Petite Promenade N° 178 en Loire Atlantique Saint Même le Tenu en Pays de Retz

Aujourd'hui nous partons en Loire Atlantique et plus précisément à Saint Même le Tenu en Pays de Retz

 Saint-Même-le-Tenu est une ancienne commune de l'Ouest de la France, devenue le 1^er janvier 2016, une commune déléguée de la commune nouvelle de Machecoul-Saint-Même. L'ancienne commune fait partie de la Bretagne historique, dans le pays traditionnel du pays de Retz et dans le pays historique du Pays nantais. Le nom de la localité est attesté sous la forme Portus Vitraria pendant la période antique. Le nom de Saint-Même-le-Tenu viendrait de Saint Mesmin : les moines du monastère de Micy près d'Orléans, appelé Saint-Mesmin-de-Micy (fondé par le Clovis au VI^e siècle), attiré par le commerce du sel, ont construit une église et un prieuré au VIII^e siècle, et le village a alors pris le nom du saint protecteur de l'église : Saint Mesmin (Sanctus Maximinus), altéré en Saint Même. Le Tenu est le nom de la rivière qui traverse la commune, est attesté sous la forme latinisée Taunacus. En breton, son nom est Sant-Masen-ar-Porzh. On retrouve la trace d'un port nommé Portus Vetraria ou Poryus Vitraria pendant l'antiquité, qui, par la suite, deviendra Saint Même. Le sel produit dans les marais salants de la baie de Bourgneuf et dans le marais breton était transporté sur le Tenu, reliant le golfe de Machecoul à la Loire pour ravitailler, en amont, les monastères prospères de Touraine et d’Orléanais. Au VII^e siècle les religieux de Stavelot-Malmédy dans les Ardennes s'y installent et obtiennent un « droit de tonlieu », sorte de péage ou droit de navigation pour les embarcations naviguant sur la rivière le Tenu. Au VIII^e siècle, le roi Pépin le Bref accorde aux religieux du monastère de Micy près d'Orléans le droit de s'établir également à Portus Vetraria et y fondent un prieuré. Confirmés dans leurs droits par l'empereur d’Occident Louis le Débonnaire, le port prendre le nom de « Saint-Mesmin » (puis « Saint-Même ») en l'honneur du fondateur de l'abbaye mère. (wikipédia).

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Octobre 2021

Km    Temps    Arrêt     V/d     V/g       Dénivelé

  9      1h35         10        5,7      5,1          +    

Pour si rendre Soit par Sainte Pazanne, avec la D 95, Soit par Saint Philibert de Grand Lieu, ou de Challans, par la D 32 et la D64

Nous trouvons un parking derrière l’église, au niveau de la Halle D 64 direction Machecoul

