 propriétaires des 1 700 parcelles recensées sur le cadastre de ce marais privé ne prennent plus le temps d’entretenir leur terrain.
On observe également une banalisation et une dégradation de la qualité du milieu. Deux raisons principales expliquent ce phénomène :
·                 Le manque d’entretien par les propriétaires
·                 Une mauvaise qualité de l’eau, notamment en période estivale (envasement, pollution de l’eau), liée à l’impact des activités humaines sur ce bassin versant dynamique : agriculture, urbanisation, etc. http://www.maraisdegoulaine.fr/le-marais-hier-et-aujourd-hui/] Longeons l'étang, regardons de loin le pont comprenant les vannes de régulation des eaux. Traversons la route du pont de l’ouen.  On peut s'arrêter à la Maison Bleu [Située au Pont de l’Ouen, sur la commune de Haute-Goulaine, la Maison bleue accueille le siège social et administratif du Syndicat Mixte Loire et 

Goulaine. Lieu de détente et de loisirs, elle se compose de deux plans d’eau, et propose divers aménagements ouverts au public, permettant de profiter du lieu : parking, espace pique-nique avec tables, toilettes aux heures d’ouverture au public, circuits pédestres, etc.
Les bâtiments de la Maison bleue se présentent comme suit :
·          Le bâtiment principal est composé de bureaux, réservés au Syndicat Mixte Loire et Goulaine, et d’une salle d’exposition de 60 m² dédiée au marais de Goulaine. Cette dernière a vocation à accueillir et informer les visiteurs de passage. équipé d’une plateforme de découverte donnant sur les étangs du pont de l’Ouen et accessible librement.
Le site de la Maison bleue est situé au pont de l’Ouen, étranglement naturel lié à la butte de la Roche et séparant les deux cuvettes du marais. La Goulaine, qui draine le marais et donne son nom à toute la dépression vient du latin golena qui désigne un goulet, un passage d’eau très étroit.
Le pont, reconstruit après la rupture de la levée de la Divatte suite aux inondations de 1910 (une plaque sur un pignon de la Maison bleue témoigne de l’événement), recouvre une porte permettant de contrôler le niveau des eaux sur la cuvette amont du marais.
Site prisé des amateurs de pêche, le lieu permet de découvrir au printemps de nombreux oiseaux et une flore variée.
Plusieurs récits légendaires sont attachés au site. Certains pensent ainsi que la cité de Louen gît au fond de ces marais. Á l’image d’Herbauges dans le pays de Retz, cette cité légendaire aurait été châtiée pour ses vices. Mais, dit-on : « Quand Nantes périra, Louen renaîtra ! ».  (http://www.maraisdegoulaine.fr/la-maison-bleue/)]
[Au sud du marais de Goulaine, le château de Goulaine est implanté depuis de nombreux siècles. Famille millénaire portant le nom « Goulaine », leur origine sur le site remonte au Moyen Âge. Ce château possède encore son entrée médiévale mais renferme à l'intérieur un château Renaissance (XVe – XVIIe siècle). La famille est érigée en marquisat au XVIIe siècle et aménage ainsi le marais de Goulaine. À partir de 1534, les seigneurs de Goulaine déclarent tenir les marais qui s'étendent sur une lieue et demi de part et d'autre du pont de l'Ouen. Au XVIIe siècle, la famille signe un contrat pour l'assèchement des marais. Ils s'approprient 1/5e des terres. Wikipédia (promenade Haudinière – Château) http…] Poursuivons le balisage jaune en bordure de l'étang. Après les aménagements pour déjeuner, le chemin s'éloigne de l'eau, traverse un bois. Nous arrivons à un poteau d’information. Circuit des Marais par la Cristière et la variante en période de chasse. (Je ne comprendrais jamais pourquoi l’on chasse dans un site naturel… Au lieu d’autoriser la chasse, il ferait mieux de d’obliger les propriétaires à entretenir leur terres ou à les ventre à un syndicat mixe qui entretiendrait ce dernier. ) Laissons le raccourcie en temps de chasse sur la droite et poursuivons tout droit, traversons un bois. Nous arrivons à ce qui me semble être la Goulaine. En septembre trois poteaux 
électriques permettent de franchir ce large fossé plein d'eau. Je vous rassure on ne va pas bien loin on s’approche simplement des prairies clôturées. Nous prenons le chemin de droite large chemin longeant un fossé, mais ce ne doit pas être celui du balisage. A la barrière nous trouvons un sentier sur la droite débouchant sur un autre sentier balisé en jaune nous le prenons sur la gauche. Nous débouchons sur un chemin Té nous prenons à gauche comme nous l’indique la pancarte.(Sur la droite l’information nous indique la maison bleu.) Nous arrivons de nouveau sur un chemin formant Té nous prenons à gauche le chemin fait un esse droite gauche on contourne le village de la Ville. Le chemin longe un bois puis nous avons une alternance de bois et de champs. Nous arrivons au hameau de la Cristière prenons la rue face à nous (rue de la Cristière). Nous débouchons sur une autre route que nous prenons à gauche sur quelques centaines  de mètres. Prenons sur la gauche le chemin avec le balisage jaune nous sommes de nouveau dans la prairie bordées de gros arbres et de bosquets. Nous passons trois petits ponts dont deux à sec, le chemin devient très difficile 
par temps de pluie. Nous débouchons sur une rue (rue du port aux grenouilles) que nous prenons à gauche, nous débouchons sur une route formant Té ou nous trouvons un panneau d’information. Prenons à gauche pour nous rendre au port des Grenouilles. Deux canaux entourant une bande de terre centrale donnant une vue sur le Marais. Suivant la hauteur d’eau on peut pénétrer plus ou moins loin. Je ne suis pas allé bien loin. Revenons sur nos pas à la patte d’oie composée par notre rue d’où nous sommes venus et d’une rue face à nous. Poursuivons tout droit par la rue de la Tuillerie, qui débouche sur la rue du port aux grenouilles, que nous prenons à gauche. Traversons le hameau de la Tuilerie. Dans un virage à droite le balisage nous fait prendre un chemin sur la gauche qui sur la carte n’aboutit pas. Nous passons entre deux étangs et débouchons rue de Préneau que nous prenons à gauche. Nous rencontrons la D74 que nous traversons en faisant un esse gauche -droite et prenons l'impasse de la Carillonière. Dans le virage nous abandonnons le bitume et poursuivons tout droit (balisage jaune). Prairies bordée de Haies et de beaux arbres puis nous longeons des vignes et un étang à ce dernier le chemin fait fourche et nous prenons à droite les parcelles sont un peut moins bien entretenues nous marchons entre ronces et épineux. A l’automne cela peut donner de 

