Même si cela fait sourire les pro de la "course à pied en pleine nature.", il vaut mieux être en bonne forme physique et bien chaussé. vous en trouverez l'histoire en début de l'article 45 ou sur le site (http://www.circuitdes25bosses.fr/circuit_utm3p.html)
Nous voilà prévenu. Les prochaines promenades emprunterons un morceau de ce parcours, nous en ferons la totalité par petits bouts, cela donnera une approche des difficultés et permettra aux plus intrépides de ce lancer à l'assaut de ce circuit mythique. Mais surtout faite le correctement.... sans couper les difficultés comme je l'ai vue un samedi après midi. Courir en évitant plus ou moins les rochers, non seulement cela crée des ravinements mais me fait mieux comprendre les temps de parcours très bas annoncés sur certain blog.........
Le code mobile de cette randonnée est b240691
Km Temps Arrêt V/d V/g Dénivelé
10,6 2h30 30 4,2 3,3 215+
Décembre 2014
Parking :
D409 et 837 (Elle change de N° lorsque
l’on change de département) entre Arbonne et Milly. Nous trouvons une petite
route sur la gauche en direction de
Noisy sur Ecole, elle se nomme sur la carte route des grandes vallées (elle ne semble pas porter de N°)
Nous trouvons un point de stationnement le long des grillages. Pas de parking
officiel voir même d’un coté « la ou il est le plus facile de ce garer
sans gêner un panneau d’interdiction de stationner. Ce lieu servant d’accès aux
rochers d’escalades il y a toujours des voitures. Attention cette route peut
large est très fréquenté.
Nous
prenons le chemin de la Gorge aux chats. Nous longeons une clôture et coupons
rapidement le sentier Bleu, continuons notre chemin et nous trouvons sur la
gauche un petit sentier, c’est l’ancien sentier bleu N° 16 nous y trouvons
encore quelques traces bleu. Un peu plus loin nous rencontrons le raccourcie 16-16 du sentier bleu actuelle que nous
prenons tout droit. Subitement le sentier tourne à gauche et grimpe dans les
rochers, nous traversons le plateau du Laris qui Parle et retrouvons la branche principale du sentier bleu N°16 que nous prenons à
droite. Nous suivons la crête. Nous rencontrons un nouveau raccourcie bleu 16-16 sentier des Châtaigniers que nous prenons à droite. Nous retraversons le plateau de bruyère ce nommant par ici la Plaine de la Charme. Coupons le chemin de la gorge aux chats continuons en face pas facile il manque un trait bleu à moins que je ne l’ai pas vue. Nous sommes au carrefour du banc de pierre. Nous pouvons faire une pose, le banc existe. Nous entrons dans un bois de bouleaux et dans la parcelle 105. Nous rencontrons
l’autre branche du sentier bleu N°16 que nous prenons à gauche. Le sentier
bleu
est parallèle au chemin du plateau. Le sentier traverse la Canche aux Merciers
cette partie de la foret à brûlée en 2014
[Six hectares de forêt ravagés par un incendie. Le Parisien | 18 Avril 2014, 07h00
Le premier feu de la saison en forêt de Fontainebleau a été particulièrement violent. Mercredi, il a ravagé 6 ha de végétation, dans le massif des Trois Pignons, sur la commune de Noisy-sur-Ecole, non loin de l'A 6. L'incendie s'est déclenché vers 12 h 30, dans le secteur de la Canche-aux-Merciers, fréquenté par de
nombreux
grimpeurs et randonneurs. Le feu a été attisé par un vent violent et changeant.
Près d'une douzaine de casernes de Seine-et-Marne sud et de l'Essonne ont été
mobilisées. Un hélicoptère de la sécurité civile a survolé la zone en renfort.
Il a fallu plus de deux heures pour circonscrire le feu. Un dispositif de
surveillance nocturne a ensuite été mis en place par précaution.