La Halle [Innoguré en 2019 (dessinée par l’architecte Sandra Troffigué),: « L’implantation d’une halle nous tenait à cœur depuis plusieurs années, depuis la mise en place de notre petit marché hebdomadaire qui valorisait les produits locaux en créant du lien social. » Extraie de Ouest-France https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/saint-meme-le-tenu-44270/halle-et-parking-inaugures-saint-meme-6336787].  Penons la rue de la Ville en Bois, D 64 et faisons le tour de l’église [l'église (XIXème siècle). La statue de Saint-Jean-Baptiste, en bois polychrome, date du XVIIIème siècle : cette statue provient de l'ancienne église, détruite en 1868. Les statues de Saint-Maxime et de Saint-Louis, en bois polychrome, datent du XIXème siècle. La bannière date de 1806. http://www.infobretagne.com/saint-meme-le-tenu.htm ]. Je n’ai pas trouvé grand-chose sur l’église, hors mis un article dans Ouest France qui débutait bien, mais le reste était réservé aux abonnés. Dommage. J’ai trouvé un complément sur l’histoire du village [Le bourg de Saint-Même se trouve, en remontant le Tenu, juste au point où cette rivière commence à porter bateau, il ne pouvait être mieux placé pour profiter du mouvement commercial qu’entraînent toujours avec eux les transports par eau. Bien que la localité soit très modeste, elle a une histoire et des parchemins que lui envierait plus d’une sous-préfecture, par le seul fait de l’existence de son port situé à proximité d’une quantité de communes (Machecoul, Bourgneuf, Paulx, Bois-de-Cené, la Garnache…) qui n’avaient pas de meilleur débouché pour leurs provisions (tuffeaux, chaux, ardoise, vin, planches, fer, résine…) et leurs exportations (sel, blé…). Des religieux de l’abbaye de Saint Mesmin de Micy près d’Orléans furent aussi attirés par l’abondance qui régnait à Saint-Même. Charlemagne leur concéda alors le domaine dont ils firent la belle propriété du Prieuré, un peu au-dessus du port. Ils fondèrent également une église et un petit monastère.
Cependant, l’établissement de la paroisse peut être antérieur, en témoignent certaines sépultures composées de grandes auges de calcaire coquillier, d’une apparence très archaïque (peut-être mérovingiennes), conservées sous la terre des jardins du haut bourg. Sous les mérovingiens, il est possible que le bourg de Saint-Même fut l’un des ateliers monétaires de la Gaule, en témoignent des monnaies retrouvées portant les légendes Porto Vidrari, porto Veteri et porto Vediri qui seraient des variantes de Portus Vetraria. Les rapports de Saint-Même et de Nantes étaient autrefois très étroits, leur moyen de communication étant la voie d’eau. Elle avait l’avantage de ne pas avoir de droits d’entrée payants à la différence de l’embouchure de la Loire, et d’éviter les frais de délivrance des congés imposés aux bateaux sillonnant la mer. Enfin, les expéditeurs n’étaient pas exposés, en temps de guerre, aux rencontres des pirates.
En 651, le roi Sigebert III délivra aux religieux de Stavelot-Malmédy (Ardennes) un diplôme qui les mettait en possession d’un droit de tonlieu dans le port de Saint-Même, alors nommé Portus Vetraria. Ils y restèrent plusieurs siècles. La donation était en fait un revenu important puisqu’elle comprenait un personnel d’agents, de magistrats, de gardiens que le Roi faisait passer sous la dépendance des religieux. Le tonlieu en question n’était pas un simple péage à lever sur un pont, c’était un droit de navigation à percevoir sur les bateaux qui naviguaient sur le Tenu : enlèvements, taxes d’échange, droits d’abordage… La ville de Machecoul est séparée du Tenu et du port de Saint-Même par une distance de 5 km. À partir de la fin du XVIIIè siècle, on décida de creuser un canal pour permettre aux négociants de Machecoul d’embarquer leurs marchandises chez eux et d’user de la voie du Tenu sans se rendre à Saint-Même. Les négociations furent interrompues par les événements de la Révolution et par les guerres de l’Empire.

Une fois la paix rétablie, la mairie de Machecoul remit à l’étude le projet de canal. Plusieurs cahiers des charges furent soumis à l’enquête au cours du XIXè siècle, en vain. L’opinion publique souleva à chaque fois beaucoup d’objections, les combinaisons financières reposant toujours sur le produit d’un tarif de péage. http://paysderetzsite.free.fr/communes/stmemeletenu/patrimoine/a81.html].

 

