mardi 3 mars 2015

41 - Petite Promenade en Foret de Fontainebleau (Coquibus) ; Les Cent et quelques Marches

La Foret de Coquibus

Petite Histoire


Les 39 randos précédentes ce situaient dans la foret historique, avec les quatre prochaines promenades nous sortons du bornage de François I. 
 Situé entre Arbonne et Milly, Coquibus est un massif forestier et de landes d'environ 3 307 ha à cheval sur les départements de l'Essonne et de la Seine et Marne. Séparé de la foret historique par le village d'Arbonne, et l'autoroute du sud, il communique en directe avec la foret des Trois Pignons. On y retrouve comme dans l'ancienne foret de bière des dunes, des rochers, et un peut moins d'histoire. Il faut en effet se rappeler qu’au contrare de la forêt domaniale de Fontainebleau, issue d’un ‘’héritage’’ historique homogène relativement local et circonscrit, l’espace forestier domanial des ‘’Trois Pignons’’ est formé d’acquisitions ONF relativement récentes, constituées de parcellaires extrêmement nombreux et variés. De plus, la proximité de villages aux limites contiguës et parfois imbriquées dans celles du domaine forestier. (Les cinq dernières phrases proviennent du site : (http://www.aaff.fr/images/BORNAGES/Bornages-3P.pdf)
Un peu d’histoire.
Dans le massif de Coquibus, il y avait de grandes fermes, dont notamment la ferme de Coquibus, la ferme du Mont Rouget et celle des Grandes Vallées. Celles-ci vivaient de l’élevage d’ovins et de la culture dans la plaine.’’
 Dans l’histoire de Milly-la-Forêt : ’Fermes et Ecarts : Il n’existe pas de hameau à proprement parler dans la commune de Milly. Il n’y a que sept fermes et quelques écarts. Les sept fermes sont : Le Tertre, Le Corbeau, Le Paly, La Grange-Rouge, Le Coudreau, Coquibut, Saint-Georges.
Les cinq premières sont situées à l’ouest de Milly... Coquibut est à l’est, ainsi que Saint-Georges.
De ce fait, il ne faut pas s'imaginer ce secteur comme une foret touffu mais plutôt, comme une terre pauvre de culture et d'élevage. Pauvre, parce-qu’il ne pousse pas grand chose dans le sable, j'ai extraie cette légende d'un site internet : Suivante laquelle en l’année 995 « les arbres s’enflammaient dans les champs sous les rayons du soleil » ; on nous assure que ce phénomène se produisit également en l’année 1800. (http://milly91490.blogspot.fr/2009/12/incendie-coquibus.html)
J'ai connu dans les années 80 (non....... pas 1800, mais, 1980 je ne suis pas si vieux que cela.) ce secteur beaucoup plus désertique qu'aujourd'hui. Landes de bruyère, jeunes boulots et rochers, cela nous changeais de notre foret historique.  
Pourquoi : Coquibu, Coquibut, Coquibus ?
Coquibu, lieu-dit de la commune de Milly est un vaste plateau autrefois en culture. Au milieu s’élevait une ferme abandonnée vers 1880 ....
Etienne Cochin l’acheta en 1807 à Jean-Nicolas Mordillac, marchand à Paris... Jacques Lutrat, notaire à Linards (87130) suppose qu’Etienne Cochin était d’une vieille famille milliacoise, un Julien Cochin étant mort à Milly en 1545. Le premier cadastre (1815)..., donne COQUIBU, sans T ni S final. Les cartes d’Etat-Major de l’ancien Service Géographique de l’Armée, antérieures à 1950, mentionnent COQUIBU. Par contre, sur la feuille au 1/50 000è en couleurs de 1953 et éditée par l’Institut Géographique National on trouve, pour la première fois à notre connaissance COQUIBUS, avec l’S final ....
Coquibus, nous dit J. Lutrat, doit très certainement son nom à un personnage : Coquibus, Gorgibus, Gougibus, Bornibus paraissent être d’anciens sobriquets de latin macaronique, plus ou moins ironiques ; Coquibus, sobriquet signifiant ‘’sot’’, niais en ancien français, tiré de coq avec une finale latine ... 
Pour Paul Lebel, dans ‘’Les noms de personnes’’ : Ce sont peut-être des étudiants qui auront imaginé, par plaisanterie, les terminaisons en ‘’-ibus’’, empruntées aux datifs latins ; le mot rasibus date du XIVe siècle ; la finale ‘’-ibus’’ remplace à cette époque ‘’-art’’ dans coquart pour donner ‘’coquibus’’ (niais) devenu nom de personne ...
Et toujours selon Mr J. Lutrat : autrefois et jusqu’à une époque assez récente, le toponyme ‘’Coquibus’’ n’était pas précédé de l’article défini ‘’le’’. C’est l’auberge, sur la route de Fontainebleau à la sortie de Milly, qui a mis en vogue l’appellation ‘’Le Coquibus’’, tout comme on dit : ‘’Le Chapon fin’’, ‘’Le Commerce’’, etc... en parlant d’un hôtel ou d’un restaurant.
 Enfin, selon Mr Raymond-Auguste Geber, historien deMilly , ‘’Coquibu’’, orthographe courante... a son origine dans un fait caractéristique en relation avec une mare dans laquelle but un coq de bruyère... COQ Y BU. La désignation de ‘’Coquibut’’ n’en est pas moins conforme à la vérité... COQ Y BUT... ‘’Coquibus’’ est une désignation tardive et ne date que de la construction de l’Auberge ‘’Le Coquibus’’ ..
Pour une carte plus grande
Voilà ce que j'ai trouvé sur ce massif. Bonne promenade.......
Une ferme aurait été en fonctionnement jusque vers 1850, puis la maison serait devenue celle d’un garde chasse. Le dernier héritier a fait don du bâtiment et des terrains à ’Assistance Publique de Paris’ pour en faire une maison d’enfants mais faute d’électricité et d’eau, le domaine a été vendu à l’Etat en 1965. C’est devenu la première partie de la forêt des Trois Pignons.
Au début du XXe siècle, elle fut exploitée par les grands parents de Claude Martin, ancien agriculteur à Oncy. Ceci prouverait qu’il y avait des champs au lieu de bois tout autour... Puis ce furent des gardes qui l’occupèrent, et la ferme devint un pavillon de chasse. En 1968 elle devint propriété de l’Association des Amis de la Nature (nous passerons plusieurs fois au cours de nos randos devant cette ancienne ferme, isolé au sommet d'une dune.
Avant la Seconde Guerre Mondiale, tous les bois de cette forêt étaient propriété privée. Les Amis de la Foret, en 1943, en avaient demandé le classement ...Ce qui fut commencé en 1974.  La Déclaration d’Utilité Publique concernait 3200 parcelles détenues par 2000 propriétaires, la complexité de la procédure fut telle, que les achats ne furent terminés qu’en 1981..
  Extraie tiré du site : http://www.aaff.fr/images/BORNAGES/Ferme%20de%20Coquibus%20et%20ses%20myst%C3%A8res.pdf


