La Foret de Nemours
Pour
terminer cette série de Petites Promenades dans les sables de
Fontainebleau. Je vous propose quatre promenades autour de Nemours.
Si vous venez de beaucoup plus loin vous avez également l'autoroute A6
sortie 15
Pour les randos 58-59 traverser le centre ville.
Pour les randos 60-61 les départs se trouvent sur une petite route derrière la zone industrielle.
59-La Foret de Nemours
Le code mobile de cette randonnée est b309635
Aout 2015
KM Temps arret V/d V/g Dénivelé
10,8 2:50
0:30 4,4 3,9
340+
Parking : Route de Poligny. Comment s’y rendre ?
De la gare de Nemours (D607) traverser Nemours passez le pont au dessus du Loing, restez à droite
sur le pont direction Montargis. Au premier feu à gauche direction Cheroy-Sens,
centre hospitalier D225. Après le collège et le lycée au rond point à droite
direction Poligny. Au premier parking on entre dans la foret le stationnement
est quelques mètres plus loin.
De la Sortie 15 de l'autoroute : Au carrefour de l'Europe direction Montargis-Souppes sur Loing au second Rond Point Direction Sens. Au Troisième Rond Point la petite route de Poligny.
Suivant ou l’on se
gare on reviens sur nos pas pour emprunter le GR sur la gauche lorsque l’on a
le parking dans le dos. On grimpe les Crottes au loup et l’on arrive à la
pointe Mieroslawski
[Ludwik Mierosławski (né le 17 janvier 1814 à Nemours et décédé le 22 novembre 1878 à Paris) était un révolutionnaire polonais, ayant participé à
de nombreuses révoltes dans son pays, mais aussi en Italie, ainsi que dans le Grand-duché de Bade dont il conduit l'armée révolutionnaire en juin 1849, lors de la révolution de mars 1848 en Allemagne. fils d'une Française et d'un officier polonais. À partir de 1820, il vit dans la partie russe de la Pologne, dite Royaume du Congrès. À l'âge de 16 ans il participe à l'insurrection de novembre en 1830
dirigée contre la Russie en tant qu'enseigne.
Après leur défaite, il émigre en France en 1831. Il y est élu membre en 1843 du
comité central des
polonais émigrés à Paris. Wikipédia]
Le GR ne semble plus faire la boucle que l’on a sur la carte et de ce coté se
n’est pas facile de trouver un point de repère pour trouver le chemin que l’on
voit sur la carte. En bout de la crête nous avons un point de vue sur
la foret,
nous trouvons également un balisage jaune. Nous poursuivons le GR et le
balisage jaune.
Au banc nous quittons le
balisage et prenons à droite. Nous sommes sur un plateau, le chemin est mal
tracé sur ce sol jonché d’aiguilles de pin. Comme repère je n’ai trouvé que le
toit du bâtiment du musé de la préhistoire que l’on a en contre bas sur la
droite. Le chemin descend en flanc de colline. Nous devinons un sentier de
chevreuil suivant l’inclinaison vous
trouverez plus ou moins vite le grillage du musé. Si l’on suit l’écoulement des
eaux nous seront plus vite au pied de ce grillage. Nous débouchons sur un chemin, passons la barrière et prenons
à gauche.
En partie haute nous retrouvons le GR que nous prenons à gauche.
Laissons le balisage jaune partant sur la
droite et continuons de monter tout droit. Nous abandonnons le GR et continuons
le chemin sur la droite. Nous sommes sur le Mont Olivet. Laissons un chemin sur
la gauche et poursuivons par la branche de droite. Nous arrivons face à un
réservoir d’eau, nous prenons le chemin de droite grimpons et passons le second réservoir. Poursuivons par le chemin de droite et au carrefour suivant nous
prenons à gauche puis encore à gauche le
chemin des Crottes au Loup. On retrouve
le balisage jaune que nous prenons à droite c’est le chemin de Crève Cœur, poursuivons
le sentier jaune sur la droite. On grimpe. Cette fois ci, nous continuons le
sentier jaune sur la droite par le sentier du Pain de Sucre. Jolie
sentier. Nous débouchons sur le chemin de Nemours à Poligny, que nous prenons à gauche. Toujours le balisage jaune. Nous l’abandonnons lorsqu’il tourne à droite et continuons notre chemin, nous retrouvons le GR. Laissons le chemin de la platière sur la gauche, et continuons tout droit le balisage rouge et blanc jusqu’à la rencontre d’un nouveau balisage jaune que nous prenons à droite.