  Au carrefour de l’église prenons la D 87 (rue de l’Océan) sur la gauche en direction de La Frenay en Retz, à l’angle de la petite rue des Champs nous trouvons une croix sur un socle en pierre. Sortons du village, attention la route n’est pas large, sur la droite un espace pour marcher, laissons sur la droite l’accès au hameau de La Pichefollerie, poursuivons la D 87, cette fois ci sans espace pour marcher en sécurité, la route étant bordée de fossés, nous sommes sur un balisage fuchsia. Laissons sur la gauche la route menant au Temple et à Bel Air. Nous arrivons au carrefour avec un calvaire, prenons la rue de gauche, nous sommes toujours sur le balisage Fuchsia circuit les Hauts du Treil. La route est encore moins large, laissons une première rue sur la droite, Au loin nous apercevons le clocher de Machecoul. Prenons un peu plus loin le chemin carrossable sur la droite (balisage jaune et fuchsia). Nous sommes sur le chemin du Treil et ce chemin dessert quelques maisons neuves isolées. Le chemin fait un esse droite-gauche, nous arrivons au hameau du Treil. Longeons un hangar. Au carrefour prenons à droite, longeons la ferme, plutôt des bâtiments agricoles, la route fait fourche, prenons à gauche, (balisage jaune) dans le virage nous apercevons le château [Bâtiment initial, type "maison de maître" datant début XIX°, agrandi en "château" fin XIX°, avec clochetons et toiture en ardoise. le château du Treil (XIXème siècle), édifié par le célèbre pharmacien François Dorvault, créateur du Codex et originaire de Saint-Etienne-de-Montluc (histoire de Machecoul infobretagne)]. Nous pouvons prendre le chemin gravillonné de gauche pour essayer de voir un peu mieux le château mais les haies sont trop hautes. Revenons sur la route contournant le château, longeons les communs, puis le grillage du parc jusqu’à la D 95 que nous prenons à droite. Nous arrivons à un carrefour avec une croix en bois sur un haut socle en pierre, prenons à gauche la direction de la chapelle Saint Lazare et la chèvre Pendu (normalement nous sommes sur un balisage rouge). Longeons l’exploitation agricole, nous sommes au hameau Saint Lazare. Au carrefour laissons un balisage partir tout droit le long du chemin carrossable permettant l’accès aux maisons isolées. Poursuivons le bitume sur la droite (nous sommes sur un balisage jaune fort discret). La route fait fourche prenons à droite le chemin carrossable, notre chemin fait fourche prenons à droite (le chemin de gauche mène à une maison). Notre chemin est bordé de vieux chênes (j’aperçois une croix jaune je comprendrais pourquoi un peu plus loin. La trace à été refaite mais pas modifier sur la carte.) Nous débouchons sur le bitume et à l’entrée du hameau de la Châgnerie. Attention sur la carte le balisage jaune se poursuit tout droit, à la fin du bitume contrairement à la carte nous ne trouvons plus de chemin, mais une clôture, d’où la modification du balisage. La carte est une nouvelle fois pas à jour. Prenons le bitume sur la droite, au carrefour prenons la D 95 en direction de Sainte Pazanne et Port Saint Père. Attention la départementale est très roulante, peu large, bordée d’un fossé. Laissons sur la gauche, le route menant à l’Hermitière. Au carrefour suivant, prenons à droite en direction du clos Bruneau. A l’angle de la rue nous avons une maison avec une belle porte charretière en plein cintre (nous retrouvons un balisage jaune). Le chemin forme Té, laissons le chemin de droite menant aux champs. Poursuivons tout droit. Après plusieurs virages d’un chemin longeant un champ en culture, J’espère que ce chemin ne passera pas sous le socle de la charrue. Nous arrivons devant une haie, que nous traversons par un virage à gauche, le chemin est beaucoup moins visible longeons la haie, notre chemin disparaît, je longe dans les ronces, une peupleraie, j’en sorts par la gauche, nous retrouvons un chemin que nous prenons à droite, traversons un ru, nous débouchons sur le bitume au niveau d’un carrefour (laissons le balisage jaune partir sur la gauche en direction de la Joue. Poursuivons tout droit en direction de La Lande (normalement un balisage jaune). Laissons une route sur la gauche, passons un calvaire (vierge) et un chemin plus ou moins carrossable menant au bâtiment isolé de La Lande. Nous entrons dans le hameau de La Pichefollerie, à la patte d’oie poursuivons tout droit, débouchons sur la D 87 que nous prenons à gauche jusqu’à notre parking à Saint Même le Tendu.

 



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Petite Promenade N° 177 en Loire Atlantique Autour du Lac de Grand Lieu - Saint Mars de Coutais

Aujourd'hui nous partons en Loire Atlantique et plus précisément autour du Lac de Grand Lieu

 

Le départ de cette promenade se fait de Saint Mars de Coutais.

Village que l'on peu rejoindre en train ou en voiture. Ligne Nantes - Pornic

Horaires des trains ; https://www.ter.sncf.com/medias/PDF/pays_de_la_loire/L10%20hiver%20AR%20V2_tcm67-300167_tcm67-300145.pdf

 

En voiture. De Nantes rejoindre la D 751. Sortir sur la D 758 en direction de Noirmoutier, Sainte Pazanne, Bourgneuf, Port Saint Père, Machecoul. Au rond point direction Port Saint Père, passer le premier rond point poursuivre vers le centre ville. Avant l’église prendre à droite la D 64 Saint Mars de Coutais, La Gare. Au rond point rue de gauche en direction de la gare. Suivre la D 64 jusqu’à la gare ou nous trouvons le parking.