Reste à savoir comment il a démarré. D'après la direction de l'Office national des forêts (ONF), « cet incendie pourrait être le résultat d'un bivouac mal éteint. Malgré des contrôles réguliers, des visiteurs du massif improvisent souvent des campements et font du feu. Ce qui est strictement interdit dans toute la forêt domaniale. Le temps sec enregistré depuis un mois et des fortes bourrasques ont favorisé la progression du sinistre. » L'ONF recommande donc la plus grande prudence aux promeneurs et d'appeler le 18 en cas de fumée suspecte.]
Nous arrivons à une sorte de clairière. Nous suivons le sentier bleu jusqu’au chemin de la charme (on le saura au carrefour) que l’on prend à droite. On arrive au carrefour de la canche, le chemin de la charme tourne à droite, mais nous continuons tout droit par un chemin sans noms qui est également un itinéraire jaune. Nous coupons ensuite le chemin de la vallée d’Arbonne. Nous continuons en face et nous perdons le chemin jaune. Sur la carte ce chemin ce perd dans la parcelle, dans la réalité c'est une laie forestière entre deux parcelles qui débouche sur une autre route. Nous grimpons. Ce chemin n’est pas facile. Une fois sur le plateau parsemé de rocher, le chemin est beaucoup moins visible, mais l’on s’en sort sans problème. Nous débouchons sur un chemin parcelle 119 (chemin des Cassis) que nous
prenons à droite, nous arrivons rapidement à
un carrefour ressemblant plus à un rond point ; Le carrefour des Sapeurs
du Génie. Nous laissons sur la gauche le chemin des cassis et continuons sur la
droite le chemin de la maison poteau. Nous trouvons la pancarte dans
la parcelle sur un gros pin. Nous arrivons à un point de vue sur la canche aux
merciers. Sur la gauche nous trouvons un chemin sans nom à son départ qui
descend dans un vallon rocheux. Nous trouvons sur la gauche le chemin de la
vallée ronde. Nous continuons de descendre, nous rencontrons le sentier rouge
que nous prenons à gauche. Comme d’habitude ce sentier n’est pas facile on
saute de rochers en rochers. Ce sentier est tellement fréquenté qu'aujourd’hui nous pouvons contourner les
zones difficiles, mais ce n’est plus du jeu…. Après il ne faut pas ce venter de
l’avoir fait. J'écris cette phrase sur le coup du dépit. Généralement je ne me promène pas en fin de semaine dans les lieux fréquentés. Cette fois ci fut une exception, et j'ai été fort déçus par les randonneurs rencontrés. Certain groupe évite systématiquement les difficultés, les contournent en sifflotant, et en parlant d'autre chose, vous regardent narquois en bavé à gravir les rochers respectant les traces de peintures. Je ne sais pas qui à commencé le premier ; Le coureur à pied, ou le randonneur indélicat créant de faussent pistes
autour des difficultés, mais après avoir vu, je comprends pourquoi ils ne mettent qu'une heure trente à en faire le tour. Après une descente difficile, des escaliers et un claustra
retenant le sable, nous abandonnons le sentier rouge, passons une sorte de clairière
et coupons le chemin du pied des monts. Puis nous prenons le chemin de la gorge
aux poivres sur la droite. Nous coupons l’ancien chemin de Melun. A la parcelle
131 nous quittons le chemin de la gorge aux poivres et prenons un chemin sans
nom sur la droite. Laissons un chemin sur la droite, et nous arrivons sur un autre chemin
sans nom, formant T avec le notre et prenons un sentier en face qui se dirige
vers les rochers appelé le 95.2. « M’ouais pas facile ses explications.
