jeudi 2 mai 2024

Promenade dans le Nord de la Seine et Marne N° 60 Autour de Chaume en Brie

 

Le départ se fait de Chaume en Brie situé sur la D 402 entre Verneuil l’Etang et Fontenay Trésigny

[Située à mi-chemin de Melun et de Meaux, Chaumes est le berceau de deux illustres familles, les Quinton et les Couperin.
[Cette ancienne ville fortifiée dont il reste une partie des
remparts avec quelques tours encore visibles, vous pouvez emprunter de nombreux chemins de campagne vous permettant d'effectuer d'agréables promenades où vous découvrirez avec surprise d'anciens châteaux, des fermes.

§  L'église Saint-Pierre-Saint-Paul est la seule qui reste des trois églises de Chaumes. Les parties les plus anciennes, le clocher, le chœur, l'abside, les chapelles Saint-Roch et de la Vierge datent du xiiie siècle. De nombreuses restaurations se sont succédé. Le portail a été édifié en 1755. La flèche, détruite par la foudre en 1766 et reconstruite en 1866, est à nouveau foudroyée en 1942. Elle sera restaurée en 1964. À l'intérieur, on peut admirer une crucifixion due au peintre Philippe de Champaigne. Un reliquaire renferme des ossements de différents saints. L'orgue n'est pas celui sur lequel ont joué les membres de la famille Couperin. Il date de la seconde moitié du xixe siècle. Wikipedia

§  L'abbaye Saint-Pierre de Chaumes-en-Brie, abbaye royale, sa fondation remonterait au vie siècle, sous Childebert Ier et Clotaire Ier. Incendiée et pillée, l'abbaye est reconstruire en 1181. En avril 1475, par ses lettres patentes, Louis XI confirma sa protection royale. L'abbaye ferme ses portes quelques années, avant la Révolution, puis tombe en ruine. En 1883, un pastiche de château médiéval est bâti sur ses vestiges. Il accueille jusqu'en 2011 l'école maternelle. C'est devenu aujourd'hui l'Inspection de l’Éducation Nationale de Chaumes-en-Brie. Wikipedia].

Carte IGN         Trace GPS & Topo sans Commentaires            Trace Rando GPS

Le code mobile de cette randonnée est b299230

Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici

Km     Temps     Arret     V/d     V/g     Dénivelé

26        4h30       0h45     5,7      4,9        172

Je me gare au pied des remparts et descend la rue des barres, au carrefour je prends un peu sur la gauche la rue Nicolet. Passons sous le pont de l'ancienne ligne de chemin de fer, derrière la rue change de nom elle s'appelle rue du pignon vert. Nous arrivons dans un virage comportant une croix en bois sur un petit terre plein la croix Saint Sébastien. Nous quittons le bitume pour prendre le chemin face à nous (balisage jaune), il dessert quelques maisons, puis pénètre dans un bois. Nous traversons le fossé du miroir (un ru drainant les eaux de la plaine et les rejetant dans l’Yerres) complètement à sec après trois mois sans pluie, ou presque.  Le chemin fait fourche nous suivons le balisage tournant sur la gauche, laissons les chemins de droite. Nous sortons de la forêt et suivons l'orée entre Bois et champs. Nous débouchons à Arcy par le chemin des plantes. Notre chemin devient bitume et dessert quelques maisons. Arrivé dans la rue principale nous prenons à droite. Abandonnons provisoirement le balisage jaune poursuivons la rue principale jusqu'à l'église, poursuivons la rue et passons devant le château, sur la droite une tour avec des gargouilles attirent mon attention.  Cette tour à l’abandon dans les friches fait elle partie du château que l’on aperçoit sur la gauche. [Le château d’Arcy est situé au milieu d’un parc de 32 ha. Ancienne propriété de la SNCF, cette demeure abritait une Maison d’enfants à caractère social (MECS) pour les enfants des cheminots. En 2012, l’entreprise ferroviaire l’a revendu à sa filiale immobilière, ICF Habitat, l’un des cinq plus grands opérateurs du logement en France (principalement du social).]