belles mures, nous débouchons dans une parcelle de vigne. Nous débouchons route de Tournebride que nous prenons à droite. J’ai bien essayé d'éviter cette route mais la propriété des Montis ne peut se traverser et je n'ai pas trouvé d'autres chemins. Le bois est propriété privée. Il n’était plus temps d’en chercher un autre (j’aurais du préparer un peut mieux mon itinéraire et prendre un chemin dans les vignes. N'ayant pas l'information, je ne suis pas monté assez haut dans ses dernières.  Aujourd’hui je ne ferais pas cela. Si j’ai l’occasion de revenir je modifierais la fin.) J'ai donc suivi le balisage jaune le long de la D 74 et ce n'est pas drôle. Nous arrivons au champ Failli Marquettière ou du champ Failli (les deux sont l'un à côté de l'autre) nous prenons à droite la D 74 (route de la Haye-Fouassière) toujours balisage jaune. Sur une centaine de mètres puis à gauche l’impasse des motys menant au Montis. [Datant de 1813, cette demeure de style néo-classique est construite par l’architecte François Léonard Seheult pour son usage personnel. À la suite de déboires familiaux, il abandonne quelque peu l’architecture pour se consacrer à l’aménagement du parc. Ce dernier comprend notamment une pièce d’eau, une roseraie, un temple de jardin et une chapelle. L’ensemble de cette propriété privée est inscrit au titre des Monuments Historiques.  http://www.hautegoulaine.fr/votre-commune/son-patrimoine/ ] On à qu'une vue lointaine sur le château son parc les quelques ruines, sa 
chapelle. Le chemin toujours de couleur jaune nous fait longer une ferme. Après quelques bois nous arrivons dans les vignes. Le chemin débouche sur un autre formant Té, nous prenons à gauche puis à droite la rue de la Rabière. Notre chemin est plus ou moins bordé de maisons. Nous arrivons à une première fourche poursuivons tout droit, à la seconde, laissons la branche de droite et poursuivons la rue face à nous. À la troisième fourche prenons à gauche rue du pâtis. Nous abandonnons la rue qui tourne à gauche et continuons par le chemin face nous. Sur la carte le chemin ne continue pas, mais le balisage jaune nous fait rejoindre la rue du Mouliner nous débouchons rue du Château (D74) que nous prenons à gauche et nous arrivons à l'église.





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