J’ai lu plusieurs livres sur les révoltes paysannes de Bretagne et de Vendée, se déroulant dans la grande foret de Machecoul et autour du Lac de Grand Lieu. Dès que j’ai pu, j’ai quitté les bords de mer pour découvrir ses lieux que je m’étais imaginé par la lecture.

Le lac de Grand-Lieu suscite mystère et passion. On l’aperçoit, on le devine, on le cherche, il se dévoile avec pudeur à qui sait l’apprivoiser. J’ai trouvé cette présentation sur un site internet et je dois dire, quelle est tout à fait juste. De mes lectures, il en ressortait un lieu mystérieux, connu par les seuls locaux, ou tout étrangers s’y perdaient ou disparaissaient dans des trous sans fond. Mais c’était dans les romans. Par contre lorsque l’on regarde la carte le Tour du Lac est bien loin du bord du lac. Je pense, moi qui suis un étranger à la région, que si l’on veux marcher en bordure du l’eau il faut choisir sa saison… J’ai réalisé cette promenade en Aout et je n’y ai vu que des prairies, et pas une once d’eau. 

 

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Km   temps   Arrêt    V/d    V/g    Dénivelé

12     2h15     0h10      5,3     5             87+

 

De la gare prendre la D 64 en direction de St. Mars et Machecoul, nous sommes sur le GRP. Nous passons, le Tenu [alimente l'Acheneau. Le Tenu prend sa source à Touvois, traverse vers le sud la Loire-Atlantique, et atteint l'Acheneau, à l'ouest du Lac de Grand-Lieu, entre Port-Saint-Père, Saint-Mars-de-Coutais et Saint-Léger-les-Vignes. Sa longueur est de 34,9 km. wikipédia]. ['Acheneau s'appelait Itta au Moyen-Age mais ce chenal s'est transformé de « la Chenau » en l'Acheneau.
En 1838, des travaux pour creuser la rivière et la rendre naviqable permirent la découverte de 15 à 20 000 pièces de monnaie du règne de Tibère (épave d'un bateau naufragé ?). A proximité de la
Maison Blanche, la chaussée sur les marais reliant Saint Mars à Bouaye, ainsi que le pont, furent achevés en 1866 dépliant promenade de l’Acheneau PDF] Nous entrons dans Saint Mars par la rue du Château [Le nom de Saint-Mars-de-Coutais est attesté sous la forme latinisée Sanctus Medardus et Sanctus Medardus de Cotex en 1150. Saint Médard est le patron de la paroisse. Un texte du milieu du XII^e siècle fait référence à un homme, probablement un noble, dont le nom est noté Willelmus de Sancto Menardo de Cotex. Selon certains toponymistes, le déterminant complémentaire Coutais est un dérivé du mot latin costa « coteau, côte » ou de l'ancien breton coat « bois ». En breton, elle a été dénommée au vingtième siècle Sant-Marzh-ar-C'hoad par l'Office de la Langue Bretonne, nom sans aucune valeur historique. Le manoir de Saint-Mars est un édifice du XV^e siècle qui s'élève le long de la rivière du Tenu et qui permettait de surveiller le trafic fluvial. Lors des Guerres de Vendée, Saint-Mars-de-Coutais, comme tout le reste du pays de Retz, prit parti pour l'insurrection vendéenne. Un hobereau local, Pierre-Suzanne Lucas de La Championnière, propriétaire du manoir des Couetis, fut un compagnon du chef Charette et un mémorialiste de l'insurrection vendéenne. Après s'être un temps réfugiés dans la ferme de la Basse-Cour, en Saint-Mars-de-Coutais, son père, sa mère et ses deux sœurs rejoignirent la Grande armée catholique et royale en Anjou ; tous quatre succombèrent au cours de la Virée de Galerne. Le Port Faissant, lieu de passage sur la rivière du Tenu, entre Sainte-Pazanne et Saint-Mars-de-Coutais. Dès le Moyen Âge, les moines y établissent un bac. Devient un lieu stratégique au XIX^e siècle, avec la construction d'un pont (sous le Second Empire exactement) par les deux communes. Le port est ensuite réaménagé par la famille Écomard qui y construit des entrepôts pour leurs activités agricoles et commerciales, sur leur propriété, côté