Depuis décembre 2014, ICF Habitat loue le château et son terrain à l’association Aurore, via un bail de 25 ans. En son sein, il y a l’équivalent de 52 logements sociaux. Le château d’Arcy permet aux résidents de se réinsérer socialement et professionnellement. Des activités d’alphabétisations, de bien être, de préparations aux entretiens d’embauche sont assurées par des acteurs locaux. https://actu.fr/ile-de-france/chaumes-en-brie_77107/chaumes-brie-chateau-darcy-va-ouvrir-bras-davantage-demunis-association-aurore_15411443.html. L’association Aurore

Créée en 1871 et reconnue d’utilité publique depuis 1875, l’Association Aurore accueille et accompagne vers l’autonomie des personnes en situations de précarité et d’exclusion. Elle se donne trois missions : l’hébergement, les soins et l’insertion professionnelle. La nationalité.  importe peu ! Aurore tend la main à tous ; des étrangers en situation régulière ou en attente de régulation ainsi que des Français dans le besoins. En tout, l’association est présente dans 14 départements du pays et compte 194 établissements. https://actu.fr/ile-de-france/chaumes-en-brie_77107/chaumes-brie-chateau-darcy-va-ouvrir-bras-davantage-demunis-association-aurore_15411443.html Le Château d'Arcy appelé aussi le Château de l'Abbaye est un château bâti à l'écart de Chaumes-en-Brie, dans le département de la Seine-et-Marne, en région Ile-de-France, en France. Il est composé d'éléments très divers dont sa tour qui est renommée. Le portail d'entrée est celui de la chapelle Saint-Firmin de Paris (1257), réédifié ici, en 1896. Le château d'Arcy et sa tour est composé d'éléments très divers. Le portail d'entrée est celui de la chapelle Saint-Firmin de Paris (1257) qui a été réédifié ici en 1896 http://www.mes-ballades.com/77/chateaux-en-seine-et-marne-77-en-region-ile-de-france-en-france.htm] Poursuivons la rue puis prenons à droite  la D 32 E4 nous sommes toujours sur le balisage jaune. Traversons le bois, nous arrivons à l’entrée d’ Argentière,ne passons pas la rivière de l'Yerres [affluent de la rive droite de la Seine, qui traverse la campagne et quelques villes dont une reprenant son nom située en Essonne. L'Yerres (ou Yères) était appelée la rivière d'Erre en 1384, Edera au xviie siècle, probablement d'un ancien. Le nom actuel a subi l'influence de l'ancien français yerre 'lierre'. Le -s final n'est pas fondé. De 98,2 km de longueur est une rivière calme, d'une profondeur variant de 1 à 6 mètres selon les zones argileuses qu'elle traverse. De son parcours sinueux, elle part des marécages situés aux alentours de Courbon non loin de Mortcerf, traversant ensuite la forêt de Crécy en contournant l'étang de Guerlande. Près de Touquin, l'Yerres grossit en « fusionnant » avec le ru de l'étang de Beuvron, qui selon les géographes pourrait être la vraie « Yerres » tant les débits des deux ruisseaux sont proches. La même hypothèse a été émise pour la Visandre. C'est en aval des sources abondantes près de Voinsles que l'Yerres s'élargit pour donner forme à une rivière large et paisible. Wikipedia ] Nous prenons à gauche le chemin en bordure de la rivière, balisage jaune et Bleu. Dans un virage nous nous apercevons une maison en ruine, quittons l’Yerres pour longer puis traverser un bois, toujours le balisé en jaune. Laissons le premier chemin sur la gauche pénétrons dans la foret le chemin débouche sur un autre formant Té, nous prenons à gauche. Heureusement qu'il n'a pas plu depuis trois mois, au vu des ornières ce doit être un chemin boueux. Nous arrivons proche de la route. (Il semblerait qu’il y est des soucies de balisage ou de tracé sur la carte… Le jaune prendrait la route sur la gauche on y trouve une balise. Sortie de nulle part la marque d’un GRP. Le sentier balisé en Bleu, mais également le jaune tourne à angle droit sur la droite et nous rencontrons un balisage bleu poursuivons en foret. Nous sortons de la forêt et traversons les champs. Nous passons une pierre couvée au milieu du champ. [LA « PIERRE COUVEE » MENHIR . La « pierre Couvée », menhir ou pierre levée, date de l’époque Neolithique (âge de la pierre polie : -7000 / -3000). Le menhir de Courtomer est un bloc de grès de Fontainebleau, haut de deux mètres et large d’autant, fiché en zone inondable de la vallée de l’Yerres. Ce menhir a fixé une légende que l’on retrouve souvent pour d’autres mégalithes.  
 LEGENDE : « Ayant appris que sa sœur AUBIERGE allait construire une chapelle, GENEVIEVE souhaita participer au travail. Elle se rendit en forêt de Fontainebleau, choisit une belle pierre qu’elle plaçât sur son dos, et prit le chemin du retour. Près de Courtomer, un ange lui dit : « cela ne vaut plus la peine, la chapelle est terminée ».Genevieve laissa tomber l’inutile fardeau qui se ficha en terre. Ainsi naquit la pierre couvée ». CLASSEMENT : Notre menhir, ayant échappé aux diverses menaces de destruction depuis 50 siècles, fut classé Monument Historique le 5 janvier 1971.  
PETITE HISTOIRE LOCALE ;  
 Succédant aux chasseurs-cueilleurs du Paléolitique, des éleveurs et cultivateurs du Mésolithique pis du Néolithique, des tribus Celtes, venues de l’est aux environs de 750 avant J.C., s’installent progressivement dans la région. 
Environ 350 ans avant notre ère, c’est le tour des peuples de la Gaule Belgique ( dont les Meldes). La conquête de la forêt briarde est lente et tardive, tant celle-ci apparaît, sauf pour ceux qui y trouvent refuge, comme une forteresse impénétrable. Elle se fait donc en trois phases : 
- pénétration par la rivière, voies naturelles. On y vit de la pêche et de la chasse, on exploite le bois…L’Yerres, qui est approximativement la « zone de contact entre les Meldes et les Senons », servira jusqu’à la Révolution, pour l’acheminement du bois et du blé briard jusqu’à la Seine et Paris. http://www.courtomer.fr/DetailElement.aspx?numStructure=80401&numElement=54098&print=ok]. le chemin devant un chalet isolé fait deux angles l’un sur la droite, l’autre sur la gauche et débouche dans le village  de Courtomer  [l’immense majorité de nos noms en « COURT » a été composée avec les noms germaniques des propriétaires de ces domaines. Qui étaient sûrement des « Germains » nouveaux venus antérieurement au VII ème siècle. Le nom OMER renvoie au seigneur ou propriétaire de la « CURTIS ». Le passage de celle-ci à l’érection d’un château est le suivant : La « curtis » devient une motte seigneuriale au plus tôt à la fin du X ème siècle, sur laquelle s’élève un donjon de pierre au XII ème siècle, résidence seigneuriale entourée d’une clôture de bois incluant la basse-cour ou « curticula » comprenant les habitats des paysans et des artisans, ainsi que les vergers, jardins, connils…De quoi vivre en quasi autarcie. Au VIII ème siècle, PEPIN LE BREF et CHARLEMAGNE fondent la dynastie Carolingienne.  Dès le XIème siècle, des terres royales sont données aux moines des grandes abbayes (Saint Germain des Près pour notre secteur). Cela entraina le développement de la paroisse par l'implantation de l'église (qui remplaça le temple païen), le défrichement, la mise en valeur des terres, des étangs et des bois...  Au XI ème siècle, COURTOMER était situé dans la « marche frontière », parfois large d’une quinzaine de kilomètres, séparant le Comté de Champagne et le Domaine Royal. Le Comte et son voisin le Roi y érigeaient des systèmes défensifs pour protéger leurs territoires respectifs. Le château de Courtomer était de toute évidence antérieur au XII ème siècle, de par sa position frontalière. Il appartenait en propre au domaine Royal, et relevait des Comtes de Melun, intermédiaires entre les seigneurs du lieu et le Roi. Au début du XIIIème siècle, le château appartenait au Chevalier Guy Briart de Villepescle et à sa Dame Marie de Vinci… Le château de Courtomer, délabré durant la guerre de cent ans, fut complètement démoli au début du XVIIème siècle. Le fief de Courtomer avec ses fermes (Paradis, les Bordes plus une autre qui se trouve dans le village- l’actuelle ferme Picard) fit partie des possessions de la Baronnie de Cordoux, qui revint en suite à la puissante Abbaye de Saint Germain des Prés. Le tout fut vendu comme biens nationaux après la Révolution Française. http://www.courtomer.fr/DetailElement.aspx?numStructure=80401&numElement=54098&print=ok]. rue du paradis (D32E2) que nous prenons à gauche. Laissons la rue du Pont neuf et prenons la rue des Sarriettes devant l'église( nous retrouvons un GRP qui ne se trouve plus sur les cartes.) [L'église est ancienne. Les contreforts et les piliers sont montés sur modillons carrés du XIe siècle comme le portail qui porte des bêtes très laides en guise de sculptures et s'orne de billettes à l'arcade cintrée. Toutes les arcades intérieures sont cintrées de même et rappellent, avec les gros piliers circulaires et courts à tailloirs écussonnés, les petites fenêtres des bas-côtés, les chapiteaux variés à oreillettes, toute l'époque de transition. Le reste est du XIIIe siècle sauf quelques chapiteaux, les colonnes d'angle des chapelles et certaines baies qui imitent le XIVe. La voûte en berceau domine.