On se dirige vers les grottes du troglodyte, c’est un jolie petit
sentier qui devient rocheux, j’ai
l’impression d’être à Apremont ou Franchard. Attention au virage nous
débouchons sur un chemin formant Té nous prenons la branche de gauche ne pas
prendre la piste de droite. Après des
rochers en plus petit nombre, ne pas se
laisser embarqué par le chemin qui descend, il faut tourner à droite monter sur
le rocher plat de la platière. Nous avons un beau point de vue. Nous poursuivons
le balisage jaune et lorsqu’il tourne légèrement sur la droite nous trouvons
sur la gauche un sentier qui descend. Nous le prenons. C’est un chemin avec une
grosse croix jaune. Nous passons sous le
banc de grès débouchons sur un chemin formant Té. Nous prenons à gauche le chemin de
Beauregard. Ce chemin est pavé, il faut, faire un petit virage laisser
la route pavées sur la droite et passer la barrière, puis remonter en face avec un
autre virage à droite. Pas facile à
expliquer mais cela passe tout seul sur le
terrain. Nous passons devant des ruines, murs sans toits. Nous longeons la
clôture de la propriété. Peut être ancienne usine ou entrepôts de pavée ou de
sable. Et nous débouchons dans une clairière de sable jaune.
Nous remontons sur la droite par un chemin plus ou moins formé, nous trouvons à la surface des "Crottes de Fer". (Ce sable jaune et ferrugineux, il se colle, s’assemble, pour former de petits galets tous marron.) Au sommet nous suivons la clôture sur notre droite. Nous retrouvons les constructions en ruines, nous trouvons sur notre gauche un chemin avec les reste d’un wagonnet, un châssis et peut être ce qui était le toit d’une loco mais ce n’est qu’un bout de tôle. Nous revenons vers la clairière et la contournons par un
sentier. Nous en faisons les trois quarts et prenons le
chemin de droite. Nous trouvons une pancarte nous informant que c’était la
carrière de Pierre le sault. [Dans le livre; Fontainebleau - Nemours Des
Chemins de fer des Sablieres au Tacot des Lacs. 150 as d’histoire eddition Amatteis
1989.
notre carrefour de tout a l’heure, nous abandonnons le
GR pour prendre à droite le balisage jaune chemin des robiniers, que nous
n’allons plus quitter ou du moins essayer. Virage à droite et nous arrivons
devant des tables de pic nique nous tournons à gauche c’est un angle aigu,
remontons et serpentons dans la bruyère pour redescendre à notre parking.
[Ludwik Mierosławski (né le 17 janvier 1814 à Nemours et décédé le 22 novembre 1878 à Paris) était un révolutionnaire polonais, ayant participé à
de nombreuses révoltes dans son pays, mais aussi en Italie, ainsi que dans le Grand-duché de Bade dont il conduit l'armée révolutionnaire en juin 1849, lors de la révolution de mars 1848 en Allemagne. fils d'une Française et d'un officier polonais. À partir de 1820, il vit dans la partie russe de la Pologne, dite Royaume du Congrès. À l'âge de 16 ans il participe à l'insurrection de novembre en 1830
dirigée contre la Russie en tant qu'enseigne.
Après leur défaite, il émigre en France en 1831. Il y est élu membre en 1843 du
comité central des
polonais émigrés à Paris. Wikipédia]
Le GR ne semble plus faire la boucle que l’on a sur la carte et de ce coté se
n’est pas facile de trouver un point de repère pour trouver le chemin que l’on
voit sur la carte. En bout de la crête nous avons un point de vue sur 
la foret,
nous trouvons également un balisage jaune. Nous poursuivons le GR et le
balisage jaune.
Au banc nous quittons le
balisage et prenons à droite. Nous sommes sur un plateau, le chemin est mal
tracé sur ce sol jonché d’aiguilles de pin. Comme repère je n’ai trouvé que le
toit du bâtiment du musé de la préhistoire que l’on a en contre bas sur la
droite. Le chemin descend en flanc de colline. Nous devinons un sentier de
chevreuil suivant l’inclinaison vous
trouverez plus ou moins vite le grillage du musé. Si l’on suit l’écoulement des
eaux nous seront plus vite au pied de ce grillage. Nous débouchons sur un chemin, passons la barrière et prenons
à gauche. En partie haute nous retrouvons le GR que nous prenons à gauche.