Mais
sur le terrain ce n’est pas facile n’ont plus. Heureusement la trace du GPS me permet de garder la cap. Ce sentier dans la bruyère n’est pas dure, mais il y
a tellement de faut chemins (enfin des chemins de varapeurs) que pour
nous chemineux il est difficile de suivre notre itinéraire sur une carte. On
se dirige plutôt à gauche et l’on contourne les rochers. C’est un chemin pas très facile à suivre, Une fois
passé la zone rocheuse, le chemin est un peu mieux tracé dans la
bruyère, cette partie est utilisée par les
cavaliers. Nous débouchons
sur un large chemin que nous prenons à droite (c’est le chemin de la plaine
de Jean des Vignes) Nous sommes sur le plat. Nous coupons le chemin de la Vallée Close et prenons en face un sentier qui est en réalité le
sentier rouge des 25 bosses. Nous grimpons la roche au four au sommet nous avons
un point de vue « jolie » nous quittons le balisage rouge pour
prendre sur la droite entre les rochers (pas facile à trouver) un
petit sentier à flanc de colline. Nous restons sur la
platière entre bruyère et rochers. ATTENTION SANS GPS IL EST DIFFICILE DE
TROUVER CE SENTIER ; Nous suivons le sentier toujours sur la platière, à la fourche nous prenons le sentier sur
la gauche. Nous rencontrons le sentier rouge que nous prenons à droite nous
descendons et grimpons de suite sur le Pignon des Maquisards ou nous trouvons la
croix de lorraine en hommage au groupement résistant. Cette
imposante
croix qui se dresse sur l’étroite platière rocheuse qui surplombe la Vallée
Close est un monument
érigé en hommage aux résistants de la Seconde Guerre Mondiale qui opéraient
dans le secteur.
Il se présente sous la forme d’une pyramide tronquée en pavés de grès surmontée d’une Croix de Lorraine. Elle sur-élève ce pignon de 10 m 30 dont 3,30 m pour la seule croix et l'alourdi de 110 tonnes ! Contrairement à ce que l'on entend, ce pignon s'appelle pignon de la
"Roche au four". Ce lieu n'a pas été choisi au hasard ! Il s'agit du
site où a fonctionné, pendant l’occupation allemande, un projecteur
de liaison avec les avions venus d’Outre-Manche, porteurs d’armes et de
munitions largués par parachutes dans la Vallée de la Mée. Il rappelle
donc les sacrifices du réseau « Publican » créé en 1942. En effet, une
plaque posée à sa base commémore les noms des 5 morts et des 18
déportés de cette organisation clandestine. Son inauguration officielle eut
lieu le 22 Juin 1946 en présence du Général REVERS et du Maréchal SALISBURY.
Le réseau Ernest Publican fut crée à la fin 1942 par Maurice Braun
(alias Ernest, alias Marcel Barde ou encore Letellier), commandant de réserve
et chef de mission des FFC (forces Françaises Combattantes) et par le capitaine
Marcel Fox, ancien officier de l’armée britannique en 1939-1940 et officier
du
SOE (Special Operations Executive).
Ce réseau se rattache au vaste réseau de
renseignements du colonel Buckmaster (SOE). L’organisation clandestine,
implantée en différents points de la région parisienne (nord de la
Seine-et-Marne – secteur de Meaux et dans l’Oise secteur de Brégy et de Versigny)
a pour mission le sabotage de lignes de chemin de fer, de gares de triage,
d’usines mécaniques et aéronautiques. Maurice Braun et Marcel Fox
ont préparé minutieusement un parachutage d’armes et de munitions en forêt de
Fontainebleau. Pour ce faire, ils recrutent localement une équipe de réception
et de sécurité : Emile Bouchut, forestier qui connaît donc bien le
terrain et les sentiers de la forêt. Il sera accompagné dans son travail
par Benjamin Destré, garde-chasse du Bois-Rond, également habitué de la
forêt. Ces deux hommes aidés du jeune Lucien Saroul (18 ans) et du maçon
Raphaël Bourdin délimitent le secteur géographique du parachutage : ce
sera « la Vallée Close », clairière sablonneuse du sud du « massif des
Trois Pignons » entre Arbonne-la-Forêt et Noisy-sur-Ecole. A ce noyau dur
d’agents, vient s’en greffer d’autres : ainsi, le capitaine Eugène
Defontaine, industriel, qui propose d’utiliser une grotte (« la grotte de
Rochebelle ») située dans sa propriété pour entreposer les armes parachutées.