Saint-Mars-de-Coutais. La Vanerie, ferme de 50 hectares dépendant du château de la Durracerie de Sainte-Pazanne : elle fut achetée par la famille Écomard de Sainte-Pazanne au XIX^e siècle. Elle appartient toujours aux descendants des Ecomard. Wikipédia]. Apres avoir quitté le GR, nous arrivons à l’église [Eglise Saint-Médard (XIX-XXème siècle), oeuvre de l'architecte Fraboulet. Elle est bénite le 18 juin 1898. Le chœur est réaménagé en 1988. La statue de Saint-Médard, en bois polychrome, date du XIXème siècle. La statue de Saint-Jean-Baptiste, en bois polychrome, date du XIXème siècle. Le tableau intitulé "Présentation de l'Enfant Jésus au Temple" date du XIXème siècle. L'ancienne église se trouvait près du château et un grand mariage y a eu lieu en 1782, celui de demoiselle Françoise Mornet avec Pierre Lévesque professeur d'hydrographie. La translation des ossements dans le nouveau cimetière (terrain offert par la famille de Monti) eut lieu le 12 juin 1862 et l'on y a mis à jour plusieurs sarcophages de calcaire coquillier. https://lafrancedesclochers.clicforum.com/t229-Saint-Mars-de-Coutais-44680.htm]. Faisons le tour de l’église par la rue de la place de l’église (remarquer la maison à l’angle de la rue avec la statue). Prenons la rue de la place de l'église, au chevet de cette dernière nous prenons à gauche la rue des Chaponneries, que nous suivons jusqu'au panneau ‘’rue sans issu’’  la rue s'élargie en parking, puis se rétrécie de nouveau. Prenons à  droite la rue des bateliers, laissons sur la droite la rue des Pimpeneaux, puis sur la gauche la rue des Gabares et prenons à droite la rue des Biguenée nous sommes sur le GRP. A la fourche prenons à droite la rue de l'Acheneau et à la nouvelle fourche nous prenons à gauche la rue du Pally, en direction du Souchais après un petit bois nous arrivons dans ce hameau. Nous sommes sur le GRP et un balisage jaune. Après quelques virages, nous quittons le bitume et trouvons les prairies. Notre chemin est bordé de chênes . Laissons un chemin sur la gauche, poursuivons tout droit. Après des virages en équerres l'un à gauche, l'autre à droite, nous traversons un canal sur un pont en poteaux électriques, le chemin est très herbeux avec la trace que pour une seule personne, nous arrivons sur un chemin formant Té, poursuivons comme les balises sur la gauche. Nous sommes dans les prairies entrecoupées de haies épaisses. Après un virage d'équerre sur la droite, le chemin devient gravillonné, nous arrivons au domaine du Butay, [Village de pêcheurs au Moyen-âge, lieu de confluence entre l'Acheneau qui
vient du lac et le Tenu venant de Saint Mars. Folio promenade de l’Acheneau] prenons la rue sur la gauche entre la mare et le domaine. Quittons le balisage jaune à la maison du Distilloire. La route tourne sur la droite c’est le GRP (laissons un chemin carrossable en stabilisé de gravillon sur la gauche). Nous longeons les premiers hangars du hameau de La Mulonnaie. Notre rue forme Té, nous prenons le bitume sur la droite. Normalement nous sommes toujours sur le GRP du Tour du Lac de Grand Lieu et retrouvons le balisage jaune. Nous longeons des vignes et prenons le premier chemin carrossable sur la gauche. Notre chemin devient rue nous sommes au hameau de La Gohelière, [(nom dorigine franque XIVème siècle) Cest l'un des sites les plus anciens de Saint Mars. Découverte au XIXème siècle, près d'un gisement d'argile, d'un atelier de terres cuites (tuiles, poterie). Cet atelier était entouré de « cloudis» (d'où le village du « Clody »), fossés de défense derrière lesquels les ouvriers déposaient leur monnaie et leurs objets précieux. Folio promenade de l’Acheneau] Nous faisons un esse droite gauche, en coupant la D 264, nous sommes toujours sur le GRP. La rue forme Té, nous trouvons un panneau