Laissons le balisage jaune partant sur la
droite et continuons de monter tout droit. Nous abandonnons le GR et continuons
le chemin sur la droite. Nous sommes sur le Mont Olivet. Laissons un chemin sur
la gauche et poursuivons par la branche de droite. Nous arrivons face à un
réservoir d’eau, nous prenons le chemin de droite grimpons et passons le second réservoir. Poursuivons par le chemin de droite et au carrefour suivant nous
prenons à gauche puis encore à gauche le
chemin des Crottes au Loup. On retrouve
le balisage jaune que nous prenons à droite c’est le chemin de Crève Cœur, poursuivons
le sentier jaune sur la droite. On grimpe. Cette fois ci, nous continuons le
sentier jaune sur la droite par le sentier du Pain de Sucre. Jolie 
sentier. Nous débouchons sur le chemin de Nemours à Poligny, que nous prenons à gauche. Toujours le balisage jaune. Nous l’abandonnons lorsqu’il tourne à droite et continuons notre chemin, nous retrouvons le GR. Laissons le chemin de la platière sur la gauche, et continuons tout droit le balisage rouge et blanc jusqu’à la rencontre d’un nouveau balisage jaune que nous prenons à droite.
On se dirige vers les grottes du troglodyte, c’est un jolie petit
sentier qui devient rocheux, j’ai
l’impression d’être à Apremont ou Franchard. Attention au virage nous
débouchons sur un chemin formant Té nous prenons la branche de gauche ne pas
prendre la piste de droite. Après des
rochers en plus petit nombre, ne pas se
laisser embarqué par le chemin qui descend, il faut tourner à droite monter sur
le rocher plat de la platière. Nous avons un beau point de vue. Nous poursuivons
le balisage jaune et lorsqu’il tourne légèrement sur la droite nous trouvons
sur la gauche un sentier qui descend. Nous le prenons. C’est un chemin avec une
grosse croix jaune. Nous passons sous le
banc de grès débouchons sur un chemin formant Té. Nous prenons à gauche le chemin de
Beauregard. Ce chemin est pavé, il faut, faire un petit virage laisser
la route pavées sur la droite et passer la barrière, puis remonter en face avec un
autre virage à droite. Pas facile à
expliquer mais cela passe tout seul sur le
terrain. Nous passons devant des ruines, murs sans toits. Nous longeons la
clôture de la propriété. Peut être ancienne usine ou entrepôts de pavée ou de
sable. Et nous débouchons dans une clairière de sable jaune. Nous remontons sur la droite par un chemin plus ou moins formé, nous trouvons à la surface des "Crottes de Fer". (Ce sable jaune et ferrugineux, il se colle, s’assemble, pour former de petits galets tous marron.) Au sommet nous suivons la clôture sur notre droite. Nous retrouvons les constructions en ruines, nous trouvons sur notre gauche un chemin avec les reste d’un wagonnet, un châssis et peut être ce qui était le toit d’une loco mais ce n’est qu’un bout de tôle. Nous revenons vers la clairière et la contournons par un
sentier. Nous en faisons les trois quarts et prenons le
chemin de droite. Nous trouvons une pancarte nous informant que c’était la
carrière de Pierre le sault. [Dans le livre; Fontainebleau - Nemours Des
Chemins de fer des Sablieres au Tacot des Lacs. 150 as d’histoire eddition Amatteis
1989.
J'ai certainement trouve la réponse a mon interrogation sur cette énorme construction en grès juste avant la carrière de Pierre
le Sault. Cette carrière a ciel ouvert fut ouverte vers 1908. En 1910 fut installe
un transporteur aérien {Monzies} afin d'acheminer le sable jusqu'au canal. Il
n'y avait pas de moteur, les bennes pleines faisant remonter les bennes vides.
En cas de vitesse excessive, le câble tracteur pouvait être freine par une roue
a aube baignant dans une cuve d'eau. Chaque niveau d'exploitation de la carrière était desservi par une voie Decauville de 0,60m. Les quatre voies se
dirigeaient vers une impressionnante série de cinq trémies a quatre étages. tout
en bas passait, en galerie souterraine, le '' téléphérique'' au chargement des
bennes. On exploitait également le grès. Des tuyauteries d'air comprime faisant
le tour de la carrière permettaient aux carriers d’extraire le grès aux
marteaux piqueurs. Dans les années 50, la carrière de sable fut reprise par
la Régis Renault. Le sable servant pour les moules de moteur. Le transporteur
fut démonte le transport du sable jusqu’à Saint Pierre les Nemours, {emplacement
des usines} se faisant en camion.]
Nous retrouvons le GR 13 que nous prenons à
gauche. Nous revenons à
notre carrefour de tout a l’heure, nous abandonnons le
GR pour prendre à droite le balisage jaune chemin des robiniers, que nous
n’allons plus quitter ou du moins essayer. Virage à droite et nous arrivons
devant des tables de pic nique nous tournons à gauche c’est un angle aigu,
remontons et serpentons dans la bruyère pour redescendre à notre parking.
Vous retrouverez toutes mes randos de la demie journée en cliquant sur le lien ; https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page.html
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