 

Carte IGN                    Trace GPS et Topo sans Commentaires


Trace Randogps                              Le code mobile de cette randonnée est b306971

 Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici

 41 - Les Cent et quelques Marches

km     Temps     arret     v/d    vg     deniv
 14,3    3h30      30mn    4.0    3.5    247 +


Juillet 2014
J’ai changé plusieurs fois le lieu de départ. Mon premier choix menait à des propriétés privées. Mon second n’était pas facile à trouver, après la route menant à Noisy sur Ecole, avant l’auberge hébergement du Coquibus  {que j’ai toujours connu fermer, mais qui ne ce dégrade pas. «  en apparence »  et il y a des rideaux aux fenêtres} (Attention ce n'est pas la ferme de Coquibus qui ce situe sur la platière, mais une résidence-Hotel ? situé en bordure de la route) Donc une fois rentrer, j’ai choisi le plus simple : Le parking de la Boulignière, après l’auberge du coquibus et presque à l’entrée de Milly.
Nous remontons le parking par le Chemin de la Boulignière jusqu'au carrefour comportant un banc ou nous prenons à droite le Chemin de Rumont . Nous passons derrière l’Auberge Hébergement du Coquibus, le chemin change de nom, devient d’après la pancarte le chemin de l’Auberge de Coquibus puis de chemin, nous passons à sentier. Nous grimpons. Nous débouchons sur une route pavée menant à des propriétés privées continuons en face le sentier. Nous franchissons l’aqueduc de la vanne en souterrain. Nous le savons grâce aux petits bâtiment de surface, qui permettent de surveiller et d’entretenir les canalisations. Nous trouvons sur la gauche un piste cavalière que nous prenons, nous passons au pied du chapeau de Napoléon.  C’était le Chemin de la Découverte, laissons sur la droite le Chemin de la Maison de la Montagne, continuons notre chemin plutôt sur la gauche (le carrefour étant dans un virage) laissons le chemin de gauche menant à des ruchers. Nous arrivons  au Chemin du Chapeau de Napoléon laissons la branche de droite et quittons la Découverte pour continuer tout droit un chemin ne comportant plus de pancarte, mais c’est le chemin de napoléon (je l’ai appris en fin de chemin). A la patte d’oie, le chemin s’infléchit sur la gauche puis nous prenons encore à gauche le Chemin de la Vieille Grange. Nous débouchons sur un chemin face à la parcelle 63 ne comportant pas de pancarte que nous prenons sur la gauche. Un chemin peu facile par ses ronces débordant sur notre passage. Je comprends par la suite la raison du peu de fréquentation de celui ci, nous rejoignons l’itinéraire que j’avais initialement prévu et qui traversait les propriétés privées, nous apercevons un tennis (un peu à l’abandon, mais encore utilisé) nous prenons le chemin de droite (si l’on prend à gauche nous arrivons aux propriétés privées). Nous apercevons sur la gauche un rocher surmonter d’une croix que je qualifierais de pattée.
[En héraldique, elle a été utilisée par les Chevaliers Teutoniques (leur emblème était une croix pattée noire sur fond blanc) et plus tard, elle fut associée à la Prusse ainsi qu'à l'empire allemand de 1871 à 1918
Une croix pattée rouge sur fond blanc fut également l'emblème des chevaliers templiers.]
Je n’ai pas d’explication, comme Baudelut n’est pas très loin et que c’était un site templier pourquoi pas ?
J'espère que je n'aurai pas de problème en vous faisant emprunter ce chemin, je n'y ai pas trouvé de barrière dans le sens décrit, n'y de pancarte. 
Pour éviter ce secteur :
Une fois sur le chemin de la vieille grange au lieu de tourner à gauche, tourner à droite jusqu'au chemin suivant que l'on prend à gauche nous sommes sur le chemin de la barrière Matéo. 