On compte aussi dans les rangs du groupe Publican de Noisy, Charles Bourgelat,
Eugène Thailler, ancien combattant de 14-18, Antoine et Lucie Stimac. Pour
signaler la zone de largage, il faut un balisage aérien. Parmi les divers
escarpements rocheux qui entourent la clairière, le pignon de la Roche au
four est le plus escarpé, et difficile d’accès, promesse que les Allemands
ne parviendront pas à trouver le site.
Le parachutage de la Vallée Close dans la nuit du 21-22 juin 1943 :
C'est le message diffisué sur les ondes de Radio Londres : « C’est en Touraine qu’on parle le meilleur français » qui annonçe le parachutage, aux résistants. . Dans la nuit de pleine lune du 21 au 22 juillet 1943, 10 containers sont parachutés au lieu dit « La Vallée close ». C'est Marcel Fox et Maurice Braun qui assurent le guidage
des avions
en maniant des signaux lumineux en haut du piton rocheux. Les containers
largués contiennent des mitraillettes Sten de 9mm, des pistolets, des grenades
incendiaires, des mines antichars, des provisions de chargeurs, des pains de
plastic, des détonateurs, des tubes et boîtes d’abrasif pour le sabotage des
essieux et des wagons de train. Parachutage et réception sont réussis. En deux
voyages, le charretier auguste Van Den Kinderen transporte toute la cargaison
jusqu’à la grotte de Rochebelle,
devenue aujourd’hui la « grotte du
parachutiste ». Armes et munitions stockées dans la grotte sont
ventilées vers Arbonne-la-Forêt, Château-Landon, Brie-Comte-Robert et Paris.
Une seconde opération est prévue pour une prochaine lunaison, avec pour message : « Paulette sois bien sage, ton papa pense bien à toi ». Mais cette nuit-là, plusieurs faits empêchent le parachutage : un bombardement allié dans la région de Melun, l’édification récente par les Allemands
d’une tour de guet non loin du site et un avion de
chasse rodant dans la région. Par prudence, l’équipe se sépare tout de même
mais le parachutage avorte.
Maurice Braun et Marcel Fox,
responsables d’Ernest Publican, continueront leurs activités de parachutages
dans l’Oise. Au cours de l’été 1943, le réseau Publican est démantelé par la
Gestapo. Maurice Braun est arrêté à Paris et interné près de 12 mois à la
prison de Fresnes. Le 15 août 1944, il fait partie du dernier convoi de
déportés partant pour Buchenwald. Il en revient miraculeusement en 1945. Marcel
Fox, arrêté lui aussi, est déporté au camp de Flossembourg, où il est pendu à
la veille de la délivrance par les troupes américaines. La Grotte du Parachutiste est
aujourd'hui en Forêt domaniale des Trois Pignons (PF n°116, orientée Est).
La plaque
commémorative en bronze fut enlevée par la Mairie de
Noisy-sur-Ecole il y a quelques années et a été remplacée par une réplique
en résine, ceci pour la préserver d'un éventuel vol.
C'est cette grotte que les allemands recherchaient en
44 lorsqu'ils incendièrent la forêt. En effet, suite à la dénonciation du
réseau Publican, et ne trouvant pas la cache d'armes dans les environs de la
Croix Saint Gérôme, ils larguèrent des bombes incendiaires le 26 juillet qui brûleront
plus de 1 100 ha (1/3 des Trois Pignons). Protégée par des coupes feu, les
armes furent disponibles pour les FFI à la libération de Paris. http://tl2bleau.blogspot.fr/2003/06/cest-quoi-cette-croix-de-lorraine-dans.html



[Six hectares de forêt ravagés par un incendie. Le Parisien | 18 Avril 2014, 07h00
Le premier feu de la saison en forêt de Fontainebleau a été particulièrement violent. Mercredi, il a ravagé 6 ha de végétation, dans le massif des Trois Pignons, sur la commune de Noisy-sur-Ecole, non loin de l'A 6. L'incendie s'est déclenché vers 12 h 30, dans le secteur de la Canche-aux-Merciers, fréquenté par de
Reste à savoir comment il a démarré. D'après la direction de l'Office national des forêts (ONF), « cet incendie pourrait être le résultat d'un bivouac mal éteint. Malgré des contrôles réguliers, des visiteurs du massif improvisent souvent des campements et font du feu. Ce qui est strictement interdit dans toute la forêt domaniale. Le temps sec enregistré depuis un mois et des fortes bourrasques ont favorisé la progression du sinistre. » L'ONF recommande donc la plus grande prudence aux promeneurs et d'appeler le 18 en cas de fumée suspecte.]