Les trois nefs s'arrêtent au transept, constituent un carré et se ressemblent. Le sanctuaire se termine en dôme : sa voûte a été refaite en 1735. On y voit un chapiteau sculpté d'une feuille de vigne portant son raisin. Le maître-autel en bois s'orne d'une statue cle la Vierge à l'Enfant et de deux autres statues, en bois. On a classé une belle statue en pierre de la Vierge (XVIe siècle). Une statue de sainte Geneviève en bois orne la chapelle cle ce nom. https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&url=http://frederic.simon1.free.fr/eglise_courtomer.html&ved=2ahUKEwjOhqrOoNndAhUnxoUKHQJWAhMQFjAFegQIBhAB&usg=AOvVaw2RDwtbqu4eGUvsjGqL-HIv] Poursuivons la rue, nous débouchons rue du pont neuf que nous prenons à gauche. La rue fait un esse et débouche sur une rue que nous prenons à gauche, c’est le GRP et le balisage bleu.  Nous arrivons à la station dépuration, abandonnons le balisage bleu continuent tout droit et prenons le chemin sur la gauche, GRP (fantôme) et Jaune.  Laissons les deux chemins sur la gauche, nous côtoyons une nouvelle fois l'Yerres et arrivons à Bompierre par la rue principale que nous prenons à gauche traversons le village nous arrivons à un carrefour avec la rue du bois Frécul, et des trous Guillot, mais nous poursuivons tout droit (voie sans issus) par le chemin de la fin du monde, (tout une histoire). De bitume nous passons à chemin, passons une barrière, nous sommes en une clôture délabrée et une jachère. Le chemin fait fourche nous prenons à gauche longeons une haie et la jachère parsemée d’acacias. Les champs puis nous longeons la lisière du bois pour enfin le traverser. Nous longeons l'yèrres, et après avoir traversé un bois nous longeons le hameau constitué de petits chalets, ou de mobil-homes.  Après un virage nous débouchons sur une route formant Té (route de l’Yerres). Nous prenons à gauche, longeons l’orée du bois, nous abandonnons le balisage jaune tournant à droite, nous poursuivons tout droit et retrouvons les champs puis le bitume avec la D 48, que nous prenons à droite (route de Chaume), nous ne rentrons pas dans Vilber. Juste avant de rentrer dans le village, prenons le premier chemin pas très bien tracé au sol, sur la gauche vers le hangar. Le chemin tourne sur la gauche et nous nous dirigeons vers le bois, que nous traversons franchissons le portail par le fossé, coupons la D 402 et poursuivons le chemin en face. Nous approchons de la zone industrielle de Fontenay Trésigny. Longeons cette dernière, le chemin tourne à gauche à la zone pavillonnaire, notre chemin débouche sur une route, ou nous trouvons un banc, que nous prenons à gauche. Passons la grande ferme de la Plumasserie, nous approchons du château du même nom. Malheureusement nous ne le verrons pas caché par un rideau d'arbres. [Au cœur du Domaine, le Château de la Plumasserie a été construit sur les ruines d’un ancien château en 1846, date sculptée dans la pierre au dessus d’une lucarne située au 2ème étage de sa façade Ouest.