Ce chemin est un peu encombré par le cimier d'un arbre tombé suite à un gros orange. Passons la barrière (nous étions bien dans des bois privés) nous débouchons sur un chemin, pas de pancarte (c’est le Chemin de la Barrière Mateo) que nous prenons à gauche. Nous arrivons à une barrière que nous franchissons : c’est une zone sensible et les vélos sont interdits. Nous sommes aux Rochers aux Voleurs. Nous arrivons au carrefour des Quatre Héros laissons le chemin qui monte sur la droite et continuons sur la gauche. On descend. Nous arrivons  devant une pancarte : Allée du Garde Forestier. (Comme il y a de moins en moins de garde, le chemin à disparu. C’est une boutade....) Par contre il est vrai que je ne vois pas de chemin, n’y de sentier ce n’est que sable et bruyère. Poursuivons sur la gauche. Nous trouvons une nouvelle barrière que nous franchissons et prenons le chemin sur la droite : c’est le Chemin des Cent Marches. En été difficilement visible, il se trouve sur la gauche, nous trouvons un sentier sous les fougères qui grimpe. Le sentier serpente dans les rochers et abouti aux premières cent marches. Nous gravissons les 146 marches de grès, en haut le chemin sur la platière n’est pas facile à suivre, peu tracé. Nous sommes à 124 m d’altitude. Beau point de vu. J’avais remarqué sur une photo internet des noms gravés que je croyais être sur un rocher. Déception ce ne sont (certainement)  que les noms inscrit dans le ciment des personnes ayant entretenues cet escalier. Rien d’historique. Pourquoi ces marches ? l’aqueduc de la vanne passe en dessous faut bien facilité le contrôle. Nous descendons de l’autre coté et c’est beaucoup moins facile, à descendre sans les marches. Nous retrouvons le chemin des cents marches que nous prenons à gauche. Zut, je viens de vous avouer que nous pouvons éviter les marches.  Maintenant que vous savez qu’il y a 146 marches à gravir je suis certain que vous ne ferez pas le détour. Souvenez vous du titre "Les Cent et Quelques Marches" et bien ce n’est pas fini. Nous voici de nouveau au pied d’un escalier, non, non ce n’est pas un tour de passe passe, je ne suis pas revenu au premier escalier, pas la peine de compliquer un itinéraire qui n'est pas simple. Il y en a un second. Cette fois ci, il faudra bien monter. Ce n’est rien 113 marches pour 128 m Le point de vu sur le rocher aux voleurs est très beau. Nous avons gravi 259 marches sur environs 1000 m. Nous côtoyons une route bitumée menant me semble t’il à la ferme de coquibus. Dans ce bois de feuillus nous arrivons à un carrefour ou nous 
trouvons un gros pin, nous prenons à droite le Chemin de Coquibus (oui encore) puis nous prenons un chemin à droite, je n’ai pas noté le nom, mais (il me semble que c’est celui du parc aux bœufs) de chemin nous passons à sentier et débouchons sur le Sentier du Rocher aux Voleurs que nous prenons à gauche et débouchons sur un chemin un peu plus large (de Raboliot) mais vous le saurez à la fin. [Raboliot est un roman français de Maurice Genevoix publié en 1925. Il y évoque et exalte la vie libre d’un braconnier de Sologne. Considéré comme son chef-d’œuvre, ce roman a été récompensé du prix Goncourt en 1925 (note wikipédia)] Sur la platière nous passons devant une mare de platière avec un bon niveau d'eau. Ce mois de juillet 2014 n’a pas manqué d’eau. Nous retrouvons notre Chemin de Coquibus que nous prenons plutôt sur la gauche (vue le virage c’est tout droit) nous le quittons pour prendre sur la droite le Chemin des Côtes de Courances, la descende est rude, malgré les cailloux et le bitume. Puis en bas le Chemin de la Roche qui Tourne sur la gauche commun au GR 11. La encore mon itinéraire est modifié car le sentier sur la carte est introuvable, laissons un chemin sur la gauche. je continue jusqu'à l’aqueduc ici en aérien. 