Nous arrivons à une sorte de clairière. Nous suivons le sentier bleu jusqu’au chemin de la charme (on le saura au carrefour) que l’on prend à droite. On arrive au carrefour de la canche, le chemin de la charme tourne à droite, mais nous continuons tout droit par un chemin sans noms qui est également un itinéraire jaune. Nous coupons ensuite le chemin de la vallée d’Arbonne. Nous continuons en face et nous perdons le chemin jaune. Sur la carte ce chemin ce perd dans la parcelle, dans la réalité c'est une laie forestière entre deux parcelles qui débouche sur une autre route. Nous grimpons. Ce chemin n’est pas facile. Une fois sur le plateau parsemé de rocher, le chemin est beaucoup moins visible, mais l’on s’en sort sans problème. Nous débouchons sur un chemin parcelle 119 (chemin des Cassis) que nous
Il se présente sous la forme d’une pyramide tronquée en pavés de grès surmontée d’une Croix de Lorraine. Elle sur-élève ce pignon de 10 m 30 dont 3,30 m pour la seule croix et l'alourdi de 110 tonnes ! Contrairement à ce que l'on entend, ce pignon s'appelle pignon de la
Le parachutage de la Vallée Close dans la nuit du 21-22 juin 1943 :
C'est le message diffisué sur les ondes de Radio Londres : « C’est en Touraine qu’on parle le meilleur français » qui annonçe le parachutage, aux résistants. . Dans la nuit de pleine lune du 21 au 22 juillet 1943, 10 containers sont parachutés au lieu dit « La Vallée close ». C'est Marcel Fox et Maurice Braun qui assurent le guidage
Une seconde opération est prévue pour une prochaine lunaison, avec pour message : « Paulette sois bien sage, ton papa pense bien à toi ». Mais cette nuit-là, plusieurs faits empêchent le parachutage : un bombardement allié dans la région de Melun, l’édification récente par les Allemands
A la croix nous poursuivons le sentier rouge par la
gauche, nous avons l’impression de revenir sur nos pas. Nous descendons,
attention les rochers sont glissants, remontons en face, pas facile ce
chemin surtout en fin de parcours, c’est presque de l’escalade. Attention à
bien poser les pieds sur les rochers. Nous rencontrons le sentier bleu N° 16 que
nous prenons à gauche, le sentier bleu nous offre de belles vues sur la croix.
Nous coupons le chemin de la charme après avoir gravi une butte, puis nous
abandonnons le sentier principale pour prendre sur la droite le sentier 16-16
dit des châtaigniers, nous coupons le chemin de la plaine du pommier sauvage
continuons en face parcelle 104, et prenons à gauche le chemin suivant, appelé
de la justice de Chambergeot. En arrivant en fin du plateau, le chemin devient
sentier parmi les ronciers il s'incline en descendant plutôt sur la droite et nous rencontrons le
sentier bleu N°16 que nous prenons à droite, nous le suivrons jusqu’au chemin
de la gorge aux chats ou nous l’abandonnerons pour prendre ce dernier chemin
sur la gauche jusqu’au parking.
Mes autres PetitesPromenades

Mes autres PetitesPromenades
1h50, ça vous dit ?
RépondreSupprimeret combien en VTT
ou sans poser les mains sur les rochers ?
ce circuit a fait l'objet de quelques défits entre les étudiants de l'UFRSTAPS Orléans (spécialistes APPN et CO) : je ne l'ai bouclé que 4 fois, dont une fois avec un VTT : la plus longue sortie là : avec une corde et simulations d'exercices spéléo-secours dans le secteur N-NO
Bonjour,
RépondreSupprimerPersonne n’a essayé à cloche-pied, en rampant ou en marchant en arrière !!!!