d'information. Prenons à droite, GRP et balisage jaune. Après un espace de verdure, nous arrivons au Clody. Normalement nous sommes en bordure de l'étang, mais je n'ai que des prairies et des bois. C'est le calme assuré, la rue devient chemin et nous débouchons de nouveau sur le D 264 que nous prenons à gauche. Suivons la départementale et au carrefour prenons à gauche. Nous longeons des vignes. Laissons un premier chemin et prenons le second qui est carrossable, comportant trois pierres interdisant les voitures. Le chemin tourne sur la droite, laissons un chemin sur la gauche, gardons le chemin plus ou moins balisé, il débouche sur un chemin formant Té, que nous prenons à droite. Alternance de bois et de prairies. Nous apercevons le hameau de la Noë, [(nom dorigine celtique qui vient de « Nauda » et qui signifie « endroit marécageux, humide » comme tous les dérivés (exemple: les Noues) folio promenade de l’Acheneau] le chemin borde de fossés débouche sur une petite route que nous prenons à gauche. Nous sortons du hameau, dépassons le calvaire de la Croix des Moënards. Après la croix nous prenons le chemin en stabilisé avec un poteau d'information sur la  gauche. Nous nous approchons de nouveau de l'étang, mais je ne verrais que bois et prairies. Nous contournons le hameau de l’Effetérie [L'Effetérie Vers 1825, en creusant un puits, on découvrit du charbon (anthracite), Une galere fut creusée jusqud 40 mètres de profondeur et une cinquantaine d'ouvriersy travaillèrent de 1848 d 1860. La mine fut réouverte par nécessité durant la guerre 14-18 puis définitivement fermée en 1920 (mauvaise qualité du charbon et infiltration d'eau du lac tout proche) folio promenade de l’Acheneau]. Le chemin tourne une première fois sur la droite, après un esse nous quittons le chemin en stabilisé lorsqu'il tourne sur la droite. Les prairies son s'éparées par des bois, nous sommes toujours sur le GR et le balisage jaune. Laissons un chemin sur la gauche et faisons un esse, prenons le chemin face à nous. Normalement nous sommes sur le GRP. Bois et prairies se succèdent, nous coupons un chemin et faisons un esse droite, gauche, en contournant un champ. nous débouchons sur un chemin carrossable que nous prenons à droite. Nous arrivons sur une route, nous quittons le balisage et prenons le bitume sur la droite. Au hameau de Marne, nous prenons un chemin sur la gauche devenant rue, et entrons dans le hameau de Grand Lieu [A la fin du XVIIIeme siecle,Grandlieu était le siège de la justice du lac rendue par le marquis de Juigné (Justice liée d la péche pour régler les confits du Seigneur avec ses fermiers) La justice se rendait sur le lac, en bateau pres de rand-Lieu. Folieu promenade de l’Acheneau]. Au carrefour, nous prenons à droite, traversons le hameau. Notre rue débouche sur une autre formant Té, nous prenons à gauche. Gardons la route. Nous longeons le hameau de Cloté, laissons une route sur la gauche se dirigeant vers La Devitière. Nous trouvons un calvaire dédié à la Vierge et dépassons les quelques maisons de Sainte Marie, nous débouchons sur la D 64 que nous prenons a droite.

Longue départementale sans bas côté et avec des voitures ne ralentissant pas devant le piéton que je suis. Champs et maisons isolées se succèdent, nous arrivons à Saint Mars, passons le rond point, nous trouvons un espace sécurisé avec des bancs et tables de pique nique. Traversons le second rond point, poursuivons tout droit par la rue de la Colombe, longeons le cimetière, nous arrivons à l'église, prenons la rue de gauche (D64) en direction de Port Saint Père et de la gare. Nous retrouvons le GR, traversons le Tenu et retrouvons le parking de la gare.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 




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