Nous prenons à gauche Toujours le GR 11. Comme on a pas bien compris nous voila avec 22 marches à gravir, un petit plat et des séries de marches, faut bien satisfaire le titre donc plusieurs séries pour un total de 9 marches et encore 8 marches que l’on contourne car la première est dans le vide puis l’on retrouve le sentier et les escaliers de 13 marches. Si je ne me trompe pas nous aurons gravi 311 marches. Mon titre est bien en rapport avec ce que je vous 
propose. La je dois bien dire que je suis un peu perdu, j’ai tellement tourné, modifié l’itinéraire primitif que me voilà à la ferme de coquibus
[La Ferme de Coquibus devient le refuge des Amis de la Nature.‘’ A la fin de l’année 1968. 
faisons connaissance avec’’ la ferme de Coquibus’’ à Milly-la-Forêt.
Vaste demeure forestière délabrée, située en pleine forêt et assiégée par toute une végétation de ronciers et de lierres, abritant une colonie de vipères. Abandonnée aux vandales depuis plusieurs années, portes et fenêtres en partie arrachées, plus une vitre, plafonds crevés, conduite d’eau et d’évacuation hors d’usage, pas d’éclairage, des gravats partout, une partie de la toiture à refaire..., non, nous ne pouvions accepter une telle ruine.
C’est alors que l’Office National des Forêts (le propriétaire) nous promit de nous aider à remettre en état cette demeure. Confiants, nous acceptions l’offre et avec un courage tout neuf, nous nous remettions à l’ouvrage. Chaque week-end,’’ la ferme de Coquibus’’ se transformait en chantier. Un effort énorme fut fourni par chacun, et la grande demeure ainsi recommença à vivre peu à peu...]
Incertain de la suite de l’itinéraire, je tourne en rond et ne pense pas à faire une photo. N’ayant pas de carte, d’instinct je ne me dirigerai à l'inverse des indication du GPS et je m’éloignerai de mon point de chute. Mais l’information me trouble je me dirige vers Milly alors que pour moi je dois plutôt me rendre du coté d’Aborne. Peu rassuré je suis l'information du GPS mon seul point en liaison avec la réalité.    
Dans les année 80, ce bâtiment isolé, nous a toujours intrigué. A l'époque il y avait énormément de fait divers sur les sectes. Faut bien dire que par manque d'informations, (C’était l'époque du Minitel..... difficile de trouver une info, les journaux locaux ne parlaient pas de cette ferme. Pas d'info autour du site.) nous n'étions pas très rassuré de passer à coté de cette ferme et d'y voir parfois du monde dans ce lieu isolé de tout. Secte ? Hippies ? Groupe peu recommandable (Plusieurs fois en foret des Trois Pignons nous étions tombés sur des types habillés en militaire avec dague en bandoulière marchant au pas de commando avec madame derrière qui avait du mal à suivre, ou, sur certainement des militaires 'des vrai' avec camions, bivouac, allongés en ligne sur le sol avec leur armes en position de tir ; cela fait drôle de ce sentir la cible..... A l'époque les Trois Pignons étaient jonchés de balles à blanc, grenades à plâtre éventrées, c'était l'époque transitoire ou les exercices ne devaient pas ce faire le week-end, mais voilà certain ne suivait pas les ordres)  Alors un bâtiment ouvert à tous, sans ligne électrique visible cela laisse l'esprit divaguer. On avait un peu peur de ce que nous ne connaissions pas..... Isolé nous aussi, dans ce désert de bruyère.
Aujourd'hui avec internet on sait tout, ou presque, même si cela ressemble à de la pub. Au moins on sait à quoi ça sert.
  J'ai également trouvé sur internet :  La ferme de Coquibus