En réalité je ne vois pas trop de quoi vous parlez …… Du circuit montagne ? des 25 bosses ?ou encore du sentier rouge des trois pignons ? toutes ses appellations se rapportant au même circuit.
Cette boutade des 1h50 s’adresse t’il au circuit 49 ou il est comptabilisé en 3h00 de promenade ?
Si cela concerne la promenade, alors vous n’avez Rien compris à ce site internet. Il n’a pas été créé pour les performances, mais pour faire découvrir la Foret de Fontainebleau, autrement que par les sentiers bleu, et les sites de Franchard et Apremont. Il a l’espérance d’amener à la marche des familles avec des enfants, c’est le but des petites promenades d’une demi journée, sans rebuter l’addo. Peut être qu’ensuite ils passeront aux promenades de la journée, puis itinérantes. Le temps de parcours n’est qu’indicatif, je l’ai fais avec ma femme qui à mal au dos et je me dis qu’il est donc réalisable pour une grande partie de la population. Le but également c’est de ne pas marcher « idiot » j’essaie d’amener le promeneur à connaître la petite histoire de la foret et lui faire remarquer quelques particularités sans rebuter le promeneur. Je n’est pas la science infuse, mais les quelques petits trucs que je connais, j’ai mis plus de 40ans à les apprendre, en allant dans d’autres associations ou en achetant des livres. Aujourd’hui il est temps de les transmettre …. Gratuitement. Gratuitement car ce que je connais est déjà sur internet je n’ai qu’a copier-coller.
Si vous parler des 25 bosses, je vais vous décevoir, étant satisfait de mes 8h00 de parcours je m’en suis vanté lors d’une sortie associative (à l’époque j’avais 25 ans) on m’a répliqué qu’il se faisait en 3h00. La pancarte dit en 6h00. Bêtement et pour moi-même j’ai relevé le défi. J’ai réalisé la boucle en 3h00 et je n’ai pas aimé du tout. Heureusement que je connaissais car je n’ai rien vu, que mes pieds pour savoir ou les poser sans me rompre le cou, courir dans les montés, se laisser aller dans les descentes pas mon truc. Et j’ai respecté le balisage et les difficultés de l’époque. Aujourd’hui je les vois les « ARLEQUINS »..... Mais si, ces types avec des baskets fluots,une tenue bariolée bleu-blanc-jaune-orange et surtout une énorme marque sur le torse et le dos, ils court croyant faire le circuit mais ils passent à coté des difficultés, le circuit rouge est remplis de sentiers d’évitements. Désolé pour moi, ils font les bosses mais pas le circuit MONTAGNE.
Pour le VTT désolé encore une fois ILS N’ONT RIEN à FAIRE SUR UN SENTIER PIETON. Gamin et comme peut de gamin d’aujourd’hui j’ai parcouru les sentiers balisés. Pas en VTT cela n’existait pas et on s’amusait quand même, mais en vélo. j’en cassais un par an. Le premier fut neuf et dura plus longtemps que les autres qui étaient de récupération. Nous nous faisions insultés par les randonneurs et ils y en avaient beaucoup moins qu’aujourd’hui. On avait la jeunesse pour nous. Mais en aucun cas, nous ne faisions de fausses pistes, en aucun cas nous contournions les difficultés. On portait le vélo à l’épaule, ou on les traînaient au dessus, ou en dessous des rochers. A l’époque il existait des courses de vélo cross dans des sites appropriés et ils faisait comme çà pour franchir la difficulté. Aujourd’hui les Vététistes sont des adultes qui foncent sur les sentiers qui ne leur sont pas réservés, renversent ou bousculent, chien et randonneurs et en plus ils ne sont pas content. On à le malheur de les ralentir dans leur PSEUDO performance. Ce sont eux qui nous insulte. Aucun respect…….