Le Prieuré, véritable joyau d’histoire, remonte pour sa part à 1631 !

Au début du 20ème siècle, le Château fut habité par le Bey de Tunis, qui fit même construire une aile d’architecture de style mauresque reliant le Château au Prieuré. De multiples cartes postales oblitérées témoignent de cette période.

Le Domaine du Château de la Plumasserie, appelé aussi Château de Bellefontaine, comprenait une ferme située à deux pas de notre grille, encore en activité de nos jours.

Par ailleurs, le nom de « Plumasserie » fait référence à l’exploitation des plumes créée pour les besoin de la mode féminine, exploitation qui était associée à la corporation des fabricants de fleurs artificielles. https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&url=http://www.plumasserie.com/historique/&ved=2ahUKEwjsgdLzrd7dAhUSCxoKHRSzDKYQFjAAegQIAxAB&usg=AOvVaw084S4xlRmy4Nyn7L2mhauW] Poursuivons la route sur la droite longeant le parc du château. Passons un ruisseau et pénétrons en forêt, la route se dégrade fortement, à la sortie du bois prenons le chemin de droite longeant le bois contournons le champ et pénétrons par un petit sentier dans la forêt nous débouchons sur un chemin formant Té nous prenons à gauche, nous rencontrons le balisage jaune.  Franchissons une barrière prenons la D 402 sur la droite, et tout de suite à gauche le chemin derrière la barrière.  A l’orée du bois le chemin débouche sur un autre formant Té, nous prenons à droite, après avoir longé des mares le chemin tourne sur la gauche nous sortons du bois le chemin tourne à droite dans les champs et longe un haras. Nous entrons de nouveau dans un bois, laissons une branche du balisage jaune partir sur la gauche et longeons certainement la maison du gardien du haras notre chemin devient empierré longe une pépinière, notre chemin devient bitume nous apercevons les petits immeubles de Chaume coupons la route de Gallier poursuivons en face la rue de Plaisance, nous arrivons de nouveau à la Croix Saint Sébastien. Reprenons la rue du pignon vert sur la droite que nous suivons jusqu'au parking

 

  Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html