[Cette maison, située en forêt de Fontainebleau, à proximité des sites des Trois Pignons et de la Dame Joanne, est gérée par la section Horizons 
 l’organisation de la maison :  Ouverture : toute l’année
Réservation obligatoire.
Accueil de groupe : 32 personnes
46 places :
  • 1 chambre de 2 lits  6 dortoirs de 6 lits  2 dortoirs de 4 lits
  • Sanitaires complets, douches chaudes payantes
  • Location de draps
2 salles de séjour : 32 places, cuisine équipée
Restauration à 3 km
Eclairage par groupe électrogène 220v
Parking 25 places voitures, 1 car
Animaux acceptés sauf dans les chambres et dortoirs.
Les Amis de la Nature
L’association a pour vocation le développement du tourisme populaire et la sensibilisation à la 

protection de la nature. Elle est implantée à Milly-la-Forêt depuis 1968 et regroupe environ 80 membres. Outre l’organisation de randonnées pour les adhérents, elle organise l’accueil de randonneurs et gère le refuge de la Ferme du Coquibus.
Sur d’autres site ont trouve :
Ce gîte d'étape, une ancienne ferme située en forêt de Fontainebleau, à proximité des sites des Trois Pignons et de la Dame Joanne est un lieu idéal de départ de randonnées .

Facile d’accès à partir de la gare de Maisse en suivant le PR, La ferme de Coquibus est une étape agréable sur le GR11.

Ce gîte est géré par les bénévoles de l'association Les "amis de la nature" qui assurent l'accueil du public. Cette association œuvre, entre autre, pour la préservation de l'environnement, pour la paix et le rapprochement des peuples.
Il est recommandé par le Comité Régional de la Randonnée Pédestre Ile de France.
La ferme de Coquibus est ouverte toute l'année.
A proximité :
GR 11.
Réserve de la Plaine de Chanfroy - Massif des Trois-Pignons.
Accès : Gare de Maisse (10km).
Dans cette pub je voulais simplement préciser certain points aux futurs randonneurs « pédibus » 
A pied c’est un lieu idéale pour dormir si 

l’on fait le GR 11 ou si l’on à prévu des randos dans le Coquibus ou les Trois Pignons.
 (Pour la dame joanne ce n’est pas tout prêt quant même. 15 km à vol d'oiseau aucun chemin direct, J'ai regardé l'itinéraire à pied, si les chemins dans les champs existent toujours il y a 21 km pour s'y rendre. Il y a tellement de promenades et lieux de varappe entre Coquibus, les Trois Pignons et le Sud de la foret que l'on peu laisser de coté le site de la Dame Jeanne)  
 La gare étant à 10 bornes avec des trains toute les heures faut la journée. Pas facile en train si l’on ne vient pas directement de Paris. Fontainebleau-Maisse en train c'est 2 heures et deux changements (voir GR 32 etape1&2) Il semblerait que la ferme ne fasse pas repas ; Alors à pied penser à faire vos courses à Maisse (super marcher pas loin de la gare. En se dirigeant vert le centre ville) ou à Milly. Car après plus rien. A pied il me semble qu’il faut proscrire la Dame Joanne. Trop loin. Sauf si c’est une étape, il y a tellement de chose à voir sur Coquibus et les Trois Pignons sans oublier : la foret de Fontainebleau coté sud avec le Rocher des Sablons, le Rocher de la Reine, les Béorlots j’ai des randos par là, il me semble possible de faire les randos : 18-19-20 mais ce sont dans ce cas des rando à plus de 20 kms peut être peut on tenter suivant votre forme les rando : 13-15-21 mais en partie seulement si vous ne voulez pas dépasser les 30 bornes. Bien sur j'ai mes quatre randos sur Coquibus (de 40 à 43) et mes neuf promenades aux trois pignons (de 44 à 52) Le circuit rouge des 25 bosses, le circuit bleu des Amis de la Foret. Tous ça pour dire qu’il faut faire attention aux informations. Pour moi être proche de la nature ce n'est pas utiliser la voiture pour ce rendre tous les jours sur un site de promenade. Je ne suis plus écolo depuis que ce groupe fait de la politique, mais je trie mes déchets, utilise le vélo pour me rendre d'un village à un autre distant de 6km, pour acheter le pain ou me rendre à mon cours de gym. Maintenant avec une voiture pas de soucie on va la ou la pub le dit. Oubliez également sans voiture les visites de Barbizon, Fontainebleau. Par contre Courances est faisable. Encore une fois je parle uniquement pour les chemineux. Je préfère chemineux à chemineau (déf du dictionnaire Larousse : le chemineau ; Vagabond, mendiant errant dans les campagnes.) En voiture tout est possible. Et aujourd'hui il n'y a que des originaux comme moi, considéré comme un "peu fou" pour ne pas prendre la voiture et réaliser les 500m qui me sépare de la foret.] En vert la pub d'internet sur la ferme de Coquibus. En bleu : mes commentaires. Les informations de ce bâtiment isolé, trouvé sur internet, ressemblant à une publicité, je ne souhaitais pas tromper les chemineux, et me retrouver avec des messages d'insultes.   
Reprenons notre itinéraire.
Nous retrouvons notre Chemin de Coquibus (ça perturbe) a la ferme on quitte le GR et l’on prend la piste cavalière se dirigeant vers le château d’eau. Beau point de vu. le sentier passe sur la droite. Nous descendons et arrivons dans une clairière sablonneuse, c’est le Sentier des Chênes Velus, mais vous le saurez à la fin. Laissons un chemin sur la droite continuons tous droit  Nous arrivons à notre carrefour avec le banc c’est notre route de la Boulignière que nous prenons à droite jusqu’au parking

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